Rue Pierre-Brossolette (Châtillon, Hauts-de-Seine)

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Rue Pierre-Brossolette
Image illustrative de l’article Rue Pierre-Brossolette (Châtillon, Hauts-de-Seine)
Situation
Coordonnées 48° 48′ 04″ nord, 2° 16′ 58″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Châtillon
Début Rue de Châtillon à Clamart
Fin Rue d'Estienne-d'Orves
Morphologie
Type Rue
Histoire
Anciens noms Rue de Clamart
Géolocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
(Voir situation sur carte : Paris et de la petite couronne)
Rue Pierre-Brossolette
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue Pierre-Brossolette
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Pierre-Brossolette

La rue Pierre-Brossolette est une voie de communication de Châtillon dans les Hauts-de-Seine[1],[2].

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Rue de Clamart, Châtillon.

Orientée d'ouest en est, cette rue commence son tracé à la limite de Clamart, traverse l'avenue de Verdun et se termine au carrefour de l'avenue de la Division-Leclerc et de la rue Gabriel-Péri.

Elle est desservie par la ligne 6 du tramway d'Île-de-France.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Rue de Clamart, carte colorisée.

L'ancien nom de cette voie, rue de Clamart, fait pendant à la rue de Châtillon à Clamart, située sur le même axe de la route départementale 68[3].

Historique[modifier | modifier le code]

La rue de Clamart vers 1900.

Cet endroit est indissociable de l'histoire des carrières souterraines creusées à cet endroit et remontant au XVIIIe siècle au moins[4].

L’Inspection des Carrières relève l'existence d’une ancienne exploitation souterraine de gypse datant de 1760 à l’angle de la rue Pierre-Brossolette et de l’avenue de la Division-Leclerc. Entre les rues Pierre-Brossolette et Lasègue, existe une exploitation à ciel ouvert. Des fabricants de plâtre viendront s'installer sur cette voie, avec l'entreprise Chatelier vers 1859, et Beaumont en 1868.

Parallèlement, les besoins de la capitale en pierre à bâtir augmentent avec les travaux hausmanniens. Entre cette rue et la rue Béranger, le calcaire est creusé jusqu'à trente mètres de profondeur, dans une exploitation qui durera environ de 1870 à 1900.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]