Discussion:Grande Jacquerie

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Je n'ai pas utilisé à fond l'article de Jules Flammermont, « La Jacquerie en Beauvaisis », dans Revue historique, Presses universitaires de France, Paris, t. 9, 1879. (disponible sur Gallica). Mais il contient de nombreux éléments assez pertinents qu'il serait heureux de voir dans l'article. Pedro Lassouras 10 août 2006 à 15:21 (CEST)[répondre]

Du travail pour les historiens !! Piku 26 novembre 2006 à 16:24 (CET)[répondre]

Grande Jacquerie est une Jacquerie particulière, la première, qui a donné son nom à tout un tas de soulèvements populaires. Jacquerie liste ces derniers. Il ne faut pas, amha, fusionner. Jerome66 | causer 5 décembre 2006 à 11:05 (CET)[répondre]
Abandon. Jerome66 | causer 13 décembre 2006 à 07:21 (CET)[répondre]

28 mars 1358, jour de la fête Dieu?[modifier le code]

Le début de la Grande Jacquerie n'a pu avoir eu lieu le 28 mars. Si l'on se réfère à l'article wikipédien de la fête Dieu, on y apprend que celle-ci se célèbre huit dimanches ou soixante jours après Pâques. En 1358 Pâques a été fété le 1er avril comme l'indique le lien ci-après : Jours de Pâques au 14e siècle. En 1358, le huitième dimanche après Pâques est le dimanche 27 mai. La date du 27 mars est donc impossible si on affirme que c'était le jour de la fête Dieu. En 1358, soixante jours après Pâques nous renvoie au 31 mai, c'est cette date est retenue par Alain Decaux et André Castelot dans leur ouvrage écrit en commun : HISTOIRE DE LA FRANCE ET DES FRANCAIS AU JOUR LE JOUR Papydenis 21 janvier 2007 à 17:36 (CET)[répondre]

Je suis perplexe sur la présence du duc d'Orléans à Meaux aux cotés du comte de Foix et du captal de Buch du fait de sa captivité aux cotés de son frère Jean le Bon. En effet le duc est le fils de Philippe VI et il combat à Poitiers aux cotés de Jean. Qui peut essayer de dénouer ce problème? --Benruban (d) 22 mars 2010 à 13:58 (CET)[répondre]

Tout à fait juste. Le comte Philippe d'Orléans (1336-1375) ne pouvait effectivemnet pas être à Meaux en juin 1358 puisque, servant d'otage avec son frère Jean, il était prisonnier en Angleterre et ce jusqu'en 1360. Dans cet ouvrage qui relate ces événements, il n'est question que de Gaston Phébus et du captal de Buch. Je corrige en conséquence. Papydenis (d) 22 mars 2010 à 14:59 (CET)[répondre]

Une page un peu trop "historiographique"[modifier le code]

L'article comporte pas mal de considérations générales, certes intéressantes, mais semble négliger le déroulement factuel, événementiel de cette révolte.

Cette révolte commence semble-t-il à Saint-Leu d'Esserent : le nom est cité dans l'introduction et dans un texte de chronique, relégué au milieu d'un paragraphe qui commence par "Quelle que puisse être l'étincelle qui déclenche la révolte". C'est un peu cavalier, on n'en est pas encore au stade où la matière est surabondante...

Peu après, on lit "(la révolte) enflamme, de proche en proche, la moitié nord du pays" : un énoncé encore plus cavalier, qui masque des lacunes considérables. "la moitié nord du pays" ? Il semble qu'elle concerne des régions au nord de Paris, notamment le Beauvaisis (comme le montre la bibliographie), cela fait-il la moitié du royaume ? "de proche en proche" (donc il y a bien un point de départ)

Donc je pense qu'il faudrait reprendre le déroulé de la révolte en essayant de préciser ce qui peut l'être et en disant clairement ce qui ne peut pas l'être. Jcqrcd44 (discuter) 11 mai 2023 à 12:21 (CEST)[répondre]