Discussion:Hansel et Gretel

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Garder en tête que[modifier le code]

  • Plan de l'article à revoir, en sorte qu'on sache quoi trouver exactement ds les différents chapitres... "Commentaires" est passe-partout et, dans "Versions", il conviendrait de parler des versions de Stoeber et Bechstein [tout comme les Grimm, se sont intéressés de près à la matière folklorique], et citer l'almanach populaire 1944 (mais "Hansel et Gretel" est avant tout la version des Grimm ! [ce qui vient ajouter une difficulté à ce qui était déjà assez compliqué... (un vrai mythe)]). Dans un chap. "Parallèles dans d'autres contes", mettre Nennillo et Nennella et Montanus, quoique... Développer sur la parenté du conte avec "Poucet", et parler des noms des héros (c'est intéressant). Trouver un meilleur nom pour "Origines anciennes"...
  • Il ne peut exister [non plus] de "vraie", "seule" version du conte vu que c'est un conte populaire et, du fait, volatile... les motifs se modulent sans fin, quasi inextricablement -Propp l'a bien vu, pour les contes (merveilleux) en général-... Essayer un chap. "Structure et variantes"...
  • Cfr. les commentaires de Deulin (wikisource) sur Poucet. Il dénigre quelque peu, voire carrément, Hansel et Gretel. (on a fait des guerres pour autant que ça, semble-t-il...)

Versions[modifier le code]

  • quid du Deutscher Volkskalender de Friedrich Wilhelm Gubitz 1844, que cite Bechstein ? pas de version online a priori... Il est cité dans l'article en allemand...
  • Variantes majeures de la version Bechstein (Bechstein dit que la version qu'il donne est une version orale -le croire? pq Bechstein serait-il moins crédible que les Grimm, se renseigner...)- : Après s'être rendus compte qu'ils étaient perdus, les enfants suivent un petit oiseau blanc comme neige et c'est ainsi qu'ils arrivent à la maisonnette. Au moment où la sorcière veut enfourner Gretel, le petit oiseau reapparaît et vient mettre la petite fille en garde (épreuve, à la "sacrifice d'Isaac", vu que c'est l'oiseau qui les a fourrés dans ce traquenard). Une fois que Gretel a vaincu la sorcière, le même oiseau est là et beaucoup d'autres petits oiseaux qui apportent les perles à Gretel. Les oiseaux sont en fait ceux que Hansel a nourri avec son pain.[ce qui est ingénieux mais un peu décevant par rapport à la version Grimm - ce genre de développement ds le récit intervient cependant ds beaucoup d'autres contes] Hansel et Gretel arrivent à une rivière. Ils trouvent un cygne (au lieu d'un canard), qui les fait traverser un par un, sans que Gretel (contrairement à la version Grimm) n'ait besoin de faire de commentaire. Les deux enfants rentrent chez eux et retrouvent leur père et leur mère, qui les regrettaient (les deux parents, sans autre commentaire, ce qui cloche un rien) et les retrouvent avec joie, d'autant plus que les enfants reviennent chargés de trésors.
  • Apparemment, il y a eu une guerre du conte de fée entre les Grimm et Bechstein...
  • Variantes de la version de Stoeber (je vais avoir un peu de mal, vu que c'est en alsacien)... Les Grimm lui confère une certaine "autorité", crédibilité en tant que conte populaire du moins, vu qu'ils lui empruntent un passage...

Interprétations[modifier le code]

  • c'est le chapitre qui mérite le plus de développements...
  • les allusions à Dieu sont aussi présentes ds la version Bechstein, ce qui n'a rien d'étonnant du tout (la religion EST -alors- populaire, on ne peut pas dire que ces allusions viennent seulement des Grimm ou de Bechstein), même davantage présentes dans Bechstein que dans la version Grimm, ce qui confère au récit un sens très 'religieux' -il est question de foi-... bref, en plus de la dimension "psychologique", ce récit a une dimension religieuse (au sens large, enfin, au sens normal)... il y a tout de même quelque chose qui « grippe » le moteur de la morale religieuse (-sens étroit, chrétien, protestant ici en l'occurrence, je réfléchis tout haut...- vu qu'à la fin de l'histoire, Bechtein abandonne ses -les- allusions chrétiennes, comme vaincu... Peut-on dégager une morale à l'histoire, si oui sous quel angle ?).
  • C'est pathétique cette volonté d'à tout prix rentrer chez soi bien que l'on sache que l'on n'y sera pas forcément bien accueillis. Interrogation sur le "Chez soi".
  • On pourrait dire que le message du conte est de se contenter de ce qu'on a, si ce n'est que les enfants sont ici chassés (ce n'est pas un désir d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus tendre, à la "chèvre de monsieur seguin")...
  • Parler de Bettelheim, même si celui-ci est souvent semble-t-il aujourd'hui remis en question.

Adaptations[modifier le code]

Demain, je revois l'article d'après les « hauts » préceptes indiqués plus haut... (ce sont comme des sables mouvants, les contes ; la version Grimm n'est qu'une sorte de photo, assez floue, de quelque chose en mouvement, mais la photo est là...) Rflock (d) 15 août 2010 à 22:24 (CEST)[répondre]

Nombres...[modifier le code]

Pour moi, pour me rappeler. Y'a un article concernant la symbolique des nombres dans les contes ? sinon, c'est à faire... déjà 7 comme bottes de 7 lieues, et 7 frères et 7 petites ogresses dans Poucet... Il y a des chiffres qui reviennent souvent, ne serait-ce que dans la formulation, genre les répétitions par 3, comme dans la Bible, moyen "mnémotechnique" pour le narrateur... Nombres premiers, gématrie, etcetera. --Rflock (d) 25 avril 2013 à 23:47 (CEST)[répondre]