Discussion:Mauléon-Licharre

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

je veux savoir s il existe des dessins ou des maquettes representant evolutions et transformations du chateau fort aux travers des siecles

Culture locale et patrimoine[modifier le code]

La photo légendée "église saint jean baptiste" représente en fait l'église de Maucor, pas celle de Mauléon.

Cette chapelle domine Mauléon...[modifier le code]

Le panneau sur la photo indique St Antoine Alt. 706 Tella bavarder 23 décembre 2007 à 15:40 (CET)[répondre]
Salut Tella ! je confirme. C'est bien la chapelle dédiée à Saint Antoine. Elle se situe sur le col d'Osquich. le sentier à prendre se trouve sur la gauche de la route en montant de Mauléon et est interdit aux véhicules (sauf pour les bergers locaux). Trois quart d'heure de marche sous le soleil. C'est moi qui ai pri cette photo.

Cette chapelle domine Mauléon...: ça, ça m'étonnerai beaucoup ! mais à vérifier quand même.... Etxeko (d) 12 avril 2010 à 15:50 (CEST)[répondre]

Erreur dans le gentillé[modifier le code]

Bonjour, je suis de Mauléon et le gentillé n'est pas mauléonnais, mais bien mauléoNais avec un seul N. Merci d'avance.

À relire avant insertion dans l'article[modifier le code]

J'ai (Utilisateur:Harrieta171) déplacé les paragraphes suivants de l'article vers la page de discussion pour les raisons suivantes :

  • Le texte est à reprendre. Il semble être le résultat d'une traduction automatique ;
  • Le texte ne cite pas de source.

En 1620, la souveraineté de de Soule a été découpée. La cour de Licharre est restée sans domaine judiciaire, qui s'est intégrée à celle du Béarn, située à Pau, et six ans plus tard dans celle de Bordeaux. La perte des Juridictions souletines a été à l'origine, durant quelques années, un commerçant bearnais riche et un ex capitaine des mousquetaires dans la cour de parisienne, Arnaud-Jean de Peyré (comte d'Iruri ou de Tréville, immortalisé par Alexandre Dumas comme "Capitaine de Tréville" dans son roman "les trois mousquetaires"), achetait toutes les terres communales et châteaux (dont celui de Mauléon, jusqu'alors à propriété des Belzunce) du viconté jusqu'à ce qu'il devienne le propriétaire de la plus grande partie du territoire. Il a prélevé les impôts, s'est approprié des récoltes et a puni ceux qui n'ont pas voulu suivre leurs normes. Devant les protestations populaires, le monarque français a acheté à Peyré ses possessions, mais ensuite a approuvé les frais aux souletins. Les habitants du vicomté ont été forcés par les armes à payer le compte : 80.000 livres. Conduits par Matalaz soutenu dans le Silviet (la Cour de Licharre dans laquelle était représenté le tiers état), le peuple suletin a refusé de faire face au paiement et ainsi, en juin 1661, Goyheneche créait une administration parallèle et populaire qui ne reconnaissait pas la royale.

Faits face à la hiérarchie catholique, à la noblesse locale (dont le maximum exposant était le dit comte d'Iruri) et à la bourgeoisie de Mauléon, il lève entre 3.000 et 4.000 hommes incendient quelques maisons de Chéraute (Sohüta en euskara) et assiégent la capitale et son château. Dans ces circonstances, 7.000 personnes s'étaient déjà soulevées avec des armes dans la Soule et les seigneurs locaux ont sollicité l'aide urgente des militaires du Parlement de Bordeaux. La réponse est arrivée immédiatement : une armée composée pour cent chevaliers et 400 soldats bien armés, commandés par le capitaine mercenaire Joseph Calvo, parti de Bordeaux pour mater la rébellion. Le 12 octobre, ces courageux souletins qui ont combattus presque désarmés au cri "de Herria, Herria ! " (Pays, Pays), ont été mis en échec à Chéraute, 400 d'entre eux perdant la vie et la majorité en s'exilant en Navarre ont réussi à survivre. Matalaz a pu échapper, mais dans maison-tour de Jentañe, près du village d'Ordiarp (Urdiñarbe en euskara), a été capturé avec ses partisans les plus fidèles. Transférés au château de Mauléon, ils ont été jugés et condamnés. Huit autres rebelles qui n'avaient pas été arrêtés ont été condamnés à la peine de mort par les juges, et à chaîne perpétuelle dans les galères pour trois d'entre eux dont un neveu de Matalaz.

Bernard Goyheneche a été décapité le 8 novembre 1661 sur la place de Licharre. Sa tête a été exposée dans la porte du château de Mauleon jusqu'à fin décembre de cette année où un groupe de ses anciens compagnons l'ait dégagée. Après cette révolte de Matalaz, le pouvoir des nobles a été renforcé en Soule et les droits statutaires des souletins ont disparu. Encore aujourd'hui, sa mémoire reste vive dans le territoire, comme un héros justicier. Le bertsolari et le compositeur souletin Etchaun Iruri lui consacre une pastorale en 1955, "Matalaz", qui a été présentée dans le village d'Esquiule (Eskiula en euskara). En son honneur ils ont érigé une croix blanche dans un croisement de chemins du centre de la capitale souletine, à l'endroit même où il a été exécuté. Elle sera démolie par des inconnus en 1966.

En fait, ces paragraphes concernent plutôt l'article sur la révolte de Matalas qui a fait l'objet de l'article Soulèvement du curé Matalas en Soule. J'ai mis un lien de type "article principal" pour le trouver rapidement. Je suis d'accord sur les défauts de ces paragraphes. --Tangopaso (d) 5 février 2012 à 20:49 (CET)[répondre]

Passant, palis a cet aspect[modifier le code]

Bonjour à tous,
Récemment passé à Mauléon, j'ai retrouvé cette plaque qui m'impressionnait quand j'étais enfant. J'en ai chargé une photo dans dans Commons. Comme je l'ai indiqué dans la description, ma famille me racontait que cette plaque avait été installée à l'emplacement de la guillotine. Dans les années 1960, elle se trouvait au dessus de l'entrée de la belle maison située sur la gauche, qui a été depuis très bien restaurée. Selon d'autres sources (http://www.iutbayonne.univ-pau.fr/~marquesu/mauleon.html) ce serait une réutilisation d'un élément de l'église de Licharre démolie en 1870. Avez vous un avis ? Pensez-vous que je devrais la charger dans l'article lui même ? --Tangopaso (d) 6 février 2012 à 22:23 (CET)[répondre]

Le difficile rapprochement entre Mauléon et Licharre[modifier le code]

Notification Iñaki LL : Bonjour. J'ai ajouté un paragraphe sur ce sujet d'après l'article d'un journal de Mauléon. J'ai pensé que cela pouvait t'intéresser. --Tangopaso (discuter) 11 juillet 2023 à 21:46 (CEST)[répondre]