René Grandidier

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René Grandidier
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Naissance
Décès
(à 68 ans)
Tunis (Tunisie)
Nom de naissance
René Gaston Adrien Grandidier
Nationalité
Française
Activité
Formation

École des Beaux-arts d'Amiens

École Supérieure des Beaux-arts d'Alger
Élève
Henri Patez, Lebadang, Christian Schmidt, Daniel Schintone, Gilbert Théodose Brugaillere, Jean Micoine, Hubert Camps, Jean Delmas
Lieu de travail
Amiens (1916-1926), Alger (1924), Toulouse (1926-1948), Martinique (1948-1949), Toulon (1951), Tahiti (1952-1961), Collioure (1962-1965) Paris (1918, 1949-1951, 1965-1972), Tunis (1972)
Mouvement
Influencé par
Père
Alfred Grandidier (1875-1908)
Mère
Alphonsine Léopoldine Poulain
Conjoint
Marie At dite Grandidier (1922-1980)
Distinction
Médaille d’argent de l’École régionale des Beaux-Arts d’Amiens, Croix du combattant volontaire de la Résistance, Croix du combattant volontaire 1939-1945, Croix du combattant, Chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques

René Grandidier, né le 29 janvier 1904 à Amiens, et mort le 21 août 1972 à Tunis, est un peintre, dessinateur, aquarelliste, lithographe, sculpteur, peintre-verrier, graveur français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et études (1904-1925)[modifier | modifier le code]

René Gaston Adrien Grandidier, nait le 29 janvier 1904 à Amiens.

Son père Alfred Grandidier (1875-1908), fils de Nicolas Grandidier et de Marie-Louise Joséphine Richoilley[1], est membre, dès 1890, du groupe anarchiste de Saint-Denis[2], Les travailleurs libertaires[3], avec son frère Louis Grandidier (1873-1931), un des fondateurs et rédacteur du journal Le Libertaire, et journaliste dans les journaux La Guerre sociale, La Bataille, et Le Père Peinard[4] dont il est le gérant de 1897 à 1902. Après s’être réfugié à Londres le 04 novembre 1893, il est arrêté en décembre 1894 à la demande de la police française, puis extradé vers la France le 28 janvier 1895. Traduit devant la cour d’assises, il est condamné à 6 ans de réclusion pour vol qualifié[5], et 10 ans d’interdiction de séjour dans le département de la Seine[6]. Il se rend ensuite à Reims puis à Amiens, où il épouse Alphonsine Léopoldine Poulain le 03 décembre 1904[7].

Après le décès de son père à Saint-Denis le 16 décembre 1908[8], René Grandidier vit entre Saint-Denis et Amiens, et commence en 1916 l’apprentissage du dessin avec des artistes locaux à Amiens. À l’âge de 12 ans, il est d’abord garçon-épicier au Café Carlos Beffroy, puis fleuriste en 1917. Il travaille ensuite dans la conception d’équipements militaires, puis quitte Amiens en mars 1918 en raison de l’offensive allemande, et travaille chez un maître-tailleur de l’armée à la caserne du 1er régiment des Dragons à Luçon (en Vendée), puis comme drapier chez Golieg à Rouen.

En 1918, il se rend sur le « Camp retranché » à Paris, où il est porteur de plis à la rue Blanche, et également graveur chez Vartagnan à la Cité Trévise à Paris.

De retour à Amiens en 1920, il est d’abord peintre en lettres, puis s’inscrit en 1921 à l’Ecole régionale des Beaux-arts, où il étudie la peinture sur verre, et obtient la médaille d’argent de l’école. En 1921, il devient peintre-verrier et réalise des vitraux d’art à l’Atelier Tembouret.

Entre 1923 et 1924, il fait son service militaire à Alger, et est élève à l’École supérieure des beaux-arts d’Alger.

Peintre-verrier – peintre de façade de cinéma – peintre décorateur (1925-1939)[modifier | modifier le code]

De retour à Amiens en 1925, il revient travailler chez le maître-verrier Georges Tembouret(1891-1975)[9], puis réalise des affiches publicitaires chez Affiches Gaillard[9], avant de travailler à la restauration de tableaux et de gravures chez Vezac Antiquaire en 1926[9].

En 1926, il s’installe à Toulouse, et dirige jusqu’en 1937 l’atelier vitraux de l’Atelier Aux Arts Religieux, fondé en 1909 par Henri Gesta (1864-1938)[10], fils du maître-verrier Louis-Victor Gesta (1828-1894). Durant cette période, l’atelier réalise de nombreux ensembles verriers dans des chapelles et des églises, principalement dans le sud-ouest de la France mais aussi dans la région du centre et en Corse.

En 1938, il est professeur de dessin bénévole à la Bourse du Travail de Toulouse[9].

A partir de 1937, il travaille aussi comme peintre de façade de cinéma, et réalise des décors publicitaires pour le cinéma Gaumont-Palace de Toulouse[9]. Parallèlement, il est peintre décorateur pour les établissements publics, les écoles et le comité des Fêtes de la ville de Toulouse, où il est également conseiller artistique[9].

Seconde guerre mondiale et après-guerre (1939-1952)[modifier | modifier le code]

En 1939, il est mobilisé dans le 17e Corps d’Armée, puis sert dans la Division cuirassée (DCR), jusqu’à l’Armistice en juin 1940. Entre 1941 et 1944, il entre en clandestinité, au sein du Mouvement national contre le racisme (MNCR), et comme agent P1 dans l’organisation Noyautage des administrations publiques « PTT » (NAP), puis au sein des Forces françaises de l’intérieur (FFI). Il choisit comme nom de résistant « Vincent » en raison de l’admiration qu’il a pour Vincent van Gogh.

Entre 1941 et 1948, il enseigne puis exerce la fonction de chef de « l’atelier supérieur de peinture » de l’Ecole Supérieure des Beaux-arts de Toulouse de 1944 à 1948[11]. Durant cette période, il se rend régulièrement pour peindre à Collioure, où il emmène également ses étudiants qui séjournent à la Casa Quintana. À l’école, il a notamment pour élèves Henri Patez (1927-1974)[12], Lebadang (1921-2015), Christian Schmidt (1920-2003), Daniel Schintone (1927-2015), Gilbert Théodose Brugaillere (1925-1975), Jean Micoine (1927-2017), Hubert Camps, Jean Delmas.

Entre 1938 et 1948, il expose ses œuvres lors des salons annuels des artistes méridionaux, dont il est sociétaire à partir de 1938, et membre du Conseil d’administration en 1945.

En 1948, il se rend en Martinique en Latécoère 631 pour un voyage d’études, et y rencontre Charles Van den Broek d'Obrenan (1909-1956), qui se porte acquéreur de plusieurs de ses œuvres, avec qui il noue une solide relation amicale, et qui lui propose de se rendre en Polynésie.

De retour à Paris, il expose et participe à des salons et des expositions de 1949 à 1951 à Paris et à Sanary-sur-Mer, puis se rend à Toulon en 1951 où il réalise la décoration de l’entreprise de peinture Martin à la Seyne-sur-Mer, ainsi que de nombreuses œuvres du port de Toulon et de paysages de Provence à Revest-du-Bion.

Vie en Polynésie (1952-1961)[modifier | modifier le code]

En 1952, il se rend en la Polynésie, et s’installe à Tahiti, où il est professeur de dessin[13] au collège Paul Gauguin de Papeete (anciennement école centrale) qui devient le lycée Paul-Gauguin en 1960.

En septembre 1954, le Colonel Louis Castex (1896-1968), qui participa à la première liaisons aérienne entre Papeete et les Iles marquises en octobre 1953[14], se fait accompagner par Fernand Maillac et par René Grandidier pour aller rencontrer Émile Gauguin, le fils de Paul Gauguin, ainsi que les Toulousains présents à Tahiti. Dans son carnet de route[15], il relate sa rencontre avec Fernand Maillac, directeur de l’enseignement en Polynésie de 1952 à 1955, M. Batut, le seul horloger de Papeete, M Cavailles, Claude Chabert, hauteur de Tahiti – l’enchantement des mers du sud en 1944, Charles Chabot, Michel Oncins, Georges Guiraud (1901-1989), graveur et grand prix de Rome en 1926, et Jean Péro surnommé « papa hinano » qui construisit la nouvelle usine de la brasserie de Tahiti de 1951 à 1955[16].

René Grandidier organise en juillet-août 1955 à Papeete, avec Charles Van den Broek d'Obrenan et René Lyon, principal du collège Paul Gauguin, le Premier Salon de Tahiti (dont le catalogue comprend 329 œuvres) qui réunit, à la fois des œuvres de maîtres comme Lucas Cranach l'Ancien (1472-1553), Jacques-Louis David (1748-1825), Gustave Courbert (1818-1877) , Paul Gauguin (1848-1903), Tsugouharu Foujita (1886-1968) ; mais aussi des œuvres d’artistes ayant peint à Tahiti depuis le début du siècle comme Daniel Adam, Jacques Boullaire (1893-1976), Frank Fay (1921-2011), Herman Gouwe (1875-1965), Serge Grès (1899-1970), Anne Hervé (1906-1994), Peter Heyman (1908-1982), Jean Masson (1914-1973), Nicolas Mordvinoff (1911-1973), Octave Morillot (1878-1931), Wolfgang Wolff (1909-1994), Yves de Saint-Front (1928-2011) ; et aux côtés de ces artistes, « le comité d’organisation du Salon décide d’ajouter aussi des peintures d’amateurs et des dessins d’enfants »[17].

Pendant cette période, il réalise des dessins, des aquarelles, des lithographies, et peint de nombreuses œuvres, dont le tiki de Raivavae[18] qui représente le grand tiki qui se trouvait dans le jardin du musée de Tahiti à Mamao, une sculpture dans laquelle était supposée entrer des esprits protecteurs ou maléfiques[19].

Retour en France – dernières années (1961-1972)[modifier | modifier le code]

En 1961, il revient à Paris à la suite du rapatriement sanitaire d’un de ses enfants, puis s’établit à Collioure, où il réalise de nombreuses œuvres. Entre 1961 et 1964, il expose ses peintures à Collioure et à Toulouse.

Il s’installe ensuite en région parisienne en 1964, et enseigne le dessin au lycée de Bondy (1964-1965), puis au lycée Jean-Jaurès de Montreuil (1965-1968).

En 1968, il s’installe à Castelnou où il expose ses œuvres, avant de revenir en région parisienne en 1969, où il enseigne le dessin dans les collèges de Clichy-sous-Bois (1969-1970) et de Noisy-le-Grand (1970-1971).

Entre 1963 et 1972, il expose ses œuvres à Collioure, Aix-les-Bains, Thuir, Castelnou et en région parisienne.

Sa dernière exposition, qui se déroule dans une galerie d’art au Raincy, regroupe des « lithographies de peintres contemporains »[20], comme Tony Agostini (1916-1990), Andrée Bordeaux-Le Pecq (1910-1973), Yves Brayer (1907-1990), Jean Carzou (1907-2000), Salvador Dalí (1904-1989), Georges Lambert (1914-1998), Lebandang (1921-2015), Leonor Fini (1907-1996), Jean Picart Le Doux (1902-1982), Gustave Singier (1909-1984).

En juillet 1972, il se rend à Tunis, pour rejoindre son ami Jean Péro, et continue à peindre jusqu’à son décès le 21 août 1972.

Reconnaissance institutionnelle – distinctions[modifier | modifier le code]

René Grandidier reçoit lors de ses études la Médaille d’argent de l’Ecole régionale des Beaux-Arts d’Amiens.

Après la guerre, il reçoit la Croix du combattant volontaire de la Résistance, la Croix du combattant volontaire 1939-1945, et la Croix du combattant.

Il est également fait Chevalier de l’Ordre des Palmes Académiques.

Œuvre et thèmes[modifier | modifier le code]

Si ses créations prennent leur inspiration dans le postimpressionnisme avec des peintres comme Paul Cézanne (1839-1906), Armand Guillaumin (1841-1927), Paul Gauguin (1848-1903), et Vincent van Gogh (1853-1890), les œuvres de René Grandidier représentent le visible, et sont à la fois empreintes d’art figuratif et d’expressionnisme, et en même temps d’inspirations primitiviste et fauve.

A l’instar de André Derain (1880-1954) et Henri Matisse (1869-1954) qui se rejoignent à Collioure en 1905, René Grandidier se rend régulièrement dans ce « berceau du fauvisme », dans les années 1940 pour en saisir sa luminosité, et s’y installe au début années 1960.

Robert Aribaut dit, en parlant de ses œuvres, que pour lui « peindre c’est avant tout exprimer la beauté des sites méridionaux embrasés par le grand incendie solaire de l’été ». René Grandidier est « un peintre d’instinct, fou de couleur, à vrai dire plus proche des Fauves et de la Belle Epoque que des aimables artistes du groupe des Peintres de la réalité poétique »[21].

En 1952, il part vivre à Tahiti et tente « de répondre aux défis relevés en son temps par Gauguin - celui de la lumière qui baigne les îles de l'océan Pacifique »[22]. De cette période, Carlos Garcia Palacios (1898-1970), consul du Chili à Papeete, écrit : « Il y peint alors ses lumineux paysages, ses portraits de type tahitiens et d’enfants dont il exprime avec tant de justesse, l’insouciance, la beauté et la joie de vivre »[23].

René Grandidier peint des « huiles puissantes aux accents fauves »[24], dans lesquelles on peut ressentir l’influence de Othon Friesz (1878-1949) et de Charles Camoin (1879-1965).

Le travail de René Grandidier s’applique à reproduire dans ses œuvres l’aspect translucide et émaillé des vitraux, en donnant l’impression que la lumière vient de derrière la toile. De son expérience de peintre-verrier, il transpose cet « art de la lumière », dans ses dessins et ses peintures, dont les contours très marqués tel un sertissage délimitent des couleurs dont les variations semblent jouer avec la lumière.

Expositions[modifier | modifier le code]

Musées et conservation[modifier | modifier le code]

Acquisitions des musées en France[modifier | modifier le code]

Collections et institutions artistiques[modifier | modifier le code]

Fondation René Pous à Auterive[32][modifier | modifier le code]

Institut Supérieur des arts et du design de Toulouse[33][modifier | modifier le code]

Ensembles verriers réalisés par l’atelier « Aux arts Religieux » (signés Henri Gesta)[34][modifier | modifier le code]

  • Apparition de la Vierge, vitrail, Eglise Saint-Joseph, Fougax-et-Barrineuf, (1926)
  • Mort de saint Joseph, verrière, Eglise Saint-Joseph, Fougax-et-Barrineuf, (1926)
  • Vitraux, Eglise paroissiale de l'Immaculée Conception de Bonnefoy, Toulouse, (1926)
  • Baptême de Clovis, vitrail, Eglise Saint-Joseph, Fougax-et-Barrineuf, (1927)
  • La Charité de saint Martin, saint Joseph et l'Enfant, Notre-Dame d'Issoudun, ensemble de 3 verrières, Eglise paroissiale Saint-Martin, Gardefort, (1927)
  • Ange montrant à un soldat assis au sol la croix latine auréolée, verrière, Eglise paroissiale Saint-Pierre, Le Port, (1927)
  • Notre-Dame de Lourdes, saint Augustin, saint Charles Borromée, saint Nicolas, saint Pierre, sainte Lucie, ensemble de 11 verrières, Eglise paroissiale Saint-Nicolas, Petreto-Bicchisano en Corse, (1927)
  • Saint Pierre, sainte Anne et la Vierge, calvaire avec sainte Madeleine, ancre, pélican, ensemble de 5 verrières, Eglise paroissiale Saint-Martin, Aast, (1927)
  • Vitraux, Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et Saint-Jean-Baptiste, Aincille, (1930)
  • Sainte Léontine, saint Arnaud, saint Michel, ensemble de 3 verrières, Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste, Ouillon, (1931)
  • L'Invention de Notre-Dame d'Eygurande, le Pèlerinage à Notre-Dame d'Eygurande, ensemble de 2 verrières, Chapelle de la Nativité-de-la-Vierge, Eygurande, (1932)
  • Saint Roch, saint Justin, Saint Guillaume, vitrail triptyque, Eglise Saint Sauveur, Toulouse, (1933)
  • Cycle : Vierge : Immaculée Conception, Annonciation, Nativité, Présentation au Temple, Sainte Famille, Assomption, ensemble de 6 verrières, Chapelle de la Nativité-de-la-Vierge, Eygurande, (1933)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Dictionnaire des militants anarchistes » Accès libre, sur militants-anarchistes.info (consulté le ).
  2. Constance Bantman, Anarchismes et anarchistes en France et en Grande Bretagne, 1880-1914 : Échanges, représentations, transferts, thèse sous la direction de François Poirier, Université de Paris XIII-Villetaneuse, soutenue le 24 mars 2007
  3. Rapport du Préfet de police du 27/07/08, Archives Nationales n°30178
  4. « Ephéméride Anarchiste »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Accès libre, sur ephemanar.net (consulté le ).
  5. Décision de la cour d’extradition de Londres du 28/12/1894, Archives Nationales n°30178
  6. Rapport du Préfet de la Marne du 14/12/1900, Archives Nationales n°30178
  7. Acte de mariage de Alfred Grandidier, Registre d’état civil d’Amiens
  8. Acte de décès de Alfred Grandidier, registres d’état civil de Saint-Denis
  9. a b c d e et f Marie Grandidier, Curriculum vitae manuscrit de René Grandidier
  10. Benezit, Dictionnaire des peintres sculpteurs dessinateurs et graveurs, Édition Gründ, 1999 tome 6, p 378
  11. Attestation de la direction de l’Ecole, Ecole Supérieure des Beaux-arts de Toulouse,
  12. « Henri Patez (1927-2014) » Accès libre, sur artistes-meridionaux.fr (consulté le ).
  13. Journal officiel des établissements français de l’Océanie, « Instruction publique 1, décision n°1079 du 29/07/53 » Accès libre (consulté le ).
  14. Patrick O’Reilly, Le Colonel Louis Castex (1896-1968), Journal des Sociétés Océanistes, , p.302
  15. Louis Castex, Carnet de route - voyage en Océanie - III les iles sous-le-vent, Revue des Deux Monde, , pp. 254-286
  16. « 100 ans de passion » Accès libre, sur calameo.com (consulté le ).
  17. Jean-Marie Dallet, Christian Gleizal, Le Mémorial polynésien : 1940-1961, Hibiscus Edition tome 6,
  18. « Le tiki farceur du musée de Mamao, Papeete » Accès libre, sur tahitiheritage.pf (consulté le ).
  19. « Les tribulations des tiki Moana et Heiata de Raivavae » Accès libre, sur tahitiheritage.pf (consulté le ).
  20. Affiche de l’exposition, Paris, Imprimerie Gourdon,
  21. a et b « La génération des maîtres » Accès libre, sur espritsnomades.net (consulté le ).
  22. Riccardo Pineri, Théano Jaillet, Après Gaugin : la peinture à Tahiti de 1903 aux années 60, Musée de Tahiti et des Îles Te fare manaha,
  23. Carton d’invitation au vernissage de l’exposition Grandidier,
  24. a et b « Les Pionniers de la SAM » Accès libre, sur artistes-meridionaux.fr (consulté le ).
  25. Catalogues d’expositions du salon des Artistes Méridionaux, bibliothèque numérisée Gallica
  26. a et b « Après Gauguin : la peinture à Tahiti de 1903 aux années 60 » Accès libre, sur vers-les-iles.fr (consulté le ).
  27. Bord du canal de Toulouse, Musée Toulouse Lautrec, n° d’inventaire MOD.221
  28. « Paysage d'Arles - tableau » Accès libre, sur augustins.org (consulté le ).
  29. « Les remorqueurs sur le Rhône à Arles » Accès libre, sur cnap.fr (consulté le ).
  30. Composition avec femme, Musée Paul Dupuy, n° d’inventaire : 59.5.1
  31. « Trois vahinés - tableau » Accès libre, sur augustins.org (consulté le ).
  32. « René Pous », sur fondationpous.free.fr (consulté le ).
  33. Institut Supérieur des arts et du design de Toulouse, n° d’inventaire 940-1-19
  34. « POP : la plateforme ouverte du patrimoine » Accès libre, sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Constance Bantman (dir. François Poirier), ''Anarchismes et anarchistes en France et en Grande Bretagne, 1880-1914 : Échanges, représentations, transferts'', Paris, université de Paris 13 (Thèse de doctorat en Langues, littératures anglaises et anglo-saxonnes), 2007
  • Bénézit, Dictionnaire des peintres sculpteurs dessinateurs et graveurs, Editions Gründ, 1999, t. 6, p. 378
  • Louis Castex, Carnet de route - voyage en Océanie - III les iles sous-le-vent, Revue des Deux Mondes, 15 mars 1954, p. 254-286
  • Jean-Marie Dallet, Christian Gleizal, Le Mémorial polynésien : 1940-1961, Tahiti, Hibiscus Edition, 1977, t. 6
  • Riccardo Pineri, Théano Jaillet, Après Gauguin : la peinture à Tahiti de 1903 aux années 60, Musée de Tahiti et des Îles Te fare manaha, 2015, 106 p.
  • Patrick O'Reilly, Le Colonel Louis Castex (1896-1968), Journal des Sociétés Océanistes, p. 302