Discussion:Liste des salles de spectacles parisiennes disparues

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Salles de spectacles parisiennes disparues : notamment salles de jeu de paume[modifier le code]

et quelques dates :

  • 1548 : Hôtel de Bourgogne, rue Mauconseil, première salle de spectacles publique en France, construite par la Confrérie de la Passion au lieu-dit l'hôtel de Bourgogne pour y représenter des mystères. Propriétaire du lieu mais frappée d'une interdiction de jouer des pièces religieuses, la confrérie loue la salle aux troupes itinérantes.
  • 1629 ? Jeu de paume Berthault, impasse Beaubourg, occupé par Montdory (ou Mondory) jusqu'en février 1631,
  • 1631 : Jeu de paume de la rue du Temple, dont le propriétaire signe un bail avec les comédiens de Montdory en date du 29 avril 1631, mais n'arrive pas à achever les travaux convenus.
  • 1631 : Jeu de paume de La Sphère, rue Vieille-du-Temple, Montdory et ses comédiens y jouent, à partir du 15 décembre, pendant trois mois,
  • ??? : Jeu de Paume de La Fontaine, rue Michel-le-Comte
  • 1634 : Jeu de Paume du Marais (à l'enseigne « Les Marestz »), rue Vieille-du-Temple, les comédiens dirigés par Montdory le louèrent par bail du 8 mars 1634 et s'y établirent. Reconstruit après un incendie survenu le 15 janvier 1644.
  • 1634 : Première petite salle de spectacles construit par le Cardinal de Richelieu en son hôtel.
  • 1641 : Théâtre du Palais-Royal, inauguré en 1641
  • 1643 : Jeu de paume des Métayers (ou des Mestayers, actuelle rue de Seine) ; salle louée à la mi-septembre 1643 par la troupe de l'Illustre Théâtre fondée le 30 juin précédent ; première représentation le 1er janvier 1644, dernière à la fin du mois de mars 1645. Remis dans son état initial après le départ des comédiens, à leurs frais.
  • 1644 : incendie du Jeu de Paume du Marais, le 15 janvier 1644 et reconstruction.
  • 1644 : Jeu de Paume de la Croix-Noire, rue des Barres, paroisse Saint-Paul, loué en décembre par la troupe de l'Illustre théâtre qui y fait dresser ses « théâtre, galleries et loges ». Elle demanda au charpentier, Anthoine Girault, de « faire deux rangs de loges de telle quantité qui luy sera commandé et de façon de celles du Marais » (cit. Charles Mazouer)
  • 1645 : Jeu de paume de la Croix-Blanche, rue de Buci, faubourg Saint-Germain
  • 1646 : Jeu de paume du Béquet (Becquet), investi en août 1646 par une troupe anglaise qui chercha à s'installer à Paris, probablement celle du Prince de Galles, futur Charles II. Des contrats furent passés avec des artisans pour transformer la salle en véritable théâtre. La troupe, criblée de dettes faute de public, cessa d'exploiter le lieu trois mois plus tard.
  • 1647 : Rénovation du théâtre de l'Hôtel de Bourgogne (en imitant celui du Marais récemment rénové ?)
  • 1670 : Jeu de paume de la Bouteille, rue des Fossés de Nesle (rue Mazarine), louée pour l'Académie d'opéra (1671-1672) qui part pour la salle du Jeu de paume de Bel-Air ; fermée (1672-1673) ; la nouvelle troupe formée par fusion des comédiens de Molière (+ 17 février 1673) avec ceux du Marais l'investit (mai 1673-1680) d'abord en tant que locataire, puis l'achète. Une nouvelle fusion avec les comédiens de l'Hôtel de Bourgogne (1680) donne naissance à la troupe des Comédiens ordinaires du roi qui continue à exploiter la salle sous la dénomination « Théâtre de Guénégaud » (1680-1687) avant d'en être chassée pour cause d'incompatibilité avec le Collège des Quatre-Nations ouvert dans le voisinage.
  • 1672 : Jeu de paume de Bel-Air (ou de Béquet), rue de Vaugirard, occupé par l'Académie royale de musique (1672-1673)
  • 1687 : Jeu de paume de l'Étoile, rue Neuve du Fossé (actuelle rue de l'Ancienne-Comédie), acheté et démoli pour faire place à la construction de l'hôtel des Comédiens ordinaires du roi.
  • 1689 : l'hôtel des Comédiens ordinaires du roi dont subsiste la façade.
    --Bohème (discuter) 21 janvier 2020 à 18:28 (CET)[répondre]