Khadija Ryadi

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Khadija Ryadi
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
خديجة الرياضيVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Parti politique
Distinction

Khadija Ryadi (berbère : ⵅⴰⴷⵉⵊⴰ ⵕⵕⵢⴰⴹⵉ, arabe : خديجة الرياضي), née le [1] à Taroudant[2], est une militante marocaine des droits de l'homme, berbère chleuh du Souss , ancienne présidente de l'Association marocaine des droits humains (AMDH). En succédant à Abdelhamid Amin en , elle fut la première femme à occuper ce poste dans la plus ancienne association des droits de l'homme dans le royaume à laquelle elle fut élue unanimement. En 2013, elle remporte le Prix des droits de l'homme des Nations unies[2] a l'instar de Nelson Mandela et Martin Luther King[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Elle a été membre du Annahj Addimocrati[2]. Diplômée de l'Institut national de statistique et d'économie appliquée (INSEA), elle a travaillé au ministère marocain des Finances comme ingénieur statisticien. Elle milite depuis 1983 pour les droits de l'homme[4] et elle a présidé l'AMDH de 2007 à 2013[2]. Elle est engagée en faveur du mouvement du 20-Février qui revendique des réformes.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Aïcha Akalay, « Khadija Ryadi: Du syndicalisme aux droits de l'Homme », L’Économiste, Casablanca, no 2121,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. a b c et d Youssef Aït Akdim, « Maroc : Khadija Ryadi, l’action c’est sa vie », sur Jeune Afrique, Paris, (consulté le )
  3. « Khadija Ryadi dame de La fer », sur femmesdumaroc.com, (consulté le )
  4. « Khadija Ryadi reçoit le Prix de l'ONU pour les droits de l'Homme! », sur Aujourd'hui le Maroc, Casablanca, (consulté le )