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Discussion:Nina Vidrovitch

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Vidrovitch dans la presse[modifier le code]

A la suite de la conservation de l'article mais de la suppression de cette section, je la copie ici, à toutes fins utiles ultérieures, les demandes de précisions m'ayant paru zélées :

  • Le Théâtre antique de la Sorbonne en a donné une représentation remarquable. Je voudrais donner du poids à ce mot banal. ... la nourrice, avec son masque de tête de mort, et toute ratatinée, vous fait frissonner. Et Médée, une grecque de cheveux noirs sur le front, masquée de peau grisâtre, abaissant les commissures des lèvres, comme il sied aux masques tragiques ; Masques, costumes, excellents. C'est une belle soirée. Robert Kemp[1].
  • "A même le mur de son atelier, elle a peint une grande œuvre d’un dynamisme extraordinaire, d’une fougue surprenante". H. Adam Les Lettres françaises, [réf. nécessaire].
  • "A côté de compositions dynamiques où la réalité est transposée en de larges symphonies de couleurs et de lignes qui visent à l’effet décoratif, Nina Vidrovitch retient dans des dessins d’une conception plus scrupuleusement réaliste mais infiniment attachante des paysages qui lui sont chers. La franchise du graphisme, la clarté de la mise en page leur confèrent une sereine beauté." Les Nouvelles Littéraires, .[source insuffisante]
  • "L’atelier-galerie de Nina Vidrovitch nous fait entrer de plain-pied au gré des huiles, des dessins, des collages, dans un monde d’élégante harmonie et de sérénité où l’artiste là encore se projette tout entière et où les mêmes courbes sûres savent dégager l’essence des paysages du midi ou des silhoutettes et des profils féminins." Le Monde [source insuffisante]
  • "Son bestiaire en couleurs, suite de dessins d’animaux merveilleux ou familiers éxécutés au crayon de feutre dans un esprit proche de celui des arts traditionnels slaves, avec une liberté et une grâce poétique tout à fait originale". Michel Daubert Le Figaro .[source insuffisante]
  • « Soixante ans de création et onze années de recherches ont permis la parution d'un catalogue raisonné... Peu connu du grand public, mais présente dans de nombreuses collections du monde entier, l'artiste a conçu une oeuvre de symbolisme et de réalisme dont le style s'affirme par l'ordonnancement des lignes et une construction rigoureuse »[2].
  • « Depuis 1994, elle a choisi la lumière et la quiétude bourguignonne...Pleine de ressources, elle a beaucoup de projets de peinture en tête. Son dernier tableau "Espoir" représente le tragique actuel dans l'extrême »[3].

Cordialement, — Daehan [p|d|d] 27 février 2019 à 17:04 (CET)[répondre]
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  1. « A joué "Médée" », sur lemonde.fr, .
  2. Martine Chaleat-Salvo, « Nina Vidrovitch a son Catalogue raisonné », sur lyonne.fr, .
  3. Da. G., « Nina Vidrovitch a réinvesti sa peinture », sur lyonne.fr, (consulté le ).

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