Servantes de Marie Immaculée, filles de Sainte Thérèse

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Servantes de Marie Immaculée, filles de Sainte Thérèse
Image illustrative de l’article Servantes de Marie Immaculée, filles de Sainte Thérèse
Ordre de droit pontifical
Approbation diocésaine
par Mgr Antolín Monescillo y Viso
Approbation pontificale
par Pie XII
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
But Aide aux ouvrières
Structure et histoire
Fondation
Valence (Espagne)
Fondateur Jeanne-Marie Condesa Lluch
Abréviation E.M.I
Autres noms Protectrices des ouvrières
Patron Immaculée Conception, Joseph, Thérèse d'Avila.
Rattaché à Ordre des Carmes déchaux
Site web (es) site officiel
Liste des ordres religieux

Les servantes de Marie Immaculée (en latin : Congregationis Sororum Ancillarum Mariae Immaculatae Protectricum Operariarum) dont le nom complet est servantes de Marie Immaculée, filles de sainte Thérèse, protectrices des ouvrières sont une congrégation religieuse féminine de droit pontifical.

Historique[modifier | modifier le code]

La congrégation est fondée le à Valence (Espagne) par Jeanne-Marie Condesa Lluch pour venir en aide aux ouvrières.

Le 1er juillet 1892, Mgr Antolín Monescillo y Viso, archevêque de Valence approuve la congrégation, le décret diocésain d'approbation des constitutions est donné le par Mgr Victoriano Guisasola y Menéndez, archevêque de Valence. Les servantes obtiennent l'agrégation à l'Ordre des Carmes déchaux en 1919[1].

L'institut reçoit le décret de louange du pape Pie XI le et ses constitutions sont définitivement approuvées par le Saint-Siège le . Après Vatican II, de nouvelles constitutions sont élaborées et le texte reçoit l'approbation pontificale le [2].

Activités et diffusion[modifier | modifier le code]

Les servantes de Marie Immaculée se consacrent à la formation professionnelle de la population ouvrière en particulier des femmes et à l'éducation chrétienne des enfants des ouvrières.

Elles sont présentes en :

La maison-mère est à Valence en Espagne.

En 2017, la congrégation comptait 66 sœurs dans 14 maisons[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Ancelle di Maria Immacolata » (voir la liste des auteurs).
  1. (es) « congregaciones afiliadas a la orden », sur portalcarmelitano.org (consulté le ).
  2. (es) « Historia », sur esclavasdemaria.org (consulté le ).
  3. (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, , 2329 p. (ISBN 978-88-209-9975-9 et 88-209-9975-7), p. 1557

Annexes[modifier | modifier le code]

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