Rue Jean-Rey

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15e arrt
Rue Jean-Rey
Voir la photo.
Vue depuis la tour Eiffel, en direction du sud-ouest, où apparaît le tracé oblique et courbe de la rue Jean-Rey dans le quart inférieur gauche du cliché, bordé d'un côté par le centre sportif Émile-Anthoine et les locaux du CIDJ, et de l'autre par les deux grands hôtels (partiellement visibles), le siège de l'UIC (immeuble rectangulaire) et les bâtiments jumeaux courbes de l'ambassade d'Australie.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 15e
Quartier Grenelle
Début 16, avenue de Suffren
Fin 101, quai Branly
Morphologie
Longueur 270 m
Largeur 20 m
Historique
Création 1937
Géocodification
Ville de Paris 4838
DGI 4943
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Jean-Rey
Géolocalisation sur la carte : 15e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 15e arrondissement de Paris)
Rue Jean-Rey

La rue Jean-Rey est une rue du quartier de Grenelle du 15e arrondissement de Paris.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

La rue Jean-Rey est une voie publique située dans le 15e arrondissement de Paris. Longue de 270 mètres, elle commence au 16, avenue de Suffren et se termine au 101, quai Branly.

Le quartier est desservi par la ligne 6 à la station Bir-Hakeim et par la ligne C du RER, à la gare du Champ de Mars - Tour Eiffel.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

La rue porte le nom de l'ingénieur civil des mines[1], membre de l'Institut (division des applications de la science à l'industrie, Académie des sciences) et président de l'Académie de marine Jean Rey (1861-1935), l'usine Sautter-Harlé (aujourd'hui disparue) qu'il dirigea étant proche (au 20, avenue de Suffren).

Historique[modifier | modifier le code]

Cette voie est ouverte à la faveur des aménagements urbains accompagnant l'organisation de l'Exposition internationale, à l'emplacement d'infrastructures supprimées de l'ancienne gare du Champ de Mars, et prend sa dénomination actuelle en 1937.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Jean-Alexandre Rey », www.annales.org.

Articles connexes[modifier | modifier le code]