Discussion:Groupe 47

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Bonjour,
le G47 exerce une influence majeure même après sa dissolution. Et son objectif (enfin selon mes souvenirs) n'est pas tant de redonner une place à l'Allemagne, que de renouveller la langue allemande, les lettres allemandes et de nettoyer la langue et par là l'imaginaire associé à la littérature des modifications que lui ont fait subir 15 ans de domination nazie (15 ans c'est en gros, l'imaginaire nazi s'exprimant dans la litt. avant 33).

Par ailleurs la phrase « qui dans ses romans interroge sur les conséquences de la shoah dans la société allemande » ne me plait pas complètement. D'abord je ne suis pas sur qu'il faille parler de l'œuvre de chaque écrivain dans cette phrase (au risque d'allonger la phrase), ensuite la Shoah n'est pas vraiment essentielle dans l'œuvre de Böll (mais plus la guerre, la destruction, l'Allemagne année 0). Et enfin la formulation me paraît peu clair celà je n'ai rien d'autre à proposer. (:Julien:) 11 juillet 2008 à 13:55 (CEST)[répondre]

Je pense qu'il serait judicieux de placer les noms Hans Werner Richter et Alfred Andersch au premier plan, vu que ce sont eux qui ont eu l'initiative de la fondation du groupe. À ma connaissance Enzensberger n'a pas joué de rôle si important pour qu'on le cite d'emblai. Et puis, puisque l'article allemand est reconnu être d'excellente qualité; pourquoi ne pas s'en inspirer pour formuler la version française?Michel Boitiere (d) 27 août 2012 à 19:41 (CEST)Michel Boitiere[répondre]
Il s'agit d'attribuer une citation relative à la description du groupe, non d'évaluer l'importance d'un individu. Cordialement, — Racconish D 27 août 2012 à 19:53 (CEST)[répondre]
L'article est resté longtemps à l'abandon. C'est vraiment dommage. Cependant, pour la date de dissolution du groupe, tu n'avais pas tout à fait tort : il y a bien eu une réunion du groupe du 16 au 19 septembre 1977 à Saulgau à l'hôtel Kleber Post. On a appelé cette réunion le « congrès funèbre », le groupe étant à cette époque dans un état de décomposition avancé. Pourquoi n'as-tu pas donné de source pour consolider ta proposition? Le groupe 47, à ma connaissance, s'est rencontré une toute dernière fois les 25, 26 et 27 mai 1990 au château de Dobris près de Prague, sur invitation de Vaclav Havels (Voir : http://www.zeit.de/1990/24/literatur-ist-gedaechtnis), la réunion de 1968 qui devait y avoir lieu, n'ayant pu se faire à cause de l'entrée des troupes soviétiques. Hans Werner Richter n'était plus très jeune : 85 ans. Sans doute un âge où il devient plus difficile de profiler l'avant garde littéraire. Mais il est vrai que les divergences d'orientation (et les démonstrations estudiantines) ont marqué dès 1967 la fin du groupe (Voir : http://www.zeit.de/1967/42/im-pulverfass). Bien cordialement Michel Boitiere (d) 28 août 2012 à 00:21 (CEST) Michel Boitiere[répondre]