Utilisateur:Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2017/3

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Brouillon site archéo du Vieux-Poitiers[modifier | modifier le code]

Les investigations reprennent au cours des années 1940. En 1947, Georges Devois parvient à dégager un massif de substructions situées à environ 1,5 m de profondeur. Cet ensemble de fondations, compte tenu de leurs épaisseur,

Notes réfés mémo Psy adolescence[modifier | modifier le code]

>,[1]

Brouillon borne milliaire Cenon-sur-Vienne[modifier | modifier le code]

Dans la seconde moitié des années 1960, des investigations préventives effectuées sur l'une des extrémité du cimetierre antique de Cenon, ont permis de révéler un second milliaire, quasiment semblable à celui retrouvé dans les années 1920[2]. Cette deuxième occurence porte également une inscription en tout point identique à celle apparaissant sur la borne de 1928, à l'exception du chiffre romain « V »[2]. Toutefois, selon l'archéologue François Eygun, ce caractère numéral aurait été très probablement effacé[2]. En outre, d'après l'analyse du spécialiste, les deux bornes, toutes deux agrémentées du terme « Fines », indiqueraient l'emplacement du « Vieux Poitiers », un site gallo-romain devenu lieu-dit de la commune poitevaine[2].

Projets d'aménagement communaux Fondettes[modifier | modifier le code]

Depuis 2015, suivant le dispositif mis en place lors de l'élaboration du PLU, la municipalité prévoit d'accroitre la zone résidentielle située dans le centre-bourg. Cette extension du bâti communal s'accompagne d'une diversification des lieux d'habitations. Ainsi, grâce à la construction de lotissements individuels, tels que des appartements, mais également de pavillons ou encore ce projet aura pour conséquence de répondre à l'évolution démographique et sociologique de la population fondettoise. En outre, ce chantier d'aménagement privatif se révèle être simultanément associé à une politique environnementale de réduction énergétique et à une économie de surface constructible.

D'autre part, en raison de l'accroisssement du nombre de foyer (et dans ce cas, il s'agit de jeunes familles, les instances municipales de Fondettes ont pour projet de faire édifier un nouveau groupe scolaire

Jean Fouquet et Pieta de Nouans[modifier | modifier le code]

  • Caroline Blondeau-Morizot (dir.) et Elizabeth Bruyns, « Jean Fouquet, un artiste polyvalent : Entre ars nova et Renaissance italienne », 50 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Mérindol Christian. La Piétà de Nouans et le triptyque de l'hôtel Jacques Coeur à Bourges. In: Revue de l'Art, 1985, n°67. pp. 49-58.

DOI : 10.3406/rvart.1985.347500

http://www.persee.fr/doc/rvart_0035-1326_1985_num_67_1_347500

  • de Vaivre Jean-Bernard. Miniatures inédites de Jean Fouquet et la Piéta de Nouans. In: Bulletin Monumental, tome 144, n°2, année 1986. pp. 133-143.

DOI : 10.3406/bulmo.1986.2799

http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1986_num_144_2_2799

  • Lauer Philippe. Klaus G. Perls. Jean Fouquet. Éd. it. Hyperion, 1940.. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1942, tome 103. pp. 270-271.

http://www.persee.fr/doc/bec_0373-6237_1942_num_103_1_460361_t1_0270_0000_000

  • Gil Marc. François Avril (dir.), Jean Fouquet, peintre et enlumineur du XV siècle, catalogue d'exposition (Paris, 25 mars-22 juin 2003), Paris, Bibliothèque nationale de France-Hazan, 2003, 432 p.. In: Bulletin Monumental, tome 163, n°3, année 2005. pp. 291-292.

www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_2005_num_163_3_1307_t1_0291_0000_2

  • de Mérindol Christian. Un portrait méconnu de Jacques Coeur. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 134ᵉ année, N. 1, 1990. pp. 10-16.

DOI : 10.3406/crai.1990.21138

http://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1990_num_134_1_21138

  • de Vaivre Jean-Bernard. Christian de Merindol, L'emblématique des demeures et chapelles de Jacques Cœur. Une nouvelle lecture. La grande loge de Montpellier et les monuments de Bourges in 110e Congrès national des sociétés savantes.. In: Bulletin Monumental, tome 144, n°4, année 1986. pp. 378-381.

http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1986_num_144_4_2860_t1_0378_0000_5

Brouillon Rédaction château du Plessis Nouans-les-Fontaines[modifier | modifier le code]

Ancienne photographie ou carte postale figurant l'actuel châteu du Plessis et son domaine, à Nouans-les-Fontaine.
Vue d'ensemble du château du Plessis et de son domaine.

Le château du Plessis, qui a été précédé d'une première bâtisse, a été construit sur un ancien fief dont il est fait mention dès 1209 — « Plessiacus in Parochia de Noento [...] Hebergamentum de Plessio » —[3]. Le domaine du Plessis et son ancien logis, dont l'ensemble est, au début du XIIIe siècle, pourvu d'une enceinte fortifiée, ont été successivement la propriété d'Hélie d'Argy, jusqu'en 1217, puis celle de Geoffroy de Murceius, jusqu'en 1226[3],[4]. À partir de cette date, ce fief, ayant fait l'objet d'une cession de bien, relève désormais de l'abbaye de Villeloin-Coulangé[3],[4]. Dans la seconde moitié du XIVe siècle, en 1359, alors que se déroulent les événements afférant à la Guerre de Cent Ans, le domaine nouanais, à cette époque connu sous le nom de « Plessis-l'Abbé », fait l'objet d'une invasion par les troupes anglaises occasionnant ainsi le ravage de ses structures fortifiées[3]. Le Plessis, dont l'occupation par les unités Britanniques se prolonge sur une durée d'environ 2 ans, se voit libéré par les troupes de Pierre de Palluau[3]. Ultérieurement, sous la révolution française, l'ancien château de Plessis et ses dépendances, qui appartenaient jusqu'alors à l'abbaye de Villeloin, sont cédés au titre de biens nationaux en application du décret voté au 2 novembre 1789[3]. Le château, sous sa forme actuelle, aurait été érigé vers la fin du XIXe siècle[5]. Hormis son corps de logis, le domaine, dont la surface se développe sur une surface totale d'environ 286 ha, dispose de plusieurs autres bâtiments[5]. L'ensemble de ces annexes, principalement destinées à l'élevage de chevaux et à l'activité agricole, est constitué de 2 fermes (sur les 4 ayant antérieurement existé), d'une écurie et d'un haras[5].

Bloc-notes Mémo liens Nouans château Plessis[modifier | modifier le code]

Brouillon paragraphe histoire moyen-Âge Troyes[modifier | modifier le code]

Un étrier de cavalerie, identifié comme provenant d'un atelier métallurgique de Hongrie, région d'Europe de l'Est dont des troupes nomades étaient issues, a été mis en évidence au cours de fouilles préventives dans les années 1960. Cet artefact à caractère militaire daté aux environs du Xe – XIe siècle et retrouvé au niveau de la Place du Général Patton, pourrait témoigner du passages de ces unités venues de l'Est Bálint Csanád. L'archéologie française et les incursions hongroises. In: Cahiers de civilisation médiévale, 11e année (n°43), Juillet-septembre 1968. pp. 371-377.

DOI : 10.3406/ccmed.1968.1453

www.persee.fr/doc/ccmed_0007-9731_1968_num_11_43_1453



Mémo liens iconos Fondettes[modifier | modifier le code]

Mémo lien inondations plaine de Troyes[modifier | modifier le code]

Variation population Troyes[modifier | modifier le code]

Soldes de variation annuelle de la population de Troyes
exprimés en pourcentages[INSEE 1].
1968 - 1975 1975 - 1982 1982 - 1990 1990 - 1999 1999 - 2008 2008 - 2013
Taux de variation annuel de la population Augmentation + 4,4 % Augmentation + 3,3 % Augmentation + 2,9 % Augmentation + 2,2 % Augmentation + 1,6 % Baisse - 0,2 %
Solde naturel + 0,4 % + 0,4 % + 0,5 % + 0,3 % + 0,4 % + 0,1 %
Solde migratoire + 4,0 % + 3,0 % + 2,4 % + 1,9 % + 1,2 % - 0,2 %


Variation population Nouans-les-Fontaines[modifier | modifier le code]

Soldes de variation annuelle de la population de Nouans-les-Fontaines
exprimés en pourcentages[Insee 1].
1968 - 1975 1975 - 1982 1982 - 1990 1990 - 1999 1999 - 2008 2008 - 2013
Taux de variation annuel de la population Baisse - 2,2 % Augmentation + 0,1 % Baisse - 0,7 % Baisse - 0,5 % Stagnation 0,0 % Augmentation + 0,2 %
Solde naturel - 0,1 % - 0,5 % - 0,6 % - 0,1 % - 0,2 % - 0,7 %
Solde migratoire - 2,1 % + 0,6 % - 0,2 % - 0,5 % + 0,2 % + 0,8 %

Doc mémo Scapula et Troyes[modifier | modifier le code]

  • Cyril Driard (dir.), Gwenaëlle Grange (dir.) et al., 4, rue Jeanne d'Arc, Troyes (Aube) : rapport final de fouilles - archéologie préventive, vol. 1 (résultats scientifiques), Evea - Société régionale d'archéologie de Champagne-Ardennes, , 207 p. (lire en ligne [PDF]).

Mémo Nouans enceinte et artefacts[modifier | modifier le code]

Collectif, « Communications », Bulletins de la Société archéologique de Touraine, t. 30, no 6,‎ , page 90 (lire en ligne, consulté le ).

Mémo supplémentaire histoire de Fondettes[modifier | modifier le code]

Autel ?

Lieux-dits associés au chemin de Saint-Jacques de Compostelle : (art : Jean Moreau - À la découverte des chemins de Saint-Jacques de Compostelle p. 232) André Montoux, « La Grière à Faye-La-Vineuse », Bulletins de la Société archéologique de Touraine, t. 42,‎ , page 322 (lire en ligne, consulté le ).

Bourdonière et Barcelonne

Projet-brouillon refonte des lieux-dits de Fondettes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits, écarts et hameaux[modifier | modifier le code]

La liste ci-dessous, non-exhaustive, a pour objectif de récapituler les principaux lieux-dits, écarts et hameaux attestés sur le territoire de Fondettes[6],[7] :

  • Assis (les)
  • Aubrière (l')
  • Aubuis (les)
  • Basse Justerie (la)
  • Basse Moussardière (La)
  • Baste (la)
  • Baudes (les)  Non
  • Beaujardin
  • Beaulieu
  • Beaumanoir
  • Bel Air
  • Bellevue
  • Berthellerie (la)
  • Billetrie[8] (la)
  • Bodinière (la)
  • Bois Billières  Non
  • Bois Farrault
  • Bois Jésus
  • Bois La Ronde
  • Bois Soulage  Non
  • Bois Thoreau  Non
  • Bonde (la)
  • Bonnelière (la)
  • Borde (la)
  • Bordeau (le)
  • Bordes (les)
  • Boucardière (la)
  • Boulay (le)
  • Bourdonnière (la)
  • Bourg (le)
  • Bourg Joli (le)
  • Brosse (la)
  • Brosses (les)
  • Bruère (la)
  • Bruzette (la)
  • Burette (la)
  • Butte (la)
  • Butte des Malabris (la)
  • Carreau (le)
  • Carroi de la Cure
  • Carroi Meunier
  • Cartes (les)
  • Chaillemont
  • Chairières ou Cherières (les)
  • Chaise (la)
  • Chaise du Diable (la)
  • Champs du Four (les)
  • Chantelouze
  • Charcenay
  • Charmoise (la) : lieu d'implantation du C.F.M.I.
  • Charpenteries (les)
  • Château-Gaillard
  • Chatière (la)
  • Chatigny
  • Chaussé (le)
  • Chauvellière (la)
  • Chauvellière de Vallières (la)  Non
  • Cheminée Ronde (la)
  • Chêne Vert (le)
  • Cheneau (le)
  • Chevalette (la)
  • Chevalleries (les)
  • Clérisseaux (les)
  • Clos Poulet  Non
  • Clos Mareuil (le)  Non
  • Clos Mignon (le)  Non
  • Cochardières (les)
  • Coquerie (La)
  • Cormier Véron
  • Cossons (les)
  • Criabé
  • Croix Chauffour (la)
  • Croix Galifer (la)
  • Crucifix Rigalou (le)
  • Crucifix Vert (le)
  • Deux Croix (les)
  • Enfer (l')
  • Erables (les)
  • Essarts (les)
  • Essey (l')
  • Fontaines (les)
  • Fortellerie (la)
  • Fourneaux (les)
  • Fours Blancs ou Fourblanc (les)
  • Grand Barré (le)
  • Grande Fosse (la)
  • Guinière (la)
  • Houdris (les)
  • Hamardières (les)
  • Haute-Justerie (la)
  • Laise (la)
  • Limougère (la)
  • Loge-Loup
  • Malitourne
  • Martigny (ou Martigny-sur-Loire)
  • Morier (le)
  • Petit Barré (le)
  • Petite Bodinière (la)
  • Pinsonnerie (la)
  • Plaine (la) ou La petite Plaine[9]
  • Plessis d'Enfer (le)
  • Pont-Loché (le)
  • Port-Corbeau
  • Port-de-Vallières
  • Rochebise
  • Roches (les)
  • Roucières (les)
  • Ruettes (les)
  • Tartifume
  • Tombes (les)
  • Tremblerie
  • Vermicellerie (la)

Lieux-dits, écarts et hameaux[modifier | modifier le code]

La liste ci-dessous, non-exhaustive, a pour objectif de récapituler les principaux lieux-dits, écarts et hameaux attestés sur le territoire de Fondettes[6],[7] :

  • Assis (les)
  • Aubrière (l')
  • Aubuis (les)
  • Aunayes (les)
  • Basse Justerie (la)
  • Basse Moussardière (La)
  • Barbaria
  • Baste (la)
  • Beaujardin
  • Beaulieu
  • Beaumanoir
  • Bel Air
  • Bellevue
  • Berthellerie (la)
  • Billetrie[10] (la)
  • Bodinière (la)
  • Bois Farrault
  • Bois Jésus
  • Bois La Ronde
  • Bois Soulage
  • Bois Thoreau
  • Bonde (la)
  • Bonnelière (la)
  • Borde (la)
  • Bordeau (le)
  • Bordes (les)
  • Boucardière (la)
  • Boulay (le)
  • Bourdonnière (la)
  • Bourg (le)
  • Bourg Joli (le)
  • Brosse (la)
  • Brosses (les)
  • Bruère (la)
  • Bruzette (la)
  • Burette (la)
  • Butte (la)
  • Butte des Malabris (la)
  • Carreau (le)
  • Carroi de la Cure
  • Carroi Meunier
  • Cartes (les)
  • Cave (la)
  • Chaillemont
  • Chairières ou Cherières (les)
  • Chaise (la)
  • Chaise du Diable (la)
  • Champs du Four (les)
  • Chantelouze
  • Charcenay
  • Charmoise (la) : lieu d'implantation du C.F.M.I.
  • Charpenteries (les)
  • Château-Gaillard
  • Chatière (la)
  • Chatigny
  • Chaussé (le)
  • Chauvellière (la)
  • Cheminée Ronde (la)
  • Chêne Vert (le)
  • Cheneau (le)
  • Chevalette (la)
  • Chevalleries (les)
  • Clérisseaux (les)
  • Cochardières (les)
  • Coquerie (La)
  • Cormier Véron
  • Cossons (les)
  • Criabé
  • Croix Chauffour (la)
  • Croix Galifer (la)
  • Crucifix Rigalou (le)
  • Crucifix Vert (le)
  • Deux Croix (les)
  • Enfer (l')
  • Erables (les)
  • Essey (l')
  • Fontaines (les)
  • Fortellerie (la)
  • Fourneaux (les)
  • Fours Blancs ou Fourblanc (les)
  • Grand Barré (le)
  • Grande Fosse (la)
  • Grande-Cour (la)
  • Guinière (la)
  • Guillets (les)
  • Houdris (les)
  • Hamardières (les)
  • Haute-Justerie (la)
  • Laise (la)
  • Lavaré
  • Limougère (la)
  • Loge-Loup
  • Malitourne
  • Marsan
  • Martigny (ou Martigny-sur-Loire)
  • Martinère (la)
  • Morier (le)
  • Morandière (la)
  • Mussetries (les)
  • Petit Barré (le)
  • Petite Bodinière (la)
  • Pinsonnerie (la)
  • Plaine (la) ou La petite Plaine[9]
  • Plessis d'Enfer (le)
  • Pont-Loché (le)
  • Port-Corbeau
  • Port-de-Vallières
  • Quinquampoix
  • Rochebise
  • Roches (les)
  • Roucières (les)
  • Roulière (la)
  • Ruettes (les)
  • Ruisseau (le)
  • Taillé
  • Tartifume
  • Tombes (les)
  • Tourettes (les)
  • Tréchet
  • Tremblerie
  • Treuil (le)
  • Vallières
  • Vermicellerie (la)
  • Villeblanche

Lieux-dits, écarts et hameaux[modifier | modifier le code]

La liste ci-dessous, non-exhaustive, a pour objectif de récapituler les principaux lieux-dits, écarts et hameaux attestés sur le territoire de Fondettes[6],[7] :

  • Assis (les)
  • Aubrière (l')
  • Aubuis (les)
  • Aunayes (les)
  • Basse Justerie (la)
  • Basse Moussardière (La)
  • Barbaria
  • Baste (la)
  • Beaujardin
  • Beaulieu
  • Beaumanoir
  • Bel Air
  • Bellevue
  • Berthellerie (la)
  • Billetrie[11] (la)
  • Bodinière (la)
  • Bois Farrault
  • Bois Jésus
  • Bois La Ronde
  • Bois Soulage
  • Bois Thoreau
  • Bonde (la)
  • Bonnelière (la)
  • Borde (la)
  • Bordeau (le)
  • Bordes (les)
  • Boucardière (la)
  • Boulay (le)
  • Bourdonnière (la)
  • Bourg (le)
  • Bourg Joli (le)
  • Brosse (la)
  • Brosses (les)
  • Bruère (la)
  • Bruzette (la)
  • Burette (la)
  • Butte (la)
  • Butte des Malabris (la)
  • Carreau (le)
  • Carroi de la Cure
  • Carroi Meunier
  • Cartes (les)
  • Cave (la)
  • Chaillemont
  • Chairières ou Cherières (les)
  • Chaise (la)
  • Chaise du Diable (la)
  • Champs du Four (les)
  • Chantelouze
  • Charcenay
  • Charmoise (la) : lieu d'implantation du C.F.M.I.
  • Charpenteries (les)
  • Château-Gaillard
  • Chatière (la)
  • Chatigny
  • Chaussé (le)
  • Chauvellière (la)
  • Cheminée Ronde (la)
  • Chêne Vert (le)
  • Cheneau (le)
  • Chevalette (la)
  • Chevalleries (les)
  • Clérisseaux (les)
  • Cochardières (les)
  • Coquerie (La)
  • Cormier Véron
  • Cossons (les)
  • Criabé
  • Croix Chauffour (la)
  • Croix Galifer (la)
  • Crucifix Rigalou (le)
  • Crucifix Vert (le)
  • Deux Croix (les)
  • Enfer (l')
  • Erables (les)
  • Essey (l')
  • Fontaines (les)
  • Fortellerie (la)
  • Fourneaux (les)
  • Fours Blancs ou Fourblanc (les)
  • Grand Barré (le)
  • Grande Fosse (la)
  • Grande-Cour (la)
  • Guinière (la)
  • Guillets (les)
  • Houdris (les)
  • Hamardières (les)
  • Haute-Justerie (la)
  • Laise (la)
  • Lavaré
  • Limougère (la)
  • Loge-Loup
  • Malitourne
  • Marsan
  • Martigny (ou Martigny-sur-Loire)
  • Martinère (la)
  • Morier (le)
  • Morandière (la)
  • Mussetries (les)
  • Petit Barré (le)
  • Petite Bodinière (la)
  • Pinsonnerie (la)
  • Plaine (la) ou La petite Plaine[9]
  • Plessis d'Enfer (le)
  • Pont-Loché (le)
  • Port-Corbeau
  • Port-de-Vallières
  • Quinquampoix
  • Rochebise
  • Roches (les)
  • Roucières (les)
  • Roulière (la)
  • Ruettes (les)
  • Ruisseau (le)
  • Taillé
  • Tartifume
  • Tombes (les)
  • Tourettes (les)
  • Tréchet
  • Tremblerie
  • Treuil (le)
  • Vallières
  • Vermicellerie (la)
  • Villeblanche

Brouillon enceintes fortifiées quadrangulaires Nouans-les-Fontaines[modifier | modifier le code]

Ces constructions quadrangulaires, qui possèdent une longueur comprise entre 60 et 140 m pour une largeur allant de 55 à 155 m (soit un rapport d'environ 1,4), sont formées d'un fossé doublé d'un talus composé de terre dont chaque angle dispose d'une petite éminence circulaire[12]. En outre, ces genres de fortifications sont, pour la plupart, munies d'au moins 1 accès[12].

Brouillon micro-toponymie topographie en hauteur Fondettes et communes Tourangelles[modifier | modifier le code]

À contrario, l'existence de lieux-dits tels que « Chantelouze », terme dont la seconde partie trouve son origine dans la racine "-lup" ; « Coquerie » , se est probablement traduisible par la notion d'« Hauteur Rocheuse », révèle la présence d'éminence rocheuse en altitude[13].

L'édifice dit de la Pivottières est à l'origine une closerie construite au cours du XVIIe siècle. Le bâtiment, qui a fait l'objet d'un remaniement dans les années 1930, se présente comme une demeure « bourgeoise ». Outre ce corps de logis, le domaine de la Pivottières dispose d'une grange, de l'ancienne habitat agricole ainsi que d'un pavillon munie d'un parement en damier et dont la destination a été auparavant celle de servir de colombier et de chapelle.

Fouilles et publications J. Scapula Augustobona - aqueduc[modifier | modifier le code]

Mémo J. Scapula[modifier | modifier le code]

  • Procès-verbaux de la société académique de l'Aube p. 66

http://societeacademiqueaube.fr/dict_pv.pdf

    • 2 Mémo :

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6565242n/f145.image.r=Caherine%20Robinet%20Jean%20Scapula?rk=193134;0

  • Place J. Scapula à Troyes :
  • Acte de naissance 04 juillet 1911 :

rue du Haut Clérey . patronyme complet : Jean Louis Pierre Henri Scapula ; père : François Marie Émile Henry ; mère : Louise Clothilde [14].

Mémo résultats élections présidentielles Fondettes, Isle-Aumont et Montreuil-en-Touraine[modifier | modifier le code]

  • Fondettes :

http://elections.interieur.gouv.fr/presidentielle-2017/024/037/037109.html

  • Isle-Aumont :

http://elections.interieur.gouv.fr/presidentielle-2017/044/010/010173.html

  • Montreuil :

http://elections.interieur.gouv.fr/presidentielle-2017/024/037/037158.html

Mémo grotte Tham Khao Luang[modifier | modifier le code]

Mémo patrimoine Troyes et J. Scapula[modifier | modifier le code]

  • Patrimoine Troyes :

http://fr.calameo.com/read/004170790f350766e95cd

  • Jacques Schweizer, Troyes d'hier à aujourd'hui... : Monument aubois, , 251 p. (lire en ligne).


  • J. Scapula (coopération et partenariat travaux fouilles archéo avec Alain Hourseau) :

http://alain.hourseau.free.fr/?page_id=50

Période moderne Nouans[modifier | modifier le code]

Au milieu des années 1790, en 1794-1795, alors que la paroisse de Nouans, dénommée « fief du curé bleu », à l'instar des autres paroisses se situant sur un territoire compris entre la forêt du Lochois et de la localité de Montrésor, se révèle appartenir au courant républicain, à contrario d'un autre territoire contigüe, ayant pour noyau la commune de Loches et réfractaire à la nouvelle donne politique française, celui du mouvement royaliste[15].

Vers la fin du XVIIIe siècle, dans les années 1795-1796, alors que l'arrondissement de Loches est proie à des conflits d'ordre politique opposant les partisans du royalisme à ceux favorables au courant républicain, la paroisse de Nouans, dénommée à cette époque le « fief du curé bleu Goupy », se révèle favorable au courant républicain, à contrario courant républicain, à contrario d'un autre territoire qui lui est contigüe et ayant pour noyau la commune de Montrésor plutôt encline au mouvement royaliste[16].

Brouillon écono et emploi Troyes[modifier | modifier le code]

Les deux tableaux suivants révèlent les chiffres-clés de l'emploi à Troyes et leur évolution de 2008 à 2013[Insee 2],[Insee 3] :

Structure de la population active de Troyes (10)
entre 2008 et 2013.
Troyes 2008 Troyes 2013 Évolution
Population de 15 à 64 ans 41 128 39 008 Baisse - 5,15 %
Actifs (en %) 69,2 68,6 Baisse - 0,6 %
dont :
Actifs ayant un emploi (en %) 56,4 53,6 Baisse - 2,8 %
Chômeurs (en %) 12,8 15,0 Augmentation + 2,2 %
Évolution de l'emploi à Troyes (10) en 2008 et 2013.
Troyes 2008 Troyes 2013 Évolution
Nombre d'emplois dans la zone 34 870 31 661 Baisse - 9,20 %
Indicateur de concentration d'emploi 148,9 149,7 Augmentation + 0,53 %

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit récapitule le nombre d'entreprises implantées en 2014 à Troyes selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[Insee 4] :

Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014.
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 5 821 100 3 396 1 458 192 133 102
Agriculture, sylviculture et pêche 23 2,8 16 7 0 0 0
Industrie 40 4,8 22 9 2 4 3
Construction 80 9,7 50 18 6 6 0
Commerce, transports, services divers 565 68,3 419 126 8 7 5
dont commerce et réparation automobile 137 16,6 97 32 1 4 3
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 119 14,4 85 13 8 8 5
Champ : ensemble des activités.

Tissu économique Troyes[modifier | modifier le code]

Le tableau suivant récapitule le nombre d'entreprises implantées en 2014 à Troyes selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[Insee 4] :

Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014.
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 5 821 100 3 396 1 458 192 133 102
Agriculture, sylviculture et pêche 27 0,5 21 3 2 0 1
Industrie 225 3,9 127 61 13 9 15
Construction 353 6,1 282 61 4 3 3
Commerce, transports, services divers 4 196 72,1 2 862 1 150 97 58 29
dont commerce et réparation automobile 1 047 18,0 696 312 24 12 3
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 1 020 17,5 644 183 76 63 54
Champ : ensemble des activités.

Concernant l'année 2015, hors activités agricoles, 390 établissements marchands nouveaux ont été crées, dont environ 92 % dans le seul secteur tertiaire, soit un peu plus de 37,95 % dans les domaines des commerces, transport, hébergement et restauration et 53,85 % pour les branches des services aux entreprises et aux particuliers[INSEE 2]. En outre, la plus grand part des postes salariés des entreprises implantées au sein du territoire communale se révèlent appartenir à la « sphère présentielle » (activités de proximité), soit environ 67 % des emplois proposés par les entreprises implantées au sein du territoire communale, contre 33 % pour la sphère dite productive[Insee 5].

Mémo Nouans Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Book d'Élisabeth Lorans :

Brouillon agriculture Nouans-les-Fontaines =[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous a pour but de présenter, en données chiffrées et répertoriées sur une période de 22 ans, une synthèse des principales caractéristiques des [[Le tableau suivant a pour objectif de présenter, en données chiffrées et répertoriées sur une période de 22 ans, une synthèse statistique concernant les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Nouans-les-Fontaines[17] :

Évolution de l'agriculture à Nouans-les-Fontaines (37)
entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Nombre d’exploitations 71 43 29
Équivalent Unité de travail annuel 93 53 41
Surface agricole utile (SAU) (ha) 3 784 3 460 3 363
Cheptel (nombre de têtes) 1 760 1 535 2 040
Terres labourables (ha) 3 371 3 304 3 209
Cultures permanentes (ha) 8 2 non-renseigné
Surface toujours en herbe (ha) 400 151 154
Superficie moyenne d’une exploitation (ha) 24,79 80,47 115,97

Les données relevées sur la période de référence mettent en évidence que le nombre des exploitations agricoles, passant de 71 en 1988 à 29 en 2010, diminue fortement au profit d'une importante augmentation de leur surface moyenne[17]. À contrario, le cheptel, s'accroissant d'environ , présente une courbe d'évolution ascendante[17]. Par ailleurs, les dernières observations réalisées par le Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt en 2000 et 2010, montrent que le secteur agricole de la commune s'oriente vers une politique économique caractérisée par la polyculture et lepolyélevage[17].


exploitations agricoles de Nouans-les-Fontaines[18] :

Évolution de l'agriculture à Fondettes (37)
entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Nombre d’exploitations 90 40 29
Équivalent Unité de travail annuel 93 45 43
Surface agricole utile (SAU) (ha) 1 321 783 592
Cheptel (nombre de têtes) 528 314 207
Terres labourables (ha) 1 023 669 511
Cultures permanentes (ha) 43 23 48
Surface toujours en herbe (ha) 235 85 32
Superficie moyenne d’une exploitation (ha) 14,7 19,6 20,4

Les données observées sur la période étudiée montre que le nombre des exploitations agricoles, passant de 90 en 1988, à 29 en 2010, diminue de manière significative au profit d'un accroissement de leur surface moyenne[18]. Le cheptel, qui se réduit d'environ 150%, suit cette courbe d'évolution[18]. Par ailleurs, les dernières observations entreprisent par le Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt en 2000 et 2010, mettent en évidence que le secteur agricole de la commune se tourne vers une politique économique de polyculture et de polyélevage[18].

Brouillon climatologie Nouans-les-Fontaines : station météo France de Romorantin (Loir-et-Cher)[modifier | modifier le code]

Concernant les données climatologiques de la commune, et bien qu'elle appartienne au département d'Indre-et-Loire, les relevés météorologiques sont observés à Romorantin-Lanthenay, ville située dans le Loir-et-Cher et dans laquelle est implantée la station de Météo-France la plus proche[19] :

Relevés météorologiques de Nouans-les-Fontaines
Moyennes trentennales pour la période 1981 - 2010.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 1,9 3,9 5,6 9,2 12,1 14 13,7 11,1 8,6 4,6 2,5 7,5
Température moyenne (°C) 4,7 5,2 8,1 10,4 14,2 17,5 19,8 19,6 16,5 12,7 7,8 5 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,6 8,5 12,3 15,2 19,1 22,8 25,5 25,4 21,8 16,8 10,9 7,5 16,1
Ensoleillement (h) 64 90,3 144,2 178,5 205,6 228 239,4 236,4 184,7 120,6 76,7 59,2 1 833,3
Précipitations (mm) 66,2 55,8 50,3 55,8 62,3 46,1 53,2 42,5 53,2 70,9 68 71,3 695,6
Relevés météorologiques de Nouans-les-Fontaines
Moyennes trentennales pour la période 1981 - 2010.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,3 2 3,9 7,7 10,6 12,4 11,7 8,7 6,8 3 1,1 5,8
Température moyenne (°C) 4,2 4,7 7,6 10 13,9 17,1 19,3 18,8 15,5 12 7,1 4,5 11,3
Température maximale moyenne (°C) 7,6 9 13,1 16,1 20 23,5 26,1 25,9 22,2 17,2 11,2 7,9 16,7
Record de froid (°C)
date du record
−20,9
17-01-1985
−20
14-02-1929
−14,7
01-03-2005
−7,1
04-04-1973
−4,2
07-05-1957
−0,8
05-06-1976
2,4
01-07-1975
1,2
25-08-1966
−2,5
30-09-1972
−8,8
30-10-1997
−12
22-11-1993
−18,4
29-12-1964
−20,9
17-01-1985
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
15-01-1975
22
28-02-1960
28,8
25-03-1955
29,3
15-04-2015
32,4
27-05-2005
37,3
27-06-2011
39,4
16-07-2015
41,2
05-08-2003
36,6
07-09-1934
30,8
01-10-1985
23,8
07-11-2015
20,2
03-12-1953
41,2
05-08-2003
Ensoleillement (h) 64 84,7 142,9 171,8 197,6 213,9 229,8 225,1 180,9 115,6 67,1 50,4 1 743,6
Précipitations (mm) 57,8 50,2 50,1 56,4 72,3 51,5 55,5 51,6 55,9 70,1 64,2 66,7 702,3
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
7,6
0,7
57,8
 
 
 
9
0,3
50,2
 
 
 
13,1
2
50,1
 
 
 
16,1
3,9
56,4
 
 
 
20
7,7
72,3
 
 
 
23,5
10,6
51,5
 
 
 
26,1
12,4
55,5
 
 
 
25,9
11,7
51,6
 
 
 
22,2
8,7
55,9
 
 
 
17,2
6,8
70,1
 
 
 
11,2
3
64,2
 
 
 
7,9
1,1
66,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Brouillon époque méro Nouans[modifier | modifier le code]

également au jour, mais perdus. Lors de leur découverte, à la fin des années 1930, ces cercueils alte-moyenâgeux, mis en évidence à l'ouest du centre-bourg, sont apparus, pour nombre d'entre eux, sous la forme d'une simple sépulture plate, certains isolés et d'autres regroupés[20]. Cet éparpillement laisse supposer, selon Gérard Cordier, l'existence d'une vaste nécropole[20]. Néanmoins, à l'instar d'autres chantiers et en raison d'une quasi-absence de fouilles approfondies et programmées, ces tombeaux mérovingiens n'ont révélés que peu d'indices afférent à leur viatique, à leur dispostion spatiale, à leur conception artisanale, mais également aux défunts pour lesquels ils ont été érigés[20].

Logement Nouans-les-Fontaines[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous donne quelques chiffres-clés ayant pour objectif de comparer l'état du logement à Nouans-les-Fontaines et celui de l'ensemble de l'Indre-et-Loire en 2013[21],[22] :

Le logement à Nouans-les-Fontaines en 2013.
Nouans-les-Fontaines Indre-et-Loire
Part des résidences principales (en %) 71,1 87,9
Part des logements vacants (en %) 12,5 7,6
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 77,4 59,1

Par rapport au contexte général de l'immobilier en Indre-et-Loire, la proportion, moins importante, des résidences principales et des logements vacants, profite à la part des résidences secondaires dont le taux s'élève à 16,4 % du parc d'habitations à Nouans-les-Fontaines contre 4,5 % au niveau départemental[23],[22]. En revanche, 77,4 % des occupants de ces résidences principales en sont propriétaires, alors que ce taux s'élève 59,1 % pour l'ensemble du département[23],[22].

D'autre part, 179 résidences principales ont été bâties à Nouans-les-Fontaines depuis 1946, ce qui représente une proportion d'environ 49,3 % du parc immobilier concernant ce type de logement[23]. Enfin, pour l'exercice 2013, sur l'ensemble des habitations répertoriées au sein du territoire communal, 94,3 % d'entre elles se révèlent être des pavillons[23].


Montreuil cadastre napoléonien[modifier | modifier le code]

Le site des archives départementales d'Indre-et-Loire :

http://archives.touraine.fr/?id=search1485360766bahMIA_detail&doc=accounts%2Fmnesys_cd37%2Fdatas%2Fir%2F12_Cotes%20de%20substitution%2FREPRODUCTIONS%20DE%20DOCUMENTS%20D%27ARCHIVES%20SUR%20SUPPORT%20INFORMATIQUE%2FCadastre%2FFRAD037_409653%2Exml&page_ref=138401

eCONO Nouans-Fontaines[modifier | modifier le code]

Brouillon Economie Fondettes[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 40 941 [24]. Concernant l'exercice 2013, le revenu disponible par ménage était de 25 099 [25], tandis que la moyenne au niveau départemental s'élevait à 20 403 [26].

Finances locales[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit met en perspective l'évolution de la capacité d'autofinancement (CAF), un des indicateurs des finances locales de Fondettes, sur une période de onze ans[27] :

Capacité d'autofinancement (CAF) à Fondettes de 2005 à 2015
Résultats exprimés en €/habitant.
Strate : communes de à 20 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (FPU).
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
Fondettes 84 91 104 106 117 144 184 237 186 160 153
Moyenne de la strate 157 160 153 149 159 183 201 192 180 164 183

CAF de Fondettes CAF moyenne de la strate
Ordonnées du graphique : valeurs de la CAF exprimées en €/habitant.

Au cours des onze dernières années, la capacité d'autofinancement de la commune[Note 1] est toujours inférieure ou très proche de la valeur moyenne de la strate ; elle est même légèrement négative en 2012. Le « résultat comptable »[Note 2], très variable selon les années, est le plus souvent inférieur à celui de la strate, à l'exception des exercices fiscaux des années 2012 et 2013. D'autre part, le fonds de roulement[Note 3], régulièrement positif, hormis pour l'année 2007 — celui-ci était alors de - 30  / habitant — fluctue de manière significative autour de la moyenne de la strate[31].


Tissu économique[modifier | modifier le code]

Le tableau suivant a pour objectif de détailler le nombre d'entreprises implantées en 2014 à Nouans-les-Fontaines selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[32] :

Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014.
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 83 100 61 19 2 0 1
Agriculture, sylviculture et pêche 29 34,9 21 8 0 0 0
Industrie 4 4,8 0 1 2 0 1
Construction 1 1,2 0 1 0 0 0
Commerce, transports, services divers 43 51,8 36 7 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 16 19,3 14 2 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 6 7,2 4 2 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

En 2015, 5 nouveaux établissements ont été crées, dont 80 % dans le domaine des services[33].

Pièta de Nouans[modifier | modifier le code]

Cette œuvre, dont les analyses révèlent qu'elle aurait été probablement exécutée en 1455, Mérindol Christian. La Piétà de Nouans et le triptyque de l'hôtel Jacques Coeur à Bourges. In: Revue de l'Art, 1985, n°67. pp. 49-58.

DOI : 10.3406/rvart.1985.347500

www.persee.fr/doc/rvart_0035-1326_1985_num_67_1_347500

  • de Vaivre Jean-Bernard. Miniatures inédites de Jean Fouquet et la Piéta de Nouans. In: Bulletin Monumental, tome 144, n°2, année 1986. pp. 133-143.

DOI : 10.3406/bulmo.1986.2799

www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1986_num_144_2_2799

Brouillon Finances Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 40 941 [34]. Pour l'exercice 2013, le revenu disponible par ménage était de 18 463 [35], tandis que la moyenne au niveau départemental s'élevait à 20 403 [36].

Finances locales[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit met en perspective l'évolution de la capacité d'autofinancement (CAF), un des indicateurs des finances locales de Nouans-les-Fontaines, sur une période de onze ans[37] :

Capacité d'autofinancement (CAF) à Nouans-les-Fontaines de 2005 à 2015
Résultats exprimés en €/habitant.
Strate : communes de 500 à 2 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (FPU).
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
Nouans-les-Fontaines 57 95 116 66 97 103 160 155 120 104 131
Moyenne de la strate 150 161 167 166 162 173 194 194 187 188 180

CAF de Nouans-les-Fontaines CAF moyenne de la strate
Ordonnées du graphique : valeurs de la CAF exprimées en €/habitant.

Sur la période considérée (entre 2005 et 2015), la capacité d'autofinancement de la commune[Note 4] est toujours inférieure ou très proche de la valeur moyenne de la strate ; elle est même légèrement négative en 2012. Le « résultat comptable »[Note 5], très variable selon les années, est le plus souvent inférieur à celui de la strate, à l'exception des exercices fiscaux des années 2012 et 2013. D'autre part, le fonds de roulement[Note 6], régulièrement positif, hormis pour l'année 2007 — celui-ci était alors de - 30  / habitant — fluctue de manière significative autour de la moyenne de la strate[38].

Finances locales Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous a pour objectif de détailler l'évolution de la capacité d'autofinancement (CAF), un des indicateurs des finances locales d'Isle-Aumont, sur une période de onze ans[39] :

Capacité d'autofinancement (CAF) à Isle-Aumont de 2005 à 2015
Résultats exprimés en €/habitant.
Strate : communes de 500 à 2 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé (FPU).
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
Isle-Aumont 147 126 151 74 81 66 333 83 90 - 63 131
Moyenne de la strate 219 238 227 240 247 262 294 194 187 149 149

Impossible de compiler l'entrée EasyTimeline :

EasyTimeline 1.90


Timeline generation failed: 1 error found
- Linedata attribute 'points' invalid.

 (310,109)(366,315) does not fit in image


CAF d'Isle-Aumont CAF moyenne de la strate
Ordonnées du graphique : valeurs de la CAF exprimées en €/habitant.

Pour la période considérée, de 2005 à 2015, la capacité d'autofinancement de la commune[Note 7] demeure, à l'exception de l'exercice comptable de 2011, régulièrement inférieure à la valeur moyenne de la strate et se révèle même sensiblement négative en 2014[39]. En outre, le « résultat comptable »[Note 8], très fluctuant au cours de ces 10 années, apparaît globalement inférieur à celui de la strate, hormis pour l'exercice fiscale de 2012[39]. D'autre part, le fonds de roulement[Note 9], toujours positif, varie significativement autour de la moyenne de la strate[Note 10],[39].

Mémo préhistoire Montreuil[modifier | modifier le code]

  • Jean-Claude Marquet (dir.) et al., La Préhistoire en Touraine, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, , 363 p. (lire en ligne).
  • Jean-Claude Marquet (dir.) et al., La Préhistoire en Touraine, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, coll. « Perspectives historiques », , 363 p. (lire en ligne).
  • * Jean-Claude Marquet (dir.) et al., La Préhistoire en Touraine, Tours, Presses universitaires François-Rabelais, , 363 p. (lire en ligne).

Aléa et risques naturels liés au gonflements des argiles[modifier | modifier le code]

Fondettes

« Carte interactive des risques liés au gonflements argileux à Fondettes », sur le site argile.fr (consulté le ).

Isle-Aumont

« Carte interactive des risques liés au gonflements argileux à Isle-Aumont », sur le site argile.fr (consulté le ).

Toponymie Troyes[modifier | modifier le code]

Évolution chronologique des mentions du vicus, de la paroisse, puis de la commune[40],[Note 11] :


alt=Représentation en couleurs issu d'un extrait d'un ancien document cartographique.
Troyes sur la carte de Cassini[42].

Patrimoine, urbanisme, économie, environnement, géologie et hydrologie[modifier | modifier le code]

  • Collectif, Plan local d'urbanisme de la ville de Troyes : Rapport de présentation - Révision du , , 104 p. (lire en ligne).

Mémo réfés Montreuil[modifier | modifier le code]

L'église
Patrimoine, manifestations culturelles et archéo (?)

Claude Courgeau et al., Pour un pays d'art et d'histoire : Loire-Touraine - Dossier de candidature novembre 2008, Conseil général d'Indre-et-Loire, , 164 p. (lire en ligne).

Géologie et paléontologie
  • Jean-Claude Yvard, « Formations éoliennes des plateaux de la région de Tours. », Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire, vol. 5, no 2,‎ , p. 101-110. (DOI 10.3406/quate.1968.1080, lire en ligne, consulté le ).

Essai brouillon hydrologie Cisse et Ramberge à Montreuil-en-Touraine[modifier | modifier le code]

Le régime de la Cisse, l'un des principaux cours d'eau alimentant le territoire communal, est relevé au niveau de la station de Buchères/Courgerennes, structure d'observation hyrologique la plus proche de la localité tourangelle[43],[44]. Le bassin versant de cette rivière, autrement dit son étendue de drainage et celles de ses affluents, se développe sur une superficie totale de 249 km2[43]. Sur une période d'étude de 48 ans (de 1970 à 2017), le débit moyen mensuel de l'Hozain varie entre un minimum de 0,208 m3/s relevé au mois de septembre, jusqu'à un maximum de 3,180 m3/s, donnée observée au mois de février[43]. En outre, son module hydrologique, c'est-à-dire son bilan d'écoulement moyen inter-annuel, fluctuant entre 0,850 m3/s, valeur calculée en période « quinquennale sèche », et 2,0 m3/s en période « quinquennale humide », se révèle être de l'ordre de 1,440 m3/s[43].

Le régime de la Ramberge, second cours d'eau qui irrigue le territoire communal, est relevé au niveau de la station de Buchères/Courgerennes, structure d'observation hyrologique la plus proche de Montrueuil[45],[44]. Le bassin versant de cette rivière, autrement dit son étendue de drainage et celles de ses affluents, se développe sur une superficie totale de 249 km2[43]. Sur une période d'étude de 48 ans (de 1970 à 2017), le débit moyen mensuel de l'Hozain varie entre un minimum de 0,208 m3/s relevé au mois de septembre, jusqu'à un maximum de 3,180 m3/s, donnée observée au mois de février[43]. En outre, son module hydrologique, c'est-à-dire son bilan d'écoulement moyen inter-annuel, fluctuant entre 0,850 m3/s, valeur calculée en période « quinquennale sèche », et 2,0 m3/s en période « quinquennale humide », se révèle être de l'ordre de 1,440 m3/s[43].

Climatologie Fondettes[modifier | modifier le code]

Les données météorologiques et climatologiques du tableau ci-dessous sont celles relevées par la station Météo-France de Tours - Parçay-Meslay, distante de 11,3 km direction nord-est de Fondettes[46].

Relevés météorologiques à Tours - Parçay-Meslay.
Moyennes trentennales pour la période 1981 - 2010.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) 4,7 5,2 8,1 10,4 14,2 17,5 19,8 19,6 16,5 12,2 7,8 5 11,8
Précipitations (mm) 66,3 55,9 50,2 55,9 62,3 46,1 53,2 42,6 53,3 71 69,7 71,2 695,9
Source : Météo Centre : Tours[47]

Toutes les communes d'Indre-et-Loire sont soumises à un climat tempéré océanique dit dégradé[48] ; le rivage rochelais, point de la côte atlantique le plus proche, est à 200 km « à vol d'oiseau ». Ce type de climat, dominé par les vents d'ouest, se caractérise par des températures clémentes, même en hiver, les moyennes mensuelles minimales n'étant jamais négatives ; il est fréquent d'observer un épisode caniculaire estival de quelques jours, comme lors de la canicule européenne de 2003 où un record de température instantanée, inégalé depuis l'établissement des relevés météorologiques modernes, a été enregistré à 39,8 °C le [49].

Brouillons Nouans-les-Fontaines[modifier | modifier le code]

Travail[modifier | modifier le code]

Les deux tableaux suivants révèlent les chiffres-clés de l'emploi à Nouans-les-Fontaines et leur évolution de 2008 à 2013[50],[51] :

Structure de la population active de Nouans-les-Fontaines (37)
entre 2008 et 2013.
Nouans-les-Fontaines 2008 Nouans-les-Fontaines 2013 Évolution
Population de 15 à 64 ans 462 472 Augmentation + 2,16 %
Actifs (en %) 70,7 71,9 Augmentation + 1,70 %
dont :
Actifs ayant un emploi (en %) 64,4 62,6 Baisse - 2,79 %
Chômeurs (en %) 6,3 9,3 Augmentation + 32,25 %
Évolution de l'emploi à Nouans-les-Fontaines (37) en 2008 et 2013.
Nouans-les-Fontaines 2008 Nouans-les-Fontaines 2013 Évolution
Nombre d'emplois dans la zone 215 188 Baisse - 12,56 %
Indicateur de concentration d'emploi 72,1 63,3 Baisse - 12,21 %

Le territoire communal a livré des outils paléolithiques et néolithiques. Notamment, au lieu-dit « Les Ébattés », une meule, de forme quadrangulaire, constitutée d'une plaque fabriquée à partir de silex datés du Turonien, a été mise en évidence au lieu-dit « Les Ébattés ». Un autre site, « Le Cloffy », a également fourni, bien que sous forme fragmentée, une seconde occurence de meule fabriquée au moyen d'un grès de couleur brune et présentant des agrégats à caractère [ferrique|ferrugineux]][52],[53].

Relevé météorologique à Troyes-Barberay
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 0 2,1 3,9 7,8 10,7 13 12,5 9,6 7 3,1 1,2 5,9
Température moyenne (°C) 3,1 3,5 6,6 9,1 13,1 15,9 18,7 18,1 14,9 11,3 6,4 3,6 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 7,5 11,8 15,1 19,2 22,4 25,4 25 21,1 16,2 9,9 6,6 15,5
Ensoleillement (h) 68,6 88,3 143,8 184,8 215 229,4 235,5 228,2 179,2 123,6 66,6 53,6 1 816,4
Précipitations (mm) 37,7 34,9 36,1 39,3 46,4 40,8 46,8 45,7 43,2 55,6 44,7 49 520,2
Source : Météo-France — Normales et records pour la période 1975-2015 à Troyes-Barberey[54],[55],[56]


  Climatologie de Tours - Saint-Symphorien[Note 12] 1961-1990

Climatologie Fondettes complet[modifier | modifier le code]

Données climatologiques de Tours - Parçay-Melsay pour la période 1981-2010
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 1,9 3,9 5,6 9,2 12,1 14 13,7 11,1 8,6 4,6 2,5 7,5
Température moyenne (°C) 4,7 5,2 8,1 10,4 14,2 17,5 19,8 19,6 16,5 12,7 7,8 5 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,5 12,3 15,2 19,1 22,8 25,5 25,4 21,8 16,8 10,9 7,5 16,1
Ensoleillement (h) 69,9 90,3 144,2 178,5 205,6 228 239,4 236,4 184,7 120,6 76,7 59,2 1 833,3
Précipitations (mm) 66,2 55,8 50,3 55,8 62,3 46,1 53,2 42,5 53,2 70,9 68 71,3 695,6
Source : Météo France
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
7,3
2
66,2
 
 
 
8,5
1,9
55,8
 
 
 
12,3
3,9
50,3
 
 
 
15,2
5,6
55,8
 
 
 
19,1
9,2
62,3
 
 
 
22,8
12,1
46,1
 
 
 
25,5
14
53,2
 
 
 
25,4
13,7
42,5
 
 
 
21,8
11,1
53,2
 
 
 
16,8
8,6
70,9
 
 
 
10,9
4,6
68
 
 
 
7,5
2,5
71,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm
Ville Ensoleillement
(h/an)
Pluie
(mm/an)
Neige
(j/an)
Orage
(j/an)
Brouillard
(j/an)
Médiane nationale 1 852 835 16 25 50
Tours[57] 1 833,3 695.6 8.7 19.3 52.1
Paris 1 662 637 12 17 8
Nice 2 724 733 1 27 1
Strasbourg 1 693 665 26 28 51
Brest 1 530 1 210 7 12 76
Bordeaux 2 035 944 3 31 69

Sauvegarde tableau section climatologie Fondettes au 18 avril 2017[modifier | modifier le code]

Relevés météorologiques à Tours - Parçay-Meslay.
Moyennes trentennales pour la période 1981 - 2010.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température moyenne (°C) 4,7 5,2 8,1 10,4 14,2 17,5 19,8 19,6 16,5 12,2 7,8 5 11,8
Précipitations (mm) 66,3 55,9 50,2 55,9 62,3 46,1 53,2 42,6 53,3 71 69,7 71,2 695,9
Source : Météo Centre : Tours[58]

Economie Isle-Aumont brouillon[modifier | modifier le code]

Travail[modifier | modifier le code]

Les deux tableaux suivants révèlent les chiffres-clés de l'emploi à Isle-Aumont et leur évolution de 2008 à 2013[59],[60] :

Structure de la population active d'Isle-Aumont (10)
entre 2008 et 2013.
Isle-Aumont 2008 Isle-Aumont 2013 Évolution
Population de 15 à 64 ans 6 664 6 339 Baisse - 4,87 %
Actifs (en %) 70 72,3 Augmentation + 3,28 %
dont :
Actifs ayant un emploi (en %) 65,5 66,4 Augmentation + 1,37 %
Chômeurs (en %) 4,5 5,9 Augmentation + 23,7 %
Évolution de l'emploi à Isle-Aumont (10) en 2008 et 2013.
Isle-Aumont 2008 Isle-Aumont 2013 Évolution
Nombre d'emplois dans la zone 3 237 3 302 Augmentation + 2,0 %
Indicateur de concentration d'emploi 73,6 77,6 Augmentation + 5,43 %

Au tournant des années 2015-2106, la cessation de production d'outillage au sein de l'entreprise Safety, filiale du groupe Sandvik (division Machining Solutions) implantée à Fondettes, a engendré la perte de 45 postes[61].

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit récapitule le nombre d'entreprises implantées en 2014 à Isle-Aumont selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[62] :

Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014.
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 33 100 24 8 1 0 0
Agriculture, sylviculture et pêche 2 6,1 2 0 0 0 0
Industrie 1 3,0 0 1 0 0 0
Construction 9 27,3 6 2 1 0 0
Commerce, transports, services divers 15 45,5 12 3 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 3 9,1 97 2 1 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 6 18,2 4 2 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

En 2015, sur l'ensemble des entreprises recensées et hors activité agricole, 3 nouveaux établissements ont été fondés, dont 50 % dans le secteur industriel et ce, à part égale avec celui de la construction(50 %)[63]. En outre, pour ce qui est de l'exercice 2015, un total de 3 établissements ont été crées, dont 66,6 % le seul domaine marchand et complété par 33,3 % [64].

Brouillon éco Isle 2[modifier | modifier le code]

Travail[modifier | modifier le code]

Les deux tableaux suivants révèlent les chiffres-clés de l'emploi à Isle-Aumont et leur évolution de 2008 à 2013[65],[66] :

Structure de la population active d'Isle-Aumont (10)
entre 2008 et 2013.
Isle-Aumont 2008 Isle-Aumont 2013 Évolution
Population de 15 à 64 ans 348 331 Baisse - 4,88 %
Actifs (en %) 72,2 76,9 Augmentation + 4,5 %
dont :
Actifs ayant un emploi (en %) 65,1 73,7 Augmentation + 8,6 %
Chômeurs (en %) 7,1 3,3 Augmentation - 3,8 %
Évolution de l'emploi à Isle-Aumont (10) en 2008 et 2013.
Isle-Aumont 2008 Isle-Aumont 2013 Évolution
Nombre d'emplois dans la zone 44 63 Augmentation + 69,84 %
Indicateur de concentration d'emploi 19,0 25,6 Augmentation + 6,6 %

Au tournant des années 2015-2106, la cessation de production d'outillage au sein de l'entreprise Safety, filiale du groupe Sandvik (division Machining Solutions) implantée à Fondettes, a engendré la perte de 45 postes[67].

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit récapitule le nombre d'entreprises implantées en 2014 à Isle-Aumont selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[32] :

Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2014.
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 827 100 592 173 24 25 13
Agriculture, sylviculture et pêche 23 2,8 16 7 0 0 0
Industrie 40 4,8 22 9 2 4 3
Construction 80 9,7 50 18 6 6 0
Commerce, transports, services divers 565 68,3 419 126 8 7 5
dont commerce et réparation automobile 137 16,6 97 32 1 4 3
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 119 14,4 85 13 8 8 5
Champ : ensemble des activités.

En 2015, 91 nouvelles entreprises ont été créées — hors activité agricole —, dont 89 % dans le seul domaine des services[33]. En outre, concernant l'exercice 2015, 101 établissements à destination marchande ont été fondés[68].

Agriculture Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous a pour objectif de présenter, en données chiffrées et répertoriées sur une période de 22 ans, une synthèse statistique concernant les principales caractéristiques des exploitations agricoles d'Isle-Aumont[69] :

Évolution de l'agriculture à Isle-Aumont (10)
entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Nombre d’exploitations 3 2 1
Équivalent Unité de travail annuel 3 1 1
Surface agricole utile (SAU) (ha) 159 159 145
Cheptel (nombre de têtes) 79 62 58
Terres labourables (ha) 128 non-renseigné non-renseigné
Cultures permanentes (ha) 0 0 0
Surface toujours en herbe (ha) s s s
Superficie moyenne d’une exploitation (ha) 53 79,5 145

Les données observées sur la période étudiée montre que le nombre des exploitations agricoles d'Isle-Aumont, passant de 3 en 1988, à 1 en 2010, diminue de manière significative au profit d'un accroissement de leur surface moyenne[69]. Le cheptel, dont la proportion se réduit d'environ 26,6 %, suit une courbe d'évolution qui, sans être autant marquée, se révèle également à la baisse[69]. D'autre part, les dernières données observées par le Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt en 2010, montrent que le domaine agricole de la localité auboise s'oriente vers une politique économique de polyculture et de polyélevage[69].

Essai carte géolocalisation nomenclature sites archéo, oppidum, villas,etc... en Indre-et-Loire[modifier | modifier le code]

Essai carte géolocalisation nomenclature sites archéo, oppidum, villas,etc... en Indre-et-Loire 2[modifier | modifier le code]

Essai carte géolocalisation nomenclature sites archéo, oppidum, villas,etc... dans la Sarthe[modifier | modifier le code]

Essai carte géolocalisation nomenclature sites archéo, oppidum, villas,etc... dans la Sarthe - 2[modifier | modifier le code]

Sites archéologiques de la Sarthe

Tableaux statistiques commune Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

= Pop 2013 : pyramide des âges[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges à l'Isle-Aumont en 2013 (chiffres exprimés en pourcentage)[70].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ans ou +
0,4 
6,0 
75 à 89 ans
5,8 
18,4 
60 à 74 ans
19,0 
26,0 
45 à 59 ans
26,7 
18,8 
30 à 44 ans
19,8 
11,2 
15 à 29 ans
14,0 
18,8 
0 à 14 ans
14,3 
Pyramide des âges dans l'Aube en 2013 (chiffres exprimés en pourcentage)[71].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ans ou +
1,6 
7,0 
75 à 89 ans
10,7 
20,2 
60 à 74 ans
19,6 
15,8 
45 à 59 ans
16,2 
18,9 
30 à 44 ans
18,0 
18,2 
15 à 29 ans
16,2 
19,2 
0 à 14 ans
17,6 

Tableau Variation de la population Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

Soldes de variation annuelle de la population de l'Isle-Aumont
exprimés en pourcentages[72].
1968 - 1975 1975 - 1982 1982 - 1990 1990 - 1999 1999 - 2008 2008 - 2013
Taux de variation annuel de la population Augmentation + 11,4 % Augmentation + 0,6 % Augmentation + 5,4 % Augmentation - 0,3 % Augmentation - 0,7 % Baisse - 0,3 %
Solde naturel + 0,9 % + 0,0 % + 0,8 % + 0,3 % + 0,3 % + 0,5 %
Solde migratoire + 10,5 % + 0,6 % + 4,6 % - 0,6 % - 1,0 % - 0,8 %

Au dernier recensement statistique arrêté au du la population municipale de l'Isle-Aumont était de 10 853 habitants, la classant ainsi au 10e rang des communes les plus peuplées et de plus 10 000 habitants du département de l'Aube[73]. À l'exception d'une sensible diminution de son solde naturel entre 2008 et 2013, ce dernier, essentiellement dû au solde migratoire de la commune, n'a cessé de s'accroitre depuis 1968[72]. De même, la démographie de la commune a connu, depuis 1954, une hausse de 254 %, soit une augmentation de 7 795 du nombre de ses habitants.

Icono Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

hydrographie

Mémo Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

  • Théophile Boutiot et Émile Socard (dir.), « Isle-Aumont : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », dans Dictionnaire topographique du département de l'Aube, vol. 113, t. Numéro 3 et 6, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Collection de documents inédits sur l'histoire de France », , 230 p. (lire en ligne), pages 78 et 79.

https://books.google.fr/books?id=415KAQAAMAAJ&pg=PA168&dq=maires+Isle-Aumont&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwib-9W42rDTAhXHExoKHQQmBRIQ6AEIHTAE#v=onepage&q=Isle-Aumont&f=false}}.

https://books.google.fr/books?id=415KAQAAMAAJ&pg=PA168&dq=maires+Isle-Aumont&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwib-9W42rDTAhXHExoKHQQmBRIQ6AEIHTAE#v=onepage&q=maires%20Isle-Aumont&f=false}}.

  • F. André, J.-J. Vernier et Pierre Piétresson de Saint-Aubin, « Série G : Grand séminaire de Troyes. », dans F. André, J.-J. Vernier et Pierre Piétresson de Saint-Aubin, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790., Archives départementales de l'Aube, (lire en ligne), pages 134 à 137.

Mémorendum Montreuil[modifier | modifier le code]

recherche mémo : superficie Montreuil-en-Touraine ign (ou IGN)

  • hydro, géolo, Brenne :

http://www.terresdeloire.net/paysages/ressources/galeries/si_brenne/rapport_brenne1_88.pdf

  • cadastre et géographie Montreuil :

http://archives.cg37.fr/UploadFile/GED/Archives%20posterieures%201940/1477309128.pdf

  • PLAN castral et administratif Montreuil-Indre-et-Loire :
http://www.maine-et-loire.gouv.fr/IMG/pdf/projet_SDCI_49.pdf
  • Géologie brmg :

http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-51264-FR.pdf

  • sismicité très faible canton Amboise :

http://observatoire-regional-risques-paca.fr/sites/default/files/annexe_35_guide_dgpr_ddrm_dicrim_maquette_v16012013.pdf (p.328)

  • Thèse (mais pas sûr que ce soit le bon Montreuil) :

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00268034/PDF/theselegros.pdf

Registre et paroisse église Montreuil[modifier | modifier le code]

  • Id E. MAbille :

https://books.google.fr/books?id=MzzqquKkLUMC&pg=PA56&dq=Gaudiacus+Montreuil&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjTubrg1pzTAhVLPxQKHZaLAWIQ6AEIJjAF#v=onepage&q=Gaudiacus%20Montreuil&f=false

Plusieurs documents manuscrits rédigés en langue latine, registres à caractère liturgique et qui ont été conservés et inventoriés aux archives départementales d'Indre-et-Loire, mettent en évidence des différents évènements — baptêmes, inhumations, et audenciæ — associés à l'édifice religieux et de sa paroisse au cours du XVIIe , XVIIIe siècleXIX[74].

Montreuil Gaudiaucum[modifier | modifier le code]

ou Gaugiacum[75]

recherche gallica église Nogent[modifier | modifier le code]

tableau
dalle funéraire

http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=LOCA&VALUE_98=%20Val%2dde%2dMarne%20&NUMBER=28&GRP=5&REQ=%28%28Val%2dde%2dMarne%29%20%3aLOCA%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous

mobilier

http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER_TITLE&FIELD_98=LOCA&VALUE_98=%20Val-de-Marne%20&GRP=5&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&REQ=((Val-de-Marne)%20%3ALOCA%20)&DOM=Tous&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P

Clocher MH classé le page 34


Mémorendum , mérov et archéo

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6471655f/f111.image.r=%C3%A9glise%20Nogent-sur-Marne?rk=64378;0

Research générale

http://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&query=%28gallica%20all%20%22%C3%A9glise%20Nogent-sur-Marne%22%29&suggest=0

Évènements de la ligue[modifier | modifier le code]

  • site henriIV.culture :

http://www.henriiv.culture.fr/fr/uc/00_02_07-La%20huitième%20guerre%20(1585-1598)

Agriculture Fondettes[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit a pour objectif de présenter, en données chiffrées, les principales données statistiques concernant les exploitations agricoles de Fondettes, répertoriées sur une période de 22 ans[76] :

Évolution de l'agriculture à Fondettes (37)
entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Nombre d’exploitations 75 46 36
Équivalent Unité de travail annuel 84 55 38
Surface agricole utile (SAU) (ha) 3 857 3 497 3 444
Cheptel (nombre de têtes) 1 789 1 421 1 504
Terres labourables (ha) 3 215 3 344 3 296
Superficie moyenne d’une exploitation (ha) 51,4 76,0 95,7

Agriculture Fondettes[modifier | modifier le code]

Le tableau qui suit a pour objectif de présenter, en données chiffrées, les principales données statistiques concernant les exploitations agricoles de Fondettes, répertoriées sur une période de 22 ans[77] :

Évolution de l'agriculture à Fondettes (37)
entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Nombre d’exploitations 90 40 29
Équivalent Unité de travail annuel 93 45 43
Surface agricole utile (SAU) (ha) 1 321 783 592
Cheptel (nombre de têtes) 528 314 207
Terres labourables (ha) 1 023 669 511
Cultures permanentes (ha) 43 23 48
Surfaces toujours en herbes (ha) 235 85 32
Superficie moyenne d’une exploitation (ha) 14,7 19,6 20,4

Recherche chapelle de la Chevalette (indices : Chevalet, Chevallette, Caput Vallis, fin de la vallée, Vallières toponyme...)[modifier | modifier le code]

  • Dominique M. H. Cottineau, Réoertoire topo-bibliographiques des avvayes et prieurés., Macon, Imprimerie Porlat, , 926 p. (lire en ligne).
  • Busserolle :

http://gallica.bnf.fr/m/ark:/12148/bpt6k210042r.r=caput+vallis+Fondettes.langFR

  • Ici aussi :

http://gallica.bnf.fr/m/ark:/12148/bpt6k57815673.r=caput+vallis+Fondettes.langFR

  • là :

http://archives.cg37.fr/UploadFile/GED/Archives1790/1178519699.pdf

  • ici aussi :

http://denisjeanson.fr/site_toponymie/lettre_c/lieux_chapelle/chapelle18bvda.html?string=Chevalet&submit=Recherche

Frise chonologique de Fondettes[modifier | modifier le code]

Quelques repères chronologiques de l'oppidum de Fondettes.

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Line 30: from:-450 till:-58 shift:40 text:"Second Âge~du fer"

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Quelques dates de l'histoire de France et de la Touraine
Histoire politique et religieuse de Fondettes Histoire architecturale de Fondettes

Remaniement paragraphe toponymie Montreuil[modifier | modifier le code]

Par ailleurs, Marie-Thérèse Morlet relève également le terme Monasteriolum, mot dérivant du substantif Monasterium qui a anciennement désigné la commune[78]. Selon la linguiste, le terme Monasterium correspond à l'une des deux racines latines du nom de « Marmoutier » — en latin : Majus Monasterium ou, plus probablement Martini Monasterium —[79], mot composé qui renvoi à la notion de monastère[78].

Industrie et artisanat[modifier | modifier le code]

Le secteur industriel est sificativement peu représenté sur le territoire communal[80]. En revanche, plusieurs établissements de type artisanal sont implantées au sein de la ville montreuilloise[81]. Ce tissu d'entreprises à faible structure salariale (moins de 10 salariés) est, entres autres, composé d'un plombier-chauffagiste, d'un maçon, d'un garagiste, d'un artisan tailleur de pierre[82], d'un paysagiste, et de [garagiste[charpentier]]s-couvreurs[83].

Décret changement nom commune Montreuil-en-Touraine[modifier | modifier le code]

[84]

bonus archives nationales
  • école agricole :

https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/ir/pdfIR.action?irId=FRAN_IR_011565

Agriculture Fondettes[modifier | modifier le code]

  • Georges-François Pottier, Régine Malveau (dir.) et Luc Forlivesi, Répertoire numérique des sous-séries 7M, 8M, 9M Archives départementales Tours 2010 AGRICULTURE, COMMERCE ET INDUSTRIE 1800–1940, Tours, Conseil départemental d'Indre-et-Loire, (lire en ligne [PDF]), p. 77, 78, 88, 91 et 152.

Sous l'occupation et la libération château de la Plaine Fondettes[modifier | modifier le code]

À ce titre, à la fin de l'occupation et au début de la libération, le château de la Plaine a abrité un soldat nazie[85]

Infobox site archéo d'Acy-Romance[modifier | modifier le code]

Site archéologique d'Acy-Romance
Image illustrative de l’article Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2017/3
Rasoir en bronze découvert sur le site d'Acy-Romance. Époque hallstattienne. Objet conservé au Musée de l'Ardenne, à Charleville-Mézières
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Régions Grand Est
Département Ardennes
Commune Acy-Romance
Coordonnées 49° 30′ 07″ nord, 4° 20′ 32″ est
Superficie 20 ha
Géolocalisation sur la carte : Ardennes
(Voir situation sur carte : Ardennes)
Site archéologique d'Acy-Romance
Site archéologique d'Acy-Romance
Histoire
1re Période de la protohistoire Âge du bronze final
1er Âge du fer Époque du Hallstatt
2e Âge du fer Époque laténienne
Internet
le site du site

Site et château de Bel Air[modifier | modifier le code]

Résumé introductif Fondettes à remanier diminuer, typo, etc..[modifier | modifier le code]

Fondettes (prononcé /fɔ̃dɛt/) est une commune française du département d'Indre-et-Loire et de la région Centre-Val de Loire située à la périphérie de la ville de Tours. Elle est l'une des 22 communes membres de la communauté d'agglomération « Tour(S) Plus », compte 10 758 habitants (2014) et sa superficie est de 32,08 km2. Fondettes est jumelée avec Naurod-Wiesbaden (Allemagne) et Constância (Portugal).

Dès le néolithique, la présence humaine est attestée sur le territoire. À la fin de l'Âge du fer, le site de Fondettes révèle une occupation permanente sous la forme d'une agglomération fortifiée, l'oppidum de Montboyau. Plusieurs structures, dont deux villas et un pont, érigées au cours de l'Antiquité montrent une continuité d'utilisation de ce territoire tourangeau. Au Moyen-Âge, la paroisse de Fondettes, fondée autour de l'an mil, devient alors un fief de faible importance. Celui-ci relève de plusieurs seigneuries successives, notamment celle du Comte d'Anjou Foulques de Nerra, puis celle des Maillé et enfin celle de Martigny. La paroisse fondettoise est ensuite prise dans quelques évènements qui se sont déroulés pendant la Renaissance, avec la confrontation entre les ligueurs et les troupes d'Henri IV, puis à la fin de la période moderne, au XVIIIe siècle, où Fondettes a été l'objet d'une révolte populaire de subsistance. Une quinzaine d'années plus tard, la petite paroisse tourangelle, dont la population atteint à cette époque près de 2 000 habitants, subit un changement de statut, et s'établie dès lors en tant que commune.

Située en rive droite de la Loire, la ville de Fondettes, de par son relief, sa géologie et son environnement, est profondément marquée par la présence du fleuve ligérien. L'histoire de la petite cité tourangelle est également associée à cet axe fluviale, puisqu'une batellerie, initiée au XVIe siècle par la construction d'un premier port à l'embouchure de la Choisille, affluent ligérien, s'est développée au cours des trois siècles suivants, avec l'installation de trois autres ports sur les bords de Loire. Toutefois le transport fluvial à Fondettes a cessé d'exister vers la fin du XIXe siècle, et une voie de communication ferroviaire lui succède à partir de 1907. La commune a également bénéficié, en termes économiques, démographiques et administratifs, de sa proximité avec la capitale tourangelle, distante d'environ 6 km.

La ville de Fondettes, dont la population a dépassé le seuil des 10 000 habitants au dernier recensement de 2014, est pourvue d'un patrimoine bâti qui, sans être imposant, présente une relative diversité. Ainsi, au sein du territoire communal, cinq édifices, dont deux à caractère religieux — l'église Saint-Symphorien, le château de Châtigny, le manoir du Thouadé, le manoir des Hamardières et le prieuré de Lavaré — ont été inscrits au titre de monuments historiques. Seule, la grange du prieuré a fait l'objet d'un classement. Le patrimoine naturel de la commune, lié à sa situation géographique — Fondettes s'insère au cœur du val de Loire, territoire classé au titre de site patrimonial de l'humanité par l'UNESCO —, présente une importante richesse de faune et de flore. La cité tourangelle, qui s'inscrit également au sein de la gâtine de Touraine, fait partie du réseau Natura 2000, un site qui a fait l'objet d'un classement par l'UNESCO en 2000.

Pyramide des âges Fondettes à refaire (infos non-valides)[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges à Fondettes en 2009 en pourcentage[86]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,53 
80 ans ou +
2,52 
5,69 
65 à 79 ans
6,24 
6,79 
55 à 64 ans
7,02 
11,8 
40 à 54 ans
12,23 
6,93 
25 à 39 ans
7,43 
9,8 
11 à 24 ans
8,61 
3,07 
0 à 10 ans
2,99 
Pyramide des âges du département d'Indre-et-Loire en 2009 en pourcentage[87]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,04 
80 ans ou +
3,78 
5,48 
65 à 79 ans
6,65 
5,97 
55 à 64 ans
6,45 
10,02 
40 à 54 ans
10,4 
9,10 
25 à 39 ans
9,14 
8,95 
11 à 24 ans
9,2 
6,83 
0 à 10 ans
6,34 
Pyramide des âges à Fondettes en 2013 chiffres exprimés en pourcentage[88].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans ou +
0,5 
3,5 
75 à 89 ans
3,8 
15,1 
60 à 74 ans
12,6 
17,7 
45 à 59 ans
16,1 
25,6 
30 à 44 ans
24,6 
16,2 
15 à 29 ans
13,3 
21,6 
0 à 14 ans
29,1 
Pyramide des âges en Indre-et-Loire en 2013 en pourcentage[89].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ans ou +
1,7 
7,6 
75 à 89 ans
10,5 
15,0 
60 à 74 ans
15,7 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
19,1 
30 à 44 ans
18,0 
18,9 
15 à 29 ans
18,0 
18,7 
0 à 14 ans
16,6 

Brouillon pryramide 2 : le Retour[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges à Fondettes en 2013 chiffres exprimés en pourcentage[90].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ans ou +
1,4 
7,2 
75 à 89 ans
9,4 
17,8 
60 à 74 ans
17,8 
22,1 
45 à 59 ans
22,5 
17,1 
30 à 44 ans
17,7 
16,0 
15 à 29 ans
13,9 
19,2 
0 à 14 ans
17,3 
Pyramide des âges en Indre-et-Loire en 2013 en pourcentage[91].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ans ou +
1,7 
7,6 
75 à 89 ans
10,5 
15,0 
60 à 74 ans
15,7 
20,0 
45 à 59 ans
19,4 
19,1 
30 à 44 ans
18,0 
18,9 
15 à 29 ans
18,0 
18,7 
0 à 14 ans
16,6 

Mémo-réf secteur et activité agricoles Fondettes[modifier | modifier le code]

  • Cultures maraîchères bio :

« Futurs maraîchers bio : terres en vue à Fondettes », sur InPACT Centre (consulté le ).

  • Site de la DRAAF Centre-Val de Loire :

http://draaf.centre-val-de-loire.agriculture.gouv.fr/

  • Entreprises agricoles pendant la guerre de 39-45 :

Jean-Marc Lemoine et Hervé Jolty (dir.), « Le procès Action », dans Jean-Marc Lemoine, Hervé Joly, Les archives des entreprises sous l’Occupation - : Conservation, accessibilité et apport - Actes du IIe colloque organisé par le Groupement de recherche (GDR) du CNRS Les entreprises françaises sous l’Occupation, en association avec le Centre des archives du monde du travail (CAMT) et l’Institut fédératif de recherche sur les économies et les sociétés contemporaines (IFRÉSI-CNRS) au CAMT à Roubaix (Nord) les 4 et 5 mars 2004, IFRESI, (lire en ligne [PDF]), page 113.

Brouillon économie agricole[modifier | modifier le code]

Bien que le secteur agricole ne représente que 2,8 % des actifs salariaux de la ville, ce domaine se révèle encore significatif au sein de l'économie locale. Pour exemple, une ferme de ployculture, fondée en 1951, et dont l'étendue SAU, de 375 ha, se répartie actuellement sur les parcelles de Charentilly, de la Plaine et du Grand Barré, présente un chiffre d'affaire total d'environ 900 000 [92].

Brouillon électrique Montreuil-en-Touraine 1931[modifier | modifier le code]

Au tout début des années 1930, en raison de faiblesses techniques et financières la commune montreuilloise, à l'instar d'autres localités à caractère rural telles que Saint-Aubin ou Épeigné-sur-Dême, ne bénéficiait pas encore d'un réseau électrique[93]. À cet effet, un rapport délibératif du conseil général datant de 1931, indique l'incapacité des autorités locales en matière de distribution d'énergie à mettre en place à une date précise les infrastructures nécessaires à l'alimentation électrique de la ville[93].

Lignes ferroviaires tourangelles[modifier | modifier le code]

  • Bernard Monteil et Christine Colombier, « Les ateliers du chemin de fer de Tours et de sa région », Revue d’histoire des chemins de fer, nos 28-29,‎ , p. 73-99 (ISSN 0996-9403, DOI 10.4000/rhcf.1755, lire en ligne, consulté le ).

Et donc :

  • Maurice Wolkowitsch (dir.), Le siècle des chemins de fer secondaires en France, 1865-1963. : Les entreprises, les réseaux, le trafic, vol. 30, Revue d'histoire des chemins de fer, (lire en ligne).

Marchés et chemins de fer en Touraine[modifier | modifier le code]

  • Bachelard Mireille. Les marchés de détail en Indre-et-Loire : leur rôle dans l'organisation de l'espace. In: Norois, n°117, Janvier-Mars 1983. pp. 57-85.

DOI : 10.3406/noroi.1983.4085

www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1983_num_117_1_4085

Brouillon géoloc. Manoir closerie du Thouadé[modifier | modifier le code]


Le manoir et le domaine du Thouadé sont localisés dans la partie méridionale la commune de Fondettes[94], ville située au sein de l'arrondissement de Tours, département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire[95].

Le site du Thouadé, qui apparaît approximativement sous la forme d'un triangle, est borné par la rue des Jean Inglesi, à l'est et au nord-est ; par l'avenue du Quai de la Guignière (route départementale 952) au sud et au sud-est ; par le chemin de la Bonde, dans ses marges sud-ouest ; et il est également longé par la rue Antoine de Baïf, dans ses limites ouest, nord-ouest et nord[96]. Par ailleurs, le territoire du Thouadé se place à proximité du cours de la Loire[94], l'ancienne résidence du Thouadé étant elle-même localisée à une distance d'environ 200 m au nord du feuve ligérien[96].

Une terrasse, se développant en axe sud de la facade du manoir, était auparavant prolongée par un vaste espace vert dont la frontière méridionale était située quasiment en bordure de la Loire[94]. Un escalier, se présentant en « double volée » orientée à droite, et munie d'une rampe ouvragée en fer forgé de style Louis XV, permettait d'accéder jusqu'à une digue ligérienne[94].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La « capacité d'autofinancement » (CAF) est l’excédent dégagé en fonctionnement ; cet excédent permet de payer les remboursements de dettes. Le surplus, c'est-à-dire le CAF - remboursements de dettes, s'ajoute aux recettes d’investissement — autrement dit : les dotations, subventions, plus-values de cession — pour financer les dépenses d’équipement. Ce montant représente le financement disponible de la commune[28].
  2. Le résultat comptable est la différence entre produits et charges de fonctionnement[29].
  3. Le « fonds de roulement », différence entre les financements à plus d'un an et les immobilisations, permet de combler le décalage entre l'encaissement des recettes et le paiement des dépenses[30].
  4. La « capacité d'autofinancement » (CAF) est l’excédent dégagé en fonctionnement ; cet excédent permet de payer les remboursements de dettes. Le surplus, c'est-à-dire le CAF - remboursements de dettes, s'ajoute aux recettes d’investissement — autrement dit : les dotations, subventions, plus-values de cession — pour financer les dépenses d’équipement. Ce montant représente le financement disponible de la commune[28].
  5. Le résultat comptable est la différence entre produits et charges de fonctionnement[29].
  6. Le « fonds de roulement », différence entre les financements à plus d'un an et les immobilisations, permet de combler le décalage entre l'encaissement des recettes et le paiement des dépenses[30].
  7. La « capacité d'autofinancement » (CAF) est l’excédent dégagé en fonctionnement ; cet excédent permet de payer les remboursements de dettes. Le surplus, c'est-à-dire le CAF - remboursements de dettes, s'ajoute aux recettes d’investissement — autrement dit : les dotations, subventions, plus-values de cession — pour financer les dépenses d’équipement. Ce montant représente le financement disponible de la commune[28].
  8. Le résultat comptable est la différence entre produits et charges de fonctionnement[29].
  9. Le « fonds de roulement », différence entre les financements à plus d'un an et les immobilisations, permet de combler le décalage entre l'encaissement des recettes et le paiement des dépenses[30].
  10. Ces commentaires, qui ne reposent pas sur une analyse statistique des données présentées, n'ont qu'une valeur strictement indicative.
  11. Ce récapitulatif, non exhaustif, a pour objet de montrer les différentes étapes chronologiques du toponyme de Troyes.
  12. La station météo de Tours - Saint-Symphorien est la station la plus proche de Fondettes.

Références[modifier | modifier le code]

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  5. a b et c « L'histoire du Plessis », sur le site du Haras naturel du Plessis (consulté le ).
  6. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Carré-79
  7. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Busserolle-80
  8. groupe
  9. a b et c Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine. : mémoires de la Société archéologique de Touraine., vol. V, Tours, Société archéologique de Touraine, , 444 p. (lire en ligne), page 85.
  10. groupe
  11. groupe
  12. a et b Gérard Cordier, {{Article}} : paramètre « titre » manquant, Bulletins de la Société des amis du Vieux Chinon, Chinon, t. 8, no 7,‎ , pages 910 à 913 (lire en ligne, consulté le ).
  13. Pierre Audin, « Les toponymes antiques des hauteurs en Touraine (Indre-et-Loire) », Bulletins de la Société archéologique de Touraine, Tours, t. 41,‎ , pages 71, 73, 74, 75 (lire en ligne, consulté le ).
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  16. Bernard Plongeron, « L'Église constitutionnelle d'Indre-et-Loire », dans Bernard Plongreon et al., Actes du 93e Congrès national des sociétés savantes : Tours, 1968. Section d'histoire moderne et contemporaine. L'Alimentation et ses problèmes, vol. 3, Paris, Bibliothèque nationale de France, , 506 p. (lire en ligne), page 189.
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  23. a b c et d Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées insee-logement-Nouans-les-Fontaines-2013
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    Mémo note Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

    • Plan d'urbanisme local de 2013 /
    • Collectif - Audart, Plan d'urbanisme local - commune d'Isle-Aumont : Rapport de présentation (Révision 1), , 99 p. (lire en ligne [PDF]).

    Climatologie Isle-Aumont[modifier | modifier le code]

    Concernant les données climatologiques d'Isle-Aumont, la station météorologique la plus proche effectuant ces relevés est localisée à Barberey-Saint-Sulpice, commune située dans l'agglomération de la ville de Troyes et distante de 15,8 km « à vol d'oiseau » d'Isle-Aumont<ref name="orthodromie-lion-1906-Isle-Aumont | lire en ligne = http://www.lion1906.com/Php/Resultats/Resultat_Proximite_Coord.php?RadLat1=0.841433&RadLong1=0.071985&LimitDebut=50 | titre = Orthromie d'Isle-Aumont | sous-titre = les villes les plus proches des coordonnées demandées (562 villes à 50 km maxi) | site = le site d'orhodromie lion 1906 | passage = page 3 | consulté le = 17 avril 2017}}.

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