Discussion:Roger Degueldre

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POurquoi écrivez vous "Roger Degueldre, de son vrai nom Roger, Hercule, Gustave Degueldre" ? pourquoi de son vrai nom ? Il est vrai qu'il s"est engagé dans les rangs de la Légion Etrangère avec le nom de Legueldre. Mais ceci est normal car il était français et la légion étrangère ne prenant exclusivemnt que des étranger, il est alors obligé de changer,de nom et de nationalité. Il reprendra plus tard son vrai nom — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.16.84.36 (discuter), le 9 janvier 2008 à 14:37

Modèles Référence nécessaire[modifier le code]

(dernier paragraphe de la section « Biographie »)

Sa compagne[réf. nécessaire], Nicole Gardy, fille du général Paul Gardy, également condamnée à mort[réf. nécessaire], s'enfuit avec toute la famille Gardy en Argentine en 1963, et se marie plus tard à Michel Bésineau[réf. nécessaire] (...)
  1. Sur quelle base notre article peut-il prétendre que Nicole Gardy était la « compagne » (ailleurs, sur le web, on dit qu'elle était sa « maîtresse ») de Roger Degueldre ?
  2. D'où sort cette prétendue condamnation à mort de Nicole Gardy, alors que dans les colonnes du Bulletin des Amis de Raoul Salan no 37 (2e semestre 2015, page 6 du document papier, page 3 du document PDF), il est textuellement affirmé que
    « Nicole est condamnée le 31 octobre 1963 par défaut à 15 ans de détention [sic] criminelle par la Cour de Sûreté de l’Etat « pour avoir projeté au printemps 1962 l’organisation de l’évasion de la prison de la Santé de l’ex-lieutenant Roger Degueldre et un attentat contre le Président de la République » » ?
  3. D'où sort le prétendu mariage (postérieur à la fuite en Argentine) de Nicole Gardy et Michel Bésineau, alors que dans les colonnes du Bulletin des Amis de Raoul Salan no 33 (2e trimestre 2012, page 5 du document papier, page 2 du document PDF), on trouve ces lignes :
    « Il regagne alors le 1er Etranger et épouse Nicole Gardy, fille du général commandant le GAL et obtient son affectation au 1er REP.
    Participe à la tête de la compagnie portée aux diverses opérations, débarque à Suez où le combat tourne court, il est alors affecté au peloton ALAT de la 10ème DP et rejoint, à nouveau, le 1er REP jusqu’au putsch des Généraux. »
     ?
    Cette interrogation est renforcée par la lecture, sous la plume du général Gardy, de la première partie de son Mémento personnel sur les événements d’avril, parue dans les colonnes du Bulletin des Amis de Raoul Salan no 28 (1er trimestre 2011, page 5 du document papier et du document PDF) :
    « Je conviens aussi d’un message personnel codé que Nicole (Gardy-Bésineau) lui transmettra d’Alger par téléphone ou télégramme à mon arrivée (...) »

Voilà qui mériterait quelques éclaircissements et, au regard des éléments très contradictoires que j'ai déniché, de solides références...

On pourrait imaginer l'existence d'une simple faute de rédaction (« condamnée à mort ») laissant croire que Nicole Gardy a écopé de la peine capitale, alors qu’il est facile de vérifier que si quelqu'un fut condamné à mort dans la famille Gardy, c'est en réalité son père, le général Gardy, qui fut condamné à mort par contumace. Une telle confusion n'aurait pas été possible si, par exemple, il y avait eu une incise plus explicite pour signaler que le général Gardy avait été condamné à mort :

« Nicole Gardy, fille du général Paul Gardy, lequel avait lui-même été condamné à mort par contumace, s'enfuit avec toute la famille Gardy en Argentine en 1963 (...) ».

— Hégésippe (discuter) [opérateur] 18 juillet 2016 à 18:33 (CEST)[répondre]

Trop peu de sources qualifiés, les rares sont hagiographiques à 2 exceptions près[modifier le code]