Discussion:Restaurant

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Article lacunaire[modifier le code]

ce serait pas mal si on pouvait avoir un petit topo sur l'histoire du resto, de quand date ce contexte, etc... :) avis aux connaisseurs Pontauxchats 21 juillet 2006 à 11:55 (CEST)[répondre]

Oui, et parler d'autres pays que la france (voir en particulier la pléthore de liens) :

{{francocentré}} --ArséniureDeGallium 27 juillet 2006 à 12:10 (CEST)[répondre]

c'était surtout les liens en effet. le reste est aussi lacunaire, ce qui induit un aspect francocentré, mais c'est provisoire et inévitable tant qu'il n'aura pas été complété. en attendant, j'ai viré les liens non encyclo (presque tous) et j'enlève le bandeau, celui de l'ébauche suffisant pour l'instant. Pontauxchats 27 juillet 2006 à 13:54 (CEST)[répondre]
OK --ArséniureDeGallium 27 juillet 2006 à 14:30 (CEST)[répondre]

Problème[modifier le code]

Comment Boulanger peut-il proposer en 1765 un service à la russe qui n'apparait en France qu'en 1808 ?

" Il fut le premier à proposer de la nourriture sur table à toute heure suivant et imitant le changement du service qui s'opère à cette époque dans l'aristocratie passant du service à la française au service à la russe dans lequel le convive est assis et servi par les ustensiles et le personnel qui lui sont dédiés individuellement."

Je propose en réponse un extrait de Alexandre Dumas, Le Grand dictionnaire de cuisine, 1873 (petit passage d'une longue introduction) :
« Disons un mot de ces utiles établissements, dont parfois les chefs rivalisèrent avec les Beauvilliers et les Carême. A Paris, ils ne comptent pas plus de quatre-vingt-dix à cent ans. Ils ne peuvent donc pas invoquer leur antiquité à l'appui de leur noblesse.
Les restaurateurs descendent en droite ligne des cabaretiers-taverniers, et de tout temps il y a eu des boutiques où l'on vendait du vin, et d'autres où l'on donnait à manger. Celles ou l'on vendait du vin s'appelaient cabarets ; celles où l'on vendait à manger s'appelaient tavernes.
La profession des marchands de vin est une des plus anciennes qui subsistent dans la capitale. Boileau leur donne des statuts dès 1264, mais ils ne furent érigés en corps de communauté que trois cent trente-cinq ans après. Alors on les divisa en quatre classes : hôteliers, cabaretiers, taverniers, marchands de vin à pot. (...) En 1599, les cabaretiers furent établis par Henri IV en communauté, avec le titre maîtres-queux, cuisiniers et porte-chapes.
Vers le milieu du siècle dernier, un nommé Boulanger établit à Paris, rue des Poulies, le premier restaurant. On lisait cette devise sur sa porte : « Venite omnes, qui stomacho laboratis, et ego restaurabo vos. » « Venez tous, qui travaillez de l'estomac, et je vous restaurerai. » Ce fut un grand progrès que l'établissement des restaurants à Paris. Avant qu'ils fussent créés, les étrangers étaient forcés d'avoir recours à la cuisine des aubergistes, qui généralement était mauvaise. Il existait bien quelques hôtels avec table d'hôte ; mais ces hôtels, à peu d'exceptions près, n'offraient que le strict nécessaire. On avait bien la ressource des traiteurs ; mais ils ne livraient que des pièces entières ; et celui qui voulait se régaler avec un ami était obligé d'acheter, soit un gigot, soit un dindon, soit un filet de boeuf.
Enfin, un homme de génie se trouva, qui, jugeant de l'opportunité d'une création nouvelle, comprit que, si un dîneur s'était présenté pour manger une aile de poulet, un autre ne pouvait manquer de se présenter pour manger la cuisse. La variété des mets, la fixité des prix, le soin donné au service, amèneraient la vogue chez celui qui commencerait avec ces trois qualités.
La Révolution, qui démolit tant de choses, créa de nouveaux restaurateurs : les maîtres d'hôtel et les cuisiniers des grands seigneurs, se voyant sans place par l'émigration de leurs maîtres, devinrent philanthropes et imaginèrent, ne sachant à quel saint se vouer, de faire participer tout le monde à leur science culinaire. »
Il me semble aller de soi que servir une aile à l'un, la cuisse à l'autre, et le tout à des moments différents voire distants, implique un découpage par le restaurateur ou son personnel. Il ne faut pas pour cela l'appeler service à la russe ; il faut seulement penser "bonne gestion commerciale". Les services à la française ou à la russe ne doivent être considérés que lors des repas de particuliers (nobles ou non) bien ou très bien nantis, ou lors de repas officiels. Bien à vous, --Égoïté (d) 5 janvier 2009 à 23:01 (CET)[répondre]

Relais routier au Royaume-Uni = "Transport Café" et non pas "Truck Stop"[modifier le code]

J'étais surpris de voir "Truck Stop" en référence au nom du relais routier au Royaume-Uni, ce terme étant quasi-inconnu (camion se disant "lorry", et non pas "truck" comme aux Etats-Unis).

"Truck Stop" est un terme originaire des Etats-Unis. L'équivalent au Royaume-Uni est "transport café". --BruceME (d) 29 avril 2013 à 17:58 (CEST)[répondre]

Merci ! Wisdood (discuter) 21 novembre 2023 à 10:38 (CET)[répondre]