Rue Roger-Campestre
| Rue Roger-Campestre | |||||
 Asnières-sur-Seine : la rue Roger-Campestre et la chapelle Saint-Charles. | |||||
| Situation | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Coordonnées | 48° 54′ 27″ nord, 2° 16′ 34″ est | ||||
| Pays |  France |
||||
| Région | Île-de-France | ||||
| Ville | Asnières-sur-Seine, Courbevoie | ||||
| Quartier(s) | Bécon-les-Bruyères | ||||
| Début | Rue Parmentier | ||||
| Fin | Pont des Couronnes, rue Auguste-Bailly | ||||
| Morphologie | |||||
| Type | Rue | ||||
| Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
Géolocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
| |||||
modifier  |
|||||
La rue Roger-Campestre est une voie de communication située à Asnières-sur-Seine dans sa plus grande partie, et à Courbevoie sur un court segment.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
La rue Roger-Campestre est accessible par la gare de Bécon-les-Bruyères et la gare d'Asnières-sur-Seine, dont elle est équidistante. Elle est prolongée au nord par la rue Paul-Bert.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Cette rue a été nommée en hommage à Roger Paul Campestre (1924-1944), mécanicien-ajusteur, demeurant à Asnières-sur-Seine, victime civile de la guerre[1].
Historique[modifier | modifier le code]
Cette voie de communication s'appelait rue des Couronnes jusque dans les années 1930[2].
En 1869, elle a été représentée sous ce nom par le peintre Alphonse-Édouard-Enguérand Aufray de Roc’Bhian[3].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- Pont des Couronnes, point le plus élevé de la ville d'Asnières. Cette partie est située à Courbevoie.
- Chapelle Saint-Charles, construite en 1889[4].
