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Discussion:Tchetniks (Histoire des Balkans)

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Le texte initial est importé de Résistance en Yougoslavie pendant la Seconde Guerre mondiale. L'article actuel nécessite une extension jusqu'à l'époque des guerres des années 1990 et un résumé dans la section de l'article original. Felipe | ° 18 avril 2007 à 17:22 (CEST)[répondre]

Rapport de Von Weichs[modifier le code]

Le problème de cette ébauche d'article est qu'elle est constituée en grande partie d'un extrait du rapport de Von Weichs qui a été introduit par une IP avec laquelle on ne peut pas communiquer, et que cet extrait est référencé à des archives brutes de brutes, alors que l'on s'attendrait dans un article encyclopédique à passer par l'intercession d'ouvrages grand public qui ont discuté de l'importance qu'il faut donner à un rapport de ce genre. En l'absence d'information supplémentaire, je serais d'avis de transférer cet extrait en page de discussion en attendant que quelqu'un trouve la bonne reférence. --EdC / Contact 18 avril 2007 à 20:35 (CEST)[répondre]

Personellement, je ne vois rien de spécialement étonnant ou douteux dans cet extrait. Et l'interprétation de ce document est assez simple : les Allemands ont considéré que leur ennemi prioritaire était Tito et qu'une alliance objective avec les Tchetniks était réalisable. Cela me semble conforme à la réalité historique. Churchill aussi était d'accord. Felipe | ° 18 avril 2007 à 20:44 (CEST)[répondre]
Ma remarque porte d'abord sur la verifiabilité de la source: Supposons que j'habite dans une grande ville francophone, Paris, Montréal ou Toulouse. Je veux vérifier l'extrait et voir ce qu'il y a autour. est-il possible dans les bibliothèques spécialisées en histoire contemporaine de ces villes d'avoir accés à la référence citée ? La réponse est non. L'information n'est pas vérifiable. Ensuite, mon objection porte sur la nature de la source: en admettant que l'on veuille laisser le bénéfice du doute à cette mystérieuse IP, et qu'il existe bien un rapport Von Weichs avec cette phrase. Ni toi ni moi, en temps que faiseurs d'encyclopédie, n'avons la compétence pour interpréter un extrait d'un rapport d'un officier allemand. C'est le travail de gens qui engagent leurs réputations d'historiens. Chez les auteurs que j'ai consultés, Philippot et Garde, je ne trouve pas la trace d'une telle collaboration entre Mihajlović et les Allemands. Que ce document et ce qu'il suggère me semble ou te semble conforme à la vérité historique n'a aucune espèce d'importance. La question que je me pose en tant que rédacteur d'encyclopédie est de savoir si le lecteur avide de vérité que par ailleurs je suis, peut faire confiance à cet article. J'espère que j'ai été assez clair --EdC / Contact 18 avril 2007 à 23:44 (CEST)[répondre]
Il convient alors de faire des recherches pour confirmer ou infirmer cette information. Je suis d'accord là-dessus. T'en chargerais-tu? Felipe | ° 19 avril 2007 à 12:29 (CEST)[répondre]
J'ai fait ce que j'ai pu avec ce que j'avais sous la main, mais je n'ai pas vraiment d'ouvrage de référence sur la Yougoslavie pendant la SGM. --EdC / Contact 19 avril 2007 à 23:54 (CEST)[répondre]

Passages retirés de l'article pour cause de non-sourçage[modifier le code]

transfert effectué par --EdC / Contact 19 avril 2007 à 23:54 (CEST)[répondre]

Les tchetniks vont collaborer avec l'occupant dans des offensives contre les partisans, notamment lors de l'Opération Weiss à laquelle participe 50 000 Allemands, 25 000 Italiens, 17 000 oustachis et domobrans et plus de 12 000 tchetniks. Pendant plusieurs années les tchetniks vont donc recevoir du matériel allemand et italien, mais aussi anglais et américain, et même à certaines périodes soviétique.

La collaboration des tchetniks avec les Allemands est notamment soulignée par un rapport envoyé par le feld-maréchal Von Weichs à Hitler le 1er novembre 1943 :

"En ce moment le principal danger vient de Croatie. Les forces rouges se proposent de pénétrer en Serbie en franchissant la Drina. Mihailovic effectue des préparatifs pour les repousser... Mihailovic cherche à entrer en contact avec les commandements allemands pour ne pas tomber sous la domination communiste... Dans l'ensemble, les forces nationales (les tchetniks) perdent pied, tandis que le mouvement communiste est en essor. D'où la direction de l'engagement de nos propres forces et la formulation des tâches : * l'ennemi le plus dangereux est Tito. * Si l'on ne parvient pas dans les prochains mois à affaiblir considérablement ses forces, acquises à la suite de l'effondrement de l'état croate, alors :

a) on assistera à la fusion organique de tous les rebelles communistes dans tout le secteur du sud-est.

b) la défense de la Côte adriatique contre une attaque extérieure sera impossible.

Au cours des prochains mois, il ne s'agira plus de la survie de la Croatie, du Monténégro et de l'Albanie, mais de la création ou de la non-création d'un champ de bataille bolchevik sur tous le secteur du sud-est, dans le voisinage immédiat du Reich" [extraits provenant de l'Institut d'histoire militaire de l'APY, NAV-N-T-313, F-189/7449011-24]

Texte d'origine[modifier le code]

Pour info : le texte de cet article est issu de cette version de l'article Tchetnik, que j'ai séparé en deux pour avoir un article distinct sur l'unité de la Seconde guerre mondiale. Jean-Jacques Georges (d) 6 septembre 2009 à 15:35 (CEST)[répondre]