Rue de Steinkerque

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18e arrt
Rue de Steinkerque
Voir la photo.
Rue vue en direction du boulevard de Rochechouart.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 18e
Quartier Clignancourt
Début 70, boulevard de Rochechouart
Fin 13, place Saint-Pierre
Morphologie
Longueur 153 m
Largeur 7,4 m
Historique
Ancien nom Rue Virginie
Géocodification
Ville de Paris 8692
DGI 9078
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue de Steinkerque
Géolocalisation sur la carte : 18e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 18e arrondissement de Paris)
Rue de Steinkerque

La rue de Steinkerque est une voie du 18e arrondissement de Paris, en France.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

La rue de Steinkerque est une voie située dans le 18e arrondissement de Paris. Elle débute au 70, boulevard de Rochechouart et se termine au 13, place Saint-Pierre. Située entre le pied des escaliers sud conduisant au Sacré-Cœur et la station de métro Anvers, cette rue commerçante bénéficie d'une forte fréquentation touristique.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le nom de la rue fait référence à la bataille de Steinkerque (aujourd'hui Steenkerque), remportée par le maréchal de Luxembourg sur le prince d'Orange et ses alliés, le [1].

Historique[modifier | modifier le code]

Cette voie de l'ancienne commune de Montmartre qui s'appelait alors « rue Virginie »[2] est classée dans la voirie parisienne par un décret du et prend sa dénomination actuelle par un arrêté du [1].

Le 15 septembre 1918, durant la Première Guerre mondiale, deux bombes explosent sur les nos 13 et 14 rue de Steinkerque, lors d'un raid effectué par des avions allemands[3].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Arrêté préfectoral du 1er février 1877 ».
  2. Nomenclature officielle des voies publiques et privées de la Mairie de Paris, mars 1997.
  3. Excelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute
  4. Gisèle Casadesus, interviewée par Armelle Héliot et Marie-Noëlle Tranchant, « Gisèle Casadesus : “Une longue vie, ça passe vite !” », Le Figaro, encart « Culture », samedi 31 mai-dimanche 1er juin 2014, p. 28-29.

Annexe[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]