Discussion:Georges Feray
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Eléments de brouillon :
Il est le fils de Frumence Théophile Feray, professeur au collège dieppois Jehan-Ango.
En 1920, il sort diplômé de l’école d’architecture des beaux-arts de Paris où il fut l’élève de Gustave Umbdenstock, architecte de la reconstruction dans le Nord–Pas-de-Calais. La même année, il obtient une médaille de bronze et d’une bourse d’étude au salon des artistes français et le premier prix au concours d'architecture Achille Leclère.
Catégorie:Officier des Palmes académiques
Les insignes d'officier de l'instruction publique lui sont remis en 1923.
L'église du Sacré-Cœur de Janval à peine livrée, il s'y marie le 8 avril 1931 avec Henriette Hélène Marie Gilbert, mannequin de profession. Elle resta en retrait de la vie mouvementée de son mari et le couple n'a aucune descendance.
En 1937, il est nommé directeur des Beaux Arts de Rouen.
En 1938, Les Informations Dieppoises relatent sa nomination au grade de chevalier de la Légion d'honneur.
En 1945, il est nommé au poste d’architecte en chef de la reconstruction de la Seine-Inférieure. En cette qualité, il coordonne les chantiers de réédification de Dieppe, Le Tréport, Eu et Londinières. La même année, il devient membre du conseil régional de l’Ordre des architectes.
La villa Perrotte
La villa Perrotte située rue Jules Ferry est un petit chef d'oeuvre de la période Art Déco. En 1928, Pierre Perrotte, célèbre industriel dieppois (huileries Perrotte-Poullard . Pierre Perrotte sera Maire de Dieppe de 1929 à 1935) passe commande à l'architecte Georges Féray d'une villa pourvue de tout le confort moderne, dans le style Art Déco.
L'architecte conçoit également les jardins. Geoges Féray est aujourd'hui encore bien connu des Dieppois. C'est à lui que l'on doit l'église du Sacré Coeur de Janval (1924), l'ancienne quincaillerie Leveau sur le quai Duquesne, l'école Jules Ferry à Janval et le bâtiment abritant la DDE maritime.
Un cabinet médical est installé au rez-de-chaussée. Paul Ouvry, médecin et époux d'Antoinette Perrotte, fille de l'industriel s'y installe en 1968. Les étages de la villa sont inhabités pendant la décennie 1980. En 2003, on relève des aménagements intérieurs sans incidence notable sur la structure initiale. La villa retrouve ses volumes d'origine lorsqu'elle accueille une galerie et des expositions temporaires. Côté jardin, sa façade est agrémentée d’un bow-window en V sur deux étages, élément caractéristique du travail de l’architecte.
Exposition universelle de 1937 - réalise le pavillon de Normandie {{base mistral[1]}}
Envermeu : monument aux morts de la guerre 1914-1918 + maison de chasse