Discussion:Haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité

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Haut Représentant ou Haut-représentant[modifier le code]

Attention, en aucun cas le traité n'écrit son poste avec un tiret (une petite recherche le montre). A l'instar de Haute Autorité on met l'adjectif en majuscule (parce qu'il est devant, un peu comme "Premier ministre" ...). TreehillPrésentation - You talkin' to me? - C.V. 24 juillet 2012 à 17:35 (CEST)[répondre]

Aucune mention au « fuck the EU » ?[modifier le code]

Pourquoi n'y a-t-il aucune mention de ses propos sur sa page ? Occuper ce poste et traiter l'Union Européenne de cette façon devrait de prime abord la destituer et puis être référencé ici. Je demeure assez étonné de la gravité nulle donnée à ses paroles... 25 mars 2014 à 19:30 (CET)

Relisez vos sources, il s'agit de Victoria Nuland, la secrétaire d'Etat adjointe américaine pour l'Europe, et non d'Ashton. --Masterdeis 25 mars 2014 à 20:07 (CET)[répondre]

Nom de l'article[modifier le code]

Bonjour Éduarel,

Je ne me souviens plus où est la discussion, mais tu peux constater que la page a été renommée une fois comme tu le souhaitais et renommée dans l'autre sens. Je crois que la discussion est dans la pdd de la Politique de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité ou avoisinant. Il faut demander à Treehill pour trouver plus vite. Cdt. --Gkml (discuter) 19 mars 2018 à 12:25 (CET)[répondre]

Bonjour Gkml,
Il me semble qu'il s'agissait de cette discussion. J'annule les modifs d'Éduarel conformément à celle-ci. Treehill Opérateur - PdD 19 mars 2018 à 12:53 (CET)[répondre]
Oui, merci Treehill, il y avait aussi eu un complément de discussion à cet endroit. Cdt. --Gkml (discuter) 19 mars 2018 à 13:39 (CET)[répondre]
Il faut se l’avouer, les avis sont assez peu nombreux dans les pages de discussions citées.

Je ne saisis pas en quoi les intitulés des membres de la Commission européenne échappent aux règles des fonctions et titres civils.

Le , les 25 intitulés de commissaires européens ont perdu leurs majuscules : « affaires intérieures », « affaires économiques et monétaires », « action pour le climat », « agriculture et développement durable », « affaires maritimes et pêche », « coopération internationale, aide humanitaire et réaction aux crises », « commerce », « emploi, affaires sociales et insertion », « éducation, culture, multilinguisme et jeunesse », « développement », « élargissement et politique européenne de voisinage », « environnement », « fiscalité, union douanière, audit et lutte anti-fraude », « énergie », « industries et entrepreneuriat », « justice, droits fondamentaux et citoyenneté », « marché intérieur et services », « politique régionale », « recherche, innovation et science », « relations interinstitutionnelles et administration », « santé et politique des consommateurs », « société numérique », « transports », et « budget et ressources humaines ». Pour Treehill cette éviction se justifie par le fait que le « mot important » est « commissaire ».

L’argument selon lequel l’intitulé d’un commissaire européen n’est pas comparable à celui d’un membre du Gouvernement français n’est pas recevable. Le titre ministériel français peut également faire références à plusieurs portefeuilles (et à des administrations différentes). En France, la fonction de ministre n’a pas nécessairement le nom des administrations qu’il dirige : le « ministre de l’Action et des Comptes publics » n’est en effet pas le « ministre du Budget, des Finances publiques, des Douanes et de la Transformation publique ».

Le fait que la tournure choisie sous-entende une charge ou un sujet n’induit pas un caractère « fautif » de l’appellation.
Par exemple, le Gouvernement compte bien un secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement et un ministre chargé des Transports. La Commission, elle, dans une même logique, admet un commissaire à l’Amélioration de la législation, aux Relations inter-institutionnelles, à l’État de droit et à la Charte des droits fondamentaux et un commissaire européen aux Transports.

En outre, la présence de la préposition pour n’induit pas non plus l’obligation de mettre en lettres minuscules le reste de l’intitulé. Cela soulève davantage un problème d’ordre traductionnel.
Le poste de Federica Mogherini pourrait très bien être transposé en haut représentant de l’Union aux Affaires étrangères et à la Politique de sécurité (« High Representative of the Union for Foreign Affairs and Security Policy » en anglais) à l’instar d’autres traductions françaises au niveau européen (exemple : commissaire européen à l’Action pour le climat pour « European Commissioner for Climate Action »), ou encore britannique (exemple : secrétaire d’État à la Défense pour « Secretary of State for Defence »).

Éduarel (discuter) 19 mars 2018 à 19:01 (CET).[répondre]
Bonjour Éduarel
Tout d'abord pardonnez moi d'avoir tardé à vous répondre. J'ai bien reçu une notification mais elle s'est confondue dans d'autres alertes et je n'ai pas pensé à revenir ici. C'est chose faites Émoticône sourire.
Au sujet de ces renommages de 2012, mes connaissances en typographie ont évoluée entre temps et, bien entendu, pour l'ensemble des commissaires que vous citez ci-dessus, je ne reviendrai pas sur celles-ci … au moins avec la justification que j'avais employée à l'époque.
En l'occurrence, vous semblez indiquer que les politiques menées au niveau européen pourraient être assimilées à des portefeuilles au niveau français. Or, si je comprends bien la définition qu'on donne au terme de « portefeuille » sur le wikt.fr dans ce contexte, cela suppose un niveau de rang ministériel ce qui n'est pas le cas àmha. En effet, sauf à considérer qu'on parle de « ministre » dans le sens de ses attributions, et non pas du titre de « ministre », on pourrait éventuellement discuter de cela pour les commissaires (une longue discussion qui entraînerait certainement une comparaison entre le titre de commissaire au niveau européen et des rangs équivalent dans des structures étatiques fédérales ou fédératives) mais pas pour le HRVP. Il y a deux éléments à son sujet :
1. l'abandon du titre de « ministre des AF » entre le traité constitutionnel et le traité de Lisbonne qui dénote l'importance symbolique du mot ;
2. les fonctions attribuées à la HRVP (différentes de celles attribuées à un MAE traditionnel sur certains aspects, mais là encore, une comparaison devrait être faite).
Par conséquent, l'« argument selon lequel l’intitulé d’un commissaire européen n’est pas comparable à celui d’un membre du Gouvernement français » est recevable, toujours àmha. Pour le détail, je vous renvoie tout simplement à la discussion ci-dessus : le choix rédactionnel des universitaires et autres personnels académiques me semble pertinent sur ce point.
Pour le reste, je partage votre avis, d'autres avis seraient intéressant pour trancher.
Cordialement, Treehill Opérateur - PdD 22 mars 2018 à 11:36 (CET)[répondre]
Bonjour, il est vrai que cela détonne par rapport aux ministères ; comme il y a déjà une majuscule (l'Union) comme dans secrétaire (ou ministre) d’État, on peut peut-être estimer qu'il n'est point absolument nécessaire de souhaiter en rajouter (une ou deux autres, en fonction du nombre de compétences assignées au fonctionnaire européen concerné). J'arrive à vivre avec en tout cas. À suivre probablement. Cdt. --Gkml (discuter) 22 mars 2018 à 16:29 (CET)[répondre]