Discussion:Prêtre catholique

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Comment et par qui sont rémunérés les prêtres en France ?

Par l'État en Alsace et en Moselle uniquement (droit local). Par la charité chrétienne ailleurs --Pontauxchats Ier | 4 mai 2004 à 10:16 (CEST)[répondre]

Spéculation[modifier le code]

"Mais ce choix de discipline ecclésiastique pourrait évoluer chez les catholiques latins, même s'il n'en est pas question aujourd'hui" : hautement spéculatif.

"Prétrise et pédophilie" : Ce lien même s'il est utile serait moins choquant dans une liste moins dépouillée et exhaustive. Dans le contexte de l'article, il diffuse une sentiment d'hostilité, contraire à l'universalité d'un encyclopédie.

Des prêtresses[modifier le code]

L'article dit: "Car l'ordination d'hommes mariés, contrairement à l'ordination de femmes, a été historiquement possible dans l'Église catholique; "

Pourtant, il me semble qu'aux alentours du Xe siècle, au moins en Bretagne, des femmes pouvaient devenir "prêtresses". Il me semble d'ailleurs qu'à l'époque il était relativement fréquent de trouver, toujours en Bretagne, un presbytère habité par "le prêtre, la prêtresse et leurs enfants"... (En revanche, Rome est intervenue pour faire cesser cet état de fait) Je n'ai pas de sources sous la main, je vais essayer d'en trouver. -Ash - (ᚫ) 2 septembre 2006 à 20:18 (CEST)[répondre]

Le mot juste est diaconesse ou femme diacre, pas prêtresse. On indique par exemple que Radegonde fut consacrée diaconesse. Paul mentionne par exemple une diaconesse du nom de Phoebé.
Cependant, la fonction de diacre n'avait pas alors acquis son sens moderne. En l'année 325, les diaconesses n'étaient pas considérées comme faisant partie d'un ministère ordonné. [1] ; elles étaient plutôt ce qu'on appellerait maintenant des « assistantes laïques ».
De plus, c'est la réforme grégorienne qui a imposé le célibat des prêtres, tout en inderdisant le nicolaïsme. Aujourd'hui, les diacres conservent néanmoins la possibilité de se marier. ADM
Non, ni les prêtres ni les diacres n'ont jamais eus la possibilité de se marier. En revanche dans l'Eglise catholique latine, il est possible d'ordonner diacre permanent, c'est à dire qu'il le restera alors que le diaconat peut n'être qu'une étape en vue du sacerdoce ce qui n'est pas le cas du diacre permanent, des hommes mariés; ainsi que dans les Eglises catholiques orientales des hommes mariés pourront être ordonnés prêtres, mais dans ce cas ils ne pourront recevoir la plénitude du sacerdoce, l'ordination épiscopale, qu'une fois veufs. De toute manière à partir du diaconat si on n'est marié on le reste, et si on est célibataire on le reste aussi. Le remariage des clercs en cas du décès du conjoint est également interdit.--PMMESJ (discuter) 30 mars 2019 à 12:12 (CET)[répondre]
Dans l'exemple que vous donnez, il ne s'agit pas de "femme-prêtrs" mais de la femme du prêtre alors que les prêtres étaient mariés. Tout comme on disait "la générale" pour la femme du général, ou "la pastoresse" pour la femme du pasteur. En Ukraine où la plupart des prêtres sont mariés, on appelle encore de nos jour les femmes de prêtre ("presviter") la "presvitera", càd "prêtresse" même si bien sûr elles ne sont pas ordonnées. DonHenri

Cas de la Guyane[modifier le code]

Ce paragraphe traite t-il du département de la Guyane Française?

Statut des prêtres[modifier le code]

Est-ce que l'on parle d'indemnité hebdomadaire, mensuelle ou annuelle?

Le nombre de prêtre mentionné en tête de l'article semble complètement fantaisiste et surestimé d'un facteur 10. --82.228.223.13 (d) 27 mars 2010 à 16:01 (CET)Patrice[répondre]

Section "Perte de l'état ecclésiastique"[modifier le code]

Je me suis rendu compte que, sauf erreur, la question des prêtres défroqués n'était traitée nulle part dans Wikipedia (fr). J'ai donc créé la section Perte de l'état ecclésiastique.

Ma contribution a ses limites :

- Je ne prétends pas être spécialiste de la question. J'ai davantage écrit pour susciter des "vocations" (!...) qu'en pensant clore le sujet. Notamment, ma remarque sur le droit canon est à valider, préciser, etc. par les experts !

- Rigoureusement parlant, ce sujet ne concerne pas que les prêtres, comme je l'ai d'ailleurs écrit. Y a-t-il un article dans lequel il serait mieux placé ? Faut-il y consacrer une entrée dédiée ?

- J'ai déplacé dans cette section l'allusion quantitative qui y était faite plus haut. Elle a le défaut de ne pas situer l'assiette de ces chiffres (Italie, Europe, Monde ?)

--Dgreusard (discuter) 30 juillet 2018 à 16:38 (CEST)[répondre]

Ordination des femmes[modifier le code]

Bonjour,

Mi mars, j'avais modifié la section "Ordination des femmes" en supprimant la fin de la phrase car elle était mensongère : elle interprétait la source de manière totalement arbitraire et orientée. Une minute plus tard, la modification était annulée par JLM. Ne souhaitant pas créé une guerre d'édition, je lui ai laissé un message sur sa page de discussion, il n'y a pas encore répondu, probablement par manque de temps.

La source dit, je cite : Le concile en tient compte dans une certaine mesure, du moins dans le principe, puisque la constitution pastorale Gaudium et Spes, dans son chapitre 29, dit : "Vu que tous les êtres humains ont une âme raisonnable et sont créés à l’image de Dieu, vu qu’ils ont la même nature et la même origine, vu que, sauvés par le Christ, ils ont la même vocation et destination divine, il faut reconnaître l’égalité fondamentale de tous les êtres humains (...). Toute forme de discrimination touchant les droits fondamentaux de la personne dans la vie sociale et culturelle, qu’elle soit fondée sur le sexe ou la race (...) doit être dépassée et éliminée comme contraire au dessein de Dieu."

L'ordination dans l'Eglise Catholique n'étant pas considérée comme un droit[1] fondamental de la personne, on ne peut utiliser cette source pour justifier cette phrase. Le Magistère l'a d'ailleurs redit plusieurs fois : l'ordination est réservée aux hommes. Le Pape Jean-Paul II l'a d'ailleurs redit dans sa lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis du 22 mai 1994 : C'est pourquoi, afin qu'il ne subsiste aucun doute sur une question de grande importance qui concerne la constitution divine elle-même de l'Église, je déclare, en vertu de ma mission de confirmer mes frères (cf. Lc 22,32), que l'Église n'a en aucune manière le pouvoir de conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que cette position doit être définitivement tenue par tous les fidèles de l'Église » Cette déclaration papale est infaillible.

Donc que fait-on pour cette phrase ?

Bonne journée,

--PMMESJ (discuter) 3 avril 2019 à 18:47 (CEST)[répondre]

Excusez moi encore une fois pour la faute de frappe dans le résumé de modification. Cdlt --PMMESJ (discuter) 28 juillet 2019 à 23:26 (CEST)[répondre]
Notification JLM : Bonjour, pourriez-vous, avant de supprimer des modifications sans afficher de motifs, répondre au message indiqué dans le commentaire de la contribution concernée ? Ma contribution est peut-être à refuser, mais veuillez donc expliquer sur cette page en quoi les sources que j'avance sont inappropriées ou non recevables. Merci, Cdlt --PMMESJ (discuter) 4 août 2019 à 19:49 (CEST)[répondre]
Notification Laurent Jerry : Pourriez-vous vous aussi donner votre avis ? Cdlt, --PMMESJ (discuter) 4 août 2019 à 19:49 (CEST)[répondre]
Bonjour, n'ayant toujours pas de réponse, et en attente de réactions je supprime le passage controversé. Cdlt --PMMESJ (discuter) 2 octobre 2019 à 19:16 (CEST)[répondre]
  1. C'est méconnaître complètement la nature du sacerdoce ministériel que de le considérer comme un droit. http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/cfaith/documents/rc_con_cfaith_doc_19761015_inter-insigniores_fr.html