Anselme Flamen est né le 2 janvier 1647, dans la ville de Saint-Omer, appartenant à cette date aux Pays-Bas espagnols. Il est le fils de Jean Flamen, marchand, et de Jeanne Dumont[1]. On ne lui connait aucun frère et sœur. Le 2 février1680, Anselme Flamen épouse Louise Blart, pupille de Charles Le Brun. Le couple aura treize enfants.
Anselme Flamen reste quatre ans en Italie, années au cours desquelles il étudie plusieurs disciplines, dont les mathématiques et l'anatomie. Grâce à de nombreux moulages, et la proximité des grandes collections romaines, il observe et travaille à partir des sculptures antiques. Seule œuvre de son voyage à Rome encore existante, son Faune à l'enfant est une copie de l'antique Silène et Bacchus de la collection Borghèse. Envoyée en France à la demande de Jean-Baptiste Colbert, afin de décorer les jardins du château de Sceaux, elle s'y trouve encore aujourd'hui[8].
Gaspard Marsy et Anselme Flamen, l'Enlèvement d'Orithye par Borée, 1677-1687, Paris, musée du Louvre
Anselme Flamen quitte Rome pour Paris durant l'été 1679[9]. Dès son retour, il instaure un partenariat avec son ancien maître, Gaspard Marsy. Cette alliance va au delà d'un simple contrat de maître à apprenti, mais ne repose pas encore sur un engagement d'égal à égal. La relation entre les deux artistes s'établit comme une collaboration entre un maître senior, qui reste unique maître de son atelier, et un maître junior[10]. Toutes les sculptures issues de ce partenariat sont indiquées dans les sources comptables sous le nom de Marsy uniquement, mais en contrepartie, cet accord ne dispose pas d'une clause d'exclusivité : Anselme Flamen peut accepter et exécuter des commandes seul, en parallèle. Plusieurs documents, aujourd'hui disparus, font état de cette association. Ces papiers comportaient la liste exacte des œuvres qu'ils ont exécutées conjointement, ainsi que la tenue des comptes entre les deux artistes[10].
Ensemble, ils travaillent principalement aux projets d'embellissement des façades du Château de Versailles : au niveau de la façade ouest du Corps central, notamment pour les statues et les bas-reliefs ajoutés entre 1679 et 1680, ainsi qu'à la construction du décor sculpté de la Cour de Marbre et de la Cour royale. Entre 1680 et 1681, les deux artistes exécutent le groupe de La Victoire sur l'Empire, en pierre de Saint-Leu, pour surmonter l'un des corps de garde encadrant la grille d'honneur du château de Versailles[11]. En 1681, Gaspard Marsy reçoit la commande d'une statue de Polymnie et Anselme Flamen d'une Erato, pour décorer l'attique de l'Aile du Midi. Conçues d'après des dessins de Charles Le Brun, elles ont été pensées pour être placées l'une à côté de l'autre. Flamen finira l'exécution des deux sculptures en 1682[12].
La mort de Gaspard Marsy, le 10 décembre1681, marque la fin de leur partenariat. Après un règlement testamentaire difficile, Flamen hérite de leur atelier du Louvre. Il obtient également le droit de terminer les œuvres non achevées avant la mort du maître[10]. Ainsi, il récupère en 1683 la commande pour le tombeau du duc Anne de Noailles, pour l'église Saint-Paul de Paris, dont Marsy n'avait accompli qu'une partie du modèle. C'est également dans ce contexte qu'Anselme Flamen finalise la figure de l'Enlèvement d'Orithye par Borée. Issue de la Grande Commande de 1674, et restée inachevée, ce groupe sculpté avait pour but d'orner l'un des quatre coins du Parterre d’eau. Le groupe sera parachevé en 1687, et jamais installé dans son emplacement d'origine[13].
Anselme Flamen est agréé de l'Académie royale de peinture et de sculpture le 26 avril1681, en présentant un bas-relief représentant Saint Jérôme[14]. Il est reçu le même jour qu'un autre sculpteur émérite, Corneille Van Clève, qui présente, lui, un marbre en ronde-bosse du cyclope Polyphème. Dans ses premières années au sein de l'institution, Anselme Flamen est relativement discret, se contentant d'assister aux assemblées générales. Il y devient néanmoins professeur adjoint le 30 octobre 1694[15], puis professeur le 6 août1701[16].
La notoriété qu'il acquiert lui permet de se constituer une clientèle privée. Vers 1698, il exécute une statue pour le jardin de l'Hôtel Le Juge, dans la rue du Grand-Chantier, dont on a perdu la trace lors de la destruction du bâtiment[17]. En 1700, il participe à l'embellissement de l'Hôtel Le Brun, sur commande de Charles II Le Brun, neveu du Premier Peintre du roiCharles Le Brun. Il y exécute deux frontons et quatre masques : le fronton côté cour présente deux licornes flanquées d'un écusson orné des armes de Charles Le Brun ; le fronton côté jardin présente une figure de génie ailé qui se tient debout, accompagné d'une Minerve casquée. Au centre des deux figures, un médaillon représente le Premier Peintre, de profil ; les quatre masques sont situés dans les arches au dessus des portes, et représentent respectivement Appolon, Bacchus, Silène et une figure de satyre[18].
Anselme Flamen, Faune au chevreau, 1685-1686, jardins du château de Versailles, Allée royale
Anselme Flamen reçoit ses premières commandes personnelles dès 1679-1680, passées par les Bâtiments du roi. Il œuvre à Versailles pour la façade ouest du Corps central donnant sur le parterre d'Eau, où il travaille également dans le cadre de sa collaboration avec Gaspard Marsy. Il y effectue plusieurs bas-reliefs représentant des trophées de la Guerre et des trophées de la Paix, ainsi que trois masques de divinités aquatiques[19].
Entre 1680 et 1690, Anselme Flamen exécute majoritairement des œuvres pour Versailles. En 1681, il est appelé pour restaurer dix-huit statues antiques, se trouvant dans la Galerie d'Eau, transformée en 1704 en Salle des Marronniers. Dans les jardins de Versailles, il participe à l'embellissement du décor de plusieurs bosquets, notamment plusieurs vases en plomb pour le bassin sous le Dragon, aujourd'hui bassin de Neptune[20]. Pour le bosquet de la Colonnade, il exécute trois masques et deux vases en marbre, ainsi que plusieurs chapiteaux-colonnes ou chapiteaux-pilastres, disposés au Grand Trianon[21]. On lui connait de nombreux autres projets, interrompus ou aujourd'hui disparus.
D'après Anselme Flamen, Cyparisse, réplique de 2017, jardins du château de Versailles, Allée royale
Entre 1685 et 1686, il exécute deux rondes bosses en marbre pour l'Allée Royale. La première, le Faune au chevreau, est une copie d'une antique se trouvant dans les collections de Christine de Suède. Représentant un jeune faune tenant de la main gauche un chevreau autour des épaules et de la droite un bâton, cette copie n'est pas une imitation servile : elle est notamment plus grande que l'antique[22]. La seconde est un Cyparisse, l'un de ses chefs-d'œuvre, effectué d'après un modèle en cire de François Girardon. Le jeune berger est représenté debout, en léger contrapposto, un large manteau drapé laissant voir son torse et sa hanche gauche. A sa droite, se tient une biche qu'il caresse de la main gauche, et l'éphèbe réajuste de la main droite la couronne de fleurs que l'animal porte à son cou[23]. Pour son traitement du groupe, Anselme Flamen s'est très certainement inspiré de compositions datant de la période hellénistique, à l'image des Artémis, ou Diane, représentée en chasse, accompagnée d'une biche ou d'un cerf, à l'image de la Diane de Versailles.
Dès 1690, Anselme Flamen travaille sur plusieurs projets au Dôme des Invalides, chantier administré par Jules Hardouin-Mansart. Une grande partie de ses œuvres est aujourd'hui détruite ou disparue, mais la profusion des commandes que les Bâtiments du roi lui donnent montre la confiance que l'on accorde à l'artiste, alors âgé de quarante-trois ans. Des nombreux projets commencés, subsistent aujourd'hui trois groupes de Prophètes, l'un se trouvant au dessus des fenêtres hautes au sein de la chapelle Saint-Jérôme, et deux dans la chapelle Saint-Augustin. Par ces figures, Flamen s'éloigne ici de Versailles et des tendances classicistes pour se rapprocher d'une inspiration venue de l'Ecole du Nord[27]. D'autres groupes de prophètes sont commandés aux sculpteur Jean Raon, Jean Joly, Nicolas Coustou pour trois groupes, Martin et Jean-Baptiste Poultier pour deux groupes. L'ensemble des bas-reliefs présente une unité de style, permettant de présumer le dessin d'un seul artiste, qui ne peut-être que François Girardon[28].
Sur le tympan au niveau de l'entrée de la chapelle, Anselme Flamen exécute entre 1701 et 1705 un bas-relief d'anges portant la Sainte Ampoule. Un ange principal tient l'huile sacrée, tandis que deux angelots, plus petits, soutiennent respectivement une couronne et un sacre. Ces anges illustrent le lien entre la Royauté Française et l'Eglise, appuyant le pouvoir de la monarchie de droit divin. Initialement confiée à FrançoisLespingola, la commande revient à Flamen en 1701, chargé d'apporter des modifications profondes[27].
Anselme Flamen, Diane, 1694, Paris, musée du Louvre
En tant que résidence royale, le domaine du château de Marly reçoit les faveurs artistiques du roi. On met rapidement en place des jardins qui, comme à Versailles, montrent une nature sauvage mais toujours domestiquée : le roi contrôle même ce qui, par essence, ne peut pas l'être. En 1694, les Bâtiments du roi acquièrent Diane, une œuvre exécutée par Anselme Flamen et conservée en son atelier, représentant la déesse chasseresse Diane. Faisant partie des premières sculptures modernes achetées spécialement pour la décoration des jardins de Marly, l'avantage de l'achat par rapport à la commande résidait en son coût moins élevé et un délai de réalisation moindre[29]. Ouvrage emprunt de classicisme, on peut dater ce groupe sculpté du début de la décennie 1690, période durant laquelle le sculpteur quitte Versailles pour se tourner vers d'autres chantiers. On retrouve chez Diane un sourire et une beauté froide, instaurant ainsi une distance, et un sentiment d'intemporalité. On distingue également ce type de visage, de beauté parfaite chez son Cyparisse. La composition présente un contrapposto bien maîtrisé, et des mouvements légers, qui semblent figer la scène dans le temps. Il est certain que cette œuvre s'est imprégné de l'art antique, et, comme pour Cyparisse, de la Diane de Versailles, qui a marqué l'œil des artistes. La Diane de Flamen est, en revanche, moins animée, présentant au contraire un calme absolu.
Une seconde œuvre est achetée à Flamen, en 1696, une Callisto. Il est difficile de savoir si cette statue a été conçue comme un pendant à la première, Callisto étant une nymphe de Diane. On remarque néanmoins qu'elles n'ont jamais été placées côte-à-côte dans les jardins. Figure féminine en pleine course, portant son regard vers le lointain avec un visage impassible, elle se place dans la lignée des représentations de Diane en chasse[30]. Pourtant datée de la même période que la première sculpture de Flamen pour Marly, la différence entre les deux femmes est notable. Avec sa structure en mouvement, qui confère à la nymphe une impression d'agitation, Anselme Flamen se détache de son style cérémonieux, ce qui laisse une plus grande place au naturel et au spontané. Progressivement, l'artiste s'éloigne du classicisme, digne et officiel, presque intemporel, pour aller vers un autre mouvement, plus insouciant. Callisto conserve en revanche un visage très sage, sérieux et fermé, et un drapé lourd, que Flamen affectionne, et qui sont symptomatiques de l'ensemble de son œuvre.
D'Anselme Flamen, Callisto, réplique datée de 2012, jardins du château de Versailles, bosquet des Dômes
On retrouve entre 1696 et 1709 plusieurs commandes de sculptures relatives à la figure de Diane, mais rien n'indique qu'elles puissent avoir un rapport avec les œuvres d'Anselme Flamen : il n'est pas étonnant de reconnaître, de manière quasi-omniprésente, la figure d'une divinité chasseresse dans un domaine de chasse royal. En 1709, Anselme Flamen reçoit la commande d'une Compagne de Diane. Dès l'été 1710, plusieurs autres artistes sont commandités pour des sculptures sur le même thème, annonçant la naissance du cycle des Compagnes de Diane, chacune des statues représentant une jeune femme illustrant un type de chasse différent. La Compagne de 1709 rappelle les deux autres œuvres précédemment installées à Marly[31]. Le visage présente des traits plus fins, moins solennels, qui laissent transparaître plus d'émotions. Une autre Compagne de Diane, aussi appelée la Chasse aux Cailleaux, est commandée à Flamen en 1714. Elle est aujourd'hui disparue, la seule trace restante étant un dessin préparatoire, conservé à la Bibliothèque nationale de France.
En dehors des différentes figures de Diane et de ses compagnes, Anselme Flamen exécute entre 1697 et 1698 plusieurs éléments en plomb pour le décor du bassin de la Demi-Lune des Vents. De même, il y effectue, en collaboration avec Simon Mazière, une paire de vases, en marbre de Carrare, à motifs géométriques et végétaux[32].
A partir de 1699, il réalise, pour la décoration des angles du bassin de la pièce des Nappes, un groupe de nymphes et enfants, aujourd'hui disparu, ainsi qu'un vase, orné de trophées d'instruments de musique champêtres, d'après le dessin de Pierre Mazeline[33].
Le couple aura treize enfants, parmi lesquels un seul suivra une carrière artistique, comme son père. Anselme II Flamen, né le 13 septembre1680[34], devient élève de son père, avant d'intégrer l'Académie royale de peinture et de sculpture, le 27 octobre1708, grâce à la présentation d'un morceau de réception représentant Plutus, dieu des richesses[35]. Moins sollicité que son père, il s'illustre surtout dans la restauration de plusieurs sculptures et antiques. Il se marie à Anne Oignon avec laquelle il a un fils, Pierre Flamen. Il meurt en 1730 à Paris. Pierre Flamen est lui aussi sculpteur, mais ne fera pas une grande carrière. Il épouse Angélique Le Paultre, veuve Francin, un mariage sans postérité[36].
Benoît Massou, Anselme Flamen, La Rosée et Zéphyr, 1683-1717, Washington D.C., National MuseumSilène et Bacchus, dit Faune Borghèse, 1675-1679, marbre, H. 189 cm; l. 68 cm, prof. 68 cm, Domaine départemental du Château de Sceaux, Orangerie, dépôt du Louvre, MR 1989
Anges supportant la Sainte-Ampoule, 1701-1705, Pierre, H. 240 cm; L. 310 cm, Paris, Dôme des Invalides, Chapelle Saint-Grégoire
Vases ornés de trophées d'instruments de musique champêtre, 1699-1705, marbre, H. 156 cm, L. 120 cm, P. 100 cm, Paris, musée du Louvre, département des Sculptures, MR 2914, 2915, 2916, 2917
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(en) Thomas F. Hedin, «Exemple d'une collaboration d'artistes : the Partnership of Gaspard Marsy and Anselme Flamen», Gazette des Beaux-Arts, no 1353, 1981, p. 103-114 (ISSN 0016-5530).