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Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero
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Général Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero 1881

Naissance
Barcelone (Espagne)
Décès 28 ou 29 janvier 1891
Nice (France)
Nationalité Espagnol
Résidence Madrid
Domaines Géographie, Géodésie, Métrologie.
Institutions

Institut Géographique et Statistique d'Espagne

Académie royale des sciences exactes, physiques et naturelles de Madrid

Académie des sciences (France)

Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique

Académie royale des sciences de Prusse

Association Géodésique Internationale

Comité international des poids et mesures
Formation Académie militaire du génie de Guadalajara
Renommé pour Jonction géodésique et astronomique de l'Algérie avec l'Espagne
Distinctions Prix Poncelet

Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero, marquis de Mulhacén, né le 14 avril 1825 à Barcelone et mort le 29 janvier 1891 à Nice, est un général de division et géodésien espagnol[1].

Carrière militaire[modifier | modifier le code]

Fils de Martín Ibáñez y de Prado et de Carmen Ibáñez de Ibero y González del Río, Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero est issu d'une famille de tradition militaire. Il entre très tôt à l'académie militaire du génie de Guadalajaja, puis dans le corps du génie de l'armée espagnole et poursuit une carrière d'officier jusqu'au rang de général de division[1],[2].

Carrière scientifique[modifier | modifier le code]

De la commission de la carte d'Espagne à la direction de l'Institut Géographique et Statistique National espagnol[modifier | modifier le code]

Extrait d'un plan de Madrid publié en 1874 par l'Institut Géographique (Espagnol).
Casino de la reine selon le plan de Madrid publié en 1874 par l'Institut Géographique (Espagnol), dirigé par Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero.

Au XIXème siècle, l'Espagne est en retard sur ses voisins dans le domaine de la cartographie. En 1853, le Gouvernement espagnol décide de la mise en oeuvre d'une grande carte topographique de l'Espagne. Elle désigne Ibáñez et Saavedra pour en effectuer les travaux préparatoires. En effet, tout l'outillage scientifique et technique nécessaire à cette entreprise est à créer. Les appareils conçus et utilisés au XVIIIème et au début du XIXème siècle par Borda ou Bessel sont dépassés par l'utilisation de systèmes de lecture au microscope[3],[1],[4],[5]. L'Espagne ayant adopté le système mètrique depuis 1849, Ibáñez se rend à Paris avec Saavedra pour faire construire un appareil de mesure de leur conception par Brunner. En 1858, ils mesurent la base centrale de triangulation de l'Espagne à Madridejos dans la province de Tolède avec une précision inégalée jusque là. Plus tard, Ibáñez conçoit un second appareil plus maniable construit avec une règle mono-métallique en fer dotée de thermomètres à mercure, utilisés pour contrôler le coefficient de dilatation du métal. Cet instrument sera appelé l'appareil Ibáñez et est également réalisé à Paris. Légèrement moins précis, il permet d'augmenter la vitesse des relevés. Il sera utilisé en Suisse pour la mesures des bases géodésiques d'Aarberg, Weinfelden et Bellinzone[6],[1],[4],[5],[7],[8].

En 1863, Ibáñez et Ismael Effendi effectuent des mesures, afin de vérifier les caractéristiques de la règle utilisée en Egypte. En 1869, Ibáñez se rend à Southampton pour effectuer des mesures nécessaires à la comparaison du mètre avec le yard anglais[5].

Institut Géographique d'Espagne, Calle General Ibáñez de Ibero 3, Madrid

Ibáñez est nommé directeur de l'Institut Géographique espagnol dès sa fondation en 1870. Cet Institut constitue le plus vaste établissement de ce genre existant à l'époque. Il rassemble la géodésie, la topographie générale, les nivellements, la cartographie, la statistique et le service général des poids et mesures. Ibáñez réalise la carte d'Espagne à l'échelle 1 : 50 000, dont la publication débute en 1875. Il procède à la mesure du nivellement du territoire espagnol. Il dirige les recensements de la population espagnole de 1877 et 1887[1],[5].

Carte de la Méditerranée montrant les rapports de l'Espagne avec le Portugal, la France, le Maroc et l'Algérie.

Le prolongement du méridien de Paris jusqu'en Algérie française[modifier | modifier le code]

En 1865, les travaux de triangulation de l'Espagne sont bien avancés et le réseau géodésique espagnol est connecté avec la France à travers les Pyrénées[9]. Par ailleurs, la triangulation des îles Baléares effectuée par Ibáñez en personne de 1865 à 1868 permet de prolonger le méridien de Paris jusque dans la Méditerranée[3],[9]. La triangulation de l'Espagne prolonge le réseau continental jusqu'à Gibraltar laissant entrevoir la possibilité d'une jonction géodésique de l'Europe avec l'Afrique[9]. Toutefois, la jonction géodésique de l'Europe et de l'Afrique ne se fera pas à Gibraltar, mais entre la Sierra Nevada en Espagne et l'Algérie française dans la région située entre Oran et la frontière du Maroc[10].

Carte géographique représentant le méridien de Paris comme méridien d'origine.

En 1866, lors de la conférence de l'Association Géodésique à Neuchâtel, Ibáñez annonce le concours de l'Espagne à la mesure de la Méridienne de France. En 1879, Ibáñez et François Perrier exécutent la jonction du réseau géodésique espagnol avec l'Algérie et complètent ainsi la mesure du méridien de Paris qui s'étend alors entre les Shetland et les confins du Sahara. Cette réalisation constitue une prouesse technique pour l'époque. Il s'agit d'observer des signaux lumineux se propageant à une distance allant jusqu'à 270 km par dessus la Méditerranée. Les appareils nécessaires à la production des signaux lumineux électriques sont transportés dans des stations d'altitude situées sur les monts Mulhacén et Tetica en Espagne et Filhaoussen et M'Sabiha en Algérie[3],[5],[11].

Carte de l'Algérie montrant la distance entre Oran et l'Espagne

La collaboration scientifique internationale dans le domaine de la géodésie et l'internationalisation du système métrique[modifier | modifier le code]

L'internationalisation du système métrique, une initiative des géodésiens[modifier | modifier le code]

Les travaux géodésiques en Espagne s'associent étroitement à ceux menés en Europe centrale sous l'impulsion de Johann Jacob Baeyer, fondateur en 1861 de l'Association pour la mesure des degrés en Europe (Europäische Gradmessung). L'association deviendra l'Association Géodésique Internationale, puis l'Association Internationale de Géodésie, l'une des associations constitutives de l'Union Géodésique et Géophysique Internationale. Ibáñez devient président de la Commission permanente de l'Association depuis 1874 jusqu'à sa mort en 1891. Durant cette période, Friedrich Robert Helmert succède à Johann Jacob Baeyer à la tête de l'Institut de Géodésie de Prusse qui est l'institut hôte de l'Association Géodésique Internationale et dont le directeur dirige également le Bureau Central de l'association[1],[5],[12],[13].

L'ambition des géodésiens est de combiner les travaux effectués dans les différents pays pour parvenir à déterminer la forme et les dimensions du globe terrestre. Il apparaît nécessaire de réformer le système métrique et de le rendre international pour s'assurer de l'équivalence des mesures effectuées. A l'instigation d'Adolphe Hirsch, Johann Jacob Baeyer et Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero, l'Association géodésique choisit le mètre comme unité géodésique lors de la Conférence géodésique internationale réunie à Berlin en 1867. Il est convenu de créer un mètre international différant aussi peu que possible du Mètre des Archives, de doter tous les pays d'étalons identiques et de déterminer de la manière la plus exacte les équations de tous les étalons employés en géodésie, par rapport à ce prototype. L'Association géodésique demande aux gouvernements de réunir à Paris une Commission internationale du mètre pour réaliser ces résolutions de principe[14],[5].

Ibáñez e Ibáñez de Ibero diplomate et premier président du Comité international des poids et mesures[modifier | modifier le code]

Pavillon de Breteuil

Le général Ibáñez représentera l'Espagne à la Conférence internationale qui se tiendra à Paris en 1875 et qui aboutira à la Convention du mètre. Il contribue grandement à cet heureux résultat par la finesse déliée de son esprit diplomatique et sa grande compétence scientifique. Dès 1872, Ibáñez est élu président du Comité permanent nommé par la Commission internationale du mètre et deviendra, avec l'entrée en vigueur de la Convention du mètre en 1875, le premier président du Comité international des poids et mesures (1875-1891), organe de surveillance du Bureau international des poids et mesures, basé au pavillon de Breteuil, à Sèvres, près de Paris. En 1889, Ibáñez devenu marquis de Mulhacén représente à nouveau l'Espagne à la première Conférence générale des poids et mesure. De 1889 à 1960, le mètre sera défini par un prototype international en platine iridié qui est encore conservé au pavillon de Breteuil dans les conditions fixées en 1889[15],[1],[5],[16],[17],[18].

Prototype américain du mètre de 1889

Ibáñez est élevé à la dignité de Grand officier de la Légion d'honneur en 1885 en reconnaissance de son rôle dans l'uniformisation et la diffusion du système métrique[2],[19].

Une renommée scientifique internationale[modifier | modifier le code]

Le 11 mai 1861, Ibáñez est admis à l'Académie royale des sciences exactes, physiques et naturelles de Madrid. Il entre à l'Institut égyptien comme membre honoraire le 28 août 1863. En 1885, il est élu correspondant (section géographie et navigation) de l'Académie des Sciences de Paris le 17 août, puis associé (Classe des Sciences) de l'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique le 15 décembre. Le 20 janvier 1887, Ibáñez est nommé membre Honoraire de l'Académie des Sciences de Berlin. En 1890, il reçoit le prix Poncelet[1],[4],[19],[20],[21],[22],[23],[24],[25].

En 1889, la Couronne d'Espagne lui concède de titre de Marquis de Mulhacén pour l'ensemble de sa carrière. Selon les mots d'Adolphe Hirsch, directeur de l'Observatoire de Neuchâtel, la référence au pic Mulhacén renvoie à la jonction géodésique et astronomique réalisée par Ibáñez et François Perrier entre l'Algérie et l'Espagne[4],[5].

Fin de carrière et décès[modifier | modifier le code]

Fin 1889, Ibáñez qui souffre d'hémiplégie démissionne de la direction de l'Institut de Géographie et de Statistique qu'il dirige depuis 19 ans. Sa décision semble en outre avoir été précipitée par la publication d'un décret qui lui retire le contrôle économique de l'Institut pour le remettre au ministre des Travaux Publics[4].

Vue du cimetière du Château à Nice avec la chapelle de la sainte Trinité en arrière plan.

Il sollicite la permission du ministère de la Guerre de quitter l'Espagne et obtient l'autorisation de s'installer temporairement à Nice où il avait l'habitude de séjourner avec sa famille. Il décède dans la nuit du 28 au 29 janvier 1891. Les sources en Espagne retiennent comme date du décès le 28 janvier, alors qu'ailleurs on mentionne le 29 janvier 1891. Le décalage horaire entre Nice et Madrid constitue une source de confusion. En effet, à l'époque, il n'y a pas d'heure nationale, ni en Espagne, ni en France. Chaque ville vit à l'heure solaire. Ibáñez décède peu avant l'adoption de la loi du 14 mars 1891 qui unifie l'heure en France en prenant comme référence le méridien de Paris. L'Espagne décidera par décret du 27 juillet 1900, exécutoire dès le 1er janvier 1901 de se conformer à l'heure du méridien de Greewich[2],[4],[26],[27],[1],[28],[29],[30].

Lors de ses obsèques, le Gouvernement Français fait rendre au général Ibáñez les honneurs dus à un militaire de haut rang. Son tombeau se trouve dans le cimetière du Château à Nice en France[19].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Le portail de l'Université de Navarre (Espagne), dédié à la correspondance européenne de C. S. Peirce comprend une page dédiée aux correspondants européens de C. S. Pierce, accessible à l'adresse suivante : http://www.unav.es/gep/CorresponsalesEuropeos.html. La page, consacrée au général Carlos Ibánez e Ibáñez de Ibero est disponible à l'adresse suivante : http://www.unav.es/gep/IbanezDeIbero.html. Cette page renvoie à différentes œuvres du général Ibáñez consultables en ligne :

1863. C. Ibáñez de Ibero y Antonio Aguilar y Vela, "Historia de los instrumentos de Observación en Astronomía y Geodesia. Influencia que en la constitución de ambas ciencias éstos han ejercido", Discurso de Recepción y Contestación a un nuevo Académico, Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales, Madrid, 1863.

1863. C. Ibáñez de Ibero y M. Ismail-Efendi, "Comparación de la regla geodésica, perteneciente al Gobierno de su Alteza el Virrey de Egipto, con la que sirvió para medición de la Base central del Mapa de España", Memorias. Serie Primera. Tomo II. Parte 2. Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales, Madrid, 1863.

1865. Base centrale de la triangulation Géodésique d'Espagne, Madrid, Imp. Rivadeneyra, 1865.

1869. Nuevo aparato de medir bases geodésicas, Madrid, Imp. del Memorial de Ingenieros, 1869.

1871. Descripción geodésica de las Islas Baleares, Madrid, Imp. Rivadeneyra, 1871.

1871. Discursos leídos ante la Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales en la recepción pública del Sr. D. Pedro Alcántara de la Llave el día 26 de marzo de 1871, Madrid, Imprenta de la Viuda e Hijo de D.E. Aguado, 1871.

1880. Enlace Geodésico y Astronómico de Europa y África: Notas presentadas a la Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales por sus individuos D. Carlos Ibáñez y D. Miguel Merino, Madrid, Imprenta de la Viuda e Hijo de D.E. Aguado, 1881 [En la página 68 cita a Charles S. Peirce].

1881. Discurso de don Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero en la recepción pública de don Joaquín Barraquer y Rovira en la Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales, Madrid, Imprenta de la Viuda e Hijo de D.E. Aguado, 1881.

1881. C. Ibáñez de Ibero y Joaquín M. Barraquer i Rovira, "Aplicación e importancia del péndulo en la investigación de la figura de la Tierra", Discurso de Recepción y Contestación a un nuevo Académico, Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales, Madrid, 1881.

1884. Mapa de España Formado por el Excmo. Señor Mariscal de Campo D. Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero con motivo de la división del territorio en zonas militares para situar las Reservas y Depósitos del Ejército, Madrid, Lit. del Instituto Geográfico y Estadístico, 1884.

1888. Estudios sobre nivelación geodésica, Madrid, Imp. de la Dirección General del Instiuto Geográfico y Estadístico, 2ª ed., 1888.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

T. Soler, "A Profile of General Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero: First President of the International Geodetic Association", Journal of Geodesy 71 (1997), 176-188.

T. Soler y M. Ruíz-Morales, "Letters from Carlos Ibáñez e Ibáñez de Ibero to Aimé Laussedat: New Sources for the History of Nineteenth Century Geodesy", Journal of Geodesy 80 (2006), 313-321.

Adolf Hirsch, , LE GENERAL IBANEZ NOTICE NECROLOGIQUE LUE AU COMITE INTERNATIONAL DES POIDS ET MESURE, LE 12 SEPTEMBRE ET DANS LA CONFERENCE GEODESIQUE DE FLORENCE, LE 8 OCTOBRE 1891, Neuchâtel, IMPRIMERIE ATTINGER FRERES, 1891, 15 p.

François Perrier, « Jonction géodésique et astronomique de l'Algérie avec l'Espagne », La Nature,‎ 17 janvier 1880, p. 97-99 (lire en ligne [archive])

Albert Pérard, , Madrid, Institut de France Académie des Sciences - Notices et discours., 1957, 7 p. (lire en ligne [archive])p. 26-31

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Histoire de la triangulation en France

Méridienne (géodésie)

Expéditions géodésiques françaises

Méridien de Paris

François Perrier (général)

Aimé Laussedat

Mètre

Pavillon de Breteuil

Bureau international des poids et mesures

Convention du mètre

Friedrich Robert Helmert

Jean-Charles de Borda

Friedrich Wilhelm Bessel

Liens externes[modifier | modifier le code]

Instituto Geográfico Nacional site officiel

Association Internationale de géodésie site officiel

Bureau International des Poids et Mesures site officiel

Métrologie française site officiel

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h et i (de) « Carlos Ibáñez de Ibero », Wikipedia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. a b et c (es) Angel Paladini Cuadrado, "El general Ibáñez. Su personalidad militar y humana", Conmemoración del centenario del general Ibáñez e Ibáñez de Ibero, Madrid, Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales, , 32-49 p. (lire en ligne), p. 34, 31
  3. a b et c Le Moniteur scientifique du Docteur Quesneville : journal des sciences pures et appliquées, compte rendu des académies et sociétés savantes et revues des progrès accomplis dans les sciences physiques, chimiques et naturelles / directeurs : P. Schutzenberger, G. Quesneville, Dr. G. Quesneville, (lire en ligne), p. 310, p. 191
  4. a b c d e et f (es) Rodolfo Núñez de las Cuevas, Militares y marinos en la Real Sociedad Geográfica, Madrid, Real Sociedad Geográfica, , 21 (15-36) (lire en ligne), p. 17, 20, 24, 28, 33
  5. a b c d e f g h et i Adolphe Hirsch, LE GENERAL IBANEZ NOTICE NECROLOGIQUE LUE AU COMITE INTERNATIONAL DES POIDS ET MESURE, LE 12 SEPTEMBRE ET DANS LA CONFERENCE GEODESIQUE DE FLORENCE, LE 8 OCTOBRE 1891, Neuchâtel, IMPRIMERIE ATTINGER FRERES, , 15 p. (lire en ligne), p. 5, 6, 8, 9, 11, 12, 13-14, 9-10, 10-11, 15
  6. « La merveilleuse histoire du mètre, premier étalon universel | La Jaune et la Rouge », sur www.lajauneetlarouge.com (consulté le )
  7. Charles-Edouard Guillaume, Notice nécrologique de F Da Paula Arrillaga y Garro (lire en ligne), p. 110 (p.2 du document électronique
  8. A. Hirsch et J. Dumur, Le Réseau de Triangulation Suisse, Lausanne, Commission Géodésique Suisse, , 116 p. (lire en ligne), p. 9, 11-26, 111-113,
  9. a b et c Carlos (1825-1891) Ibáñez e Ibáñez de Íbero, Base centrale de la triangulation géodésique d'Espagne / par D. Carlos Ibañez é Ibañez,... D. Frutos Saavedra Meneses,... D. Fernando Monet,... [et al.] ; trad. de l'espagnol, par A. Taussedat,..., impr. de M. Rivadeneyra, (lire en ligne), Appendice N°11 p. CCLIII, p. CCLV, p. CCLVI.
  10. François Perrier, « CNUM - 4KY28.14 : p.97 - im.101 : Jonction géodésique et astronomique de l'Algérie avec l'Espagne », sur cnum.cnam.fr, La Nature, (consulté le )
  11. « CNUM - 4KY28.14 : p.97 - im.101 », sur cnum.cnam.fr (consulté le )
  12. « Past Officers (Presidents and General Secretaries) of the IAG », sur IAG Homepage (consulté le )
  13. (en) Hermann Drewes, Franz Kuglitsch, József Adám et Szabolcs Rózsa, « The Geodesist’s Handbook 2016 », Journal of Geodesy, vol. 90, no 10,‎ , p. 914 (ISSN 0949-7714 et 1432-1394, DOI 10.1007/s00190-016-0948-z, lire en ligne, consulté le )
  14. « BIPM - Commission internationale du mètre », sur www.bipm.org (consulté le )
  15. Documents diplomatiques de la Conférence du mètre Convention du mètre signée à Paris le 20 mai 1875, Paris, Imprimerie nationale, , 135 p. (lire en ligne), p. 8 (p. 4 du document électronique)
  16. « Convention du mètre - organisation internationale - métrologie française », sur www.metrologie-francaise.fr (consulté le )
  17. Compte rendu du la première Conférence Générale des poids et mesures réunie à Paris en 1889, Paris, Gauthier-Villars et fils, imprimeurs-libraires de l'école polytechnique, du bureau des longitudes, , 64 p. (lire en ligne), p. 5
  18. « BIPM - mètre », sur www.bipm.org (consulté le )
  19. a b et c Albert Pérard, Carlos IBAÑEZ DE IBERO (14 avril 1825 - 29 janvier 1891), par Albert Pérard (inauguration d'un monument élevé à sa mémoire), Madrid, Institut de France Académie des Sciences - Notices et discours., , 7 p. (lire en ligne), p. 30
  20. « Real Academia de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales - Académicos - Académicos », sur www.rac.es (consulté le )
  21. imp. de l'Institut égyptien, Livre d'or de l'Institut égyptien, Le Mans, imp. de l'Institut de bibliographie, , 274 p. (lire en ligne), p. 71
  22. Super User, « Les membres du passé dont le nom commence par I | Liste des membres depuis la création de l'Académie des sciences | Membres | Nous connaître », sur www.academie-sciences.fr (consulté le )
  23. « Académie royale de Belgique », sur academieroyale.be (consulté le )
  24. « Mitarbeiter - Mitglieder der Vorgänger-Akademien », sur www.bbaw.de (consulté le )
  25. Le Moniteur scientifique du Docteur Quesneville : journal des sciences pures et appliquées, compte rendu des académies et sociétés savantes et revues des progrès accomplis dans les sciences physiques, chimiques et naturelles / directeurs : P. Schutzenberger, G. Quesneville, Dr. G. Quesneville, (lire en ligne), p. 191
  26. (es) « Carlos Ibáñez de Ibero », Wikipedia, la enciclopedia libre,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. (ca) « Carlos Ibáñez de Ibero », Viquipèdia, l'enciclopèdia lliure,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. (sv) « Carlos Ibáñez de Ibero », Wikipedia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « Heure en France », Wikipédia,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. M. Zimmermann, « Espagne. Adoption du méridien de Greenwich. Projet d'irrigation », Annales de Géographie, vol. 10, no 50,‎ (lire en ligne)