Discussion:Vieux pont de Balizy

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Le pont de Balizy n’a jamais était en lien avec les Templiers.[modifier le code]

j’étais un enfant d’Epinay sur Orge et j’avais des amis dans les environs dont certains demeuraient Balizy.

Dans les année 1964, 1965, nous passons souvent par le chemin qui longeait le Rouillons a vélo. A cette époque et localement ce lieu portait le mon du Bois de Balizy et non des Templiers. Il former un très bon raccourci pour aller sur, Balainvilliers, Montlhéry … J’ai dans mon souvenir que ces ponts fut toujours là. Bien sur il était envahi par la végétation mais il restait un sentier tracé par les promeneurs, et les chasseurs …  Ces ponts malgré la végétation étaient encore bien discernables et chacun savait qu’il y avait là de vieux ponts sous ses pieds.


Arriver dans les années 1968, 1969 alors que nous empruntons ce chemin nous vîmes une multitude de pancartes le long de ce chemin public, au moins une douzaine fond rouge écriture blanche je me souviens plus exactement de ce qui était écrit dessus ça devait être un truc sympathique du style : Bois des Templiers défense d’entré sous peine de poursuites pénales.

Arrivé au niveau du pont nous voulions le traverser comme d’habitude. Il y avait 4 hommes qui faisait des travaux de défrichement. L’un d’eux nous harangua / invectiva, il était dans un état hystérique. Il agissait en propriétaire apparent, alors que étions dans un lieu public. Après quelques parole vives, nous passion les ponts.  


Ces hommes qui ont voulu sûrement bien faire, mais on  faite que de précipiter la dégradation du lieu. Pourquoi ont il écrit sur les pancartes Ponts des Templiers au lieu Pont de Balizy. Quand ils ont écrit Templiers certain ont lus  trésor des Templiers et on a vu ce lieu être dégradé de mois en mois sûrement par quelques illuminés pensant trouvé là le trésor des Templiers. Il aurait mieux fallu qu’il laisser ces ponts dormir sous leurs couvertures végétales. La simple étiquette Templiers a fait passer ce site qui était ci serein en un véritable champ de bataille.  


Description de la ferme dite de la commanderie  


Le lieu est très modeste il y a là que des bâtiments agricoles autour d’une cours carré. Le terme de ferme est déjà galvaudé, ou alors il faut dire petite ferme, localement nous désignons cela par maison de culture.

Ses bâtiment d’architecture hétéroclite,  on remarque qu’il n’y pas eu de terrassement d’ensemble, les bâtiments épouse la forme terrain, ils furent construit au fur et mesure des besoins et des fortunes.

Cela n’est pas cohérent avec un seigneur qui aurait eu les moyens de construire le site du pont de Balizy et n’aurait pas eu les moyens de faire le terrassement pour y bâtir son logis ou un hôtel. A cette maison de culture est rattaché un lopin de terre d’une contenance variant de 29 à 38 ha  d’une grosse terre à blé avec un devers moyen d’au moins 7 %  cette terre peu être  classifié de 3ème catégorie. A l’époque de la traction animale cette terre n’était pas labourable. L’affectation de ce type de terrains est des pâtures, des vergers, des bois et si le climat et l’exposition le permettent de la vigne.  Le tout devait être d’un très modeste rapport.

L’accès coté rivière du Rouillon ce fait par un gué puis un sentier de terre portant le nom de sentier du Chariot d’Or. Le chemin allant du Breuil à Longjumeau et passant sur le pont s’appel simplement le chemin de Longjumeau. Il est évidant que le pont de Balizy ne désert pas cette maison de culture et donc il n’y pas de lien entre eux.


Cette maison de culture ne représente qu’une partie infime et certainement pas la plus avantageux du fief de Balizy

C’est le fief de Balizy dans son ensemble qui était une terre noble avec droits dîme et de justices, et non que cette petite fraction.


La propriété de cette maison de culture


Le fief de Balizy ( Balisy ) fut à la noble famille de Balisy,  on ne sais pas grand-chose sur eux. Il y a le Grand et le Petit Balizy, on comprend que de succession en succession le patrimoine foncier fut divisé. En 1580 un membre de cette famille occupe les fonctions de commandeur de l’Ordre de Malte. C’est là que certains récits s’autorisent des fantaisies et une certaine liberté d’interprétation. Ces biens ne sont pas la propriété de l’Ordre de Malte. C’est un bien privé appartenant à celui qui occupe les fonction de commandeur.

Cette maison de culture n’est pas une commanderie, mais simplement la propriété privée du commandeur de l’Ordre de Malte.


Afin que chaque puisse prendre la mesure entre les Templiers la propriété privé de la famille de Balisy, je fais un petit rappel historique :                           


1099, création des Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem, qui se divisera en 3 ordres


-          Les Chevaliers de Malte

-          Les Chevaliers Teutoniques.

-          Les Chevaliers Templiers.


1307, dissolution des Templiers voulue par les papes de Boniface VIII à Clément V puis de manière plus musclée dont confiscation de tous les biens par le roi de France Philippe le Bel.


1580, 273 ans ce sont écoulés depuis la dissolution de l’Ordre des Templiers.  Nous somme passer du Bas Moyen-Âge à la Renaissance les Templiers sont oublier.

Malgré évolution de la culture  et de la politique la famille de Balisy est toujours propriétaire du fief de Balizy, cela implique qu’il ne fut pas des Templiers.


1747 il parut une annonce ou Le commandeur de l’Ordre de Malte du nom de Cabeuïl  met en location une ferme à Balizy il demande qu’il soit pris contact au temple à Paris. Là j’avoue qu’il peut flotter une certaine ambiguïté. Le fait il à titre professionnel ou privé, cette ferme en location à Balizy est elle bien cette maison de culture dite commanderie ? Je n’ai pas la réponse.


1789 le fief fut confisquer et est devenu un bien national, il fut vendu en 19 parties.             


1931, tentative de classement du pont de Balizy, mais son propriétaire ne donne pas son autorisation.


On donne aussi les revenus de la commanderie mais cela est très confus.

30        livres en 1529

800       livres en 1635

4000     livres en 1757

Mais de quoi parle t’on, des revenus de la Commanderie de l’Ordre de Malte ce trouvant au Temple à Paris, ce serait le plus probable.

Du fief en entier de Balizy ce qui me parais déjà excessif.

Quant à la maison de culture et de son lopin de terre cela relève de l’impossible.


Vous trouvez aussi des textes qui sont de vrais enfumages :

On parle de lieux circonvoisins

De dates bien postérieur à 1307

On joue de nouveau avec l’ambiguïté biens Privés, biens à l’Ordre de Malte.

On vous met sous le nez cette maison de culture mais sur le cadastre Napoléon III qui date de 1866 soit plus de 550 ans après la dissolution des Templiers. Je rappel que cette construction est sans terrassement ce qui implique qu’avant il n’y devait pas y avoir d’habitat noble à cette emplacement et peu être bien il n’y avait absolument rien.

Bref ! on noie le poisson, on fait avaler des couleuvres. Quant on aménageant des bribes d’informations réelles pour en faire une histoire romanesque, cela ce désigne par une chimère.


L’état des lieux


On parle du pont  des Templiers, alors qu’il ni eu a aucun moment un lien avec les Templiers.

Le lieux est bien plus étendu de ce qui est considéraient : Plus en amont à 500 mètres il y a un premier pont d’un architecture comparable. Puis la rivière du Rouillon fut canalisée sur les 2 rives. Depuis ce premier pont et sur une longueur de 1000 mètres environs, pratiquement jusqu’au gué. De grandes marches espacées de 20 a 30 mètres en grés monolithe formant des paliers régulant le débit.


A gauche vient ci jeter une source designer sur certaines cartes du nom ru de la Grange du Breuil mais que localement on l’appelait  ‘Ecoute la Pluie Tomber’ sa résurgence émerge 250 mètres plus en amont de dessous d’un rochet on y trouve encore un petit nombre goulottes de grés de 40 cm de long qui devait la canalisé jusqu’au Rouillon.


A droite on devine qu’il y eu un réservoir ou étang artificiel long de 200 à 250 mètres, large de 30 a 40 mètres et deux arches de pont qui devaient faire partie du déversoir. Ce qui implique qu’il devait y avoir peu être un moulin à eau. Non loin de là et même attenant à Balizy il y a un lieu dit du nom Chevaucher peut être en souvenir de pillages. Pour quoi ne pas imaginer qu’il eu aussi une salle mais antérieur au pont de pierres.


C’est sous estimer l’importance de ce site de le réduire au seul pont de Balizy


Quant on ce rend sur les lieux : La ferme du Petit Balizy, le site du Pont de Balizy et des arches du déversoir, il est évident que le volume des pierres sur place ne correspond pas au volume de ce qui avait été bâtis. Ce qui me fait dire que ces sites ont servis de carrière de pierres ( réemploi ). Cela n’a rien d’atypique, cela fut même en l’usage jusqu’au début du XX siècle.        


La Datation probable de la création du site


La aussi chaque y va de son refrain, dans certain ouvrage on parle d’un chapelle à Balizy dont des restes de pilastres serait du XIII siècle. Il ne faut pas exclure un réemploi possible. Il n’en existe pas de représentation. Cette chapelle n’avait pas de tombe ni cimetière. Cet édifice de plus ou moindre importance était réservé à la prière, le terme d’oratoire serait plus approprié.


J’ai développé que le pont, la maison de culture, la chapelle ne forme pas un ensemble cohérant et chaque d’eux avait sa propre histoire. Ce n’est par ce que l’oratoire serait peut être du XIII siècle, que les ponts et que la maison de culture y soient également.

La datation du pont et sûrement relative à cette croix retrouver dessous. Je présent que je ne vais pas me faire que des amis. Comme je l’ais expliquer des le début du texte, dès mon enfance j’ai connu ce site mais aussi les défricheurs qui étaient franchement une bande de furieux. La fièvre, la passion, le désir d’une découverte importante, sans nul doute le soutient d’officiels, et la dynamique populaire. A  cette époque il y avait  un feuilleton télévisé

-  Thibault des Croisades -. Tous ces facteurs ont eu raison de leurs esprits et cette croix fut gravée par ces défricheurs entre 1968 et 1970.


Ce pont n’est pas contemporain des Templiers, il est bien plus récent que cela.

En 1465 lors de la bataille de Montlhéry Charles le Téméraire cacha une partie de sa cavalerie dans les bois de Balizy donc si il y des bois là c’est que le site n’était pas encore bâtis.  Dans l’ouvrage de l’abbé Genty sur l’état économique et démographique du  fief du Breuil  qui est attenant à celui de Balizy. Il écrit ceci : Ce succéda de trop prés peste, famine, guerre avec divers ennemies du roi, et guerre de religion. Dans les champs en friches y poussait déjà des arbustes et les maisons inoccupées étaient devenues des ruines. Il fallu attendre la fin du XVI siècle pour qu’une démographie suffisante puisse rétablir une économique adéquate à des investissements. Il est plus probable que le site fut bâti dans les années 1550 / 1600


Si on ce réfère à la carte Cassini faite entre 1668 et 1744, il y a bien un symbole un cercle à l’intérieur une croix de St André et quatre points. Ce symbole n’existe pas dans la légende

de la Carte Cassini.

Physiquement sur le terrain ces 3 ponts ne sont pas en alignement mais forme un angle de 30/35° et de plus la réalité : c’est un pont et deux arches au dessus d’un déversoir.

J’interprète ce symbole comme suit :

- Le cercle est un ensemble.

- La croix de St André l’angle formé par le non alignement des ponts.

- Les points comme étant la representation graphique des retours.

Maintenant cela est mon interprétation personnel et chaque à le droit à la sienne.

Ce qui est incontestable c’est qu’il y ne figure, pas de chapelle, ni de commanderie.


Datation de la perte activité du site.


La création de la Route Départemental 117 appel aussi Route de Corbeil, au environ de 1850

A dû sonner le glas du chemin de Longjumeau et du Pont de Balizy. Sur les cartes d’état major de cette époque il n’y a pas bois sur le site. C’est lentement que ces ponts et tombés de désuaitude sans qu’il fut totalement abandonné.


Pour la ferme du Petit Balizy sur place ce trouve un puit. Dans ce puit un tuyau en fonte sûrement les reste d’une pompe. Si on prêt on une attention aux colliers qui maintient le tuyau à la maçonnerie du puit, la boulonnerie y est récente. Sur Géoportail les vus aériennes 1950 on voie que la ferme est à l’état de ruine et que des jeunes arbres pousse dans ces ruines. L’abandon a dû ce faire entre les deux guerres mondiales.                    


Ces sites étaient encore en activité récemment, ils sont cartographiés, sont sur les cadastres, et ont été toujours connue de la population locale. Cela est déraisonnablement de parler d’artéfacts et de découvertes. Cette supercherie officieuse / officielle  n’est pas sans rappeler celle de Glozel.


Barrassy le 28/11/2022

          Barrassy (discuter) 28 novembre 2022 à 14:13 (CET)[répondre]