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Utilisateur:JulNico/Brouillon

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Rappeurs F/BE : Gaulois, Mougli, Lybro, Nyda, Théodore, Kai du m, Araujo, 34murphy...

Rappeurs CH : R.Keto, Kingzer

Festivals : SSLE

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Wallace Cleaver[modifier | modifier le code]

Wallace Cleaver
Surnom Le W
Nom de naissance Léo Gond
Naissance
Blois, France
Activité principale Rappeur, auteur-compositeur-interprète
Genre musical Rap français
Instruments Voix
Années actives depuis 2018

Wallace Cleaver, de son vrai nom Léo Gond, est un rappeur français originaire de Saint-Laurent-Nouan, dans le Loir-et-Cher.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et origines[modifier | modifier le code]

Léo Gond naît à Blois "il y a 26 ans" selon un article de Nouvelle République daté du 13 mai 2024[1], donc vraisemblablement en 1998, confirmé par son premier projet intitulé 98.

Il grandit à Saint-Laurent-Nouan, dans le Loir-et-Cher. Il est aujourd'hui installé à Paris[1], une ville qu'il rejoint pour ses études (à la Sorbonne) et pour se lancer pleinement dans la musique[2][3].

Le reste n'est pas connu, l'artiste se faisant discret sur les réseaux sociaux et les médias, et ses concerts étant rares[1].

Carrière[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

A 13 ans, Wallace Cleaver commence à écrire ses premiers textes[4]. Son pseudonyme est le nom d'un personnage de la série télévisée Leave It to Beaver.

En 2018, il sort ses premiers morceaux aux côtés de KuRt 20:20 (désormais appelé AnNie .Adaa), dans un duo appelé Garden Club[2]. Ils font quelques concerts et notamment la première partie du groupe Fixpen Sill[5]. Tous deux sont également membres du HPA MOB, un groupe de rap parisien fondé en 2016. Les quatre membres - avec Shen et Ichi - étudient à la Sorbonne[2][6][3].

Le premier morceau solo de Wallace Cleaver est Fe.tys qui sort en juin 2018[7], puis Arsène en octobre[8][9].

98 et Toute l'année c'est l'hiver (2019-2020)[modifier | modifier le code]

Le premier projet de Wallace Cleaver, surnommé "le W", sort en 2019. Il s'agit d'un EP de douze titres intitulé 98, en référence à son année de naissance, 1998[10].

Cauchemar, A la recherche du temps perdu et 41Boro (2021-2022)[modifier | modifier le code]

Baiser (2023)[modifier | modifier le code]

Une vidéo sur la chaîne YouTube Grünt, le 57e épisode de la série de freestyles hiphop qui lui est consacré, contribue à le faire connaître en avril 2023[1].

En juin 2023, Wallace Cleaver sort son album Baiser, qui lui permet de se faire remarquer sur la scène rap francophone. Son morceau çalavie qui introduit le projet cumule 5 millions d'écoutes sur Spotify et 1 million de vues sur YouTube[1]. Il est également élu "meilleur son de 2023" par les followers de Le Règlement. Autre titre du projet, déconnecté, se place en troisième position du classement personnel de Le Règlement[11]

En juin 2023, Aficia le présente comme membre "d'une scène rap affamée, assumée et indépendante, dans laquelle [il] se place en grand cru de ces dernières années"[10].

Les concerts de Wallace Cleaver sont rares en 2024, mais complets, comme La Gaîté Lyrique (800 personnes) en novembre 2023 et L'Olympia (2800 places) en septembre 2024[1].

En mai 2024, La Manche Libre en parle comme un "Artiste se démarquant de plus en plus dans le paysage du rap français"[12]

Style[modifier | modifier le code]

Parmi ses inspirations peut être cité Niro[1].

Wallace Cleaver s'essaie aussi à la Jersey, comme dans son morceau Déconnecté, signe de sa polyvalence[10].

Son écriture est reconnue par Mouv' de Radio France, qui le place avec quelques rappeurs dont la plume "se distingue au fil de leurs morceaux comme l’élément clé de leurs propositions et participe grandement à remettre les textes au centre du paysage rap francophone"[13].

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Le dernier morceau dévoilé par l’artiste est sans doute la porte d’entrée la plus criarde de la direction artistique du rappeur. Dénommée “Merci pour la douleur”, le titre libère 2:18 d’un texte simplement lu. On y entend le quotidien grisâtre d’une âme délavée, en proie au spleen, soumise à une morosité solidement créatrice. Ces nuances une fois saisies, l’univers de Wallace devient perceptible. Ce titre est d’ailleurs le morceau choisi pour annoncer la venue de son prochain projet. Projet qui pour l’heure n’a aucune date, aucun nom, aucune cover, mais des précommandes quasi sold-out…[10]

"Si aujourd’hui la force de Wallace Cleaver se trouve évidemment dans sa direction artistique millimétrée, sa fine sélection de productions et sa technique irréprochable, son meilleur atout reste sa qualité d’écriture aussi remarquable qu’appliquée. Un travail de fond qui porte aujourd’hui ses fruits : considéré comme l’un des talents les plus important de l’année 2023, le rappeur originaire de Blois cumule plus de 200 000 auditeurs Spotify mensuel, et grâce à son écriture intemporelle, semble bien parti pour placer « Baiser » comme l’un des projets majeurs de la nouvelle génération des années 2020.[13]

Capable de te faire pleurer d’émotion comme de te plonger dans une ambiance agressive et incisive, Wallace fait aujourd’hui partie d’une vague d’ovnis, et c’est l’heure pour lui de recevoir enfin la lumière qu’il mérite[5].

Pour Jolagreen23 : "Comme on dit, c’est un blanc qui fait les choses ! Le mec parle de sa campagne, c’est super émouvant, c’est brut en même temps. Il s’en fout, il a des lunettes rondes, il a un dégradé court le mec, il est là à vivre sa vie et à dire ce qu’il a à dire. C’est ce que je cherchais, il me paraissait trop sain, trop honnête. Avant même que je sois signé en label, quand je faisais des freestyles sur Instagram, c’est le premier avec une pastille bleue à m’avoir contacté. J’étais choqué. "[14]

"Disponible depuis le 16 juin, baiser est une véritable bouffée d’air frais. On y retrouve un Wallace Cleaver divisé entre la douceur et la brutalité de la vie. Noyé par ses émotions, il illustre son quotidien grisâtre avec des réflexions puissantes et personnelles. L’artiste n’a jamais été autant confidentiel et universel à la fois. Mention spéciale pour les prestations de haute volée des invités que sont Sheldon, Mairo, dxvl et Django. [15]

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Tovaritch[modifier | modifier le code]

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Suite[modifier | modifier le code]

Jey Brownie[modifier | modifier le code]
H JeuneCrack[modifier | modifier le code]

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Bakari[modifier | modifier le code]

Bakari
Naissance (27 ans)
République Démocratique du Congo
Activité principale Rappeur, auteur-compositeur-interprète
Genre musical Rap français
Instruments Voix
Années actives depuis 2018
Labels Columbia

Bakari est un rappeur installé à Liège, en Belgique, né au Congo et d'origine rwandaise.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines et enfance[modifier | modifier le code]

Bakari naît en République Démocratique du Congo le 17 août 1996[27] mais déménage peu après à Kigali[28], au Rwanda, pays que ses parents ont fui en 1994 en raison de la guerre civile[29]. Avec sa mère, ils partent pour la Belgique et Liège, en 2004, dans l'optique de rejoindre son père[29].

Il découvre le rap à l'âge de dix ans, à la radio, au travers du morceau N°10 de Booba, issu de son album Panthéon. A l'adolescence, il se passionne pour 50 Cent, Nas et T.I. notamment[30].

Fin 2019, Bakari est un artiste du label Columbia[30].

Carrière[modifier | modifier le code]

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"les premiers textes posés sur des faces b, un projet de groupe avec le rappeur Liégeois Obeeone (Nü Pi) et un premier EP solo, « Kaléïdoscope », sorti en septembre 2018."[30]

"Bakari est bel et bien une révélation, un rappeur capable de s’attirer les compliments de toute l’industrie musicale francophone tout en composant des morceaux mélancoliques et maitrisés (punchlines, rimes techniques, refrains chantonnés)." En clair, qu'il fasse dans le banger ou l'introspection, Bakari aime les morceaux extrêmement mélodiques. Ça tombe bien, son nouveau single s’appelle Mélodie, et c’est un (énorme) tube potentiel.[30]

"Et très tôt, la musique tient une place importante dans ces souvenirs. Incontournable, la rumba venue du non-lointain Congo a été l’un des baptêmes musicaux de Bakari. À la même période, Bakari découvre également 50 Cent, une première incursion dans le monde du rap qui marquera durablement le futur rappeur. En 2004, la vie du jeune garçon connait un nouveau tournant. Avec sa mère, il part rejoindre son père à Liège, en Belgique. Là, alors qu’il ne parle pas un mot de français, il se découvre un amour viscéral pour la langue et le maniement des lettres. De cet amour balbutiant à l’écriture de ses premières rimes, il n’y a qu’un pas, qu’il franchit à 15, 16 ans. Le rap s’impose alors tout naturellement comme une échappatoire pour le jeune Liégeois.[29]

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Sources + pour TIF[modifier | modifier le code]

Toujours en quête de renouvellement, TIF cherche constamment à se démarquer avec sa fusion de styles et son approche authentique du hip-hop.[31]

"lui qui mêle admirablement le français et l'arabe dans une proposition musicale qu'il sublime lorsqu'il la décline sur scène, comme en atteste la version live du disque parue en novembre avec pas moins de six pistes magnifiées.[32]

"Les parties instrumentales, principalement produites par son acolyte Khalil Cherradi, ajoutent à l’univers rap des rythmiques et des instruments traditionnels maghrébins. Sa force : être capable de faire des chansons vraiment rappées (Shadow Boxing), des ballades guitare-voix (Amnesia) et de vrais hits (Hinata).[33]


"“Mes premiers souvenirs de musique c’est la radio avec mes parents et mon grand-frère qui écoute du rnb en jouant à Counter Strike. C’est lui qui m’a plongé dans le rap parce qu’il écoutait du Booba, du Dicidens. Au début, je n’étais pas focus que sur le rap, parfois je me surprenais même à écouter du Metallica”. Mais rapidement, c’est le rap qui lui fait du pied. Comme un appel venu de ses aînés, ceux qui l’inspirent et lui font pousser la chansonnette : “Je chantais par-dessus leurs voix dans ma chambre ou dans la voiture. Ça rendait comme si c’était eux qui rappait et du coup, j’ai voulu écrire mes premiers textes.”  [34]

Entre Paris et Alger, le béton et la Méditerranée, le rappeur/chanteur TIF En français et en arabe, l’artiste livre des morceaux d’une nostalgie troublante. Il dévoile son premier projet HOUMA SWEET HOUMA et confirme qu’il a toute sa place sur la nouvelle scène rap[35].

Découvert au MaMa festival à Paris, TIF est un rappeur mélomane originaire d’Alger basé à Paris qui chante aussi bien en arabe qu’en français. Au mois de mai dernier, il a sorti un premier EP de dix titres qui ressemble à la carte de visite d’un immigré algérien[36].

le jeune rappeur algérien Tif voit ses lyrics repris en chœur par une foule électrisée. Son énergie bonhomme, ses vers, en français et en arabe, sur l'immigration, le mal du pays ou la Houma Sweet Houma ("Home sweet home") touchent au cœur[37].

SOURCE PAS UTILISEE : Au tour de TIF de monter sur scène. L’artiste qui s’est fait un nom important en peu de temps sur la scène rap n’avait jamais performé devant un public aussi important. Accompagné d’un batteur et de plusieurs guitaristes, TIF et sa bande live nous ont livré un show fort en émotion qui ne laisse pas indifférent[38].

La première chose qui nous marque est sa manière de rapper. Très posé, presque parlé par moment, et un sens de la musicalité pointu. Il nous transporte immédiatement dans son quotidien. Sa musique est un mélange d’espoir et de  mélancolie , aussi bien dans  ses paroles que ses instrus. Cette dichotomie  s’explique par la vie de l’artiste, partagé entre le désir de partir, très tôt dans sa vie, et la nostalgie après être arrivé en France. Alger est au centre de sa musique, principale source d’inspiration, ses problèmes,  son énergie, sa spiritualité et ses habitants. Cela est parfaitement résumé dans son interview Yard où il nous dira en parlant de son inspiration : «j’ai besoin de me brancher à la source» . Un rapprochement peut être fait avec Zamdane pour l’écriture si particulière, riche et  imagée, tantôt poétique, et frappant en pleine poitrine l’instant d’après[39].

Toufik alias Tif est un artiste originaire d’Alger vivant à Paris, c'est un rappeur mélomane capable de rapper et chanter en français comme en arabe. En 2020, il a connu un véritable engouement avec son titre 3iniya (mes yeux en arabe). Ce clip tourné à Alger totalise 700k vues sur youtube et lui a créer une audience en Algerie et en France. Sa communauté était au rendez-vous lors de son retour en Mai 2022 lors de la sortie de son 1er projet "Houma Sweet Houma" (Quartier mon doux quartier en "arabe"). Malgré des propositions de grosses industries, Il a tout de fois choisi l’indépendance et un contrat de distribution chez Warner pour préparer ce premier EP afin de rester fidèle à sa musique. Son univers est identifié et identifiable, sa nostalgie joyeuse et communicative. "HSH" nous fait voyager entre Alger et Paris part ses paroles touchantes et une musicalité certaine. Récemment, un documentaire Yard "On the corner" realisé par Samir Lebabtou raconte son parcours.[40]

Tif chante en français et en arabe sur des airs traditionnels qui font parfois penser au chaâbi, la musique populaire algérienne aux accents andalous, avec un phrasé qui vient du rap, mais aussi des chanteurs charmeurs du raï : « Ma génération est issue de ces styles et est en même temps influencée par le rap de la fin des années 90. À Alger, il y avait ce mélange de culture du chaâbi et du raï qui venaient de nos parents. Je suis le résultat de ce melting pot musical ».[41]

Tif est dans les cinq premières signatures du label ADA France, de Warner[34].

En regardant le panorama du rap maghrébin, on se dit que Tif a le meilleur format pour tout casser. En mars 2023, le rappeur algérien sortait 1.6, album fédérateur à la subtile recette combinant rap en français, rythmes chaâbis, guitares andalouses et piques synthétiques. Tif semble depuis parti pour marcher sur [insérer la destination en fonction de la date de lecture de l’article]. La double date à Olympia semble déjà trop petite pour lui.[42]

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danyl suite[modifier | modifier le code]

le rappeur Rim'K en parle comme étant la relève[43]

PLUME DE RAPLUME AUSSI[44]

S’il espère pouvoir continuer à bosser pour d’autres, Danyl se consacre dorénavant à 100% à sa propre carrière. À ce jour, il a déjà dévoilé une trilogie d’EP intitulée "Khedma" ("le charbon", "le travail" en arabe, ndlr). Au-delà de ses talents de beatmaker, c’est son incroyable sens de la mélodie qui fait la force de Danyl sur ces projets. "J’écoute beaucoup de musique, ça peut aider, analyse celui qui vient de sortir "Khedma 3".[43]

. Et à en écouter son dernier EP Chulito (qui vient de paraître en cette rentrée), on se doute qu’un grain de sable l’a légèrement dévié de sa trajectoire. Légèrement… [45]

Repéré par Spinnup, la plateforme de distribution digitale l’aide à trouver ses premières dates, notamment aux Bars en Trans et au MaMA 2019 (deux autres grands RDV de l’émergence, rassemblant moult professionnels de la musique), puis de fil en aiguilles, il se fait sélectionner par les Inouïs du Printemps pour qui il a joué la semaine passée, un premier concert devant un public de pros assis “ça ressemblait à un cabaret ! Je suis allé les chercher plus que d’habitude, mais au final j’appréhendais plus qu’autre chose !”[45]

Après un premier EP en hommage à son background, Partition, Danyl se révèle donc sur ce tout nouvel EP Chulito, plus abouti tant par ses productions (qu’il signe intégralement) que par son écriture : “Chulito, c’est un peu la V2 de Partition” ironiste-il. Et il faut dire que cet hyperactif n’a pas chômé cette année ! [45]

(il monte même ses propres clips)[45]

On est sous le charme de ses punchlines sincères et entêtantes, qu’il a peaufinées pour plus d’effets dans des writing camps initiés par son éditeur Universal : “J’ai beaucoup écrit cette année, j’ai appris à dire des choses plus vraies, plus sincère, pour que ça touche plus les gens, à recentrer et simplifier ma plume”[45].

” Loin du bad boy et des punchlines ego-trip donc, la recette gagnante chez Danyl, c’est cette “âme de lover” et ce fond de bouillon très pop “qui te parle dès la première écoute.” Pas une surprise, si ce fan de success stories, voue un culte à Stromae, Ed Sheeran, ou encore Drake. Et le dernier défi de Danyl ne risque pas de calmer son délire stakhanoviste ! Le pitch ? “Faire une vidéo par semaine sur Youtube, comme un documentaire de mon quotidien”. Le top départ a été lancé le 27 août dernier et on vous donne RDV dans un an pour faire un bilan de SA success story ! “Ca me motive grave !” nous répond-il. Et nous aussi ![45]

blabla[46]

blabla2[47] .

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Caribana line up 2007[modifier | modifier le code]

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Yuzmv, sources supplémentaires[modifier | modifier le code]

MEHDI[48]

2023-2024 tournée[49]

clique[50]

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Références du brouillon entier[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g « Wallace Cleaver, un rappeur du Loir-et-Cher à L’Olympia », sur Nouvelle République, (consulté le )
  2. a b et c « Wallace Cleaver : Portrait d'un talent montant du rap fr », (consulté le )
  3. a et b « HPA MOB », sur Genius (consulté le )
  4. « Wallace Cleaver feat. Django : une alchimie inattendue », (consulté le )
  5. a et b Timothée Van Poecke, « Pourquoi il faut absolument voir et écouter le Grünt #57 de Wallace Cleaver », sur Konbini, (consulté le )
  6. « Garden Club », sur Genius (consulté le )
  7. « Wallace Cleaver - Fe.tys », sur Genius (consulté le )
  8. « Wallace Cleaver - Arsène », sur Genius (consulté le )
  9. (en) « Wallace Cleaver – Le Bus | A COLORS SHOW », sur COLORSxSTUDIOS (consulté le )
  10. a b c et d Lucas Laberenne, « Wallace Cleaver : le portrait rap de la semaine », sur aficia., (consulté le )
  11. LES 10 MEILLEURS SONS DE 2023 (La Fève ou Wallace Cleaver ?), Le Règlement (, 18:18 minutes) Consulté le .
  12. « Crasville. Tournage de clip », sur lamanchelibre.fr, (consulté le )
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  17. « Tovaritch montre les muscles sur « BRATVA V » [VIDEOCLIP] », sur https://www.booska-p.com/, (consulté le )
  18. « Tovaritch fait parler sa puissance dans « Booska Poutine » [FREESTYLE] », sur https://www.booska-p.com/, (consulté le )
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  20. Antoine, « 10 bonnes connexions franco-allemandes », sur LE BON SON, (consulté le )
  21. Genono, « Jul, Booba, Nekfeu... quand GTA inspire le rap français », sur Mouv', (consulté le )
  22. Nicolas Lévine, « Revue Éléments - Le féminisme à l’épreuve du rap », sur Revue Éléments, (consulté le )
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  50. Benjamin Blandin, « Yuzmv : La musique pour panser les blessures - Clique Talk », sur Clique.tv, (consulté le )