Discussion:Linguistique

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Prouxisme ?[modifier le code]

À moins que je me trompe, le terme de « prouxisme » ajouté par Anarkus aux entrées de cette page ne renvoie à aucune notion de la linguistique. Si on ne me détrompe pas, j'efface. Vincent 18 sep 2003 à 23:18 (CEST)

Linguistique[modifier le code]

Note : le texte ci-dessous a été déplacé depuis le Bistro de Wikipédia.

J'ai complètement réécrit l'article Linguistique, en m'appuyant principalement sur sa version anglaise. J'invite quiconque a un peu de temps devant lui à le relire et à en corriger les erreurs éventuelles.

De plus, j'ai mis en place une liste des notions étudiées en linguistique, qui part de son équivalent anglais, et à laquelle j'ai ajouté les termes présents dans nos propres listes plus quelques uns qui me semblaient importants. J'invite aussi quiconque se sent concerné à venir la consulter pour en corriger les liens que je pourrais avoir oubliés ou mal écrits.

Je ne connais pas la traduction de certains termes, malgré l'utilisation du glossaire de la SIL. Vincent 18 fév 2004 à 17:58 (CET)

Difficile[modifier le code]

Je trouve cette page très difficile à lire. Même le Sommaire est difficile de lecture. --66.46.93.131 15 déc 2004 à 21:19 (CET)

Redirection[modifier le code]

J'ai fait une redirection depuis Sciences du langage vers Linguistique, aurais-je eu tort? Chiwalou 4 août 2005 à 14:17 (CET)[répondre]

Cher monsieur qui écrit des articles pour wiki,
je voudrais vous préciser, tout gentiment, qu'il est un peu erroné de passer sans concession des sciences du langage à la linguistique, celle-ci n'en étant qu'un hyponyme, une sous-matière... Il y aurait aussi la morphologie, la lexicologie, la sémantique, la phonétique, la phonologie...
Et si vous souhaitez un peu d'aide pour traduire des articles en anglais, je suis là ;D
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 87.88.181.80 (discuter), le 12 septembre 2007 à 00:44 (CEST)[répondre]
Oui je suis pas très fan : la sémiotique appartient aux SDL mais pas à la linguistique. AncoLibre (discuter) 17 novembre 2021 à 16:28 (CET)[répondre]

un portail ![modifier le code]

Il n'y a pas encore de portail linguistique ? Pourquoi ?
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par WikiMoi (discuter), le 5 novembre 2005 à 03:28 (CET)[répondre]

Suppression[modifier le code]

Bonjour,

j'aimerais qu'on m'explique pourquoi l'adresse Internet des cours en ligne que j'ai placée de l'université d'Aix en Provence ont été supprimés en toute impunité De même, l'adresse internet d'une association spécialisée sur l'illettrisme. A quoi ça rime!!!!!!!!!!!!!!!!!!J'attends des explications!!!!!!

Un participant écoeuré
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 193.249.252.56 (discuter), le 9 avril 2006 à 11:52 (CEST)[répondre]

Histoire des langues, linguistique historique, comparée, diatonique... je ne comprend plus ;)[modifier le code]

Je pense qu'un portail pourrait être utile effectivement. J'ai voulu m'intéresser à l'histoire des langues, en commençant par les grands goupes, mais j'ai eu beaucoup de mal à cause des termes utilisés (ils sont bons, mais quand on ne les connaît pas...). J'ai créé une catégorie "histoire des langues", étant donné que ce qui m'intéresse n'est pas l'étude en soit, mais l'histoire que l'on peut en dégager, avec les échanges, les migrations et expansions des grands groupes de langues, puis leur évolution individuelles, etc... J'ai maintenant un doute sur le bienfondé de ma catégorie. La langue (et les langues) a une histoire, c'est certain, mais est-il judicieux de faire une catégorie appelée "histoire des langues" ? Ou alors faut-il l'appeler "linguistique historique" ? A ce sujet, l'article français présente la linguistique historique comme synonyme de linguistique comparée et les articles sont donc confondus. L'article anglais lui, affirme que la linguistique comparée n'est qu'une partie de la linguistique historique, ce qui voudrait dire que le titre français serait mal choisi. Pour résumer, voilà donc deux problèmes : *Est-il judicieux de faire une catégorie nommée "histoire des langues" et peut-être un article retraçant une histoire à l'échelle mondiale, ou alors faut-il inclure ces sujets dans un titre plus proche des notions de linguistiques ? (dans ce cas on peut très bien faire une redirection...) *Faut-il renommer l'article linguistique comparée en linguistique historique ? Merci de m'avoir lu étaler mon ignorance :)Korr 7 novembre 2006 à 15:27 (CET)[répondre]

très comique[modifier le code]

j'ai bien aimé le paragraphe "vers une conception plus étroite...". Il devrait y avoir plus d'humour comme ça dans wikipedia ! ha ha ha --Motunono 17 août 2007 à 01:05 (CEST) par contre cela m'étonne que quelqu'un de sérieux et chassant les idées inédites et autres interventions un peu trop personnelles n'ait pas effacé ce paragraphe depuis longtemps. Et merci de vos commentaires...--Motunono (d) 5 mars 2008 à 00:37 (CET)[répondre]

/le/ ou /lε/ (Texte écrit par un locuteur natif du français)[modifier le code]

le mot français legs, par exemple, dans lequel le g n'est pas étymologique, est le plus souvent prononcé /lεg/, par influence de la graphie, alors qu'à l'origine on disait /le/  ?

Lorsqu'un linguiste s'intéresse à une langue dont il n'est pas particulièrement familier, il consulte généralement des locuteurs natifs, que l'on appelle des informateurs. Je pense que, même s'il en était particulièrement familier, il lui resterait le devoir de consulter ces locuteurs natifs. Il se pose alors une question : comment reconnaître un locuteur natif ? Je ne sais pas si une méthodologie complètement formelle existe mais il est clair que cette reconnaissance se base sur une enquête "paralinguistique" (je ne sais pas si le terme est adéquat ?) qui vise à déterminer le degré réel d'intimité des informateurs potentiels avec la langue cible. En particulier, l'enquêteur cherchera probablement à déterminer si l'informateur possède aussi d'autres langues, dans quel ordre respectif elles ont été apprises et lesquelles sont le plus employées par lui actuellement, mais ces points ne sont pas les plus importants. L'enquête ne pourra être déterminante que par la connaissance de l'emploi de la langue en question par les personnes qui ont élevé l'informateur, ses parents en général et sur la manière dont eux même ils l'ont apprise.

Dans de nombreux cas, le linguiste finira ainsi par reconnaître des informateurs natifs "vrais" avec des informateurs pseudo-natifs, ces derniers ayant une connaissance pouvant être plus ou moins approfondie de la langue en question, voire tout à fait courante, ayant pu être acquise par un contact familial et/ou social plus ou moins prolongé d'eux mêmes ou de leur ancêtres récents avec les premiers...il est possible aussi que ces informateurs pseudo-natifs puissent eux-même se considérer et se présenter (de bonne fois d'ailleurs) comme des informateurs natifs, ayant une connaissance suffisante de la langue pour suffire à l'enquête.

S'il est clair que les informations provenant des seconds ne seront pas forcément à écarter, il n'en reste pas moins qu'elles auront à être recoupées par une enquête chez les premiers, seuls dépositaires réels de certains traits caractéristiques de la langue.

Ce souci d'authenticité est probablement très clair chez les linguistes qui vont au fond d'une jungle lointaine recueillir une langue dont les derniers locuteurs vivent probablement dans des milieux bilingues ou trilingues mais il l'est peut-être moins chez les linguistes qui étudient les grandes langues européennes. Par exemple Henriette Walter a donné des exemples de prononciation du français chez des informateurs basques (?!?)sur le même plan que ceux des informateurs normands ou angevins. (doucement les basques, ne vous énervez pas, songez seulement à ce que vous diriez si on prenait comme exemple de la prononciation de mots basques MA prononciation !).

Pour illustrer encore ce problème de trouver des informateurs natifs fiables, l'extrait que j'ai fait plus haut d'une digression de l'article sur le mot "leg" montre que certaines personnes, qui ont raison de faire remarquer la prononciation vulgaire déformée de certains mots, ne possèdent pas eux même la prononciation correcte, à moins que ce soit une erreur de leur notation phonétique; voir http://fr.wiktionary.org/wiki/legs (la notation phonétique a été amendée depuis...1/08/08)

A propos du paragraphe : parole et écriture, avec lequel j'agrée complètement, on devrait peut-être ajouter que cet état de fait n'est pas lumineux pour tout le monde et que de nombreux chercheurs, notamment improvisés, ne comprennent absolument pas la prééminence de l'oral sur l'écrit, quant à l'objet réel de la linguistique. On peut en trouver de nombreux exemples dans les pages linguistiques de Wikipedia, par exemple...

--Motunono (d) 2 mars 2008 à 01:42 (CET)[répondre]

Démarche descriptive, démarche prescriptive[modifier le code]

Je suis entièrement d'accord avec la manière dont ce paragraphe aborde le problème, cependant j'aimerais relever une contradiction ou un paradoxe dans cette supposée pratique (celle des linguistes qui prétendent décrire la langue sans juger ce qui est compatible avec les règles), dont je ne sais pas s'il a déjà été pointé ? L'objet d'étude des linguistes est le langage, le langage est représenté par des langues or ces langues sont ELLES-MEMES prescriptives ! Pour commencer, même si un martien ne pourrait pas distinguer disons un locuteur natif du français avec un allemand, par exemple, parlant parfaitement français mais avec un accent dont il ne pourrait se débarrasser, ayant appris la langue à l'âge adulte...eh bien il reste que cette personne EST distinguée comme ne parlant pas absolument le français "comme il faut" par les locuteurs natifs, c'est une des propriétés de toute langue. Même un linguiste martien serait obligé de prendre en compte ce fait, sauf si le dernier locuteur du français était cet allemand... L'idée d'étudier un langage sans tenir compte de ce qui est bon ou pas est donc paradoxale. On le voit bien d'ailleurs si on relis la phrase : "...ceux qui suivent une démarche descriptive vont surtout chercher les origines de ces usages, des règles ou des erreurs qu'ils pourront simplement décrire comme des usages particuliers, voire comprendre que derrière une faute se cache un besoin de rationalisation de la langue..."

On voit que malgré leur démarche descriptive, ils tentent désespérément de trouver une justification aux "erreurs" et aux "fautes" (par exemple en les qualifiant d' "usages particuliers") mais alors comment ont-ils reconnus, en premier abord, que c'était des erreurs ou des fautes ??????--Motunono (d) 5 mars 2008 à 00:36 (CET)[répondre]

L'exemple du français est erroné, puisque la langue subit une prescription majeure de la part de systèmes institutionnels déconnectés de la réalité de la matière linguistique. L'Académie Français est, historiquement, une instance politique, et biaisée. Les langues ne sont pas prescriptives, elles vivent en tant qu'objets sociaux, ce qui induit des normes (au sens de tendances statistiques). Pas plus.
D'ailleurs, ce qui est dit dans l'article est faux : la linguistique prescriptive, ça n'est pas ça. Le phénomène de grammaticalité relève de la linguistique descriptive, puisque les tendances statistiques sont bien observables et attestables. AncoLibre (discuter) 17 novembre 2021 à 16:32 (CET)[répondre]

Actes d'énonciation[modifier le code]

le terme "acte d'énonciation" renvoie à une page supprimée plusieurs fois, et inexistante actuellement. Or, la page énonciation existe et me paraît valable. Pourquoi ne pas limiter le lien à "énonciation", où l'acte d'énonciation est défini ?
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Remoen (discuter), le 3 avril 2008 à 14:56 (CEST)[répondre]

Grammaire vs. Luinguistique[modifier le code]

L'introduction tend à opposer un peu trop linguistique et grammaire. Il n'y a pas à les opposer: ces deux sciences ne se posent pas les mêmes questions. Coredumped (d) 19 septembre 2008 à 11:10 (CEST)[répondre]

Cette remarque émane d'une personne de bonne volonté, mais qui n'a pas compris justement que la linguistique en tant que science était à la fois :

1 en quelque sorte "dans la continuité" des études littéraires qui l'ont précédée (comme la philologie, la grammaire, mais en particulier la phonétique historique) ne serait-ce que par nombre de ses fondateurs et pratiquants actuels...

2 une révolution, une rupture par rapport à ces anciennes disciplines, qui n'ont jamais été des sciences (la grammaire, notamment, n'est pas une science, c'est une discipline littéraire, non logique; ses lois, c'est connu, admettent des "exceptions", celles qui "confirment la règle", phrase qui dans le monde scientifique pourraient susciter l'hilarité à moins que ce soit plutôt la consternation...)

Cela est dit dans l'article d'ailleurs, que la linguistique a voulu, et veut, devenir une science. Etre "structurale" revient d'ailleurs au même projet, celui de poser des lois, des opérations, etc. mais ce qui n'est pas dit dans l'article, je pense, c'est COMMENT elle a fait, ou a essayé de faire, pour le devenir ?
Je donne ici une ou deux pistes : le projet de devenir une science passe AMHA par la notion de définition. Avant la science, on commence à parler de quelque chose sans tenter de le définir. Ou bien on a une "définition" mais assez lâche, genre le "mot" serait une suite de sons séparés par une pause https://fr.wiktionary.org/wiki/mot (faites bien attention quand vous parlez, ha ha) ou bien il a plusieurs définitions (mdr) comme ici dès la première phrase : http://www.cnrtl.fr/lexicographie/mot [Son ou groupe de sons articulés ou figurés graphiquement,...] (une chose ne peut pas être en même temps elle-même et sa représentation; dans les petites classes du collège, on passe beaucoup de temps à expliquer aux élèves que ce qu'ils dessinent dans leur cahier, ce n'est pas le CERCLE objet mathématique mais seulement la représentation du cercle, deux choses différentes bien que confondues dans le langage courant...)
Donc on arrive à l'idée qu'en science, on a besoin d'avoir UNE seule définition et une BONNE pour un concept (utilisable pour aller plus loin), je crois que c'est vraiment un bon point de départ.
Mais justement, avant de multiplier les petites définitions, soit des définitions "intérieures" à cette discipline, une science a surtout besoin d'une "grande" définition, celle de son objet !
Quel est l'objet d'étude de la linguistique ? eh bien il y a beaucoup de 'linguistes' qui ne paraissent pas vraiment se le demander, sont-ils vraiment des scientifiques ?
D'après mes lectures, un seul auteur pose clairement l'objet de la linguistique scientifique (donc post-littéraire), c'est Martinet, qui écrit avant tout autre chose dans :Eléments que l'objet de la linguistique est :
LA LANGUE ORALE, à l'exclusion de tout texte ! (de mémoire, vérifiez vous-même SVP)
Il faut comprendre que le linguiste ne s'interdit pas d'écrire lui-même, de lire ce que d'autres linguistes ont écrit etc. et de noter des faits de langage, mais qu'il doit rester conscient à tout moment que tous ces écrits sont seulement des retranscriptions d'un phénomène oral, la langue, et ne sont pas en eux même étudiés par la linguistique scientifique. Voilà ce qui sépare complètement la linguistique et la grammaire pour mettre les points sur les i (zut ce n'est pas linguistique). Donc en linguistique scientifique, pour en revenir au mot, il ne peut avoir qu'une seule définition (difficile à trouver dans les manuels, bizarre) : un mot d'une langue est une suite de "sons" de la parole prononçables séparément. Il représente au moins un signe et est composé d'au moins un morphème. (ma définition)
Par ailleurs, je ne dirais pas que Martinet a toujours été aussi rigoureux quant à travailler à partir de définitions, cf. : https://kn0l.wordpress.com/la-definition-scientifique-du-phoneme/
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 176.185.5.134 (discuter), le 19 juin 2015 à 16:41 (CEST)[répondre]

Je viens de créer Copule (linguistique), deux notes à ce sujet :

Saussure et le béhaviorisme[modifier le code]

J'apprends dans cet article que Saussure s'est "opposé au béhaviorisme". Quand et où? Ou alors il s'agit d'une interprétation (a priori correcte) des textes saussuriens. Pourriez-vous nous renseigner? Merci.

Par ailleurs, dire que Gustave Guillaume a une grande postérité active aujourd'hui est totalement erroné. Il n'est encore enseigné que par quelques chercheurs français, ainsi que par l'équipe de Valin au Québec, mais il est totalement inconnu de 80% des linguistes, si on considère la communauté mondiale des chercheurs, et non pas la petite communauté franco-francophone.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 89.217.131.114 (discuter), le 10 septembre 2012 à 12:01 (CEST)[répondre]

Zéro absolu...brrr[modifier le code]

Cet article de wikipédia est NUL !!! C'est un ramassis d'inepties. Est-ce une farce ? Les définitions/explications données sont aberrantes, délirantes, et au mieux stupides. Que quelqu'un se dévoue pour supprimer cette page inutile ou pour l'écrire correctement.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Zermelo (discuter), le 17 février 2015 à 09:12 (CET)[répondre]

René Thom à citer comme linguiste?[modifier le code]

Roman Jakobson et Hans-Jacob Seiler ont soutenu les idées de Thom en théorie du langage¹.

Pour Thom langage et biologie sont intimement liés. Ses articles princeps sur le sujet (antérieurs à 1970) se trouvent dans son "Modèles mathématiques de la morphogenèse": 1. Langage et catastrophes: Èléments pour une sémantique topologique; 2. Topologie et linguistique; 3. Topologie et signification.

Thom a complètement remanié le dernier chapitre "De l'animal à l'homme: pensée et langage" lors de la réédition en 1977 de "Stabilité structurelle et morphogenèse" (cf. en particulier le paragraphe B. La syntaxe et les morphologies archétypes) , et a consacré au langage le chapitre 8 de "Esquisse d'une sémiophysique" (1988).

Pour moi (qui ne suis pas du tout linguiste) le caractère inné de l'acquisition du langage semble rapprocher la position de Thom de celle de Chomsky, mais, en opposition avec ce dernier, pour Thom c'est la sémantique qui impose (et limite?) la syntaxe (c'est la performance qui limite la compétence?) comme on le pressent déjà dans leurs titres (pensée et langage pour Thom, langage et pensée pour Chomsky). Thom semble plus proche de Tesnière que de Chomsky, la valence des verbes étant pour Thom limitée par la dimension de notre espace-temps, l'une des conséquences de sa théorie générale dont il était, selon Jean Petitot¹, le plus fier.


¹: cf. page 32 dans http://jeanpetitot.com/ArticlesPDF/Petitot_Thom_1966-1970.pdf

Paragraphe linguistique énactive[modifier le code]

Discutable aussi sur le portail linguistique

Bonsoir,

cf le titre, et à relier à la page énaction (psycho). Je n'ai pas le temps en ce moment, en auteurices j'ai -sur internet, pdfs communicables: Bottineau, Aspect, actance et modalité: systématique de l’infinitif anglais; Submorphémique et corporéité cognitive; Pour une approche enactive de la parole dans les langues Fortineau, cour de master..., Corrélation et énaction : retour sur un phénomène linguistique incarné, processuel et distribué. Grégoire Signifiant,signifié,saillance(s):le signe v(éc)u comme action Elimam Les soubassements énactifs et glottomoteurs de la sémiomorphose lexicale Penelaud (Le paradigme de l’énaction aujourd’hui Apports et limites d’une théorie cognitive « révolutionnaire »)

Pensez-vous à relier aussi à la submorphématique -sachant qu'une telle section n'existe pas,et que je ne me sens pas de la créer -notamment que je ne maîtrise pas encore suffisamment les outils de WP. --Scriptance (discuter) 29 août 2020 à 19:26 (CEST)[répondre]

Pas ouf comme article.[modifier le code]

On dirait un exposé bancal écrit par un étudiant. Beaucoup de blabla, de banalités, de clichés. Je déconseille. 77.205.41.246 (discuter) 25 février 2022 à 00:25 (CET)[répondre]

Suppression d’une section dont je ne comprend pas vraiment le point[modifier le code]

Après recherche, il semble que ça avait du sens au début quand l’article donnait une définition «  Au sens large » de la linguistique en … 2003 … qui a disparu en 2013 https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Linguistique&diff=prev&oldid=89729467&diffmode=source avec une réécriture du RI mais semble-t-il l’article complet n’avait pas été mis à jour.

Je reproduit ci dessous au cas ou la suppression serait discutable :

Par exemple le reste de l’article ne fait pas référence à l’analyse linguistique ?

Vers une conception plus étroite de la linguistique Avec une approche sociologique de la discipline, les termes de linguistique et linguiste ne sont pas toujours appliqués de manière aussi large que vu plus haut. Dans certains contextes, principalement universitaires, de meilleures définitions pourraient être, respectivement, « discipline que l'on étudie dans les départements relevant de la section 07 du Conseil national des universités »[1] et « enseignant-chercheur d'un tel département ». La linguistique ainsi considérée ne renvoie pas à l'apprentissage des langues étrangères (à moins que cet apprentissage ne permette de créer des modèles formels de description des langues). Elle n'inclut pas non plus l'étude littéraire.

En règle générale, il convient de prendre conscience qu'un linguiste n'est pas forcément un polyglotte. En effet, la maîtrise complète d'une langue n'est pas une condition nécessaire (ni même suffisante) pour étudier et décrire certains aspects de son fonctionnement (c'est, par exemple, le cas en phonétique, où l'étude de la production des sons d'une langue n'implique pas la connaissance de sa syntaxe). Lorsqu'un linguiste s'intéresse à une langue dont il n'est pas particulièrement familier, il consulte généralement des locuteurs natifs, que l'on appelle des informateurs.

En parallèle, le monde militaire prend le contrepied de cette conception en désignant par ce terme tout spécialiste des langues étrangères, dont le rôle sera tantôt l'enseignement des langues[2], tantôt la traduction textuelle et orale, ou encore l'exploitation de documents à des fins de renseignement (linguiste d'interception)[3],[4]. — TomT0m [bla] 3 juillet 2022 à 13:26 (CEST)[répondre]

  1. Le conseil national des universités - CNU.
  2. « Officier linguiste | Sengager.fr », sur www.sengager.fr (consulté le )
  3. « ▷ Offre Emploi CDI Opérateur Linguiste d'Interception France - Recrutement par La Marine Nationale | HelloWork », sur www.hellowork.com (consulté le )
  4. « LINGUISTE », sur Aviateur (consulté le )