Rue du Maréchal-Joffre (Colombes)

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Rue du Maréchal-Joffre
Image illustrative de l’article Rue du Maréchal-Joffre (Colombes)
La rue Maréchal-Joffre au niveau de la Maison du Combattant.
Situation
Coordonnées 48° 55′ 15″ nord, 2° 15′ 31″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Colombes
Début Avenue Henri-Barbusse
Fin rue Henry-Litolff, rue du Général-Leclerc à Bois-Colombes
Morphologie
Type Rue
Histoire
Anciens noms Rue des Aubépines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue du Maréchal-Joffre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
(Voir situation sur carte : Hauts-de-Seine)
Rue du Maréchal-Joffre

La rue du Maréchal-Joffre est une voie de circulation de Colombes dams le département des Hauts-de-Seine, en France.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Plaque de cocher rue du Maréchal-Joffre, en octobre 2022.

Partant de l'ouest, elle bifurque vers le sud-est, franchit la coulée verte de Colombes et se termine à la limite de Bois-Colombes.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Plaque Rue du Maréchal-Joffre.

Elle prend son nom actuel en 1929[1], en l'honneur de l'officier général français de la Première Guerre mondiale et maréchal de France Joseph Joffre (1852-1931).

Historique[modifier | modifier le code]

La nouvelle poste, ouverte en 1929.

C'était autrefois la rue des Aubépines et est attestée depuis 1606. Elle se prolongeait sous ce nom jusqu'à Bois-Colombes et gardera encore ce nom après la séparation des deux villes.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

La poste au début du XXe siècle.
  • Au coin d'une ancienne rue de l'Orme aujourd'hui disparue, une poste aujourd'hui détruite, et remplacée en 1929[2] par un bâtiment classé[3].
  • Hôtel de ville de Colombes, inauguré en 1923.
  • Au no 50, église baptiste construite en 1909[4] sous l'impulsion d'Émile Raynaud et de son épouse, officiers de l'Armée du Salut[5].
  • Au no 102, une maison construite en 1904 par les architectes Paul et Albert Leseine pour M. Pigache.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Vieux-Colombes : rue des Aubépines actuelle rue du mal Joffre. », sur vieux-colombes.bob-the-frog.fr (consulté le )
  2. « La nouvelle Poste de Colombes | Colombes notre Ville. », (consulté le )
  3. « Colombes La Poste La Rue Des Aubepines à Colombes », sur cartorum.fr (consulté le )
  4. « Colombes : l'eglise baptiste », sur huguenotsinfo.free.fr (consulté le )
  5. « Église Évangélique Baptiste de Colombes », sur www.eglise-evangelique-colombes.org (consulté le )