Utilisateur:Tricholome/Liste de champignons comestibles
Apparence
À trier[modifier | modifier le code]
Image | Nom scientifique | Nom en français | Intérêt | Remarques |
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Agaricus bernardii | Agaric des prés salés | Excellent[1] | ||
Boletus violaceofuscus | Cèpe brun violacé[2] | Bon[2] | ||
Clavulina cristata | Clavaire crêtée | Bon[3] | ||
Pluteus cervinus | Plutée couleur de cerf | Médiocre[4] | Cultivé[5]. | |
Sarcoscypha coccinea | Pézize écarlate | Médiocre[3] |
Image | Nom scientifique | Nom en français | Alimentaire | Propriétés médicinales | Cultivé | Intérêt | Précaution | Remarques |
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Russula olivacea | Russule olivacée | Oui[6] | Toxique[7] | Bien que considérée comme un bon comestible par certains auteurs[8], cette russule a occasionné des intoxications en Europe[9]. |
Image | Nom scientifique | Nom en français | Usage | Propriétés médicinales | Cultivé | Intérêt | Remarques |
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Clitocybe nebularis | Clitocybe nébuleux | aliment[6] | Douteux[9] | Bien qu'abondamment consommé et jugé par certains comme un bon comestible, ce champignon peut provoquer des troubles gastro-intestinaux importants[9]. Il existe de plus un risque important de confusion avec l'entolome livide, très toxique[10]. | |||
Schizophyllum commune | Schizophylle commun | aliment[6] | Oui[6] | Oui[11] | Douteux[12] | Considéré comme sans intérêt dans les guides européens et américains, il est très consommé dans les régions tropicales. Il pourrait provoquer des bronchopneumonies fongiques chez les personnes immunodéprimées.[13] |
Image | Nom scientifique | Nom en français | Usage | Propriétés médicinales | Cultivé | Intérêt | Remarques |
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Amanita gemmata | Amanite jonquille | comestible[6] | Toxique[14] | Comestibilité très controversée. Elle serait toxique par la présence de muscimole et d'acide iboténique[15]. Elle provoque des gastro-entérites plus ou moins sérieuses et pourrait même être mortelle[10]. Elle est néanmoins couramment consommée dans le Sud-Ouest de la France[16] et signalée comme comestible en Amérique centrale[17]. | |||
Hygrocybe conica (en) | Hygrophore conique | comestible[6] | Toxique[12] | Bien que donnée comme comestible par certains ouvrages, cette espèce aurait été à l'origine d'intoxications assez sévères en Asie[9]. | |||
Hypholoma sublateritium | Hypholome couleur de brique | aliment[6] | Oui[11] | Toxique[18] | Comestibilité controversée. Ce champignon est largement consommé au Japon, en Corée et aux États-Unis, mais considéré comme immangeable voir toxique en Europe[19]. | ||
Lactarius torminosus | Lactaire à toison | comestible[6] | Toxique[9] | Surnommée « lactaire à coliques », cette espèce provoque des gastro-entérites qui peuvent être dangereuses[9]. Malgré une toxicité bien documentée, certains auteurs la donne comme comestible[17]. Elle est régulièrement consommée en Russie et en Finlande, cuite puis conservée en saumure[8]. | |||
Phaeolepiota aurea (en) | Pholiote dorée[12] | comestible[6] | Toxique[12] | Considéré comme un bon comestible par certains auteurs[9], cela ne concernerait que la variété européenne[20]. En Amérique du Nord, plusieurs cas d'empoisonnement on été rapportés, principalement des troubles gasto-intestinaux[21]. La chair contiendrait des traces de cyanure d'hydrogène[12]. |
Notes et références[modifier | modifier le code]
Synonymes[modifier | modifier le code]
Certaines espèces sont citées dans les références ci-dessous sous d'autres noms, considérés comme synonymes :
Références[modifier | modifier le code]
- Mycoquébec 2020.
- MycoDB 2020.
- Eyssartier et Roux 2017.
- Le guide des champignons 2020.
- Boa 2006, annexe 4.
- Eric Boa, Champignons comestibles sauvages : vue d'ensemble sur leurs utilisations et leur importance pour les populations, t. 17, Rome, Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, coll. « Produits forestiers non ligneux », , 157 p. (ISBN 92-5-205157-0 et 978-92-5-205157-2, OCLC 181335189, lire en ligne), « Une liste mondiale des champignons sauvages utilisés comme aliments, reconnus pour être comestibles ou ayant des propriétés médicinales », p. 141-151.
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- « Liste alphabétique des espèces », sur Mycoquébec.org (consulté le ).
- Eyssartier et Pierre Roux, L'indispensable guide du cueilleur de champignons, Belin, , 355 p.
- Jean-Louis Lamaison et Jean-Marie Polese, Encyclopédie visuelle des champignons, Artémis, , 383 p. (ISBN 2-84416-399-8 et 978-2-84416-399-8, OCLC 420280993, lire en ligne).
- Eric Boa, Champignons comestibles sauvages : vue d'ensemble sur leurs utilisations et leur importance pour les populations, t. 17, Rome, Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, coll. « Produits forestiers non ligneux », , 157 p. (ISBN 92-5-205157-0 et 978-92-5-205157-2, OCLC 181335189, lire en ligne), « Les champignons comestibles et médicinaux pouvant être cultivés », p. 153.
- « Liste des champignons », sur MycoDB (consulté le ).
- (en) A. Chowdhary, H. S. Randhawa, S. N. Gaur et K. Agarwal, « Schizophyllum commune as an emerging fungal pathogen: a review and report of two cases: S. commune as emerging pathogen », Mycoses, vol. 56, no 1, , p. 1–10 (DOI 10.1111/j.1439-0507.2012.02190.x, lire en ligne, consulté le )
- « Comestibilité », sur Le guide des champignons, (consulté le )
- (en) John Gilbert et Hamide Z. Şenyuva, Bioactive compounds in foods, Blackwell Pub, , 432 p. (ISBN 978-1-4443-0228-8, 1-4443-0228-0 et 978-1-4443-0229-5, OCLC 352827711, lire en ligne), p. 118-119
- « L'Atlas des champignons » (consulté le ).
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- Hervé Chaumeton, Mini-guide encyclopédique des champignons., Artémis éd, , 319 p. (ISBN 978-2-84416-759-0 et 2-84416-759-4, OCLC 471025867, lire en ligne).
- (en) Bayar Chuluunbaatar, Zoltán Béni, Miklós Dékány, Bernadett Kovács et al., « Triterpenes from the Mushroom Hypholoma lateritium: Isolation, Structure Determination and Investigation in Bdelloid Rotifer Assays », Molecules, vol. 24, no 2, , p. 301 (ISSN 1420-3049, PMID 30650625, PMCID PMC6359218, DOI 10.3390/molecules24020301, lire en ligne, consulté le ).
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- (en) Joseph F. Ammirati, James A. Traquair et Paul A. Horgen, Poisonous mushrooms of the northern United States and Canada, Minneapolis, University of Minnesota Press, , 396 p. (ISBN 0-8166-1407-5 et 978-0-8166-1407-3, OCLC 11212407, lire en ligne).
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