Discussion:Glorieuse Révolution

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Suite à une création de l'article Glorieuse Révolution par un anonyme ce matin, j'ai fusionné avec l'article existant (affiché en ébauche) Seconde Révolution anglaise.

Pour le titre, j'ai choisi la traduction du nom anglais qui permet de désigner directement celle-ci amha. Mais, n'étant pas en odeur de sainteté, débattez tranquillement du nom où il faut placer l'article. sebjd 14 déc 2004 à 09:38 (CET)


Vote : clôture par un sysops le ?? ??

Glorieuse Révolution[modifier le code]

Seconde Révolution anglaise[modifier le code]

Trop court, pour un événement majeur de l'histoire religieuse et économique européenne[modifier le code]

Article trop court et trop centré sur l'Irlande, l'écosse et de plus quasiment vide sur le développement économique très rapide qui a suivi cette prise de pouvoir d'une élite hollandaise sur une angleterre encore peu développée, avec création de la Banque d'Angleterre (la banque de France sera créée un siècle plus tard), des banques commerciales et régionales, d'un système parlementaire renforcé, de la stabilité religieuse, d'une presse libre, et bien sûr âge d'or de la Royal Navy, grâce à une politique d'emprunts publics et d'aménagement du réseau hydrogrpahique, très bien racontée par les auteurs compilés par Fernand Braudel.

Une appellation différente dans le monde francophone....[modifier le code]

...détail qui montre que ce "monde francophone" a conservé une vision de l'histoire anglaise qui diverge de la vision autochtone. Par et pour une certaine partialité?

Les minorités religieuses italiennes n'ont pas hésité au contraire à appeler leur mouvement de 1689, l'année suivante, "glorieux retour", en hommage à la "glorieuse révolution". C'est aussi l'époque où le Duc de Savoie, puis même l'Espagne, changent de camp pour se rapprocher des anglais, contre Louis XIV, qui vient de révoquer l'édit de Nantes et provoquer la fuite de 300.000 huguenots hors des frontières (dont 300 nobles qui participent à la glorieuse révolution).

Surtout une invasion néerlandaise...[modifier le code]

La plupart des historiens actuels (J. Israel, L. Jardine) étudiant le phénomène politique, militaire et culturel enclenché par la Glorieuse révolution s'entendent maintenant pour dire que sous le vernis patriotique anglais, et malgré la propagande néerlandaise afin de réconforter les Anglais sur ce qui se passait, il s'agit bel et bien d'une invasion néerlandaise en bonne et due forme. Les États provinciaux néerlandais et les États généraux ont abondamment contribué au financement de l'opération. Les troupes employées, et celles les plus proche du centre de commandement étaient des troupes néerlandaises. Les Néerlandais ont aussi poussé l'audace jusqu'à se faire rembourser par le Parlement anglais. Il s,agissait, pour Guillaume III et les néerlandais, de s'assurer que dans le nouveau bras-de-fer qui s'engageait avec la France, que l'Angleterre ne se range du même côté qu'en 1672, la Rampjaar néerlandaise qui avait poussé la République sur le bord du précipice.--Ocre (d) 14 novembre 2009 à 05:18 (CET)[répondre]

Et même une invasion... franco-néerlandaise... soutenue par le parlement anglais[modifier le code]

Les Pays-Bas n'existaient alors légalement que depuis un demi-siècle et Amsterdam était la Tour de Babel de tous les réfugiés politiques et religieux. Dans cette armée d'invasion, il y avait 3.000 huguenots français.--Tango Panaché (d) 1 septembre 2010 à 22:09 (CEST)[répondre]

Beaucoup de commentaires, partiaux, et sur un ton pontifiant[modifier le code]

Et malheureusement, ils prennent la place des faits--France écosse (d) 26 juillet 2013 à 23:47 (CEST)[répondre]

Massacre de Glencoe[modifier le code]

<quote>Nombreux parmi les catholiques irlandais et écossais, ils furent écrasés à la bataille de la Boyne, en Irlande en 1690, où ils combattirent aux côtés des 10 000 soldats du corps expéditionnaire français envoyé par Louis XIV et, à Glencoe, en Écosse en 1692, où une partie des clans écossais les avait rejoint. Ces soldats écossais avaient dans un premier temps accepté d'héberger les soldats protestants et attendaient l'avis du roi, réfugié en France, pour répondre à l'appel des protestants à se démobiliser en échange d'une amnistie. Ils tombent dans une embuscade historique à Glen Coe, dans les Highlands, victimes d'un message tardif de Jacques II, qui espère ainsi décrédibiliser les troupes protestantes.</quote>

L'écriture est obscure et confondante. En particulier, "victimes d'un message tardif de Jacques II, qui espère ainsi décrédibiliser les troupes protestantes.", c'est une interprétation biaisée qui déforme les faits pour déculpabiliser le côté protestant. Voir Massacre de Glencoe.--173.176.2.81 (discuter) 22 juin 2014 à 10:28 (CEST)[répondre]