Discussion:Littérature de langue allemande

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« Résistance silencieuse » sous le national-socialisme[modifier le code]

Une remarque : je suis tombé sur cette page à partir de Google, à partir de la recherche suivante : "Doderer national socialisme". Je lis dans la page "Littérature de langue allemande", je cite, "De nombreux écrivains restèrent dans leur pays, bien qu'ils s'opposèrent au National-socialisme. Ils étaient condamnés au silence, et laissèrent leur écrits dans leur tiroir ou se cantonnèrent à des thèmes non-politiques. Parmi les plus célèbres, Gottfried Benn, Ernst Jünger, Erich Kästner, Gerhart Hauptmann, Heimito von Doderer ou Wolfgang Koeppen sont restés en Allemagne." Je suis choqué à plus d'un titre.

En effet, comme on le lit sur la page de la société Heimitio von Doderer [1], "1933, 1er avril : adhère au parti national-socialiste", "1946, interdit d'activité professionnelle pour appartenance au parti national-socialiste". La résistance silencieuse est pour le moins douteuse dans ces conditions. Par ailleurs, la présence d'Ernst Jünger parmi les résistants silencieux est elle aussi sujette à discussion !

Dernière chose, Doderer n'est pas allemand, mais autrichien !

Qu'en pensez-vous ?

JP.

Je suis bien d'accord avec vous, cette affirmation de "résistance silencieuse" est assez douteuse concernant tant Ernst Jünger que Gottfried Benn. Deux auteurs qui se prêtent bien à la polémique, encore aujourd'hui... Par contre, ce serait bien le cas d'Erich Käsnter (qui a eu ses problèmes avec les nazis à cause de son roman Émile et les détectives) et de Gerhart Hauptmann aussi, il me semble. Je ne connais pas, par contre, Doderer. Concernant la confusion allemand/autrichien, on la retrouve ailleurs: bien que la page s'appelle Littérature de langue allemande, les auteurs de ces lignes réfèrent souvent aux écrivains allemands, plutôt de dire germanophones, ou encore de langue allemande. Ce qui fait qu'on y retrouve plusieurs Autrichiens, devenus subitement Allemands, comme Stefan Zweig ou Hermann Broch, par exemple. Alors, je vais tout simplement retirer les non-allemands, et faire sauter par la même occasion Doderer, Jünger et Benn des résistants silencieux. Vip 22 août 2006 à 22:17 (CEST)[répondre]

Die Klassische Moderne[modifier le code]

Il faudrait améliorer nettement ce passage : dire que Kafka, Musil ou Broch reprennent des formes anciennes, et les opposer ainsi à la littérature d'avant-garde, donne une idée tout à fait inexacte de leurs oeuvres. Il faut insister sur leur aspect novateur : - volonté d'écrire un roman qui prenne le relais de la réflexion philosophique ; - mélange de la narration et de la réflexion ; - ambition du roman totalisant (pour Thomas Mann, Musil et Broch). Et il faudrait consacrer quelques lignes à Kafka et à l'influence décisive qu'il a eue. --Van Vinelander 13 janvier 2007 à 11:28 (CET)Van Vinelander, 13 janvier 2007, 11h28[répondre]

Hölderlin et Richter[modifier le code]

Ilssont cités deux fois dans l'article (comme romantique et dans la classicisme de Weimar). Il serait bon de les situer avec précision. La version "classicisme de Weimar" me semble un peu trop proche de la source (http://www.memo.fr/article.asp?ID=THE_ART_038) " auteur tragique et lyrique ", "passion la plus vive pour la civilisation de la Grèce", "Johann Paul Friedrich Richter, universellement connu sous le nom rousseauiste de «Jean Paul»", sans qu'on puisse vraiment parler de plagiat. HB (d) 18 janvier 2009 à 12:07 (CET)[répondre]

Paul Celan et groupe 47[modifier le code]

Paul Celan membre du groupe 47 ? N'a t'il pas refusé d'y participer après s'être fait critiqué suite à la lecture de Todesfuge ?--2A02:8420:449C:2300:A04C:C465:2BC4:916B (discuter) 7 décembre 2014 à 09:41 (CET)[répondre]