Discussion:Rouen

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Je ne suis qu'un IP ne connaissant pas bien toutes les arcanes de Wiki, mais (à part un souligné qui se superpose malencontreusement au blason) ça ne pourrait être un article de qualité ?— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 86.196.26.88 (discuter), le 5 décembre 2006 à 12:53 (CET)[répondre]

bonjour ! tu peux proposer l'article ici : Proposition articles de qualité ! jblndl 5 décembre 2006 à 17:28 (CET)[répondre]

Purge d'historique pour copyvio[modifier le code]

L'historique a subi une purge pour copyvio de http://www.webmatique.fr/fr/creation_de_site/webmatique_Rouen_Creation_site_Internet.html

La version copyvio se trouve sous Rouen/Copyvio

Les auteurs qui ont disparu de l'historique sont :

Jerome66 | causer 3 juin 2007 à 06:59 (CEST)[répondre]

Cette section fait l'objet d'une très longue liste devenue illisible par sa quantité d'informations. Un classement s'impose donc : par domaine par exemple.

  • Architecture
  • Arts du spectacle
  • Botanique
  • Droit
  • Industrie
  • Journalisme
  • Littérature
  • Médecine
  • Musique
  • Peinture
  • Politique
  • Sciences
  • Sciences humaines
  • Sport
  • Théologie

A défaut de classement de ce type, un classement alphabétique est au moins de mise... ou encore un classement par dates. Bref, un tableau serait évidemment le bienvenu.   Romanceor [parlons-en] 20 décembre 2007 à 14:01 (CET)[répondre]

le jumelage avec Cleveland est-il confirmé? [1] [2] Clio64 (d) 26 janvier 2008 à 05:34 (CET)[répondre]

pour mémoire. On dirait que oui : ici.--Totorvdr59 (discuter) 5 janvier 2022 à 13:51 (CET)[répondre]

Au sujet de Rouen lors des troubles religieux[modifier le code]

Au passage, il serait intéressant d'ajouter l'ouvrage suivant en bibliographie : Benedict Philip, Rouen during the Wars of Religion, New York, Cambridge University Press, 1981, 297 p.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 82.227.214.130 (discuter), le 9 avril 2008 à 23:32 (CEST)[répondre]

Promotion des articles potentiellement bons[modifier le code]

Bonjours, je trouve que l'article atteint un niveau qui correspond à "bon article" (afin de ne pas faire rougir les autres !) et qu'il devrait être promu. Je laisse les principaux acteurs faire la démarche et le met dans Projet:Label/Articles potentiels. - seule remarque : le chapitre "histoire contemporaine" un peu léger, reconstruction, plan d'urbanisme, essor économique etc... à moins que cela soit traité ailleurs. Siren - (discuter) 30 mars 2009 à 15:53 (CEST)[répondre]

Autre remarque : l'histoire de la période 1600-1870 manque également. Arnaud.Serander (d) 30 mars 2009 à 16:40 (CEST)[répondre]
Finalement, après étude de l'article, de graves lacunes apparaissent encore qui sont rédhibitoires pour le passage en bon article. Il a été enlevé du Projet:Label/Articles potentiels. Les secteurs faibles sont : histoire à partir de 1600 et surtout absence de références tout au long de l'article. On lui reproche aussi la présence de trop de listes à la place de texte rédigé. Il faut donc attendre. Siren - (discuter) 1 avril 2009 à 13:33 (CEST)[répondre]

La pseudo "Maison sublime" de Rouen[modifier le code]

Une construction de 17 mètres de long sur 10 de large (avec des murs de 1 m 65 à 2 m 20), élaborée datant du XIIe siècle, fut découverte sous l'escalier de droite de la cour d'honneur du Palais de justice en 1864, ou lors de l’édification du monumental escalier de la Cour d’Appel, on arasa près d’un mètre du coin Nord-Est du bâtiment, puis "redécouvert" en 1976... Elle fut surnommée avec emphase la « Maison sublime » et présentée à dessein comme un monument juif du XIIe siècle, car 16 graffitis mal formés plus ou moins superficiellement en alphabet hébraïque, mélangeant le scriptural & le linéaire, en majorité sur le mur Sud, rare sur le mur Nord, inexistante sur les murs Est & Ouest. Leur lecture est aléatoire, et les traductions non objectives, tiennent plus de l'interprétation dirigée pour ne pas dire confessionnel, notamment celle concernant ודפצ/Aphrw traduit "Efron…" qui en à 3 autres possibles (selon Martiano "Efron est passé par là", ou selon Bertin "Efron est trépassé", ou selon Golb "…? fils de …? que repose âme en paix"), & dans la tourelle au-dessus de la croix הצרשרהי/Iwshwah traduit arbitrairement "Josué" & qui peut tout aussi bien signifier "Jésus", ce serait alors une inscription templière (la croix ayant plus un rapport avec le Christ qu’avec Josué). Certains graffitis qu'on racole à la prière de Salomon, I Rois IX: 8 (qui se réfère uniquement au Temple de Jérusalem, dont la localisation hypothétique est elle-même une falsification historique), peuvent aussi bien s'appliquer à un ancien Temple païen (l'historien normand Maurice Erwin Guignard, affirme que le bâtiment était un ancien temple odhiniste), bien plus qu'à une synagogue (car à l'origine ce terme désignait une école, comme le Rabin un professeur). Quant à voir les mots hébraïques "Dieu" & "Torah" dans des tracés spécieux qui ont tout juste l'air de ratures, il faut avoir la foi bien vissée ou la vue vicieuse & l'esprit à la religiosité axée au dessin malhonnête, il est fort probable que ces pseudo-inscriptions hébraïques, soient des faux confessionnels ; car, il faut souligner la présence suspecte du Rabin Marciano durant les premiers jours de fouilles, alors que ne se posait pas encore la question sur l'origine du bâtiment, c’est d'ailleurs ce dernier comme n'en fait exprès qui en a émit l'hypothèse, qui comme par un hasard providentiel, se vit accorder à cette communauté en 1976, et attribué ex-cathedra puis concédé à la communauté juive, après examen plus que superficiel par un coreligionnaire B. Blumenkranz, directeur de recherche au C.N.R.S., qui fit accroire par allégeance au rabbin Kapplan qui visita le chantier en 1977, que le bâtiment était une ancienne synagogue. Soit, il y eut bien une synagogue à Rouen, mais située rue Massacre à la fin du XIIIème s. & 50 ans plus tard une sorte de yeshiva rue de la Pie, pâté de maison considéré comme quartier juif, quant à un soi-disant cimetière juif bordant la rue Saint-Maur (près de la gare Rive Droite), il n'y a contre toute attente été trouvé aucun indice de caractère judaïque.

Dire que : Ses murs préservés de faible hauteur laissent découvrir quelques inscriptions en hébreu : Que cette maison soit sublime ! (est inexact, car ce ne sont pas SES murs, mais en majorité sur le mur intérieur Sud, rare sur le mur extérieur Nord, rien sur les autres murs. Quand au pseudo Lion de Juda sculpté : Concernant les colonnettes du mur extérieur, celle dite aux lions représente 2 corps de lions réunis par une même tête, est appelée "2 corps une tête", c'est une représentation de la sculpture romane normande (comme au Mont-Saint-Aignan & en l'abbatiale Saint-Georges-de-Boscherville en Seine Maritime, ainsi qu'à Villennes-sur-Seine dans les Yvelines normandes, & à l'église Saint-Gervais de Falaise avec un léopard à 2 corps, sculpté sous Henri Iier), symbolisant l'illumination & la connaissance, la tête unique étant humanisée (ressemble à celle de Sheela-Na-Gig, Déesse de la fécondité irlandaise) & solaire à la fois (jeu de mot entre les norrois Ljós: "lumière" & Ljón: "lion"), le même symbolisme se retrouve sous la statue de Robert II Courteheuse (Abbaye Saint-Etienne de Caen, qui à les pieds sur une chimère à une tête de lion, 2 arrières trains de lion, ailes & seins, presque identique à un médaillon d'or Thrace, montrant un sphinx à 2 corps). Celle sculptée au dragon le représente avec un Créquier "prunier sauvage/prunellier" héraldique, sortant de sa gueule, arbre du bosquet sacré de la religion Óðinniste, qui est à l'origine du mot norrois Kirkja: "église/temple", la pointe de cet arbre imageant Þór: "Thor" jeu de mot avec Þorn: "épine" en norrois, par jonction avec Jörmunganðr: "les rayons telluriques", serpent/dragon géant fils de Loki, habitant de Midgaard: "monde du milieu" (notre monde), symbole du dragon entourant le pôle de l'écliptique, dragon que Þór pêcha dans une saga (lors d'une partie de pêche avec Hymir), c'est en quelque sorte la griffe signalétique du Temple óðinnique. C'était la maison d'un riche bourgeois, certes, mais un édifice civil, selon la plus grande part des archéologues, du moins pas « religieux » dans le sens judéo-chrétien du terme. Le bâtiment est dit juif selon quelques-uns mal informé et selon d'autres, mais de confession hébraïque, ce serait une yeshiva. Quoi qu’il en soit, ces deux suppositions à caractères confessionnels sont erronées.

A l'étage bas, du dallage fut posé au XIVème s., 2 chapiteaux de colonnettes des contreforts devinrent les bases de celles-ci, celle dite aux lions plus ou moins cachée par le massif de la nouvelle porte & l'autre au dragon par le second système d'accès, ce faisant les représentations se virent être curieusement inversées & couchées sur le dos, sans doute par souci de désacralisation (& pour selon certains à l'intégrisme exacerbé, être en conformité avec le Psaume XCI: 13 "tu marcheras sur le lion et l'aspic, tu fouleras le lionceau et le dragon…", mais la concordance est plus que spécieuse, le lion couché pouvant tout aussi bien correspondre au psaume d'Ezéchiel XIX: 1-9 concernant les descendants d'Israël renversée).

Le bâtiment ainsi remanié abrita sans doute des juifs en situation irrégulière, ainsi que des templiers emprisonnés ou en fuite et du faire à l'occasion office de synagogue provisoire vers 1315 (il suffit de 3 adultes mâles pour faire d'une prison un lieu de culte), en attendant celle qui se définira comme tel au croisement des rues du Gros Horloge & Thouret au milieu du XIVème s. (vers 1360, qui fut plus tard remplacée par l'église Notre-Dame de la Ronde, détruite à la Révolution française).

L'histoire de la petite communauté juive de Normandie au moyen âge, était fort mal connue jusqu'à la providentielle rectification par Norman Golb de la lecture du nom d'une ville de France, רדוס/RDWS jusqu'alors retranscrit en Rodez et qui s'avèrerai être selon les désidérata de Golb, le nom de Rouen. Dès lors il put « rassembler » hasard providentiel, un certain nombre de textes hébraïques du moyen âge mentionnant « Rouen » au lieu de Rodez, et conclure de manière péremptoire, que cette ville fut durant plusieurs siècles un très important centre de culture juive. Une substitution devenant une hypothèse, puis un postulat et enfin un dogme, de coreligionnaire outre-Atlantique via les confraternités de la diaspora française.

Mais cette relative certitude, pour autant qu’elle est dirigée de manière confessionnelle, doit être remise en cause, d’autant plus que le -s final de Rotomagos n’était déjà plus prononcé à l’époque ducal vu que les Vikings donnaient à cette ville une autre origine que celle du nom gaulois, preuve en est qu'au Xème siècle, Ibrahim ibn Ya'qub marchand arabe envoyé par le Calife Omeyade de Cordoue écrit Rudhûm, d'après la prononciation du nom de la ville de l'époque.

Car aucune ville française actuelles, qui se finissaient naguère avec le suffixe gaulois –magos et se terminent maintenant par -an/-en ou -on, ne se prononce avec un « -s » final. La re-traduction de RDWS/Rodez en Rouen est donc une tromperie pour ne pas dire une supercherie, qui vise à faire « coller » le nom d'une ville, avec une supposée Yeshiva et un pseudo peuplement tant statistiquement diffus qu'historiquement confus de coreligionnaires hébraïques à Norman Golb, avec le site juif hypothétique de Rouen. Golb oubliant que le manque de fenêtre donc de lumière et l'orientation de la porte en contradiction avec les textes des préceptes hébraïques, de même que la présence de foyer sur le sol de la salle basse. Golb décrit par ailleurs une sorte de niche qui aurait contenue l'armoire des rouleaux de la Torah, et qui s'avèrera être un puits..., il brode ensuite, inventant un nombre non démontré de 3 à 4 étages et un chiffre supposé de 50 élèves dans un lieu humide (avec un puits) ne pouvant pas accueillir une bibliothèque, avec un unique et exigu escalier en colimaçon ne permettant pas à deux personnes de se croiser. Golb invente encore, attribuant la maison à un juif nommé Bonnevie en 1986, mais en 1990, Ph. Cailleux se montre plus circonspect lors de deux conférences. On est face à des élucubrations plus qu'à des spéculations.

La « large » diffusion de ce raisonnement par l'absurde (jusqu'en Israël), qui tend à s'imposer contre toute logique, hormis le « politiquement correcte » qui s’efforce de réparer une collaboration franco-allemande pendant la 2ème guerre mondiale, part d'une hypothèse qui se révèle inexacte, et son accueil confessionnel récupérateur ne vise qu'à faire accroire en une fausse antériorité du judaïsme en Normandie, ainsi qu'une diffusion tronquée de cette ethnie, en faisant se confondre le nom actuel de la rue aux juifs de Rouen qui est une ancienne rue aux Gwibrr : "guibre/enseigne/décoration" au féminin, et "serpent/gouivre" au masculin en langue normande, le terme étant aussi à l'origine en Normandie du nom des localités de Gouy (près de Rouen) et Guibray (bourg inclus dans Falaise lors de la création du château Ducal au Xème s.), et m'a rien à voir directement avec le mot juif, celui d’un peuple sémitique d'extraction biblique, puisqu'il ne désigna les juifs mais de manière péjorative que tardivement, bien après le XIIème siècle. Le terme ayant été pris à tort au sens plénier, pour celui des « juifs » par les envahisseurs français au XIIIème siècle, qui n'entendaient rien au nom celte d'origine, les juifs ayant été expulsés de France en 1306. Gwyonbach (d) 15 novembre 2009 à 23:46 (CET)[répondre]

Même s'il y a des doutes sur la réalité judaïque de la « Maison Sublime » ou sur son affectation (yeshiva, maison d'habitation, etc.) ce que je ne conteste pas puisque je n'ai pas les connaissances, ni les compétences pour le faire. Il convient de présenter des arguments de manière circonstanciée sans traiter d'"abrutis" ou presque ceux qui penchent en faveur de thèses différentes et surtout de s'abstenir de crier au complot. On sent derrière ce discours des relents assez nauséabonds..
Certes, /s/ de Rotomagus s'est amuï assez tôt, mais son évolution en « Rouen » n'a aucun rapport avec les vikings. Elle s'explique très bien par les différentes évolutions phonétiques connues dans la langue française *Rotomu, avec perte de la syllabe non accentuée, ensuite Rodomo, Rothomo, par lénition de la consonne intervocalique /t/, pour aboutir à Rouen. Exemple : bas latin rotella > rouelle ou catena > cadena > cadhena > caene > chaine, etc. rien à voir avec une quelconque influence norroise. J'ignore sur quoi repose la forme hébraïque mentionnée et pourquoi elle a été interprètée comme étant Rouen par Norman Golb.
La forme hébraïque est: רדוס/RDWS jusqu'alors retranscrite Rodez, le pourquoi spécieux, est expliqué plus haut. Gwyonbach (d) 18 novembre 2009 à 17:49 (CET)[répondre]

Les remarques ci-dessus ne peuvent qu'égarer les lecteurs. La forme constatée dans les manuscrits n'est pas RDWS, elle est RDWM. (En arabe, Rouen s'appelait également Radum; le "a" long se prononçait presque comme un "o." Les voyelles ne s'écrivent pas en hébreu, l'emploi de la consonne W montre simplement que l'accent se mettait sur cette partie du nom.) C'est précisément l'erreur de lecture originelle qui fut repérée par Golb. Les photos des manuscrits dans ses livres démontrent ce fait. On se demande pourquoi une telle mésinformation, qui contredit nettement les preuves textuelles, s'est insérée dans cette discussion.--Rodom2 (discuter) 8 août 2018 à 21:05 (CEST)[répondre]

Autre chose, n'importe quel ouvrage récent sur la toponymie mentionne Gouy sous des formes du type Goiacus au Moyen Âge. On y reconnait aisément le suffixe -i-acum qui a justement donné le suffixe -y dans le nord de la France. Or, ces formes anciennes ressemblent comme deux gouttes d'eau aux formes anciennes des noms du type Jouy et Joué, que les spécialistes font dériver de Gaudiacum, nom de domaine gallo-romain basé sur le nom de personne Gaudius, nom chrétien issu de gaudium, joie. Pour qui connait un peu la dialectologie, le maintien du /g/ dur est la règle au nord de la ligne Joret. Il existe de nombreuses rues aux juifs, en Normandie et aucune forme ancienne ne contient cet espèce de serpent de mer que vous citez guibre qui serait de toute façon resté tel quel dans certains cas au nord de la ligne Joret. Quant à l'étymon gwibrr, je me demande bien ou vous êtes allé le piocher : Le Seigneur des anneaux ou star wars?

C. Cottereau (d) 17 novembre 2009 à 03:48 (CET)[répondre]

Vous ne connaissez pas la Gwyvr des légendes celtique (je retranscris ici son nom en cauchois non sottement francisé) :
  • Marcel Moreau, dans La tradition celtique dans l'art roman, l'écrit Nwywre.
  • Le Larousse ancien français, l'écrit Wivre et/ou Guivre.
  • Elle est appelée Givre, dans L'Encyclopédie Diderot et D'Alembert, Planche VII 355.
  • Le Dictionnaire de la langue française d'Emile Littré, l'écrit Vivre, Givre et Guivre.


Quant à votre remarque bateau et controuvée sur un supposé racisme, c'est souvent l'argutie liberticide des prêts à penser. Il y aurait dans cet argument un relent d'ostracisme sectaire sous couvert de religion, avec des intentions racistes peccamineuses, que ce ne serait pas plus étonnant que cela. Car si donner honnêtement une réponse censée sur un sujet récurant quel qu'il soit, c'est être raciste, selon la pensée étriquée des simplistes, alors qu'en est-il de la liberté de penser, dans notre société de l'hypocritement correct? Voir du racisme là où il n'y en a pas c’est ça le racisme, ne vous en déplaise. Les PLUS RACISTES et étroit d'esprit, ce sont ceux qui refuse le débat, en nous imposant un seul point de vue, véritable DICTATURE de la pensée, et "écrivent" l'histoire à leur convenance. Mes arguments sont légitimes et mettent l'accent sur des points qui ont trop souvent été éludés sous des prétextes fallacieux. La réécriture plus réfléchie, du petit encart précédent sur la pseudo « Maison sublime », amoindrissant son envolée en est la preuve. Gwyonbach (d) 18 novembre 2009 à 17:49 (CET)[répondre]

Guivre est un mot d'origine latine vipera qui a donné également l'ancien français vipère (c'est votre langue maternelle ?) [3]. Il a subit comme bien d'autres termes une influence germanique sur l'initiale d'où *wipera (cf ancien haut allemand wipera emprunté au latin) > *gwiper> .. > guivre. Cette mutation de /w/ en /g/ ne s'est pas produite au nord de la France et en Cauchois, par exemple. Ainsi, Guêpe issu du latin vespa présente la même évolution : en picard guêpe se dit wespe et en cauchois vêpe ou vrêpe (je ne vous l'apprends pas j'espère?). Cela dit, avec vos références périmées, vous omettez le développement d'une science dès la fin du XIXe siècle qui s'appelle la linguistique historique (ça vous dit quelque chose?). Au cas ou vous l'ignoriez, une mutation parallèle a affecté le britonnique (mais pas le gaelique). Ainsi le gaulois *uindo- (vand-oise, Vend-oeuvre) ou le gaulois uassos (vass-al) ont pour équivalent le breton gwen, le gallois gwyn; le breton gwas. Donc selon vous les rues aux juifs seraient tirés du breton ou du gallois. J'ignorais que l'on parlait breton jadis en Normandie, vous m'en apprenez de belles et je vous en sais grée.

C. Cottereau (d) 18 novembre 2009 à 20:33 (CET)[répondre]

Allez voir sur Wiki, à Vouivre/Wyvern, où des rédacteurs et correcteurs de Wiki ne sont pas de votre avis, mettez-vous au diapason, selon eux vous seriez dépassé. Car vraiment le: GLOUBIBOULGA et autre BARAGOUIN dont vous bassinez les lecteurs et que pourtant vous me reprochez, est le seul produit de votre fait et de vos méconnaissances (qui sont grandes)..., voici ce que le site VOUIVRE (qui pourtant est muet sur la Normandie) dit:

"On a longtemps rattaché ce terme au latin vipera, la vipère, mais l'on sait aujourd'hui que Vouivre et ses équivalents remontent à un vocable celtique, « wobera », lui-même issu d'une racine indo-européenne « bher- » signifient : « ondoyer », « couler »."

Et si vous aviez un tantinet d'éthique, vous feriez amende honorable...!!! A bon entendeur. 82.235.197.52 (d) 23 janvier 2010 à 11:46 (CET)[répondre]

J'ai dit que le nom de la rue aux juifs était tiré d'un mot celtique employé en Normandie.

L'auteur de Historia Regum Britanniæ: "Histoire des Rois de Bretagne" (1136/38), le fit d'après un original composé en breton et emporté en Angleterre par le Normand Gautier, archidiacre d'Oxford, il suit la tradition d'autres auteurs Normands notamment le duc Robert Courteheuse, auteur de l'Afallenau en gallois attribué au barde Merdhin.

Le Perche-Gouët, dit forestier tient son nom du breton Koad: "bois". Et pour anecdote le breton fut parlé jusque dans les années 80/90 à Grand-Couronne, où des anciens le parlent encore, par une colonie de Bretons qui y vinrent travailler dans les années 1900 (et quelques).

En Ruſkall: "langue cauchoise", dans Lú prekir nifl: "le parler normal/académique" (non bêtement francisé), il y a :

  • Gwinn: [gwī’] f.s.

"méchante femme", "gouine" (femme qui n'aime que les femmes, injure du norrois Kvinna: "femme").

  • Gwilh: [gwil] m.s.

fermentation du cidre, de la bière, de la frênette (du keltiſk, comme le breton Goin: "fermenter").

  • Gwill: [gwï] f.s.

"diarrhée/dysenterie".

  • Gwilla: [gwïè] (adj. Gwille) v.pa.

"mollir/devenir mou/couler" (comme le/du fromage), "se désagréger", "glisser" (comme des étoiles filantes dans le ciel).

  • Gwillaģ: [gwïaj] m.s.

"mousse de fermentation".

  • Gwillaſh: [gwïa∫] f.s.

"coulure".

  • Gwillann: [gwïā’] f.s.

"glissante/filante".

  • Gwernþel: [gwěrnzèl] m.s.

"garnement/mauvais sujet".

  • Gwerlupp: [gwěrlup] f.s.

"garce/mauvaise fille".

  • Gwell: [gwèï] f.s.

"serpe" (mot d'or. keltiſk).

  • Gwellan: [gwělā’] m.s.

"goéland" (v. aussi à Margatt).

  • Gwöþett: [gwö:zět] f.s.

"fille(tte) étourdie/insolente".

  • Gwolafr: [gwolafr] m.s.

surnom du diable (lit. "[le] mangeur [d'âme]", de Gwolljafr).

  • Gwolljafr: [gwoïîafr] m.s.

"gourmand/avide/insatiable".

Le norrois et l'islandais ont aussi ce [gw], de nombreux mots y sont écrits commençant par Gó- [gwo-]. Gwyonbach (d) 18 novembre 2009 à 22:55 (CET)[répondre]

N'importe quoi le Perche Gouet du breton koad, n'importe quoi, on a déja beaucoup de mal à trouver des toponymes bretons entre Rennes et Fougère, alors vous pensez bien...dans le Perche, ça saute aux yeux. Et je ne vois pas en quoi le fait d'avoir parlé breton à Rouen ou au Havre au XXe siècle peut avoir une quelconque influence sur la toponymie contemporaine (et sur celle du Moyen Âge a fortiori). D'ailleurs, je vais aiguiller vos conjectures issues de votre imagination ô combien fertile et votre aptitude extrème à la confusion, tenez prenez Bosgouet, c'est pas loin, gouet représente à coup sûr la traduction de bos(c), bois en breton, voila comment on fabrique un mythe en se basant sur de vague ressemblances graphiques !
Quant à Gwelan qui a affectivement donné le terme goeland, il s'agit d'un emprunt moderne. Je gage que dans quelques décennies et selon un processus complexe il aura abouti à juel, comme Gwibbr, ce bidule, a abouti à juif......
Tout cela est du même acabit : un gloubiboulga fatras confus et un baragouinage (ça c'est breton par contre) celtico-norrois sans rapport avec la question précise qui nous occupe, c'est à dire une vraie documentation et une vraie démonstration qui pourrait expliquer comment gwibbr, ce machin, a pu aboutir à juif simultanément dans toute la Normandie. D'autant plus qu'il est prouvé, et là ce n'est plus de la linguistique historique, mais simplement de l'histoire, avec une documentation de l'époque abondante à l'appui, que ça correspond à des quartiers juifs.

C. Cottereau (d) 19 novembre 2009 à 00:29 (CET)[répondre]

Flops de Wiki...[modifier le code]

Après maint 'discussions" et dialogues de sourds avec le "correcteur" Fitzwarin (qui essayait de noyer le poisson), lequel avait déposé comme cauchois les mots Jean-bonhomme, Gendresse et Mâirrie, et qui soutenait mordicus que c'était du cauchois en contestant les arguments de Gwyonbach (relayé entre autre par Agard-du-nord..., qui avait perdu le sien, = de nord =); effaçant la plupart des références étymologiques norroises et saxonnes du vrai cauchois non francisé. Les mots litigieux ont ENFIN été retirés en catimini, de la liste des mots cauchois! Et vous verrez, que l'avenir donnera raison à Gwyonbach pour ces autres affirmations, concernant le pseudo-normand franco-latinisé diffusé avec complaisance sur Wikipédia...

En ce qui concerne le Perche Gouet:

Les Bretons sont en Armorique depuis le IVème siècle, selon St. Gildas, dans: De Excidio (530). Début Vème s., ils occupent les terres Ossismes & Vénètes au titre de fédérés. En 500/507 les Arborykhes: "Armoricains", stoppent Clovis d'après Procope, & dit Sidoine Apollinaire, sont Supra Ligerim sitos: "établis au dessus de la Loire" au Vème siècle, contrôlant Blois et brigandant toute la vallée jusqu'à Orléans, où selon St. Dalmas, il y avait une Legio britannica jusqu'en 530. Donc logiquement le Perche Gouet tient bien son nom des Bretons, qui étaient sur place bien avant la pseudo-famille Gouet du XIIème s., qui soit dit en passant tient plutôt son nom du Perche Gouet et ne lui a pas donné son nom (à moins d'avoir une machine à remonter le temps de 6 siècles en arrière..., comme celle que semblent posséder "Casimir" & son comparse Mr Cottereau...! Wiki-gloubiboulga-pédia oblige). 82.235.197.52 (d) 22 janvier 2010 à 10:24 (CET)[répondre]

Bonjour. 1/ Merci pour ces éléments d'information. 2/ Merci d'éviter de personnaliser les débats. 3/ Merci de ne pas faire croire que l'avis de quelques auteurs de quelques articles est une complaisance et un flop de l'ensemble des auteurs de la Wikipédia francophone. 4/ Merci de noter qu'ici on se moque de savoir si les affirmations des uns ou des autres sont vraies puisque la seule chose qui importe est la qualité des sources 5/ Merci de rester courtois. 6/ Enfin, merci de noter que si vos propos concernent la liste « la des mots cauchois », ils sont hors sujet ici, puisque le sujet, ici, c'est la ville de Rouen. Cordialement. --Bruno des acacias 23 janvier 2010 à 12:29 (CET)[répondre]
Merci Bruno, toutes les personnes visées directement ou indirectement par le 82.235.197.52 auront reconnu sous cet IP fantôme notre bon ami M. Gwuyonwarc'h qui d'ailleurs semble ignorer qu'il existe un terme gaulois caito-, ceto-, cetio- cité par Xavier Delamarre dans son magistral Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003, p. 97 et qui signifie précisemment "bois" même racine que le breton koat / koet. Cela dit, celà reste une pure conjecture pour expliquer Gouet car en onomastique on travaille sur des formes anciennes : ou sont les formes anciennes de Gouet ? Effectivement on se demande ce que cela vient faire dans la discussion sur Rouen qui n'est pas à ma connaissance situé dans le Perche Gouet. M. Gwuyonwarc'h a aussi quelques problèmes avec la géographie semble-t-il.
C. Cottereau (d) 23 janvier 2010 à 13:02 (CET)[répondre]

Renvoyez le censeur![modifier le code]

Ne vous énervez pas et restez courtois SVP, l'article de wikipédia sur la vouivre est, comme l'annoncent les bandeaux, sujet à caution et ne cite aucune source. Le laius sur l'étymologie du terme ne vaut pas grand chose : tout au plus un ramassis de conjectures non étayées qui ne cite aucune source non plus. C. Cottereau (d) 23 janvier 2010 à 15:26 (CET)[répondre]
Si vous n'aimez pas la polémique, commencer par retirer la vôtre... 82.235.197.52 (d) 23 janvier 2010 à 21:02 (CET)[répondre]
Ce point est déjà traité plus haut. 1/ Merci de relire les réponses qui ont déjà été données. 2/ Merci d'éviter les redondances. 3/ Merci d'éviter d'utiliser le gras car c'est ... gras. Cordialement. --Bruno des acacias 23 janvier 2010 à 21:14 (CET)[répondre]

Demande d'illustration et copyvio[modifier le code]

Bonjour, n'y aurait-il pas un rouennais wikipédien qui pourrait faire une photo de la Ferté Saint-Romain (près de la Halle-aux-Toiles) afin d'illustrer l'article "Rouen" et le nouvel article Privilège de Saint-Romain ... dont je viens de m'apercevoir qu'il serait un copyvio de [[4]] - Donc je vais mettre le bandeau et prévenir l'auteur, j'ai pas le temps de faire plus. Il faudrait réécrire l'article - Siren - (discuter) 29 mars 2010 à 14:37 (CEST)[répondre]

Si je peux apporter lol[modifier le code]

Oki pour les photos, je vois pour les envoyer fin de semaine prochaine. Pour le reste (et je decouvre cette discussion !!!), les archeo ne savent pas, tout le monde fait des hypothéses, je ne pense pas que l'on puisse s'abaisser à deviner quand personne ne sais. Les graffitis sont bien en hébraïque et datent de fort longtemps, plus que la thèse de 1976 avancé avant (100 ou mille ans, là cela n'est pas mon domaine de compétence). Il ne s'agit certainement pas d'une synagogue ni d'une ecole pour les thèses avancées avant et vérifiables. Une synagogue "sauvage" serait plus en phase avec les diffèrents élements, l'époque était très troublée et même si les normands "protégaient" les juifs, il n'est pas sûr qu'une synagogue dissidente ai vu le jour. Cordialement.— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 79.87.80.153 (discuter), le 2 septembre 2010 à 00:56 (CEST)[répondre]

Etymologie[modifier le code]

Bonjour,

Votre paragraphe "toponymie" date un peu en ce qui concerne l'explication par roto- / roue ou rond. Les formes anciennes plaident pour une racine rat- rattachée soit au à ratis (fougère), même si cette etymologie peut être écartée, soit à ratu-/rato- (bonne fortune, grâce, chance).

Sources : - Article sur le portail Persée, de Patrice Lajoye, 2007

- Autre exemple contenant la racine ratu/rato sur l'encyclopédie l'Arbre celtique

Je me permets de vous le signaler sans effectuer de modification directement dans l'article, de peur de le vandaliser.

Cordialement— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 89.92.64.201 (discuter), le 27 août 2012 à 17:23 (CEST)[répondre]

"Date un peu" ? je ne crois pas non. L'explication de Xavier Delamarre, spécialiste du gaulois et linguiste, date de 2003 et je ne possède pas la seconde édition augmentée plus récente, à ce compte 2007 n'est pas non plus 2012. Quant à Patrice Lajoye, je ne vois pas qu'il soit linguiste ou spécialiste de la langue gauloise : il n'a rien publié sur le sujet. En revanche, c'est un spécialiste de la religion gauloise et autres cultes religieux (scandinaves, etc.). Quant « aux formes anciennes qui plaideraient pour Rato- au lieu de Roto- », ce n'est justement pas tranché et on précise pourquoi dans l'article "toponymie", pourtant clair à ce sujet. Pierre-Yves Lambert et Xavier Delamarre excluent les Rotomagus de la série des toponymes gaulois ayant un rapport avec rāte, rātis 'muraille, rempart > forteresse' et pas davantage que les toponymistes (Dauzat, Nègre, de Beaurepaire), ils n'évoquent le moindre rapport entre un toponyme et le gaulois rato-, ratu- 'chance, fortune, grâce', il s'agit donc d'un travail inédit. C. Cottereau (d) 27 août 2012 à 19:26 (CEST)[répondre]

Changement de nom de la région, attendre le 1er janvier?[modifier le code]

Qu'est-ce que ça change d'attendre le 1er janvier avant de changer le nom de la Normandie? c'est dans cinq jours maintenant! Pour les autres villes on ne m'a rien reproché ... Franchement c'est chercher la petite bête. Fredericknetwork 26 décembre 2015 à 14:31 (CET)

Photo Vieille maison[modifier le code]

Bonjour, j'ai un doute sur la validité de la légende de cette photo présente dans l'article (paragraphe vieilles maisons - adossée à la cathédrale ? cela me semble impossible, au mieux au Palais archi-épiscopal ? j'ai même un doute sur le fait que ce soit la rue saint-Romain, je ne ne reconnais pas. Un habitant pourrait-il vérifier ? - Merci. - Siren - (discuter) 3 août 2016 à 10:50 (CEST) --- PS : euh non je me trompe voir ici [5].., elle est adossée à un bâtiment en avant du portail des libraire.Voir aussi ici Cité canoniale de Rouen où la légende est : Maison de l'œuvre sur la rue Saint-Romain, dernière maison canoniale. Légende que je vais mettre sur la page Rouen. Affaire classée.[répondre]

Les Sapins (Banlieue de Rouen 1959-2001)[modifier le code]

Je me permets de me faire l'écho de Lydda275 (à une place aberrante). Je coupe+colle: "...blablabla... Les Sapins, le quartier le plus criminel de France du milieu des années 1980 au milieu des années 1990 (degré 8 sur l'échelle de Bui-Trong, talonné seulement pour la violence par le Quartier du Clos Saint-Lazare à Stains). La municipalité l'a rebaptisé Les Hauts de Rouen à cause de la réputation, et puis ils ont fini par le raser carrément dans les années 2000. Il y a deux ou trois rescapés de ce quartier qui se sont fait connaître par la suite: Emmanuel Legeard et Affif Djelti (aucun des deux n'a de page, d'ailleurs, ce qui effarant). Voici ce qu'écrivait la commissaire divisionnaire Lucienne Bui Trong (pas d'article non plus!), de la direction centrale des Renseignements Généraux dans son ouvrage "Violences urbaines, des vérités qui dérangent" (Bayard, 2000): "Les Sapins, c'est 5000 habitants, 45% de chômage, c'est 85% des jeunes qui sont au chômage, c'est un millier de logements vacants, c'est les rodéos, c'est le fléau des voitures brûlées qui sont un ensemble d'éléments qui nous permettent de qualifier les quartiers...Le Châtelet c'est le quartier le plus difficile actuellement. D'ailleurs, ce n'est pas un hasard, si le Châtelet et la Lombardie sont les deux sites contrat de ville pour les Hauts-de-Rouen.... Si j'ai un regard absolu à pointer sur un quartier sensible, c'est encore le Châtelet et moins le Château blanc (Quartier HLM dégradé de la commune de Saint Etienne du Rouvray dans l'agglomération rouennaise). » Commissaire Bui-Trong, Violences Urbaines. Des Vérités qui dérangent, Bayard, pp.12-13 (OCR de cette source en ligne)

Cela serait peut-être intéressant de créer une page Les Sapins (Rouen)?" J'approuve et je plussoie. Preneur, parmi les experts? Choucasdestours (discuter) 7 avril 2018 à 21:31 (CEST)[répondre]

J'ai créé une page Quartier Sapins - Châtelet - Lombardie. Arnaud.Serander (discuter) 9 avril 2018 à 22:15 (CEST)[répondre]
Merci Arnaud. Je crois que le plus important, c'est la présentation qui est faite ci-dessus par le commissaire Bui-Trong, des RG: "degré 8, quartier le plus dangereux de France", etc. Si tu veux, tu le fais. Sinon, je le fais demaain. Ce soir, je suis claqué. Passé ma journée à informatiser des dossiers à la gomme, je n'aspire qu'à pioncer. Juste, dis-moi. No problemo. ;) (P.S. J'ai déjà mentionné Legeard et Djelti!) Choucasdestours (discuter) 11 avril 2018 à 23:57 (CEST)[répondre]

Rotomagus[modifier le code]

En breton le toponyme signifie champs ronds ou en rond, qui est un procédé de culture connu. Maes = champ en breton

Haha, oui c'est ça, mais rien à voir.C. Cottereau (discuter) 5 février 2019 à 22:11 (CET)[répondre]

Parler rouennais[modifier le code]

Bonjour, Le paragraphe sur le parler rouennais me paraît un peu étrange... Il me semble en effet qu'un certain nombre des éléments cités sont communs à l'ensemble des parlers du Nord de la France, et pas spécifiques à la ville de Rouen. C'est le cas entre autres de l'emploi de "chuis" pour "je suis", que l'on retrouve aussi à Paris, ou pour l'expression "donne-moi-z'en", que l'on retrouve malheureusement partout au Nord de la Loire. Je signale au sujet de ce "z" de liaison qu'il ne concerne pas l'impératif des verbes du premier groupe. Ainsi, on écrit et prononce "achètes-en" bien que l'impératif seul s'écrive "Achète". C'est ce que l'on appelle le s euphonique. Je corrige ce point. Par ailleurs, le pronom "il" se prononce "i" fréquemment ailleurs en France septentrionale, de même que l'on y remplace à peu près partout le "nous" par "on". Là-encore, cela n'est pas spécifique au parler rouennais. Peut-être serait-il bon de corriger un peu cette partie ? Bien cordialement,--Altofonte (discuter) 13 janvier 2020 à 14:00 (CET)[répondre]

Des données précises sur le climat rouennais sont disponibles ici https://www.infoclimat.fr/climatologie-mensuelle/07037/avril/2018/rouen-boos.html - compte-tenu du fait que les températures relevées ne sont pas celle du centre-ville mais effectuée sur le plateau-est sur la commune de Boos. le record relevé sur cette commune pour un mois de juillet est de 41,3° (depuis 1973), Moyenne maximale 22,75 ; moyenne minimale 12,81. Cdlt.C. Cottereau (discuter) 29 avril 2020 à 15:59 (CEST)[répondre]

Toponymie de Montville[modifier le code]

Bonjour, j'ai apporté des modifications dans la section toponymie de l'article sur la commune de Montville? Pourrais tu y jeter un coup d’œil. N'étant que novice et n'ayant que des connaissances (très) limitées dans ce domaine, je ne maitrise pas (encore) les codes wiki pour correctement structurer une section toponymie. De même, si cela t’intéresse, j'aimerai connaitre ton avis concernant ce qui pourrait être une évolution toponymique du nom de la ville de Rouen qui n'est pas encore mentionnée dans l'article, mais que j'ai pu apercevoir dans un vieux document. Si cela n'est pas ton domaine, n’hésite pas à me mettre en lien avec un gars dont c'est le rayon, s'il te plait. Mes excuses pour le caractère trivial, Fraternellement, Norman76000 (discuter) 17 février 2021 à 06:21 (CET)[répondre]

Prononciation /ʁu.ɑ̃/[modifier le code]

Bonjour, je vois ici (mais aussi sur le wiktionnaire ou sur forvo.com) qu'il faudrait prononcer [ʁwɑ̃] alors que dans les enregistrements donnés, on entend clairement deux syllabes, c'est-à-dire [ʁuɑ̃] = /ʁu.ɑ̃/ C'est moi qui ai tort ou il faut corriger la prononciation ici et dans le wiktionnaire ? --OuechTonton (discuter) 11 avril 2021 à 12:56 (CEST)[répondre]

Culture rouennaise[modifier le code]

La culture rouennaise est le fruit de plusieurs siècles de culture de la terre et de ses fruits à Rouen et dans ses environs, mais aussi elle est aussi le fruit des échanges humains qui s’y déroulèrent et imprégnèrent les habitudes et mémoire communes des habitants. Ville normande, ayant hérité de certains traits gallo-romains locaux (comme le plan quadrillé de son centre-ville, sa construction à pans de bois, vraisemblablement issue d’un mélange entre l’architecture romaine en pierre et parement en torchis et celle gauloise plutôt en bois, ou sa langue puisque la base du normand – et donc du normand rouennais – étant le latin, comme pour toutes les langues d'oïl – voir plus bas pour ce qui concerne le parler rouennais), Rouen hérita aussi des Northmen venus de Scandinavie une culture de la taille de bois et de la construction navale qui explique en partie le maintien d’un port important dans une ville aussi éloignée de la côte. Le droit normand, installé dans l’Échiquier de Normandie qui fut itinérant entre Rouen et Caen, avait aussi hérité beaucoup des Northmen, mais celui-ci fut aboli par Napoléon en 1804.

Rouen est en outre située sur la Seine et, en tant que grand port du Royaume de France, fut toujours très influencée par la culture du bassin parisien (c’est à Rouen que l’architecture gothique, inventée à Saint-Denis avec la découverte de l’ogive en 1145, va se propager d’abord, dès 1150 avec la fondation de la tour Saint-Romain de l’actuelle cathédrale). Le catholicisme, très pesant dans la société rouennaise jusqu’au XXe siècle, eut une grande influence dans la formation d’une culture rouennaise puisque le calendrier s’articulait jusqu’au XIXe siècle autour des fêtes religieuses (la culture culinaire rouennaise en fut très influencée) et que des saints étaient honorés localement comme saint Romain, saint Léger ou encore saint Sever (ces saints donnèrent leur nom à plusieurs lieux dans la toponymie rouennaise).

Exporté ici en attente de sourçage. C'est creux--Totorvdr59 (discuter) 24 février 2022 à 20:44 (CET)[répondre]
Sourcé ou pas, ça n'a ni queue, ni tête, à supprimer. Bien à vous.C. Cottereau (discuter) 24 février 2022 à 21:06 (CET)[répondre]

Retrait de la photo "Balmoral de Fred. Olsen Cruise Lines au Terminal croisières de Rouen 2022 IMG 20220925.jpg"[modifier le code]

Bonjour. Je propose de retirer la photo "Balmoral de Fred. Olsen Cruise Lines au Terminal croisières de Rouen 2022 IMG 20220925.jpg" de cet article. La raison est très simple : la photo s'avère plutôt ratée. Le bateau est à peine visible et l'angle de prise n'a pu éviter le soleil réfléchissant. De plus, cette photo n'apporte rien à l'article en terme de valeur ajoutée. Les illustrations sont nécessaires, de surcroît lorsqu'elles sont réussies ou à tout le moins liées au contenu de l'article, ce dont on peut douter dans le cas présent. 77.134.227.100 (discuter) 3 octobre 2022 à 13:15 (CEST)[répondre]

L'admissibilité de l'article « Centre de rétention administrative d'Oissel » est débattue[modifier le code]

Page proposée au débat d'admissibilité
Page proposée au débat d'admissibilité

Bonjour,

L’article « Centre de rétention administrative d'Oissel » fait l'objet d'un débat d'admissibilité (cf. Wikipédia:Débat d'admissibilité). Il débouchera sur la conservation, la suppression ou la fusion de l'article. Après avoir pris connaissance des critères généraux d’admissibilité des articles et des critères spécifiques, vous pourrez donner votre avis sur la page de discussion Discussion:Centre de rétention administrative d'Oissel/Admissibilité.

Le meilleur moyen d’obtenir un consensus pour la conservation de l’article est de fournir des sources secondaires fiables et indépendantes. Si vous ne pouvez trouver de telles sources, c’est que l’article n’est probablement pas admissible. N’oubliez pas que les principes fondateurs de Wikipédia ne garantissent aucun droit à avoir un article sur Wikipédia.