Utilisateur:PhilipW SSO1073

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Je suis au baccalauréat en communication à l'Université du Québec en Outaouais (UQO) (région de l' Outaouais) dans le cadre de mon cours d'activité thématique en sciences sociales. Mon compte Wikipédia a été crée dans le but de travailler sur un article d'une municipalité en Outaouais et l'article sur lequel je travaille présentement concerne la municipalité d' Aylmer.

Coucher de soleil sur Portage
Coucher de soleil sur Portage

Exercices[modifier | modifier le code]

Semaine 2[modifier | modifier le code]

Image du jour

Liens externes Gatineau

Execice évalué 10%[modifier | modifier le code]

Texte alternatif pour l'image
Légende de l'image

Semaine 3[modifier | modifier le code]

Source 1: Il peut être problématique de citer les sources de cet article, car il s'agit d'un forum de discussion ouvert à quiconque. L'auteur est anonyme et on y perçoit un biais (les faits ne sont pas objectifs).

Source 2: Il s'agit ici de vérifier qui héberge, ou qui s'occupe de le site. S'est un blog.

Source 3: Association reconnue, grâce à l'adresse URL. Par contre, biais politique dans leur orientation politique. Les faits ne sont pas neutres, car leur définition personnelle les définie comme étant « progressistes ».

Source 4: Site gouvernemental, donc source de qualité. Toutefois, n'est pas exactement sans biais, car la page suit l'orientation du parti au pouvoir.

Semaine 4[modifier | modifier le code]

Sortie à la BAnQ

Semaine 5[modifier | modifier le code]

Exercice 2 : Sur votre page personnelle, dans la section Exercice Semaine 5, copiez les références ci-dessous (en wikicode) et corrigez les erreurs de mise en forme (si des informations sont manquantes, indiquez simplement le problème) :

  • Appadurai, A. (dir.) (1986). The Social Life of Things, Cambridge, Cambridge University Press.
  • Auray, N. et Moreau, F. (2012). « Industries culturelles et Internet. Les nouveaux instruments de la notoriété (Introduction) », Réseaux, no. 175, p. 9-18.
  • Barats, C. (dir.). (2007). Manuel d’analyse du Web en sciences humaines et sociales, Paris : Armand Colin.
  • Bastian, M. et al. (2005). « Gephi: An Open Source Software for Exploring and Manipulating Networks », ICWSM, no. 8, en ligne. URL : http://gephi.org/publications/gephi-bastian-feb09.pdf (consulté le 6 septembre 2015.)
  • Beaudoin, V. (2012). Trajectoires et réseaux des écrivains sur le Web. Construction de la notoriété et du marché, Réseaux, no. 175, p. ?.
  • Beauvisage, T.et al. (2013). « Notes et avis des con-sommateurs sur le web. Les marchés à l'épreuve de l'évaluation profane », ICWSM, no. 2, en ligne. URL : http://gephi.org/publications/gephi-bastian-feb09.pdf. (consulté le ...)

Exercice 4 : Lisez le document "La vie d'un article" publié dans Moodle, et répondez aux questions suivantes dans la section Exercice Semaine 5 de votre page personnelle (une ou deux phrases par réponse) :

1. Quels sont les trois critères qui assurent qu'un article répond aux exigences de notoriété ?

Résumé (principaux éléments, premier paragraphe), sujet digne d'intérêt (pertinent) & source extérieure (source de qualité, exhaustivité)

2. Quelles sont exigences pour atteindre le niveau de "bon article" ou d'"article de qualité" ?

On parle de structure, donc qui répond aux normes d'éthique et aux normes de mise en forme. Il est important de garder une neutralité de point de vue.

Exercice 5 : Cette version de l'article Tubas a été rejeté suite à sa proposition comme bon article. Examinez l'article et répondez à la question suivante dans la section Exercice Semaine 5 de votre page personnelle : quels sont les problèmes qui ont fait échouer l'article au vote de qualité ?

Exercice 6 : consultez trois articles existants de petites ou moyennes municipalités, et faites la liste des sections que vous pourriez ajouter à votre propre article. Ou pourriez-vous trouver des sources vous permettant de compléter le contenu de ces sections ? Écrivez vos réponses dans la section Exercice Semaine 5 de votre page personnelle.

À la suite d'observations des autres articles, les modifications pourraient être liées à un approfondissement des sous-aspects & des accomplissements des personnalités connues de la ville. Toponymie (origine du nom), patrimoine, événements marquants, géographie, infrastructures.

Semaine 6[modifier | modifier le code]

Exercice :

  • ce mot doit être en gras : GRAS
  • ce mot doit être en italique : ITALIQUE

Travail évalué #3[modifier | modifier le code]

Aylmer
PhilipW SSO1073
Rue Principale -ajout à l'infobox-
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada

Additions au résumé:
Aylmer est une ancienne ville du Québec en Outaouais incorporée à la ville de Gatineau en 1847[1], située à côté de la Rivière des Outaouais et de la Route 148. Suite à la fusion municipale de 2002[2], Aylmer est maintenant considéré comme un secteur de la ville de Gatineau.

Histoire de la ville[modifier | modifier le code]

L'origine d'Aylmer commence comme celle de l'Outaouais, à une époque avant la venue d'Européens[3]. « Pendant des siècles, la vallée de la Rivière des Outaoauis était habitée et parcourue par les par les Amérindiens »[4]. Ils y vivaient en groupe, mais dans cette région, il s'agissait surtout d'Algonquins. Les Algonquins de l'époque avaient des connaissances à propos de la Rivière des Outaouais.

Le rapide développement de l'industrie forestière et de la navigation avoisinante à Ottawa (à cette époque nommée Bytown) font en sorte que certaines personnes s'établissent déjà de petits commerces. Déjà vers 1821, on retrouve une maison et un magasin servant de taverne aux passants[5]. La ville s'est créé une identité et s'est incorporée en 1847, suite à l'effort de plusieurs familles fondatrices.

Depuis 1852 ce village a obtenu son palais de justice et sa prison. Les établissements scolaires et religieux reflétaient à cette époque la dualité entre les anglais et les français dans ce village, soit les protestants et les catholiques.

De nombreux personnages, dans diverses sphères culturelles, ont pu procurer une identité à la ville elle-même. On y compte, entre-autres, Emma Lajeunesse (devenue Albani) qui passait souvent à Aylmer dans sa jeunesse (elle habitait principalement à Ottawa[6]) pour venir accompagner son père qui avait plusieurs élèves à qui il enseignait la musique. Madame Albani atteignit une renommée internationale[7] et devînt un emblème de réussite.

Au vingtième siècle, la ville s'est définie comme un lieu idéal pour l'habitation et depuis janvier 1975, les municipalités de Lucerne (Hull-Sud) et de Deschênes sont devenues des constituantes de la ville. L'appartenance d'Aylmer dans la vie régionale est intégrale. En effet, malgré son origine du langage et sa culture bilingue[8] (relative à Ottawa et à Hull), Aylmer est reconnue comme étant une pièce à ne pas négliger dans la région Outaouaise et ses environs. Aujourd'hui, suite à la fusion municipale de 2002[9], Aylmer est maintenant un secteur de la ville de Gatineau et continue d'être reconnue sous son nom original[10].

Politique[modifier | modifier le code]

Fusionnement à la ville de Gatineau[modifier | modifier le code]

En 2002, la ville d'Aylmer s'est amalgammée à la ville de Gatineau[11].

Liste des maires d'Aylmer avant la fusion[modifier | modifier le code]

Les maires d'Aylmer de 1847 à 2001 [12]
  • John Egan (1847–1855)
  • Charles Symmes (1855–1858, 1860–1862)
  • Robert Conroy (1858–1860, 1866–1868)
  • Harvey Parker (1862–1866)
  • William McLean (1868–1872)
  • Alexandre Bourgeau (1872–1873, 1880–1881)
  • Charles Devlin (1873–1876, 1877-1878, 1890–1891)
  • DR Coller Munsell Church (1876–1877)
  • Thomas Prentiss (1878–1879)
  • John Gordon (1879–1880)
  • James Henry Mulligan (1881–1882)
  • William Jackson Conroy (1882–1884, 1891–1892)
  • Narcisse-Édouard Cormier (1884–1890)
  • Thomas Ritchie (1892–1898)
  • Jean Joseph Emond Woods (1898–1900)
  • George C. Rainboth Jr. (1900–1902)
  • Thomas John Symmes (1902–1904)
  • Thomas D. Sayer (1904–1907)
  • Robert Howard Wright (1907–1911)
  • Leon Chartier (1911–1913)
  • William George Mulligan (1913–1914, 1929–1935)
  • James Baillie (1914–1916)
  • Armand de Bruyne (1916–1919, 1927–1928)
  • Hercule Therien (1919–1921)
  • George R. Nash (1921–1925)
  • Kenny Edey (1925–1927)
  • Amable Elie Beaudry (1928–1929)
  • Wilfrid J. Lavigne (1935–1941)
  • F. Lloyd Pilgrim (1941–1947)
  • Jean-Rene Therien (1947–1948, 1949–1953, 1959–1960)
  • Oscar E. Guertin (1949)
  • Telesphore G. Lortie (1953–1959)
  • J. Neil O'Donnell (1960–1965)
  • Eric Acland (1965–1967)
  • Edgar Whelan (1967–1970)
  • Ernest Lattion (1970–1975)
  • Neil O'Donnell (1975–1979)
  • Patrick T. Asselin (1979–1983)
  • Constance Provost (1983–1995)
  • Marc Croteau (1995–2001)

Liste des maires d'Aylmer après la fusion[modifier | modifier le code]

Les maires d'Aylmer de 2002 à aujourd'hui [13]'[14]'[15]'[16]

Patrimoine et bâtisses historiques[modifier | modifier le code]

Déjà connue sous le nom de Symme Inns (Symmes Hôtel)[17], l' (devennue aujourd'hui le Musée de l'auberge Symmes) a connue plusieurs rôles qui ont changé l'image de la ville. En 1831,Charles Symmes fit construire cette bâtisse en pierre au bord de l'eau.

Reproduction de la peinture de l'auberge Symmes par W.H Bartelett de 1841

Ceci était dans le but de pouvoir accueillir les bateaux à vapeur. Vers 1880, quand le bateau à vapeur perdit de sa popularité, l'auberge perdit une partie de sa clientèle[18]. Elle fut la première auberge à Aylmer)[19]. À ses débuts, elle servait idéalement d'auberge, puis elle se transforma, dans les années 1900-1930, en appartements[20]. Suite au feu d'Aylmer en 1921, elle servit de refuge pour les sinistrés[21]. Les familles qui n'avaient plus de logement pouvaient y vivre le temps de retrouver un foyer. Dans l'intervalle de la Première guerre mondiale et de la Deuxième guerre mondiale, elle servit de logement à l' Aylmer Aquatic Club (visible dans l'image portant ce nom)[22].

Hôtel Symmes (1935 Aylmer Aquatic Club) P.Q.12

Plusieurs danses ont eu lieu dans les années à suivre, des orchestres ont également servi de divertissement dans l'auberge. Cependant les décénnies passèrent et l'immeuble (comme plusieurs autres), fut pratiquement mené à l'abandon. En 1973, elle devînt monument historique[23]. Suite à ce nouveau titre, les touristes et même la population d'Aylmer ce sont mis à venir visiter les lieux. Il s'agit à ce jour à la fois d'un monument historique et d'un Musée[24].

Auberge Symmes (Secteur Aylmer)

D'autres immeubles et logements ont su venir s'ajouter au patrimoine d'Aylmer. C'est le cas de la Paroisse St-Paul et du Presbytère St-Paul (visible dans la photographie portant ce nom prise par Champlain Marcil). Le terrain offert pour la construction de l'église et de son presbytère fut offert par Charles Symmes. En 1840, on acheva la construction de cette première église dans la ville d'Aylmer[25]. L'édifice fut construit en pierre et comprenait un clocher et un toît vouté[26]. Du moins, ce fut le cas jusqu'à ce qu'un incendie vienne détruire le lieu [27].

Presbytère de la paroisse Saint-Paul d'Aylmer
Presbytère de la paroisse Saint-Paul d'Aylmer.

Géographie[modifier | modifier le code]

Due à sa proximité avec la capitale nationale canadienne, Ottawa, la ville d’Aylmer est surtout un emplacement résidentiel[28]. Ayant des terrains de golf, des espaces verts, la Marina d'Aylmer et des pistes cyclables, cette ville a subi peu de développement du côté industriel [29]. Pratiquement tous les grands magasins, les boutiques communautaires, les centres de services, la piscine intérieure, l'aire de planche à roulette et les restaurants sont situés le long du Chemin d'Aylmer.

Municipalités limitrophes[modifier | modifier le code]

[30]

Rose des vents Cantley, Chelsea Rose des vents
Pontiac N Hull, Gatineau
O    Aylmer    E
S
Ottawa, Drapeau de l'Ontario Ontario
Une petite maisonette en pleine nature chez Champboisé.
Photo ancienne de la ferme chez Champboisé au début du siècle. À l'Ange-Gardien en Outaouais.
Intérieur maisonette Champboisé
Le sentier de la cascade chez Champboisé.

Champboisé est une ancienne ferme métamorphosée en centre d’ermitage au Québec dans la région de l'Outaouais et dans la municipalité de l'Ange-Gardien. Le centre fut incorporée en 2001[31] et se situe sur les bords de la rivière du Lièvre ou « la Lièvre » (un des principaux affluents de la rivière des Outaouais).

Histoire du centre[modifier | modifier le code]

Pendant les premières années de son existence, les personnes se rendant chez Champboisé étaient principalement des membres de communautés religieuses comme les eudistes et quelques laïques[32]. Le cadre à changé, mais le contact avec la nature reste partie intégrante de l’endroit[33]. En effet en 2010, le maire de L’Ange-Gardien, Robert Goulet, annonçait que la municipalité concluait une entente de principe, dans le but d'obtenir le centre comportant une quinzaine de bâtiments, dont leurs petites maisonnettes. Ces bâtiment comportent la maison Cosgrove, désormais un monument historique[34]. Champboisé est donc passé de « centre de solitude » à « centre de ressourcement émotif, spirituel et physique »[35],[36]

Collaboration avec la municipalité l’Ange-Gardien[modifier | modifier le code]

La municipalité de L’Ange-Gardien a acheté, le site de Champboisé, sur une période de 10 ans[37]. C’est ainsi qu’en 2021, la municipalité deviendra le nouveau propriétaire des lieux[38]. Depuis, la municipalité à entrepris divers travaux d’amélioration des infrastructures de Champboisé, dont la préservation de la maison patrimoniale de M. Edmond Cosgrove, le fermier d’origine Irlandaise, qui a vendu sa ferme aux Eudistes[39].

Mission[modifier | modifier le code]

La mission principale de la corporation est de favoriser l’ouverture d'esprit[40]. Champboisé est un centre de ressourcement émotif, physique et spirituel et un lieu d’ermitages qui favorise également le silence, en laissant de côté la vie urbaine, puisque les occupants peuvent séjourner en pleine nature s'ils le désirent[41].

Valeurs[modifier | modifier le code]

Champboisé et le personnel qui accompagne l'organisme à but non lucratif, remplissent leur mission en mettant en pratique certaines valeurs. Parmis ces valeurs, il y a: l’accueil de toute personne, l’ouverture et le respect du cheminement de chaque personne, le silence, le contact avec la nature et la simplicité, le service et la liberté, l’esprit et les valeurs spirituelles[42] .

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Mondoux, M. (2001). Profils biographiques des maires d’Aylmer. St-Joseph Ottawa/Hull : auteur, p.VIII
  2. Mondoux, M. (2001). Profils biographiques des maires d’Aylmer. St-Joseph Ottawa/Hull : auteur, p.87
  3. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.9
  4. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.9
  5. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.20
  6. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.244
  7. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.243
  8. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.6
  9. Mondoux, M. (2001). Profils biographiques des maires d’Aylmer. St-Joseph Ottawa/Hull : auteur, p.87
  10. Mondoux, M. (2001). Profils biographiques des maires d’Aylmer. St-Joseph Ottawa/Hull : auteur, p.87
  11. Mondoux, M. (2001). Profils biographiques des maires d’Aylmer. St-Joseph Ottawa/Hull : auteur, p.87
  12. Mondoux, M. (2001). Profils biographiques des maires d’Aylmer. St-Joseph Ottawa/Hull : auteur, p.1-68
  13. « Élection du 4 novembre 2001 », sur http://www.ville.gatineau.qc.ca/docs/histoire_cartes_statistiques/archives/docs/Élections_Gatineau_2001.pdf, (consulté le 3 novembre 2015)
  14. « Élection du 6 novembre 2005 », sur http://www.ville.gatineau.qc.ca/docs/histoire_cartes_statistiques/archives/docs/Élections_Gatineau_2005.pdf, (consulté le 3 novembre 2015)
  15. « Élection du 1er novembre 2009 », sur http://www.ville.gatineau.qc.ca/docs/histoire_cartes_statistiques/archives/docs/Élections_Gatineau_2009.pdf, (consulté le 3 novembre 2015)
  16. « Élections municipales 2013 - Résultats des élections pour les postes de maire et de conseiller », sur http://www.mamot.gouv.qc.ca/organisation-municipale/democratie-municipale/archives-des-resultats-des-elections-municipales/elections-municipales-2013/resultats-des-elections-pour-les-postes-de-maire-et-de-conseiller/?tx_txmamrotelections2013_pi1, (consulté le 3 novembre 2015)
  17. Dorion, R. (1997). Aylmer Québec ses légendes et ses contes : auteur, p. 30
  18. Aldred, D. (1977). Aylmer, Québec : it’s Heritage/ Son patrimoine (J. Bouchard, trad.). Ottawa. Sous l’égide de l’Association Patrimoine d’Aylmer, p.26
  19. Dorion, R. (1997). Aylmer Québec ses légendes et ses contes : auteur, p. 30
  20. Dorion, R. (1997). Aylmer Québec ses légendes et ses contes : auteur, p. 30
  21. Dorion, R. (1997). Aylmer Québec ses légendes et ses contes : auteur, p. 30
  22. Aldred, D. (1977). Aylmer, Québec : it’s Heritage/ Son patrimoine (J. Bouchard, trad.). Ottawa. Sous l’égide de l’Association Patrimoine d’Aylmer, p.26
  23. Dorion, R. (1997). Aylmer Québec ses légendes et ses contes : auteur, p. 31
  24. Dorion, R. (1997). Aylmer Québec ses légendes et ses contes : auteur, p. 31
  25. Aldred, D. (1977). Aylmer, Québec : it’s Heritage/ Son patrimoine (J. Bouchard, trad.). Ottawa. Sous l’égide de l’Association Patrimoine d’Aylmer, p.140
  26. Aldred, D. (1977). Aylmer, Québec : it’s Heritage/ Son patrimoine (J. Bouchard, trad.). Ottawa. Sous l’égide de l’Association Patrimoine d’Aylmer, p.140
  27. Ebacher, L.D., « L'incendie de l'église Saint-Paul est d'origine criminelle», sur http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/ville-de-gatineau/200906/11/01-874927-lincendie-de-leglise-saint-paul-est-dorigine-criminelle, consulté le 4 novembre 2015)
  28. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.5
  29. Aldred, D. (1977). Aylmer, Québec : it’s Heritage/ Son patrimoine (J. Bouchard, trad.). Ottawa. Sous l’égide de l’Association Patrimoine d’Aylmer, p.2
  30. http://www.google.ca/maps/place/Aylmer,+Gatineau,+QC/@45.4280021,-75.9025556,12z/data=!3m1!4b1!4m2!3m1!1s0x4cce018552ec62f5:0x17266776dc31ec6a, (consulté le 4 novembre 2015)
  31. Ouellet, G. (2010). Champboisé vivre en ermitage pèlerins du silence. Imprimerie D&A : auteur, p. 3
  32. Perreault, Martin. (2010). Votre actualité: L’Ange-Gardien fera l’acquisition du centre Champboisé. TVC Basse-Lièvre [en ligne]:http://tvc.qc.ca/2010/12/lange-gardien-fera-lacquisition-du-centre-champboise/
  33. Ouellet, G. (2010). Champboisé vivre en ermitage pèlerins du silence. Imprimerie D&A : auteur, p. 4
  34. Perreault, Martin. (2010). Votre actualité: L’Ange-Gardien fera l’acquisition du centre Champboisé. TVC Basse-Lièvre [en ligne]:http://tvc.qc.ca/2010/12/lange-gardien-fera-lacquisition-du-centre-champboise/
  35. Sabourin, B. (2010). Des balises pour l'utilisation future de Champboisé. Le Droit [en ligne]:http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/actualites-regionales/201405/22/01-4768883-des-balises-pour-lutilisation-future-de-champboise.php
  36. Lécuyer, Marie Pier. (2010). Champboisé deviendra la propriété de L'Ange-Gardien. Info07 - Le Bulletin, TC Médias [en ligne]:http://www.lebulletin.net/Communaute/2010-12-01/article-2008836/Champboise-deviendra-la-propriete-de-LAnge-Gardien/1
  37. Perreault, Martin. (2010). Votre actualité: L’Ange-Gardien fera l’acquisition du centre Champboisé. TVC Basse-Lièvre [en ligne]:http://tvc.qc.ca/2010/12/lange-gardien-fera-lacquisition-du-centre-champboise/
  38. La corporation Champboisé. (2016). Qui sommes-nous?. Collaboration avec la municipalité L’Ange Gardien [en ligne]:http://www.champboise.org/?page_id=2481
  39. Sabourin, B. (2010). Des balises pour l'utilisation future de Champboisé. Le Droit [en ligne]:http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/actualites-regionales/201405/22/01-4768883-des-balises-pour-lutilisation-future-de-champboise.php
  40. La corporation Champboisé. (2016). Qui sommes-nous?. Mission [en ligne]:http://www.champboise.org/?page_id=2481
  41. La corporation Champboisé. (2016). Qui sommes-nous?. Corporation [en ligne]:http://www.champboise.org/?page_id=2481
  42. La corporation Champboisé. (2016). Qui sommes-nous?. Valeurs [en ligne]:http://www.champboise.org/?page_id=2481


Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]


Journal hebdomadaire[modifier | modifier le code]

  • Le Bulletin d'Aylmer dessert la région bilingue[1] qu’est le secteur Aylmer. Il s'agit d'un hebdomadaire et d'un site Web qui présente les nouvelles locales[2].

Liens externes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Brault, L. (1981). Aylmer d’Hier / of Yesterday. Aylmer. Institut d’Histoire de l’Outaouais, p.6
  2. Bulletin d'Aylmer « À propos », sur http://www.bulletinaylmer.com/propos, (consulté le 4 novembre 2015)