Rue Marx-Dormoy (Fontenay-aux-Roses)
Pour les articles homonymes, voir Rue Marx-Dormoy.
| Rue Marx-Dormoy | ||||
 L'ancienne rue de Bagneux. | ||||
| Situation | ||||
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| Coordonnées | 48° 47′ 32″ nord, 2° 17′ 40″ est | |||
| Pays |  France |
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| Région | Île-de-France | |||
| Ville | Fontenay-aux-Roses | |||
| Début | Rue de Fontenay à Bagneux | |||
| Fin | Rue Boucicaut | |||
| Morphologie | ||||
| Type | Rue | |||
| Histoire | ||||
| Anciens noms | Voie de Fontenay à Bagneux Rue de Bagneux |
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| Géolocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
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La rue Marx-Dormoy est un axe de communication de Fontenay-aux-Roses dans les Hauts-de-Seine. Elle suit la tracé de la route départementale 128.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Sa partie méridionale était autrefois parcourue par la ligne no 86 du tramway[1], dite Châtenay-Champs de Mars, seconde ligne traversant la ville[2]. Cette ligne fut administrée par la Société des transports en commun de la région parisienne à partir de 1921[3].
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Elle a été renommée en 1944 en hommage à Marx Dormoy (1888-1941), ancien ministre du Front populaire et maire de Montluçon assassiné par d'anciens Cagoulards pendant l'Occupation[4].
Historique[modifier | modifier le code]
Cette voie de communication est l'ancienne voie de Fontenay à Bagneux[5], puis rue de Bagneux[6], du nom de la ville vers laquelle elle se dirige[7],[8].
C'est le 12 février 1875 que le Conseil municipal décida que la rue du Plessis-Piquet prendrait le nom de rue des Écoles, et que le nom de rue de Bagneux serait donné à la partie de la rue de Diane comprise entre la Grande-Rue et la rue de Bagneux[9]. Notons que cet odonyme a été jusqu'à s'étendre sur la partie septentrionale de l'avenue Lombart.
Le général Michel-Aloys Ney y est mort le 23 février 1881, dans la maison située à l'angle de la rue Marx-Dormoy et de la rue de l'Avenir (anciennement rue de la Procession)[10].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- Promenade départementale des Vallons-de-la-Bièvre, dite Coulée Verte.
- À l'emplacement du parc Sainte-Barbe[11], se trouvait la chapelle Sainte-Barbe, conçue par Eugène Viollet-le-Duc, et détruite en 1974.
- L'historien Robert Boutruche y a vécu au no 63.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- CartoMétro : Carte détaillée des Tramways Anciens
- Les tramways et Fontenay (1877-1937) : une histoire inachevée ...
- « Histoire du métro et des tramways de Paris | FACS », sur www.facs-patrimoine-ferroviaire.fr (consulté le )
- Archives municipales de Fontenay-aux-Roses : La rue de Bagneux, devenue rue Marx Dormoy en 1944.
- Les plans de Fontenay-aux-Roses : Figures de notre ville depuis 1740
- Société générale des plans indicateurs Cartographe, « Planimètre des villes de Châtillon-sous-Bagneux, Clamart, Issy-les-Moulineaux, Malakoff, Vanves, Clamart », sur Gallica, (consulté le )
- « La Rue de Bagneux à Fontenay-aux-Roses - Cartorum », sur cartorum.fr (consulté le )
- « Fontenay Aux Roses La Rue De Bagneux à Bagneux - Cartorum », sur cartorum.fr (consulté le )
- Etat des communes à la fin du XIXe siècle. , Fontenay-aux-Roses : notice historique et renseignements administratifs / publié sous les auspices du Conseil général [par Fernand Bournon] ; Département de la Seine. Direction des affaires départementales, (lire en ligne)
- « Fontenay-aux-Roses au jour le jour », sur www.fontenay-aux-roses.fr (consulté le )
- « Château de Fontenay-aux-Roses, puis Collège Sainte-Barbe-des-Champs, puis Petit Séminaire, puis Ecole du Parc », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
