Rue de Viroflay
Cet article est une ébauche concernant Paris et la route.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
 15e arrt Rue de Viroflay
    | |||
| |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 15e | ||
| Quartier | Saint-Lambert | ||
| Début | Rue de l'Amiral-Roussin | ||
| Fin | Rue Péclet | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 76 m | ||
| Largeur | 10 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1899 | ||
| Dénomination | 1899 | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 9849 | ||
| DGI | 9878 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 15e arrondissement de Paris
| |||
modifier  |
|||
_-_2021-08-09_-_1.jpg)
La rue de Viroflay est une rue du 15e arrondissement de Paris.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
La rue est située dans le quartier Saint-Lambert, dans le centre du 15e arrondissement, à une centaine de mètres au nord de la mairie de l'arrondissement. Elle débute rue Péclet et se termine rue de l'Amiral-Roussin, face à l'imposant portail de l'ancienne cité ouvrière. Longue d'un peu moins de 80 mètres pour une largeur de 10 mètres, la rue de Viroflay est parallèle à la rue Lecourbe et suit un axe ouest-sud-ouest/nord-nord-est.
Elle est desservie par la station de métro Vaugirard.
Nom[modifier | modifier le code]
Elle porte depuis sa création[1] le nom de la ville de Viroflay alors en Seine-et-Oise (aujourd'hui dans les Yvelines), dénomination attribuée par les propriétaires du terrain[2].
Historique[modifier | modifier le code]
La rue de Viroflay a été ouverte en 1899[1]. Le premier immeuble est construit en 1901 (actuel n°8)[2].
La rue présente une unité architecturale avec un ensemble d'immeubles haussmaniens en pierre de taille.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
Au cinéma[modifier | modifier le code]
La rue apparait au début du film Quand passent les faisans (1965) d'Édouard Molinaro. Arsène Baudu (Jean Lefebvre), tente d'échapper à ses poursuivants[3] en sortant en courant de l'immeuble du no 4[4], dont la porte d'entrée est entourée d'une tenture de deuil. Il a tenté d'arnaquer une veuve pendant la veillée funèbre de son mari. Il est arrêté dans la rue, évitant son lynchage par ses poursuivants, par Hyacinthe Camus (Bernard Blier), qui se fait passer pour un policier.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. ???.
- Philippe Virat, Dictionnaire des rues du XVe arrondissement de Paris, Archives & Culture éditeur.
- "Quand passent les faisans (1965)" sur L2TC.com - Lieux de Tournage Cinématographique
- Correspondance des immeubles sur Google Street View.
