Discussion:Guerre des Malouines

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Sans titre[modifier le code]

"le contexte de politique intérieure dans lequel se trouvait Margaret Thatcher. Il est connu que non pas seulement l'Argentine, mais aussi la Grande Bretagne connaissait des grands problèmes économiques à cette époque et que cette intervention servait aussi comme moyen pour distraire l'opinion publique."

Le fait que la Grande-Bretagne connaissait de problèmes écomomiques à cette époque n'a absolu rien à voir avec la décision de repliquer aux Argentins. Est-ce que tu pourrais me citer l'exemple d'un pays qui se voit retirer une partie de son territoire ou de ses colonies sans broncher ?

Si demain le Mexique envahissait les îles Kerguelen, le gouvernement francais interviendrait, qu'il soit de gauche ou de droite, que la France soit prospère ou pas ( on a encore eu l'exemple récemment avec le petit conflit qui a opposé le Maroc et l'Espagne au sujet de L'île Perejil en 2002) .

"- l'opinion publique en Argentine, en Grande Bretagne et dans le monde. L'intervention britannique a été fortement discuté à l'époque et n'était pas du tout soutenu par tous les pays."''

Les opinions publiques étaient trés divisées ( je me souviens de mon professeur d'histoire, militant communiste, qui nous expliquait que la Grande-Bretagne intervenait comme au bon vieux temps des colonies........alors qu'au même moment l'Afghanistan était occupée par les forces soviétiques), mais pas les états pour qui l'attaque Argentine crée un très grave précédent, la remise en cause des frontières par la force.

Analyse militaire[modifier le code]

  • J'ai ajouté ceci "Ce fut l'occasion pour les Britanniques de tester de nouveaux matériels mieux adaptés au grand froid (tenues chauffantes, beaucoup plus légères).", car à l'époque, je l'avais lu dans la presse et ce fut très discret. Ce fut testé par les troupes au sol. La légèreté, accroissait la facilité de leur évolution dans un environnement hostile (froid).
Très bien mais pensez dans la mesure du possible à citer une source pour assurer l'information. Pour ma part je me rappelle un autre détail : un haut gradé britannique avait révélé il y a une dizaine d'années que le premier allié du RU dans cette guerre avait été en fait la France mais de façon discrète : en particulier Hernu avait commandé que les avions français, de même type que ceux des Argentins, fassent des rondes au-dessus de la marine britannique sur le départ pour qu'elle apprenne à viser ces appareils. Si qqn a une source je suis preneur. Apollon (d) 27 décembre 2008 à 18:44 (CET)[répondre]

lien externe[modifier le code]

Je joins ici un lien externe. Pour ceux ou celles qui ont construit ce bel article je vous laisse le choix de le mettre en première page : (es) [1]. Cordialement --Butterfly (d) 9 juillet 2009 à 00:28 (CEST)[répondre]

Section anecdotique[modifier le code]

Je met ça ici, la plupart n'est qu'anecdote peu appropriée, il me semble, à un article encyclopédique. Un article trop long parce que plein d'anecdotique ne sera pas lu. J'élague donc... Ahbon? (d) 11 décembre 2009 à 11:00 (CET)[répondre]

Texte[modifier le code]

Le gouverneur des îles Malouines Rex Hunt fut informé par le gouvernement britannique d'une invasion argentine possible le 31 mars. Le major Mike Norman fut chargé du commandement général des Marines en tant que doyen, tandis que le major Gary Noott devint le conseiller militaire du gouverneur Hunt. La force totale comprenait 67 Marines, plus que ce dont ils auraient dû disposer: la garnison étant sur le point d'être relevée, les troupes arrivant et celles partant étaient sur l'île en même temps. Ce total fut réduit à 55 quand 12 Marines embarquèrent à bord du bateau de patrouille Endurance pour observer les soldats argentins basés dans la Géorgie du Sud. Enfin, la force fut appuyée par 23 volontaires à temps partiel dispersés dans des points stratégiques alors que les casernes de Moody Brook étaient abandonnées.

Le 2 avril, le destroyer argentin Santisima Trinidad s'arrêta à 500 mètres de la crique Mullet et débarqua 21 engins d'assaut argentins Gémini avec 92 commandos.

À 5 h 45, les Argentins avaient atteint leur premier objectif, les casernes Moody Brook et y lancèrent une attaque puissante, utilisant des armes lourdes et des grenades au phosphore [réf. nécessaire] . Elle prit fin quand les Argentins s'aperçurent que les casernes étaient abandonnées.

Les commandos reçurent du renfort pour aller à la maison du gouverneur. Le bruit de l'attaque alerta le major Norman, qui se rendit sur les lieux. Réalisant que l'attaque venait de plusieurs directions, il ordonna à ses troupes de se grouper dans la demeure. Le lieutenant-commandant Giachino, disposant de seize hommes, fut envoyé à l'assaut, au cours duquel il fut gravement blessé. Un médecin argentin tenta de l'aider mais fut atteint par une grenade. Les Britanniques lui demandèrent de se rendre, mais Giachino refusa - il succomba à l'hémorragie après la reddition des forces britanniques.

Presque simultanément à cet assaut, des navires amphibies américains réformés et rachetés par l'Argentine avaient débarqué des véhicules, sous le regard d'une section des Marines commandée par le lieutenant Bill Trollope. Brown toucha un blindé avec son lance-roquettes Carl Gustav, sans blesser personne. Les Argentins ouvrirent rapidement un feu nourri et la section retourna à l'abri de la maison.

Au QG, le major Norman reçut un rapport radio du caporal York posté à Port Stanley et chargé de surveiller les mouvements des navires argentins. Celui-ci suggéra un porte-aéronef et un croiseur comme cibles potentielles. Décidant de se replier, le caporal piégea son arme antichar et partit avec sa section dans son petit bateau vers le nord à travers Port Guillaume. Un destroyer le prit en chasse jusqu'à ce qu'il se réfugie près d'un navire de pêche polonais en attendant la nuit.

Un autre incident survint au QG quand les trois survivants argentins alertèrent par inadvertance le major Noot de leur présence alors qu'ils tentaient de quitter leur cachette. Le major tira vers le plafond et les Argentins se rendirent, devenant les premiers prisonniers du conflit.

Le matin du 3 avril, Rex Hunt et le major Norman, désormais assiégés dans la maison, décidèrent de capituler, mais la section du caporal York était encore libre. Le lendemain, cette section atteignit une hutte isolée et choisit de se rendre.

Fichier:ComandosAnfibios-Marines.jpg
Les Royal Marine prisonniers le 2 avril 1982.

Après la reddition, les Royal Marines et les volontaires furent rassemblés dans les terrains de sport. Des photos furent prises, photos qui galvanisèrent l'opinion publique britannique quand elle les vit. Ensuite, les hommes furent placés dans un C-130 de transport qui les emmena en Uruguay, puis au Royaume-Uni. Un Marine prédit à un garde argentin : « Ne vous installez pas trop confortablement, nous allons revenir ». Ce qui fut fait 72 jours plus tard.

Les Argentins occupèrent dans le même temps aussi la Géorgie du Sud et les îles Sandwich du Sud, mais alors qu'ils ne croyaient avoir à faire qu'à des scientifiques et en conséquence n'avaient envoyé qu'un navire de transport escorté d'un seul aviso de la classe d'Estienne d'Orves, ils tombèrent sur un détachement de Royal Marines qui, avec leurs lance-roquettes, infligèrent de tels dégâts à l'aviso que celui-ci dut se mettre à l'abri. Mais face au contingent argentin débarqué, les Britanniques durent s'incliner.

À Buenos Aires, de grandes foules agitant des drapeaux inondèrent la Plaza de Mayo en entendant les nouvelles. À Londres, le gouvernement était stupéfait.

Phosphore[modifier le code]

Pas besoin de références pour les grenades au phosphore, ce type de munition était/est courante dans de nombreux pays et l'Argentine n'a ratifié le protocole sur les armes incendiaires qu'en 1995 : http://www.icrc.org/dih.nsf/WebSign?ReadForm&id=515&ps=P J'en ai moi même balancé lors de mon service militaire :) L'amateur d'aéroplanes (d) 11 décembre 2009 à 11:54 (CET)[répondre]

Appareils Crypto[modifier le code]

Et bien sûr pas un mot des machines de décryptage Crypto fournies par la Suisse, qui ont permis aux Allemands et aux Américains de transmettre en clair toutes les conversations cryptées des Argentins... Cette guerre a été gagnée par l'Angleterre uniquement grâce à l'aide américaine. C'est une honte.

Affirmation d'un ridicule total. Des renseignements n'ont jamais permit seuls de remporté une guerre sinon nous aurions remporté la bataille de France en 40. L'amateur d'aéroplanes (discuter) 25 février 2020 à 20:29 (CET)[répondre]
Émoticône+ Une source ? Non, pas de source ? Donc message inutile mais ouvert à toute source secondaire de qualité démontrant que les machines Crypto était mêlées à l'affaire, vraiment. Mais entre nous, sérieusement : les Suisses, les Allemands et les Américains qui aident les Anglais en Argentine (où l'Allemagne -comme les US- n'a aucun intérêt qu'on y touche trop, ni qu'on y regarde trop près, ni que les Argentins balancent quelques vieux dossiers...), ça sent le gros fake conspi des familles, non ? --Hyméros (o_o) Oui ? 25 février 2020 à 20:41 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

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