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Discussion:Piotr Chelokhonov

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Neutralité, style, sourçage[modifier le code]

Bon, bon, bon.....y a du taf.

Sourçage. S'il vous plaît, voir ce site web [1]

La Neutralité[modifier le code]

Cet article est écrit comme un hommage sans aucune neutralité, récit héroïque. Il faut à mon avis revoir le style et prendre de la distance pour faire plus encyclopédique.

Je pense que l'auteur n'a pas le français comme langue maternelle d'où des maladresses de style, je n'ai pas eu le courage de tout corriger. Les accords grammaticaux sont à vérifier.

Sourçage[modifier le code]

Des sources semblent être présentes en bas de l'article mais ne sont pas liées au texte, ce travail reste donc à faire. --Marie1492 (d) 22 octobre 2012 à 22:15 (CEST)[répondre]

  • S'il vous plaît, voir ce site web [2]

Dans le film intitulé «Ennemi caché" (1968) Petr Shelokhonov joué un bon espion à la recherche, qui a été subrepticement tue des gens et de s'infiltrer dans le rang soviétique et le fichier portant un uniforme de capitaine soviétique. La sortie du film coïncide avec l'attaque réelle sur le Brejnev du dirigeant soviétique par un homme armé qui a pénétré dans le port de l'uniforme soviétique Kremlin. Chef de la police Schelokov de Brejnev a écrit une lettre de colère du Parti communiste soviétique exigeant que ce film «anti-soviétique» doit être banni. Immédiatement, le film a été interdit et Petr Shelokhonov a été censuré. Ensuite, le film a été modifiée et re-fait pour plus tard, en 1969, désormais intitulé Razvyazka (1969). En cela l'espion, joué à nouveau par Petr Shelokhonov, est vêtue d'une chemise blanche au lieu d'un uniforme soviétique, parce que le KGB soviétique a ordonné aux cinéastes de faire de tels changements.

Isabella (1993 spectacle) sourçage[modifier le code]

Pardonnez les Anglais... Cette source originale sur le spectacle Isabella décrit le mérite du spectacle et le public les larmes aux yeux:

« “Isabella” was an unforgettable production directed by Petr Shelokhonov and Kirill Laskari in 1993. The play is based on memoirs of the Jewish girl, Isabella, who survived the Auschwitz concentration camp during the Second World War. This was a new theme for theatre. The show had everything from love, singing, and dancing to blood, tears, and death. Of course, in that production Shelokhonov invested his soul and personal experience of his own survival under the Nazi occupation. He personally knew what Isabella went through in the concentration camp. And now they met in St. Petersburg at the premiere of the play. Isabella was stunned by the way Russian actors depicted her life story. Especially powerful was the final scene where Shelokhonov created a metaphor about this immortal feat: all prisoners who had been burnt in ovens fire now rose from ashes and in their slow and majestic march they came out of the firing ovens and walked through smoke from the stage towards the audience, and while the music of Mozart's Requiem was playing, the resurrected victims joined the viewers whose eyes were full of tears. People in the audience were sobbing and greeting actors with applause. »


Parce que dans le public il y avait Isabella elle-même avec quelques autres survivants et leurs proches et ils ont revécu avec émotion la tragédie de l'Holocauste pendant le spectacle puissant.

Ivan Ivanovich Krasko [3] [1] — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 99.47.245.37 (discuter), le 14 janvier 2022 à 23:50 (CET)[répondre]

  1. Ivan Krasko et collaborateurs Mon ami Petr Shelokhonov, maison d'édition SOLO, Saint-Pétersbourg, 2009, (ISBN 978-5-904666-09-5)