Discussion:Xonrupt-Longemer

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Toponymie[modifier le code]

Bonjour - je passe de la part du service après vente du salon de médiation. A vous lire, je vois que je ne me trompais pas en considérant que vous êtes aptes à vous entendre. Je crois cependant inutile de vous rappeler que je crois savoir que vous devez organiser votre discussion selon la logique des trois questions suivantes :

  1. De quoi est-il pertinent de parler dans l'article ?
  2. Quels documents sont exploitables pour se rapprocher du but de la première question ? (comme déjà dit, adapter l'article à ce qui est disponibles et ne pas procéder à l'inverse en tirant le disponible vers une réponse à tout prix ...)
  3. Comment présenter au mieux les informations en prenant en compte toutes les difficultés rencontrées, éventuellement ?

Dans ces conditions, pour revenir à une médiation, ce sont les ressources et capacités des uns et des autres qui importent et non ce qu'ils pensent, donc autant de motifs de dispute en moins...

Bon travail. TIGHervé 2 janvier 2012 à 21:14 (CET)[répondre]


Re cher TigH.
  • De quoi est il pertinent de parler dans un article qui s'appelle Toponymie ? de géographie, d'histoire, de religion, de méditation transcendentale ? non il y a des paragraphes bien distincts pour ça.
  • Quelles sont les références à apporter ? Celles sur lesquelles reposent toutes les études sérieuses sur le sujet, c'est-à-dire les précurseurs de la toponymie scientifique en France : Auguste Longnon, Albert Dauzat, Ernest Nègre et tous les auteurs qui, à leur suite, reprennent leurs thèses, les développent, les confirment ou les infirment. Il faut bien sûr se munir du dictionnaire topographique de la région concernée : il y a ici par chance celui des Vosges par Paul Georges Marichal. Quant aux derniers développements toponymiques sur les Vosges, voir Gérard Taverdet, Les noms de lieu des Vosges 1988.
  • L'idéal à mon avis serait une présentation de ce type Gerberoy#Toponymie , mais elle a été critiquée par un intervenant, comme contrevenant aux règles de wikipédia. Merci pour votre intervention et vos encouragements.C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 00:17 (CET)[répondre]

Oui mais encore une fois, je ne suis pas l'examinateur ; ce sont les rédacteurs qui doivent (se) répondre sans que je distribue des avis et des notes. Je parle de méthode a priori et la méthode ce sont d'abord de bonnes questions aux bons moments. Donc bien sûr vos deux premières réponses ci-dessus sont trop générales même si vous avez le droit de considérer qu'elles valent pour tout article. Moi, je souhaite le plus grand pragmatisme et des réponses propres à chaque article : par exemple, parlez-vous bien du nom de la commune, du nom actuel seulement, de la présence éventuelle d'autres occurrences sur le territoire ou à proximité. Par exemple... C'est peut-être évident, mais je crains qu'évident ou pas vous le perdiez de vue trop vite dans vos échanges, pour passer à des affrontements de thèse ou de l'ignorance contre la connaissance ; c'est pas plus compliqué. Pour le dernier point, ça sera pour plus tard... Bonne nuit peut-être ! TIGHervé 3 janvier 2012 à 00:51 (CET)[répondre]

Sources complémentaires[modifier le code]

Suite à la demande de médiation, j'ai lu sur le site de la commune de Xonrupt, que En patois, un "hhon" ou "chon" est une planche de la périphérie du tronc d'un arbre scié seulement sur une face, et un "ru" ou "rupt" est un ruisseau. Xonrupt signifierait donc "planche de bois sur un ruisseau", en pensant aux ponts de bois qui jadis permettaient le passage d'une rive à l'autre de la Vologne. et la même chose à la page 138 du Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 1893. --Cordialement, gerdami [blabla] 2 janvier 2012 à 14:14 (CET)[répondre]
Et aussi ... un Hchon est un pont primitif formé d'une simple planche, jetée sur un ruisseau ; comme il fallait beaucoup de ces hchons pour traverser la Vologne, dans ce hameau, on l'a baptisé Hchon ri, d'où Xonruit, Xonruy, Xonruz, en français Xonrupt. Source: Société philomatique vosgienne et Société d'émulation du département des Vosges, Epinal 1897. --Cordialement, gerdami [blabla] 2 janvier 2012 à 15:00 (CET)[répondre]
Eh bien merci pour cet info Gerdami. Cependant, je n'y crois pas beaucoup : d'une part il s'agit d'une source ancienne (c'est le cas de le dire) et d'autre part ça ressemble fort à une étymologie populaire, c'est-à-dire une tentative de relier à un élément connu, un élément inconnu. Il faudrait voir ce qu'en pense des toponymistes modernes, car Dauzat auquel j'emprunte cettte explication date un peu lui-aussi. Malheureusement, je ne dispose pas de l'ouvrage de Gérard Taverdet, Les Noms de lieux des Vosges, Dijon CRDP, 1988, qui a le double avantage d'être beaucoup plus récent et de traiter spécifiquement du cas vosgien. Tout bon article sur la toponymie des Vosges devrait avoir une référence sur ce spécialiste reconnu de la toponymie. Par contre, j'ignorais qu'il exista selon les lieux des Vosges une proonciation différente des noms en -rupt : je croyais que c'était systématiquement « ru ». Donc, dans certain cas, c'est « ri », ce qui est d'ailleurs tout aussi conforme à l'étymologie de rupt. Merci pour cette info, car la prononciation tradi des lieux devrait aussi figurer dans wiki, car elle est souvent beaucoup plus conforme à l'étymologie que l'« orthographe officielle » Cordialement.C. Cottereau (d) 2 janvier 2012 à 16:43 (CET)[répondre]
"Vous n'y croyez pas beaucoup"... Je pense plutôt que les textes anciens ont tout-à-fait leur place sur Wikipédia. Ils méritent d'être cités au même titre que les textes récents 'plus scientifiques'. C'est au lecteur, in fine, comme disait Hervé dans le salon, de forger son opinion définitive. --Cordialement, gerdami [blabla] 3 janvier 2012 à 08:25 (CET)[répondre]
Le « je n'y crois pas beaucoup » n'a pas tout à fait le sens que vous lui accordez. Beaucoup d'explications de Dauzat ou de Nègre, qui souvent divergent d'ailleurs, sont loin de me convaincre, mais elles ont le mérite d'être formulées dans le cadre d'une méthodologie scientifique rigoureuse et les travaux hérités des linguistes modernes. Pourtant, je me dois de les citer car tous les spécialistes qui travaillent cette question s'y réfèrent pour confirmer, infirmer, affiner, développer. Par contre, force est de constater qu'ils n'accordent guère de crédit aux travaux anciens ou émanent d'amateurs éclairés ou non. L'onomastique est une science neuve, branche de la linguistique qui l'est aussi, et la plupart des travaux publiés avant la fin du XIXe siècle (voir ultérieurement) sont, hélas pour leurs auteurs, bons pour le bêtisier. Malheureusement, ils se trouvent toujours des contributeurs de wikipédia, des journalistes, etc. peu éclairés sur la question pour citer ces sources éculées et peu pertinentes, alors que les sources sérieuses sont mises sur le même plan, quand elles ne sont pas purement et simplement ignorées. Il y a la un véritable problème de hiérarchie des sources et je doute que les articles de Marie-Claire dans le domaine de la psychologie soit mis sur le même plan que ceux d'un psychologue reconnu. Or, si tout à chacun est plus ou moins capable dans ce domaine de séparer le bon grain de l'ivraie, ce n'est pas le cas pour la toponymie qui n'intéresse pas grand monde et qui est méconnue. Ces sources anciennes sont donc à utiliser avec la plus grande prudence. Ainsi, l'exemple que vous citez est intéressant, car il s'agit d'un travail centré sur une région. Par conséquent, il contient des éléments précieux, comme la prononciation traditionnelle du lieu, qui n'apparaîtrait pas dans un ouvrage brassant plus large. Maintenant, reste à savoir si cette source est utilisable ou non dans son intégralité. Elle émanerait de Nègre ou de Dauzat, même si j'étais pas d'accord avec le propos, je l'utiliserais dans sa totalité, mais le fait qu'elle émane d'une société savante du XIXe m'oblige à la plus grande circonspection, même si ce cas précis est marqué d'une certaine pertinence (malgré la mauvaise lecture « planche sur le ruisseau », mais plutôt « ruisseau de la planche »). Comme je l'ai dit plus haut, Gérard Taverdet, qui a beaucoup publié dans ce domaine et qui est un spécialiste reconnu, a écrit un ouvrage sur les noms de lieux des Vosges, que je ne possède malheureusement pas, et je n'inclurais votre explication que si elle est reprise par ce spécialiste. Je ne dispose pas non plus de l'explication d'Ernest Nègre, mais je note qu'il est d'accord avec Dauzat (pour une fois) sur la nature anthroponymique du premier élément de nombreux noms en -rupt. C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 12:17 (CET)[répondre]

Bonjour et merci d'intervenir.
Je n'ai jamais contesté que certain RUPT peuvent avoir pour origine rivus je dis simplement que pour certains RUPT il faut y voir le lieu de défrichage, le rompu du lat. Rupéro, rumpo, rupi, ruptum verbe signifiant rompre, briser; tout comme le mot route vient de via rupta chemin fait en brisant la forêt ou le sol. Mes ref. à Plaisance ou au 93eme congrès nat. de Géographie ou à Burguy me semblent recevables et je ne fais pas état d'une théorie personnelle. Il suffit de lire une carte IGN pour voir que la toponymie n'est pas affaire que de linguistes mais aussi affaire d'historiens et de géographes. Un exemple édifiant: Il y a dans notre massif forestier une route des Nains et plus loin un pont des Fées. (je n'habite pas à Disneyland). La route des Nains fut tracée par un sieur Henin et le pont lui fut défait. La linguistique ne fait rien à cette affaire mais l'étymologie populaire.. Je n'ai jamais révoqué le Rivus et je demande seulement que la théorie Rupt figure.

cordialement, --Renée Louise (d) 2 janvier 2012 à 19:05 (CET)[répondre]

Et jetez un coup d'oeil sur Discussion:Xamontarupt. --Renée Louise (d) 2 janvier 2012 à 22:05 (CET)[répondre]
Pardonnez ma rigidité (voire ma brutalité), mais je me suis spécialisé plus précisément sur les articles « toponymie » de wikipédia, et je reçois parfois le concours de vrais spécialistes à qui je demande parfois un coup de pouce ou un éclaircissement éventuellement et ça m'agace énormément de voir des articles traitant de la toponymie qui ne sont pas correctement sourcés (ça me met même en colère), car il existe des sources sérieuses plus ou moins récentes, spécialisées, éventuellement disponibles sur le web. Soit on traite de ce sujet correctement, soit on en parle pas. Quant à la toponymie, je me demande ce qui vous permet de dire que c'est pas une affaire de linguiste, c'est comme si vous disiez que les langues c'est pas une affaire de linguiste. La toponymie c'est l'étude linguistique des toponymes et à ce titre, elle fait partie de l'onomastique qui est l'étude des noms propres (avec l'anthroponymie). Un nom de lieu, comme tout nom propre, s'analyse avec des méthodes d'analyse linguistiques comparables à celle des noms communs, la seule différence c'est qu'il est généralement délexicalisé, mais il est un reliquat d'un état de langue précis, d'une langue disparue, etc. Quant aux noms de lieux en eux-même, même si, pour les principaux des normes administratives s'imposent désormais, ils peuvent encore évoluer (notamment les lieux-dit) tout comme n'importe quel lexème de la langue courante et selon les même règles de transformation phonétique, propre à cette langue précise. À propos de l'exemple que vous citez, un linguiste vous dira, d'une part que ce n'est pas nécessairement un phénomène d'étymologie populaire, puisque « le chemin d'Hénin » se prononce exactement comme « le chemin des nains » en français moderne et il peut très bien s'agir d'une mécompréhension du terme par un agent administratif qui aura noté chemin des Nains au lieu de chemin d'Hénin. Celà dit je ne connais pas le dossier et de toute façon les exemples d'étymologie populaire sont extrèmement rares en toponymie (tout comme dans la langue commune), sinon tous les noms de lieux feraient sens, ce qui n'est généralement pas le cas, certes il y a bien des cas d'altérations, mais rarement par étymologie populaire. Vous affirmez une fois de plus que « certains rupt » peuvent venir de rivus, non tous les rupt viennent de rivus, selon tous les toponymistes (et c'est pas à un géographe, ni à vous-même de dire le contraire) même s'il existe, comme toujours, certainement un ou deux cas litigieux ou différents qui devra uniquement figurer dans l'article se rapportant à ce lieu le cas échéant. Dans un article sur la toponymie, seules doivent apparaître des sources émanents de spécialistes de la question et en rapport direct avec la question. Je le répète rupt (ce n'est qu'une graphie tardive et fantaisiste, je peux vous citez des milliers d'exemple de ce genre de graphie tardive et débile, ainsi Fort-Moville, La Chapelle-en-Juger en Normandie, etc. etc.) ne peut pas venir de ruptus, en ce sens, qui n'est pas attesté en ancien français. Si tel était le cas, il aurait obligatoirement évolué en rout ou rot, de la même manière que rupta a évolué en route et que crupta a évolué en cro(u)te attesté en moyen français au sens de grotte (resté comme toponyme Crouttes), grotte étant un emprunt à l'italien. Quant au gallo-roman RUPTICE, (c'est ainsi que se note conventionnellement le gallo-roman) il a régulièrement abouti à Routis, attesté dans la microtoponymie sous la forme les Routis. C. Cottereau (d) 2 janvier 2012 à 21:28 (CET)[répondre]
Il y a peut-être seulement une sorte de malentendu sur le mot linguiste ou linguistique. TIGHervé 2 janvier 2012 à 22:26 (CET)[répondre]
Pardon TigH, c'est-à-dire ? Non, c'est lié à ma façon de ruer dans les brancards des croyances : il est évident que ce n'est pas diplomatique, ni très respectueux. Ca ne peut pas plaire, mais bon je crois en l'entreprise wiki et j'estime qu'il faut mettre un peu de sérieux dans tout ça, quitte à en blesser certains. Je me heurte souvent à des contributeurs pour des motifs analogues qui essaient de démontrer par la toponymie la véracité de telle ou telle théorie historique, géographique ou historico-géographique. Or, ils ne saisissent pas que s'il y a souvent une corrélation, ce n'est pas du tout la même chose. Un toponyme est avant tout une manifestation de la langue et s'analyse avec les méthodes développées par les linguistes au cours du siècle précédent (voire un peu avant). Ce type de contributeur estime généralement qu'ayant une bonne maîtrise du français (voire d'une langue étrangère) et de son écrit, il en comprend le fonctionnement. Ainsi (principalement à cause de l'enseignement), il s'imagine que l'orthographe est une science et que les écrits modernes sont « la bonne orthographe ». C'est précisemment pour ça que cette personne n'arrive pas à comprendre que rupt est une graphie bidon inventée par un scribouillard latinophile mais sans compétence ou humoriste. La plupart des gens s'imagine que la grammaire est la morphologie (sans la nommer) et que la morphologie, c'est l'orthographe. Ainsi pour le linguiste la conjugaison du verbe chanter au présent de l'indicatif n'admet que 3 formes chant', chanton, chantez, le reste n'est qu'une graphie archaïsante, certes juste, mais qui ne correspond plus à la langue elle-même. Dans certains cas, sans doute par contamination (en effet on écrit ce que l'on ne prononce plus), l'orthographe en devient même inexacte étymologiquement, comme dans le cas de rupt, par exemple poids écrit avec un d alors qu'il est issu de = pesus (< pensus) ; pensare = peser / penser, même chose pour forcené (jadis forsené conformément à l'étymologie for + sené) réinterprété graphiquement à l'époque moderne comme forcené (force + né), etc. Ce ne sont que des graphies arbitraires décidées par de savants érudits pas très compétents en étymologie, mais compétents en latin classique (dont n'est pas issu le français, du reste). Que l'on écrive pois ou poids, forsené ou forcené n'affecte en rien la réalité phonétique du mot et le signe linguistique en général. C'est exactement la même chose pour rupt, jadis écrit ru ou ruy dans les anciens documents et que les gens ont toujours prononcés « ru » (ou « ri ») conformément à l'étymologie. Ainsi rupt ne vient pas davantage de ruptus que poids de pondus et forcené de force. On pourrait multiplier ce genre d'exemple, notamment dans les toponymes.C. Cottereau (d) 2 janvier 2012 à 23:23 (CET)[répondre]
Je n'interviens pas pour donner mes avis sur le fond des questions que vous examinez mais pour vous aider à aboutir à quelque chose dans les meilleures conditions. Je parlais donc de malentendu entre vous et non comme si je savais mieux que vous ce qui relève de la linguistique. Il y a une infinité d'endroits où je peux mettre mon grain de sel, mais ici vous avez sollicité un médiateur et je reste sous cette casquette tant que ça sert à quelque chose. Maintenant ceci dit, j'ai une expérience bien suffisante en étymologie pour comprendre à la fois ce que tu dis que ce que tu ressens. J'avoue cependant avoir décroché avant la toute fin de ton message, je devrais être déconnecté depuis une heure... Je comprends votre position et vos exigences mais je dois pousser au pragmatisme, notamment comme je l'ai dit plus haut en circonscrivant les questions et les moyens d'y répondre. Savoir entendre les anciens états de l'art ou les fausses pistes, est également un meilleur moyen de les mettre à leur place que de les passer au lance-flammes au seul nom des recherches récentes. ça me paraît indispensable pour les articles et puis aussi pour ne pas « envoyer paître » les contradicteurs moins bien informés ou moins catégoriques. Sinon, vous pouvez vous quereller dans de doctes discussions, doctes mais vaines, sur une multitude d'articles et toujours pour les mêmes raisons. Traiter de l'étymologie n'est pas facile, ici comme ailleurs ; autant rester maîtres des difficultés. TIGHervé 2 janvier 2012 à 23:54 (CET)[répondre]

La question est moins ab(rupt)ement tranchée que le crois C.Cottereau, je viens de retrouver dans mes souvenirs de voyages au Pont du Gard le site de Pont-Roupt. Ce pont Roupt ou pons ruptus a bien un nom qui a évolué de Ruptus à Roupt. La prononciation du U en OU ne met pas si loin Roupt et Rupt. Et il y a foule de ponts Roupt d'Alès à Toulouse, tous rompus. Cela doit faire délicatement vaciller les certitudes, je cite C.Cotterau: {{citation bloc| Ainsi rupt ne vient pas davantage de ruptus que poids de pondus et forcené de force.

De plus la graphie Rupt est antérieur à la guerre de 30 ans pour le nom de famille Durupt. On trouve des actes de 1605 éorthographié Durupt. Le patronyme étant très répandu dans les Vosges. Qui étaient-il? Un vaste peuple d'Ondins qui sortent du ruisseau où de vigoureux essarteurs défrichant les ruptus ou Rompus?.

En conclusion ces qq mots de Jean Froissart: ...et y passèrent la rivière, car le pont n'estoit point roupt...

--Renée Louise (d) 3 janvier 2012 à 14:55 (CET)[répondre]

La graphie rupt est tardive, tout comme le sont les noms de familles. Quant à un toponyme occitan quid du rapport ? on parlait occitan dans les Vosges ? Je vous dis de vous procurer le livre de Gérard Tardivet sur la toponymie des Vosges et le dictionnaire de topographie de Marichal, ça fera perdre moins de temps que vos conclusions personnelles et oiseuses. Qu'il ait existé un participe passé de rompre en roupt ne justifie en rien une étymologie des noms en -rupt, par ruptus, ça n'a rien à voir. De plus, sans vous en rendre compte vous allez dans mon sens puisque le ou [u] français est issu d'un u bref latin, effectivement comme ruptus > rou(p)t (peut importe la graphie) : c'est mot pour mot ce que je vous ai déjà dit maintes fois, alors que u latin est devenu u bref en français dans ru, chose qui ne peut s'expliquer que par la contamination d'une autre voyelle en l'occurence le i long de RĪVU et la lénition de [v] à l'intervocalique, par conséquent, ça fait une raison de plus pour dire que -rupt / Rupt (prononcé ru ou ri par le peuple conformément à l'étymologie réelle) ne peut pas venir de ruptus, comme je l'ai déjà dit, d'ailleurs, mais de RĪVU devenu riu par lénition de l'intervocalique, puis ri(u) ou r(i)u selon les cas, ce genre de phénomène étant ultra-fréquent dans l'ancienne langue française. Je ne peux que vous incitez à lire des ouvrages sur la phonétique du français également et des autres langues romanes éventuellement (mais bon, évidemment, c'est pas le même domaine que les recueils de contes et les romans). L'attitude qui consite à vouloir avoir raison sur des spécialistes qui ont fait des longues études linguistiques et qui disent tous la même chose et des évidences de ce type est franchement déplorable. Vous savez sans doute mieux qu'eux, évidemment, et vous avez la science infuse, certainement. Inutile de discuter avec vous. Bonne soirée, je vous laisse à votre littérature.C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 17:13 (CET)[répondre]

Une autre ref.[modifier le code]

Toponymie et défrichements médiévaux et modernes en Europe occidentale et centrale, Journées internationales d'Histoire 19-21 septembre 1986, ed.Centre culturel départemental de l'Abbaye de Flaran, 1988.

« ...la finale rupt si nettement localisée en terre lorraine que j'en fait la limite orientale de l'extension d'essart, ne me semble pas provenir de rivus mais de ruptare, défricher.... »

Vous êtes dans la querelle pure et incohérent quant aux arguments proposés. Nous n'en sortirons pas! --Renée Louise (d) 3 janvier 2012 à 18:07 (CET)[répondre]

Bonsoir - il faudrait pourtant en sortir - de cette page ! Émoticône : c'est un article rupt (étymologie) que vous avez à écrire, ici il ne devrait être question de ce qui a été écrit sur Xonrupt-Longemer ! Vos arguments et chicanes sont absolument disproportionnés. TIGHervé 3 janvier 2012 à 19:15 (CET)[répondre]
Bonsoir, Pour en sortir je propose d'offrir aux lecteurs sur tous les Rupt, (et ils sont nombreux en Lorraine) concernés les 2 hypothèses. Celle en rivus des distingués linguistes et celle en ruptus des béotiens historiens, géographes et bibliothécaires. Exemple de ce je propose sur Grandrupt (homonymie):

« Grandrupt, qui signifie « grand ruisseau », est le nom ou une partie du nom de plusieurs communes, néanmoins, il est permis de croire rupt est la marque d'anciens défrichements, les ruptus ou rompus. »

Le lecteur, à priori intelligent et apte à raisonner, se fera une opinion propre. cordialement. --Renée Louise (d) 3 janvier 2012 à 19:39 (CET)[répondre]

Journées internationales d'histoire vous dîtes ? Reste à savoir de qui émane cette brillante conclusion, un historien sans doute ? Combien de fois devrai-je vous répéter que la plupart des historiens et des géographes n'y connaissent strictement rien en linguistique; C'est comme ce prof d'histoire en fac qui affirmait que le mot lauze était un mot wisigoth ! Ils tripatouillent la toponymie dans l'unique but de justifier telle ou telle théorie historique ou géographique. Que dirait-on si un linguiste se mettait à tripatouiller la géographie ou l'histoire pour confirmer ses dire, on lui rirait au nez bien évidemment. Alors la prochaine fois trouvez moi des sources émanent d'un congrès d'onomastique, là on pourra discuter. Quant à la cohérence de mes propos, elle existe : que vous ne la compreniez pas c'est une autre problème. C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 19:23 (CET)[répondre]
Certes, TiGh, mais cette personne est enfermée dans une croyance et ne comprend strictement rien à la question.C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 19:26 (CET)[répondre]
Allez vous pouvez bien comprendre, sans que j'insiste, que le monde étant par construction rempli d'ignorants et demi-savants, la victoire autoritaire sur Une personne n'a qu'un intérêt des plus limités ; ou les contenus sont d'une solidité à toute épreuve ou ils ne résisteront pas à terme à la pollution des opinions. (Bien entendu, ce propos est de méthode et non une surenchère dans le dénigrement de Renée Louise ) TIGHervé 3 janvier 2012 à 20:07 (CET)[répondre]
Oui mais wikipédia n'est pas destinée à bourrer le mou des gens en leur faisant croire que des sources bidons, sans rapport avec la question, sont des sources sérieuses, il y a TF1 et ici-Paris pour ça.C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 19:53 (CET)[répondre]
Merci TigH. Je réclame simplement des sources sérieuses en rapport direct avec la question, c'est pourtant simple, mais cette personne ne semble pas comprendre et se noie dans des considérations personnelles et des sources indirectes qui n'ont qu'un rapport lointain avec le sujet. C'est pourtant suffisemment clair. Qui étudie la toponymie les physiciens, les météorologues ? non les linguistes, alors tenons nous en à ces sources précises et on se fiche de l'opinion de tel historien, géographe, joueur de football ou de biniou. C'est pourtant pas difficile à comprendre.C. Cottereau (d) 3 janvier 2012 à 20:17 (CET)[répondre]

Prononciation[modifier le code]

@BrightRaven Bonjour, le nom de la commune est actuellement suivi de [ʃɔ̃ʁy]. J'imagine qu'il s'agit de la prononciation de Xonrupt. Ne serait-il pas plus judicieux d'indiquer également la prononciation de « Longemer ». Je ne peux pas l'ajouter car je ne sais pas comment ça se prononce... Pamputt 7 octobre 2014 à 15:33 (CEST)[répondre]

Oui ce serait bien, mais je n'ai pas de source qui donne la prononciation. Ma source ne donne que la prononciation de Xonrupt. Rāvən (discuter) 7 octobre 2014 à 17:28 (CEST)[répondre]

Liens externes modifiés[modifier le code]

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 1 lien(s) externe(s) sur Xonrupt-Longemer. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 13 mai 2018 à 23:46 (CEST)[répondre]