Louis François Charles Pelletier

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Louis François Pelletier de Montmarie
Naissance [2]
Ancien 11e arrondissement de Paris, France[2]
Décès (à 70 ans)
9e arrondissement de Paris
Origine française
Allégeance Drapeau de la France France
Arme Infanterie[3]
Formation Saint-Cyr[4]
Grade Général de brigade[1]
Années de service 1831 – 1878
Commandement 1re brigade de la 2e division
Conflits Guerre de Crimée
Campagne d'Italie
Guerre franco-allemande de 1870
Distinctions Grand officier de la Légion d'honneur
Famille Louis François Élie Pelletier, père
Aimé Sulpice Victor Pelletier, oncle[5]

Louis François Charles Théodore Pelletier de Montmarie, né le  à Paris, où il est mort le , est un général de brigade[2],[4] français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Louis François Charles Pelletier naît le à Paris, fils du général Louis François Élie Pelletier et de Philippine Greiner[5]. Il embrasse la carrière militaire en en intégrant Saint Cyr. Il prend sa retraite en . Il meurt le .

Carrière militaire[3][modifier | modifier le code]

Louis François Pelletier est élève de l’école militaire de Saint-Cyr dans les 14e (1831-1833) et 15e (1832-1835)) promotions dans le corps d'état-major[4]. Il en sort sous-lieutenant en . Il sert ensuite en Algérie. Il combat à la guerre de Crimée d'où il revient lieutenant-colonel. Il rentre en Algérie avant de participer à la campagne d’Italie contre les Autrichiens. Lorsqu'éclate le conflit franco-allemand, il est général de brigade. Incorporé dans la 2e division, il en commande la 1re brigade qui prend part aux batailles de Wissembourg, de Froeschwiller, ainsi qu'à la défaite de Sedan durant laquelle il est blessé et fait prisonnier par les Allemands.

Il est mis à la retraite de l'Armée en 1878.

Dates de promotion[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • (le )[2].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Claude Merle.
  2. a b c et d Leonore, feuillet 1.
  3. a et b Claude Merle.
  4. a b et c Jean Boÿ 2010, p. 3 ; Jean Boÿ 2011, p. 3
  5. a et b Alain Garric.

Liens externes[modifier | modifier le code]