Discussion:Jacques Tillier
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Bonjour. Il est faux de dire que Jacques Mesrine a essayé d'assassiner ce journaliste. En effet, si Mesrine avait vraiment voulu l'assassiner, il l'aurait fait.
Je pense la même chose, si Mesrine avait voulu le tuer, il l'aurait fait. Cet article devrait être corigé dans ce sens.
Bonjour, Jacques Tillier s'est pris une balle et a été laissé pour mort par Mesrine pour se venger du piège qui lui a été tendu. Selon la loi française celà s'appele une tentative d'homicide avec préméditation. Je ne vois pas ce que vous voulez dire par "s'il l'avait voulu il l'aurait fait"? Comment appelez vous celà alors, une "intimidation par balle"? Permettez moi de mettre en doute sérieusement votre opinion.
En effet ce n'était pas du style de Mesrine de rater sa cible. S il avait réellement voulu le tuer il aurai tiré dans la tête. On peut donc supposer que la torture, l'humiliation était en fait le but.
- Pour ma part, je pense que Wikipedia, en tant qu'encyclopédie, doit se contenter des faits : Mesrine a ouvert le feu sur Jacques Tillier. Supposer ses intentions n'est pas encyclopédique. Nous n'avons ni à dire qu'il voulait le tuer, ni qu'il ne voulait pas le tuer, aussi longtemps que c'est notre propre supposition. Par contre, a-t'il, avant de mourir, eu le temps de commenter ce acte ? ColasLaMenace
Dans son livre "'la chasse à l'homme"(Plon 2002) , l'ancien commissaire divisionnaire Lucien AIME BLANC ne traite pas Jacques TILLIER, dont il parle effectivement beaucoup en termes peu aimables ("personnage ambigu, intelligent et tordu page 85; trouble, retors et torturé page 86; petit coqq famélique et vaniteux, qui s'magine que le soleil se lève parce qu'il chante le matin page 87), mais comme un homme sans scrupules, qui n'a pas hésité à le faire chanter et dont le principal souci est de se mettre en valeur.
oncernant l'histoire de la grotte, il est clair que Mesrine n'a pas voulu assisiner Tillier, mais lui donner une leçon et l'humilier publiquement.
Le passage de Tillie à la DST est enfin très ancien, et l'intéressé n'en parle que pour conforter l'image d'agent de l'ombre qu'il aurait bien voulu être