Discussion:Renault PR 100

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Scission des différentes parties[modifier le code]

--- Il serait nécessaire de faire un article par grande famille au lieu de faire un article généraliste de ce type, qu'en pensez-vous? --Kyah117 (d) 18 août 2010 à 14:26 (CEST)[répondre]

---> J'ai été à l'origine de cet article et après avoir constaté quelques modifications, j'ai effectué des sous-parties dans un soucis chronologique. Le soucis, c'est qu'un PR112 fait partie de la famille du PR100 par exemple ou qu'un PR180.R est en réalité un PR180.MIPS... Un article par grande famille reviendrait à faire un distingo là où il devrait y avoir rapprochement. - VERSIONS DIESEL (en bref, les gros modèles de série) -- standards -- articulés -- Commercialisation des modèles (à compléter) - VERSIONS ELECTRIQUES (commercialisations à faire) - DECLINAISONS DE CHASSIS (commercialisations à faire) - DECLINAISONS ETRANGERES

Attention à ne pas mélanger les modèles et auix fautes d'orthographes! :) Utilisateur:Vincenzo06 21 jullet 2011 à 14:23

Histoire des trolleybus en France[modifier le code]

Section copiée depuis l'article. Longue dissertation sur l'histoire des trolleybus en France : pertinence à vérifier et aucune source.

En France, dans les années d'entre deux-guerres, l'économie fonctionne en autarcie. On profite exceptionnellement de contrats de fournitures à l'étranger mais l'exportation en tant que telle n'est pas pratiquée. Le marché français est d'ailleurs un des plus fermés. Afin de trouver de nouveaux débouchés aux matériels du groupe Als-Thom, devenue Alsthom plus tard puis Alstom de nos jours, fleuron de l'industrie reconnu uniquement dans l'hexagone, société issue du regroupement de la SACM - Société Alsacienne de Constructions Mécaniques à Belfort, célèbre constructeur de locomotives et de la Compagnie Française Thomson-Houston, la société Vétra est constituée en 1925. N'ayant aucun concurrent, le parc français de trolleybus était donc constitué essentiellement de véhicules Vétra. Mais Vétra n'a jamais été, au vrai sens du terme, un "vrai constructeur" de trolleybus mais plutôt un concepteur et un intégrateur. Via son bureau d'études, SATRAMO, Vétra concevait les matériels et les faisait construire et assembler par des sous-traitants spécialisés, des carrossiers ou même parfois par les fournisseurs des châssis : Berliet et Renault.

Si à la fin des années 1930, la France ne comptait que 152 trolleybus répartis en métropole et ses colonies d'Afrique du Nord, dans le reste du monde on en dénombrait plus de 6 500 répartis dans 170 villes sur les 5 continents, dont 2 000 uniquement aux USA en 1938. En France, le boum des trolleybus vient dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, durant la période 1946-1952. Pas moins de 13 villes vont s'équiper d'un réseau de trolleybus : Amiens, Forbach, Mulhouse en 1946, Brest, Grenoble, Le Havre et Metz en 1947, Saint-Malo en 1948, Tours en 1949, Dijon et Toulon en 1950, Belfort et Perpignan en 1952. Cependant dès 1954, la ville de Bordeaux abandonne définitivement le trolleybus.

Dès le début des années 1960, le déclin des trolleybus semble inexorable. Le marché se rétrécit de plus en plus. Sur les réseaux en place, les véhicules âgés de 20 ans donnaient encore toute satisfaction mais aucun renouvellement ne s'annonçait, les trolleybus étaient remplacés par des autobus. Vétra dépose son bilan en 1964 laissant la France sans constructeur de trolleybus. Le premier choc pétrolier en 1973 va ralentir le démantèlement des derniers réseaux dont Toulon fut la dernière victime. Les villes de Grenoble, Lyon et Saint-Étienne restées fidèles à ce système de transport, cherchent à renouveler leur parc constitué essentiellement de trolleybus Vétra mis en service entre 1943 et 1964. Elles contactent d'abord Saviem qui refuse d'adapter son SC10, avant de se tourner vers Berliet à qui elles vont fournir un cahier des charges pour la création d'un nouveau trolleybus français.

Suggested date for the Berliet V800 is wrong[modifier le code]

Berliet and Alvis entered an accord in December 1963, as shown in the Times newspaper of 18th December 1963. See https://drive.google.com/file/d/1vcxLqFI5wFxLrLjQmxZtQUfAlR_vqGHJ/view?usp=sharing

In the Berliet Auroch handbook of October 1964, it states at the top of page 2 (page 4 of the PDF) that they have asked for a Berliet engine to be installed. See

https://drive.google.com/file/d/1Kt1Q8z3f_uG6FGv2zGr6Ietzz_d15GW4/view?usp=sharing


I have amongst a stack of Alvis paperwork this list of issues with installing the Berliet V800 into the Stalwart. The original is on page 3.

https://drive.google.com/file/d/19qUV4oFsuo9aKUCdsa88Jp07virhHL9o/view?usp=sharing

The accord between Alvis and Berliet was stopped when Alvis was moved into British Leyland in 1965, with the British Leyland Board stopping the agreement. As shown in the French magazine Charge Utile. See https://drive.google.com/file/d/1gcGzLDOdoymPz1wZwg4aebjFpF_2eT-0/view?usp=sharing

So there would have been no need in later years to try and install a Berliet engine into the Stalwart, would there. Which brings the V800 forward to perhaps 1963

Darzet boy (discuter) 14 avril 2024 à 02:31 (CEST)[répondre]