Discussion:Laocoon

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Jean d'Hospital en son article du Monde daté du 29-30 septembre 1957 évoque la découverte dans une grotte de Sperlonga (littoral du bas latrium) la découverte des fragments "originaux" du groupe antique de Laocoon laissant entendre que le groupe cité dans votre article serait une "remarquable copie" : d'une part, vous ne citez pas cet évènement dans votre article et d'autre part, le caractère original de ces fragments a t-il été confirmé ? 82.124.117.140 20 octobre 2007 à 13:38 (CEST) le 20 octobre 2007[répondre]

Bonjour. L'article Laocoon est consacré au personnage mythologique. Groupe du Laocoon se consacre lui au célèbre groupe, et mentionne les découvertes dans la grotte de Sperlonga. Il ne s'agit pas de fragments originaux du Laocoon, mais de fragments d'autres groupes statuaires signés par les mêmes auteurs et (effectivement) de style identique : le groupe du Pasquino (dit Ménélas portant le corps Patrocle, une copie célèbre se trouve dans la Loggia dei Lanzi à Florence), l'enlèvement du Palladium, l'aveuglement de Polyphème et le groupe de Scylla. On s'accorde généralement à reconnaître qu'Athénadoras, etc. appartiennent à un atelier de copistes, et que le groupe du Laocoon est une copie. Jastrow| 21 octobre 2007 à 12:49 (CEST)[répondre]

Mot à mot[modifier le code]

Bonjour ! Le mot à mot de "timeo Danaos..." ne me semble pas être "les porteurs de présents", "dona" n'étant pas au génitif pluriel mais à l'accusatif pluriel. En mot à mot, est-ce qu'on ne se rapprocherait pas plutôt de la traduction classique, du coup : "je crains les Grecs, et aussi (les Grecs) apportant des cadeaux" ? Ce n'est qu'un détail, bien sûr. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 145.242.11.3 (discuter), le 3 juillet 2013 à 09:02

J'ai retiré cette traduction littérale, qui n'a pas grand intérêt : la phrase considérée seule peut se traduire de plusieurs manières différentes suivant la façon dont on construit. On pourrait par exemple traduire « je crains ceux qui portent les Grecs et les dons », mais ça n'aurait aucun sens. La traduction qui figurait dans l'article comprend « dona ferentes » comme « homines qui dona ferunt ». La traduction classique considère que c'est Danaos qui est sous-entendu : « timeo Danaos, etiam Danaos qui dona ferunt ». Jastrow (Λέγετε) 3 juillet 2013 à 12:50 (CEST)[répondre]


Pourquoi avoir supprimé la référence à Berlioz ?

"Interprétation personnelle" ?[modifier le code]

"Il s'agit de l'ottetto et double chœur, morceau de bravoure de l'acte I de l'opéra de Berlioz. Le compositeur y a fait alterner la terreur et la pitié avec le vers "Châtiment effroyable" en fa dièse mineur qui culmine avec "Horreur" en ut majeur. Suit une progression descendante : un ton en dessous (mi mineur et si bémol majeur) puis un autre (ré mineur et la bémol majeur).[interprétation personnelle]"

Pourquoi serait-ce une "interprétation personnelle" ? Ce ne sont que des faits avérés, connus de tous ceux qui s'intéressent à la musique et connaissent l'oeuvre, musiciens, musicologues, mélomanes ; la description du châtiment de Laocoon est en effet le climax de l'acte I des Troyens, voulu comme tel par Berlioz. L'alternance des sentiments, elle aussi voulue comme telle par l'auteur/compositeur, n'est pas du domaine de l'interprétation personnelle ; les tonalités successives, leur gradation descendante visant à un effet dramatique sont des faits constatables, il suffit de lire la partition. Tout cela n'a rien à voir avec une "interprétation personnelle", avoir ainsi 'labellisé' ces lignes est tout aussi erroné qu'arbitraire--188.64.247.125 (discuter) 16 novembre 2013 à 18:37 (CET).[répondre]

Berlioz, «interprétation personnelle»...[modifier le code]

Pas du tout.... il suffit de lire le livret, et d'écouter l'opéra. Michel Verjus, 28 mai 2015.