La Malédiction de Belphégor

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La Malédiction de Belphégor
Description de cette image, également commentée ci-après
Opéra de Toulon (lieu de tournage du film)
Réalisation Georges Combret et Jean Maley
Acteurs principaux
Sociétés de production Radius Productions
Italspettacolo
Pays de production Drapeau de la France France Drapeau de l'Italie Italie
Genre Fantastique
Durée 90 minutes
Sortie 1967

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

La Malédiction de Belphégor est un film fantastique franco-italien réalisé par Georges Combret et Jean Maley, sorti en 1967.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Contexte[modifier | modifier le code]

L'Opéra de Toulon est hanté par un mystérieux fantôme masqué et plusieurs meurtres y sont commis.

Résumé[modifier | modifier le code]

Dans les années 1960, une troupe se prépare à monter « La Malédiction de Belphégor » à l'Opéra de Toulon dans le sud de la France.

Lors des répétitions, les membres de cette troupe entendent une voix accompagnée d'une musique qui leur annonce que plusieurs crimes vont être effectué dans les lieux. Effectivement, ceux-ci se succèdent rapidement. Le directeur de l'opéra est tué. Une journaliste est enlevée ainsi que le nouveau directeur. La police enquête sur les lieux et ne permettra pas d'arrêter cette spirale infernale[1].

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Raymond Buissière et Annette Poivre, couple dans la vie, sont deux acteurs du film

Autour du film[modifier | modifier le code]

Le film a été tourné deux ans après la diffusion de la série télévisée Belphégor ou le Fantôme du Louvre, laquelle reçut un succès considérable à l'époque[2].

Lieu de tournage[modifier | modifier le code]

Le film a été entièrement tourné à Toulon et dans sa région, devant et à l'intérieur de l'Opéra.

Autour des acteurs[modifier | modifier le code]

Le film permet de retrouver deux comédiens vedettes de l'équipe de la célèbre série télévisée : Les Cinq Dernières Minutes, Raymond Souplex et Jean Daurand avec la petite différence que le film est diffusé en couleur[3] à une époque où la télévision est encore en noir et blanc.

Le film est également l'occasion de découvrir le clown Achille Zavatta dans un rôle, celui-ci étant assez rare au cinéma (il a notamment joué de petits rôles dans une douzaine d'autres films[4].

Analyse[modifier | modifier le code]

Inspiré du célèbre roman d'Arthur Bernède, mais transposé à l'opéra de Toulon, cette petite production de série Z, mal perçue par la critique, assez mal joué par des acteurs un peu dépassé et bien en deçà des ambitions des réalisateurs n'aura dans les salles qu'un piètre succès[5].

Références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]