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Le Train Fantôme[modifier | modifier le code]

Le Train Fantôme, convoi de 700 hommes et 66 femmes surnommé ainsi pour son errance de huit semaines dans le Sud de la France, part de la gare Raynal à Toulouse le 2 juillet 1944[1]. À son bord, les derniers internés du Camp du Vernet d'Ariège et les détenus de la prison Saint-Michel sont entassés dans des wagons à bestiaux pour être déportés au camp de Dachau et Ravensbrück en Allemagne. Au moment de la libération de la France, entre juin et août 1944, le trafic ferroviaire est minimal[2]. Mais ce train qui mettra deux mois à atteindre Dachau va poursuivre néanmoins sa route.

Plaque à la mémoire des déportés du train fantôme, à Sorgues, une étape crutiale et tragique, le 18 août 1944.

Le départ du Vernet[modifier | modifier le code]

Toulouse[modifier | modifier le code]

L'étape de Sorgues[modifier | modifier le code]

L'arrivée à Dachau[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Les Résistants du train fantôme

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  1. http://musee-resistance.haute-garonne.fr/fr/ressources-en-ligne/le-livre-liberte-liberte-cherie.html
  2. L'odyssée du train fantôme, Jürg Altweg, Robert Laffont, 2003, 2-221-09868-4