Utilisateur:Bigonoka/Brouillon
Do not forget[modifier | modifier le code]
Sixto Diaz Rodriguez
Cold Fact
Polnareff -> album "Love me, love me, love me"
label BYG Actuel
Kid A -> traduction from english page ?
The Shape of Jazz to Come
Brouillon[modifier | modifier le code]
Bertrand Burgalat[modifier | modifier le code]
Biographie[modifier | modifier le code]
Bertrand Burgalat est un producteur, un musicien et un compositeur français né à Bastia en 1963. Son père était préfet. Il se passionne assez tôt pour la musique, son premier émoi musical, le déclencheur, ayant été "Meddle" du groupe Pink Floyd, morceau passé par son professeur de musique en 6ème.[1] Il joue alors dans des groupes de rock et de jazz, mais doit souvent déménager à cause des déplacements qu'implique le travaille de son père[2]. Il a été décoré de l'Ordre des Arts et des Lettres en avril 2009 par la ministre de la Culture, Christine Albanel. Etaient présents lors de la remise des insignes : Valérie Lemercier, Marc Lavoine, Jean-Paul Rouve, Philippe Manoeuvre, et Jean-Charles de Castelbajac[3].
Activités[modifier | modifier le code]
Il est connu pour divers projets éclectiques tel que:
- production et arrangements pour des artistes et groupes tels que Alain Chamfort, Pizzicato Five, Dominique Dalcan, Jad Wio, Einstürzende Neubauten, Ollano, Laibach, Katerine, Valérie Lemercier, Mick Harvey, April March, Supergrass, Michel Houellebecq, Christophe Willem, Alizée, Les Shades, Depeche Mode... participation au projet Gruesome Twosome (avec Samy Birnbach, ex-Minimal Compact, alias Solomon Pearbrook alias DJ Morpheus) et A.S. Dragon ;
- fondateur du label Tricatel dont le nom est tiré du film de Claude Zidi L'Aile ou la Cuisse et dont la première sortie fut l'album de Valérie Lemercier ;
- organisateur des soirées Tricatel, dans un bowling de l'avenue Foch, puis à Mains d'Oeuvres ;
- bandes originales de Les Nuits fauves de Cyril Collard, Quadrille, et Palais Royal ! ;
- nombreux remixes : Easy Tiger de Depeche Mode, Soul II Soul, ou Sexy boy de Air ;
Discographie[modifier | modifier le code]
- The Ssssound of Mmmusic (2000)
- The Genius of Bertrand Burgalat (2001)
- Bertrand Burgalat Meets A.S Dragon (2001)
- Portrait Robot (2005)
- Inédits (2007)
- Chéri B.B. (2007)
Polémique[modifier | modifier le code]
Dans les années 1980, Bertrand Burgalat s'est impliqué dans le mouvement politique MNR de Jean-Gilles Malliarakis [4]. Au début des années 1990, il renie cet engagement comme une erreur de jeunesse et s'investit dans le milieu du rock[5]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Collector Musique de Technikart de janvier 2001 http://okbertrand.free.fr/burg/interv5.htm
- Interview tirée de RFI Musique, 14 mars 2001 http://okbertrand.free.fr/burg/interv3.htm
- Brève relatée sur le site de Libération http://next.liberation.fr/article/bertrand-burgalat-chevalier-des-arts-et-des-lettres
- «Il est connu que Bertrand Burgalat a été dans les années 1980 un cadre dirigeant du MNR de Jean-Gilles Malliarakis» http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article201#nb17
- Les Inrockuptibles, n°199, http://www.lesinrocks.com/musique/musique-article/article/bertrand-burgalat-goute-mes-disques/ «A cet âge-là, tu peux faire vraiment des grosses conneries, des trucs dangereux, violents. Y compris sur des histoires politiques... Je ne m'en vante pas»
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Tricatel : le site officiel de son label
- Interview de Burgalat : À la rencontre de Bertrand Burgalat
- Autre interview de Bertrand Burgalat : une longue interview de 2004