Discussion:Petru Rocca

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Abus de langage[modifier le code]

"qui est l'organe essentiel de la collaboration des partis autonomistes fascistes avant guerre."

La revue en question n'est pas lié à un parti en particulier. Ses membres sont des militants, certains ayant des sympathies pour les membres de l'Axe, mais cela ne suffit pas à qualifier la revue "d'organe des partis autonomistes fascistes". Tout d'abord parce que les partis concernés pour l'Alsace, la Bretagne ou la Corse ne sont pas fasciste stricto sensu, et ensuite parce que la revue n'est pas la revue de groupes politiques.

Je corrige donc par:

"qui est l'organe de coordination des courants autonomistes avant guerre."

" Il y agit avec des dirigeants autonomistes parmi les plus ouvertement liés au nazisme comme Olier Mordrel"

Il s'avère qu'à cette époque les liens de Mordrel avec l'Allemagne se limite à un groupe d'universitaires celtisants. Ce qui ne constitue pas un lien avec l'état national socialiste ou le parti nazi. Se référer à "Breiz Atao, histoire et actualité du mouvement breton" de Mordrel lui même pour en avoir le coeur net. Ce dernier explique sans se cacher de ses liens en Allemagne, des aides financières sollicitées et des résultats: très maigres et toujours en provenance d'individus ou de petits cercles privés. Des résultats obtenus AVANT le conflit, l'aide devenant un peu plus appuyée après la déclaration de guerre, mais à une date ou Peuples et Frontières ne paraît plus.

En outre le terme "ouvertement" laisse à penser que des autonomistes comme Mordrel affichait leurs éventuels liens avec tel ou tel cercle "fasciste" ou "nazi". Chacun comprend que cela aurait était impossible pour des raisons de communication: le journal "Breiz Atao" de Mordrel appelant à la paix et à la neutralité. Sans oublier les problèmes avec l'état français qu'une telle position publique eut engendré. Ses liens sont donc réels mais discrets et limités à des intellectuels allemands.

Je corrige donc:

" Il y agit avec des dirigeants autonomistes en contact avec certains cercles intellectuels allemands proches du national socialisme".