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Utilisateur:Kiamalia Chouraqui/Brouillon

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Vergilius Augusteus, Georgica 141. "Scriptura Continua"
La séparation entre les mots permet de passer du format compact, « scriptural continua » des premiers codex, où les lectures orales prédominaient, le lecteur ajoutait des pauses, en une forme plus lisible. Au VII e siècle, les moines irlandais n’arrivaient pas à lire le latin et commencèrent à séparer les mots les uns des autres. Or ces séparations étaient aléatoires, coupant les mots en leur milieu. Il faut attendre les nouvelles sciences arabes afin que chaque mot dans leur entièreté soient séparés convenablement.
La ponctuation sert à structurer le texte pour améliorer sa lisibilité. Utilisant des signes graphiques, on voit apparaître les ancêtres du point, point virgules et virgules (« point d’en haut », « point médian » et « point d’en bas » respectivement) en III e et II e siècle avant J.C. définit par l’alphabet grec. Plus tard, au Moyen-Age les ponctuations vont se peaufiner.
La table des matières représente l’ensemble des parties, sous parties d’un texte. Dans l’Antiquité, au VI e siècle, celle-ci était en début de livre mais il était rare d’en trouver. 
Le titre courant est un rappel du titre du livre, ou d’une partie du livre, sur les pages concernées. Son utilisation date du XIII e siècle.[1]
Marque de paragraphe.
La pagination, ou numérotation de pages aurait vu le jour dans un ouvrage d’Arnold Ther Hoernen en 1470 « Sermo in festo praesentationis beatissimae Mariae virginis ». Elle est aujourd’hui présente dans tous ouvrages pour aider à se repérer dans le texte.
Fasti ecclesiae Anglicanae Vol.1 index of names. Exemple d'Index.
L’index est un endroit du livre qui sert à retrouver un mot précis se trouvant quelque part dans le texte. C’est au XIII e siècle que l’index trouvera un essor considérable. Il est en quelques sortes l’ancêtre du dictionnaire et deviendra plus tard le principe sur lequel se base toutes recherches internet.