Discussion:Lyon du Premier au Second Empire

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Sur l'abbé NOIROT[modifier le code]

Il est au collège royal de Lyon de 1827 à 1852 au titre de professeur de philosophie. C'est donc par son enseignement, par sa façon de leur apprendre à réfléchir par eux-même qu'il a une grande influence sur de très nombreux jeunes lyonnais Je ne suis pas sûre qu'il ait aussi la fonction d’aumônier (il l'a eu dans ses postes précédents). En tout cas,s'il a les deux fonctions, le "poids" du professeur de philosophie est plus important que celui d'aumônier. --Magd74 (d) 8 novembre 2012 à 21:07 (CET)[répondre]

Bravo pour votre vigilance. Effectivement, je ne vois pas trop pourquoi diable j'écris qu'il est aumônier du collège royal. Il l'est effectivement de 1822 à 1826, mais il accède ensuite à la chaire de philosophie de 1827 à 1852, et c'est bien sûr à ce titre qu'il exerce une influence notable sur une certaine élite catholique lyonnaise. Je corrige et j'en profite pour mettre le Montclos en référence. Bonne continuation. Cedalyon (d) 8 novembre 2012 à 22:48 (CET)[répondre]

pertinence de l'article[modifier le code]

Peut être devrait on diviser cet article en plusieurs périodes chronologiques distinctes. En effet, la bibliographie sur le Premier Empire et sur le Second est conséquente, et justifie probablement des articles séparés. Reste à prendre le temps de le faire. Cedalyon (d) 14 mai 2013 à 22:25 (CEST)[répondre]

modification de l'IP 81.65.112.40[modifier le code]

Bonjour.

Je prend note de votre modification mais je ne peux pas la garder. En effet, j'ai trouvé l'information dans deux sources de qualité :

  • François Verzier, « Du métier à la tire au métier informatisé en passant par la mécanique Jacquard », dans L'art de la soie : Prelle, 1752-2002 : des ateliers lyonnais aux palais parisiens, Paris, Paris Musées et A.C.R. Éditions internationales, , 223 p. (ISBN 2-879-00713-5 et 2-867-70158-9, BNF 38944603), p. 53-68
  • Ronald Zins (dir.) et Maria-Anne Privat-Savigny, « Le renouveau de l'industrie textile », dans Lyon et Napoléon, Éditions Faton, , 287 p. (ISBN 2-87844-071-4, BNF 40130051), p. 97-144

Je vais aller vérifier que je ne me sois pas trompé mais le meilleur serait bien évidemment que vous nous disiez d'où vous tirez cette information.

Cordialement. Cedalyon (discuter) 18 mai 2014 à 21:46 (CEST)[répondre]

Albert ou Gabriel Dutillieu ?[modifier le code]

Il est question dans l'article d'un certain Albert Dutillieu, inventeur du régulateur en 1811. Or, en dehors du document suivant, daté de 2017 donc peut-être lui-même inspiré du présent article, on ne trouve pas de trace de cet Albert Dutillieu. En revanche, on trouve de nombreuses références à Gabriel Dutillieu, célèbre soyeux lyonnais, et ce document semble indiquer que c'est bien lui l'inventeur du régulateur, en 1808 (et non 1811). Mastergreg82 (discuter) 7 janvier 2021 à 17:01 (CET)[répondre]

Après vérification, il semble que Gabriel Dutillieu (1757-1828) avait un frère prénommé Albert (1759-1814), artiste. Il semblerait cependant qu'il y ait bien confusion entre les deux dans l'article. Mastergreg82 (discuter)
Notification Mastergreg82 : Bonjour. Je ne sais pas si vous avez lu mon intervention plus haut mais j'ai trouvé le nom d'Albert Dutillieu dans deux sources qui me semblent solides. Vous avez vous-même trouvé une information mentionnant Albert comme l'inventeur dans le dossier de la métropole (page 42). En face, nous n'avons qu'une simple notice dans un catalogue du Mobilier national. Personnellement, cela me semble insuffisant pour modifier l'article. Cordialement. Cedalyon (discuter) 2 février 2021 à 18:55 (CET)[répondre]