Discussion:Mercy-le-Bas
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importance de la mine[modifier le code]
Mercy-le-Bas est composé de Mercy-le-Bas village et Mercy-le-Bas cité.
Dans les années 1930 Mercy-Le-bas cité a été créé par les exploitants de la mine de Bazailles. La mine était située à 1,5 km en direction de Boismont. Cet endroit s'appelait "le carreau de la mine". Les ouvriers principalement venus d'Italie, de Pologne evec quelques portugais se réunissaient à la cantine de la mine sur la route nationale pour descendre travailler à pieds à la mine. Les logements des porions et employés étaient situés au lieu dit Mainbottel situé en face de la mine. Il suffisait de traverser la route nationale. Il y avait également une école ménagère. en quelques années, les logements des ouvriers avaient été construit en maisons jumelées, maisons à 3 ou 4 logements avec SDB, chauffage central pour certaines. Il y avait un poulailler avec des cages à lapins. 2 pharmacies, médecin de la mine, dentiste, bazard, papeterie, boulangerie, 2 superettes, 2 coiffeurs(ses) Le marché se tenait une fois par semaine. Il y avait de tout tellement il était grand. Une fois par an la fête foraine était là avec beaucoup de manèges. Il y a également une salle pour y faire des réunions, des mariages... Une gendarmerie. Des cafés. La cantine de la mine avec des chambres à louer pour les immigrés seuls, plusieurs terrains de foot, une salle de cinéma qui servait également de salle de danse au nouvel an et à d'autres grandes occasions, des cours de tennis, une piscine olympique (à Mainbotel)Pas de location, de chauffage, d'eau à payer. Juste l'électricité puisque c'était EDF. Le confort moderne pour ces braves hommes qui perdaient la vie précocement à cause de la silicose. Les rues portent des noms d'arbres et de fleurs. Mercy-le-Bas fût une commune riche jusqu'au début des années 1980 où la mine a fermée. Aucune trace ne subsiste de cette époque. Sauf quelques locaux. Mais contrairement à d'autres communes, il n'y a pas de musée. Certains habitants ont acheté leur logement, d'autres habitants ont déménagé. Les veuves de mineurs pouvaient rester dans leur logement jusqu'à la fin de leur vie. Les personnes qui achetaient ces maisons avaient 30% de remise. La voirie a été reprise par l'état. La mine a laissé une empreinte indélébile. je n'ai pas de sources juste ma mémoire puisque j'y ai vécu toute ma jeunesse de 1968 à 1982. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Mitzyoura (discuter), le 27 décembre 2017 à 22:26 (CET)