Discussion:Français québécois

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À lire avant de contribuer![modifier le code]

Les articles Wikipedia ne doivent pas contenir de travaux inédits. Il faut éviter que cet article devienne une collection d'anecdotes linguistiques impossibles à vérifier (du genre "je hais" se dit souvent "j'haïs"). Il faut citer ses sources! Le problème ici est qu'il existe peu d'ouvrages de référence sur le français québécois qui soient connus du grand public. Il existe par contre une littérature scientifique assez bien fournie en linguistique, sociolinguistique, histoire, etc.

Quelques ouvrages utiles à consulter (n'hésitez pas à ajouter des éléments ici):


Contributions de:

Mathieugp 02:45, 2 Sep 2004 (UTC)

87.223.234.36 20 mars 2007 à 16:55 (CET)[répondre]


Questions de rédaction[modifier le code]

Français standard québécois vs dialecte[modifier le code]

L'article ne fait pas de différence entre le Français standard utilisé au Québec (ce qui inclut les canadianismes de bon aloi) et le dialecte. Voir par exemple l'allemand standard Suisse Andreas 31 janvier 2006 à 20:48 (CET)[répondre]

Généralisation abusive[modifier le code]

Je trouve qu'il y a beaucoup trop de généralisation dans l'article. Tout le long, on y prétend que l'on utilise ce mot-ci plutôt que celui-là alors que, très souvent, ces termes ne sont pas unanimes. En fait, de nombreux québécois parlent un français presque international et l'article semble nous imposer une "vérité" tout autre. Fhennyx

En effet, le danger est de représenter les caractériques distinctes comme étant les seules caractéristiques ou les seules appartenant au Québec. Dans mon remaniement sur la situation sociale par rapport au français québécois, je vais montrer qu'il existe deux pôles, chacun ayant son propre discours par rapport au genre de français. D'une part, un des pôles est le standard ou la norme fabriquée dont le discours tourne autour des mots affectifs tels que « qualité », « correct » et « international ». D'autre part, il existe le pôle opposé qui se focalise sur tout ce qui n'était pas ou n'est pas valorisé, surtout à l'oral, et ce qui est souvent vu comme la langue du peuple; le discours ici inclut les mots « notre », « d'ici », « joual », « identité ».
Et comme vous venez de mentionner, il y a beaucoup de termes et de phénomènes tant standard, écrits, parlés, informels, etc. que l'on trouve PARTOUT dans la Francophonie, par example : i' me l'a dit qui n'est guère québécois! CJ Withers 20 avril 2006 à 04:18 (CEST)

Et on dirait que le parler oral est souvent confondu avec l'écrit. En lisant l'article, je comprends que les québecois écrivent « kekchoz » au lieu de « quelque chose » dans les journaux, les déclarations d'impots, etc. Sinon, je pense que tout l'article est à nettoyer puis recycler. --Meithal 22 mai 2006 à 22:34 (CEST)[répondre]

Je ne peux qu'agréer. Cf ma modification de ce jour. La plupart des caractéristiques attribuées au québecois se retrouvent dans telle ou telle autre variante du français :
  • prononciation (/oe/ pour /oi/, ...),
  • contractions orales (/chaipa/ < "je ne sais pas", /'mféchi.../ < "elle m'ennuie" :-), ...) (cf l'anglais : cannot vs can't ou le breton 'meus ket vs n'em eus ket, ...)
  • formules uniquement orales et connotées comme de bas registre (zieuter, ...)
A la limite, on pourrait dire que la distance dialectale entre le francais québecois et le francais "parisien" est plus grande qu'entre ce dernier et certains variétés dites régionales (pas beaucoup moins péjoratif que patois mais bon :-( ).
Il faudrait recycler une bonne partie de l'articles dans les différents articles traitant des registres, ... ainsi qu'un nouveau (sur les variétés dialectales du continuum linguistique francais)
Soig 22 mai 2006 à 23:16 (CEST)[répondre]
J'abonde dans vos sens. SVP lisez mon commentaire en bas sous « pareil mais distinct »; la génèse de nouveaux articles serait fort utile. Là aussi, il faudrait un article sur le français parlé, non? CJ Withers 28 mai 2006 à 05:09 (CEST)

Ce n'est pas parce que je parle le français dit "International" dans telle ou telle autre circonstance (mettons dans une conférence scientifique portant sur le français québécois) ou que telle caractéristique attribuée au français québécois se retrouve aussi dans telle ou telle autre variété du français que le français québécois comme phénomène linguistique, tel que décrit ici, n'existe pas. Eklir (d) 14 janvier 2013 à 05:32 (CET)[répondre]

Lexique[modifier le code]

Il faudrait fusionner la partie ’’’lexique’’’ avec l´article ’’’Lexique Quebecois’’’ NL 26 jan 2005 à 22:45 (CET)

Anglicismes[modifier le code]

Il serait préférable de discuter en page de discussion au lieu de supprimer un passage. Je renvoie ainsi à la section sur le zèle des références. Sur ce, je renvoie aussi à la culture et à la façon de véhiculer les messages dans une langue. --Nicko (d) 24 mai 2009 à 22:15 (CEST)[répondre]

Il sera mieux de sourcer et non ajouter des "passages" qui ne sont pas vérifiées. SVP Lire WP:SE, et ne pas imposer ses propres vues. --Vivre et laisser vivre! (d) 24 mai 2009 à 22:18 (CEST)[répondre]
Je vois que vous n'avez pas lu la section sur le zèle des références. Évidemment, cette discussion est alors vaine, car vous n'ajouter en rien sur ce qui a déjà été dit. --Nicko (d) 24 mai 2009 à 22:25 (CEST)[répondre]
Votre passage sur "le nom de Montréal" n'a rien a voir avec la section zèle des références. Il faut sourcer cette phrase, et aussi spécifier que c'est incorrect. Mais vos commentaires dans la section ZdR démontre que vous ne croyez pas qu'il est nécessaire de sourcer et que des travaux inédits sont acceptables.--Vivre et laisser vivre! (d) 24 mai 2009 à 22:43 (CEST)[répondre]
Je serais très curieux de savoir avec quoi vous raisonnez dans la vie? Et d'où viennent toutes ces réponses absurdes... un phénomène inexpliqué... soupir. --Nicko (d) 24 mai 2009 à 22:46 (CEST)[répondre]
wikt:Réal. Iluvalar (d) 25 mai 2009 à 02:19 (CEST)[répondre]
Bon, un article vide? Mais je connais déja que le mot Réal, forme de Royal. Et non pas un anglicisme.L'article sur Wikipédia Réal sera plus utile. --Vivre et laisser vivre! (d) 25 mai 2009 à 02:49 (CEST)[répondre]
Oups mon erreur. Pour faire une histoire longue, étant partie de google "define:Réal" j'ai cru naturellement tomber sur wiktionnaire alors qu'en fait j'étais ici même sur wikipédia.
Non, pas de problème, je trouvais ça drôle. Après tout ces accusations et préjugées, il a décidée de retirer la phrase en question, pour l'instant. --Vivre et laisser vivre! (d) 25 mai 2009 à 04:43 (CEST)[répondre]
Vous semblez convaincu de ce que vous croyez. Je vais me garder une réserve alors, question de vous laissez vivre dans la quiétude de votre monde... et surtout, dans l'ignorance. --Nicko (d) 25 mai 2009 à 05:56 (CEST)[répondre]
C'est un bon sentiment, et je vous remerci. J'espère que vous continuez a correctemnt sourcer vous travaux pour qu'ils ne soient pas inédits. Comme j'ai appris moi même, il est mieux d'avoir les sources déjà inclus quand onajoute ou change un article, ce qui évite d'ajouter quelque chose qui va se faire enlever de toute façon. Et prendre le temps de lire les résumés de modifications avant d'aller causer des scenes partout, arretez de préjuger les autres qui viennent ici, arreter d'agir comme agent provocateur, et d'accuser sans raison. (accuser dans le sens d'imputer, reprocher et non dans le sens d'Accuser la réception)--Vivre et laisser vivre! (d) 25 mai 2009 à 06:34 (CEST)[répondre]
... --Nicko (d) 25 mai 2009 à 07:16 (CEST)[répondre]

Zèle des références[modifier le code]

Bien que la présomption de bonne foi soit aussi un principe fondateur au même titre que la citation des sources, il semble malheureusement que certains utilisateurs ne connaissent pas ce principe. Une tendance à privilégier à l'extrême le référencement laisse croire à un manque de neutralité parmi les détracteurs de la bonne foi. Les lecteurs sont suffisamment intelligents pour différencier ce qui fait du sens ou non selon leurs propres expériences et connaissances, sans qu'il ne soit besoin d'alourdir constamment les articles avec des refnec et cie. Parce que même avec des références, certains points sont parfois douteux. --Nicko (d) 18 avril 2009 à 17:30 (CEST)[répondre]

Autrement dit, dans un article sur un sujet aussi général et avec une étendue des connaissances aussi grande que celui du français québécois, il est quasiment inapproprié pour un seul utilisateur de dire que tel ou tel point est douteux et qu'il nécessite une référence précise. À l'inverse, une référence peut être utile dans un article plus spécialisé lorsqu'un expert du sujet trouve un point douteux. --Nicko (d) 18 avril 2009 à 18:08 (CEST)[répondre]
La présomption de bonne foi est une recommandation et non un des cinq principes fondateurs. La phrase d'introduction « Supposer la bonne foi est un principe fondamental de Wikipédia. » porte visiblement a confusion. La présomption de bonne foi est du domaine de l'etiquette et vise surtout a harmoniser les relations entre les participants et ne vise en rien le contenu.
Il demeure vrai, a mon avis, que plus un article est general, plus il devient dificile de citer des sources. Il reste que le referencement est le meilleur moyen (malgre tous ses defauts) d'eviter que tout un chacun vienne rediger des articles d'opinions et des theses personnelles dans Wikipedia. - Mathieugp (d) 19 avril 2009 à 13:45 (CEST)[répondre]
Ah! OK. Donc, si je comprends, un petit groupe de personnes que nul ne connaît peut s'improviser et se dire assez experts pour s'approprier le droit de généraliser leurs propres doutes sur des sujets non référencés qui, selon eux, pourraient être des thèses personnelles et qui, à défaut d'avoir la science infuse, leur légitimeraient un droit de nivellement collectif par le bas. Si c'est ça, c'est ce qu'on peut appeler être assez nombriliste et imbu de soi-même. --Nicko (d) 19 avril 2009 à 14:43 (CEST)[répondre]

Parce que le savoir peut aussi relever d'expériences ou de discussions entre spécialistes ou personnes directement concernées, ce genre de ferveur systématique, effectuée par tout un chacun sur n'importe quoi et n'importe comment, encourage le partage des seules connaissances superficielles. À ce point, leur appronfondissement demeurent dans les livres et archives papiers pour le plus petit nombre y ayant accès. Ainsi, la méfiance généralisée et le rejet de la présomption de bonne foi créent l'effet pervers de Wikipédia sur la démocratisation du savoir et donc, la stagnation globale de ses articles. --Nicko (d) 19 avril 2009 à 15:44 (CEST)[répondre]

Une université française créa, une fois, de toute pièce, un profil utilisateur afin de faire l'expérience de modifier certains articles de Wikipédia en les vandalisant de façon à occulter les nuances. Les modifications étaient généralement acceptées par la communauté wikipédia en dépit des fausses références de livres et ouvrages qui y étaient indiquées, car généralement inaccessibles pour le commun des mortels. --Nicko (d) 19 avril 2009 à 16:00 (CEST)[répondre]

Cet utilisateur nous démontre justement que les réferences (sources) sont nécessaires, mais argumente contre? Il sera temps que les contributeurs comme cela lisent et comprennent l'histoire de la grenouille, ou Porte-au-nez.--Pasmieuxquetoi (d) 3 juin 2009 à 15:46 (CEST)[répondre]

C'est votre opinion... Si c'est ainsi que vous comprenez l'argumentation... --Nicko (d) 3 juin 2009 à 17:54 (CEST)[répondre]

Manque de sources[modifier le code]

Je vois mal comment on pourrait mettre plus de sources dans cet article car il relève d'un phénomène populaire sur lequel il y a peu d'écrits. Tout se qu'on peut avoir comme sources se sont les personnes qui vivent la langue comme vous et moi et qui approuve ou non certains aspects de l'article Felquiste 13 juillet 2007 à 00:19 (CEST)[répondre]

Les sources sont innombrables, des centaines de personnes ayant fait leur thèse de maîtrise sur le français québécois depuis les 50 dernières années. L'article de langue anglaise est un peu mieux pour ce qui est des sources. Voici la liste des références de langue française qui sont mentionnées (et citées) dans l'article Quebec French :
  1. Denis Dumas (1987). Nos façons de parler. Sainte-Foy: Presses de l'Université du Québec. (ISBN 276050445X).
  2. Pierre Martel, Hélène Cajolet-Laganière (1996). Le français québécois : Usages, standard et aménagement. Quebec: Presses de l'Université Laval. (ISBN 978-2892242614).
  3. Michel Plourde, ed. (2000). Le français au Québec : 400 ans d'histoire et de vie. Montreal: Éditions Fides/Publications du Québec. (ISBN 2762122813).
  4. Philippe Barbeau (1984). Le Choc des patois en Nouvelle-France : Essai sur l'histoire de la francisation au Canada. Montreal: Presses de l'Université du Québec. (ISBN 2-7605-0330-5). : research on the early development of French in New France.
  5. Lionel Meney (1999). Dictionnaire Québécois Français. Montreal: Guérin. (ISBN 2-7601-5482-3). : a comprehensive reference dictionary defining Québécois French usage for speakers of European French
  6. Jean-Marcel Léard (1995). Grammaire québécoise d'aujourd'hui: Comprendre les québécismes. Montreal: Guérin Universitaire. (ISBN 2-7601-3930-1). : a detailed analysis of some grammatical differences between France and Quebec French.
  7. Raymond Mougeon, Édouard Beniak (1994). Les Origines du français québécois. Québec, Les Presses de l'Université Laval. (ISBN 2-7637-7354-0).
  8. Luc Ostiguy, Claude Tousignant (1993). Le français québécois: normes et usages. Montreal: Guérin Universitaire. (ISBN 2-7601-3330-3). : Analysis of some particularities of pronunciations in regard to the Quebec and European norms and language registers.
Étant donné que l'article de langue française est en grande partie une traduction de son équivalent de langue anglaise, il devrait être possible d'ajouter plusieurs citations juste en comparant les deux.
Il y a aussi un grand nombre de documents disponibles en ligne via le site du Conseil supérieur de la langue française du Québec :
* http://www.cslf.gouv.qc.ca/cslfpubs.asp?type=e
Le document en ligne qui m'a semblé le plus utile à la description du français québécois est celui-ci :
-- Mathieugp 14 juillet 2007 à 23:02 (CEST)[répondre]

pareil mais distinct[modifier le code]

Maurice Druon, gardien intransigeant d'une langue «pure», le secrétaire perpétuel honoraire de l'Académie française, jugea lui même que les Québécois s'exprimaient dans un «parler pittoresque» forgé à une époque où ni Corneille ni Racine n'avaient fixé les règles du français.

Je me trompe ou bien la section par plus de prononciation, et stipule que la grammaire est identique. Il ne peut donc s'agir que de vocabulaire... mais ne serait-ce pas marrant si on parlait vraiment en Europe comme Corneille et Racine ont écrit ? faut un peu sortir de ses grandes pompes---moyogo ☻☺ 26 mai 2006 à 09:10 (CEST)[répondre]

J'ai supprimé les commentaires hors-sujet. L'article n'est pas sur le français métropolitain ni sur les dialectes du français en France, que ce soit par diachronie ou synchronie. En outre, le commentaire de Druon est l'exemple canonique de la violation du NPOV de wikipédia, et ce, par le biais d'un argument d'authorité spécieux. D'ailleurs, l'emploi de ce commentaire est gallocentrique d'autant plus que l'article n'a rien avoir avec l'Académie française. Ce serait comme utiliser un descriptif affectif (et passablement dénigrant) d'une authorité de l'Office québécois de la langue française ou de Mme Louise Beaudoin, ancienne ministre responsable de la Charte de la langue française, pour commenter des sentiments envers le français métropolitain, cette dernière étant très loquace là-dessus! :-)
Cependant, il serait fort intéressant de voir la génèse de plusieurs articles sur les différences entre les dialectes (voir l'article de langue anglaise les différences entre l'anglais américain et l'anglais dit britannique en:American and British English differences) et surtout sur les dialectes régionaux en France. Par exemple, il serait édifiant de comprendre les relations entre la région et l'utilisation du "a" ou du "e" devant "r" : marde/merde, Viarge!/vierge, perler/parler, etc. Pour ce qui est du "oé", là il s'agit aussi des classe sociale et du changement de régimes. Tout un autre sujet aussi intéressant qui pourrait mériter son propre article, n'est-ce pas? CJ Withers 28 mai 2006 à 05:06 (CEST)

C'est drôle, je vois cette faute assez souvent sur Wikipedia ces temps-ci; autorité ne prend pas de H en français.--142.213.254.2 (d) 23 mai 2010 à 21:13 (CEST)[répondre]

Style et conventions typographiques[modifier le code]

J'ai ajouté les bandeaux "À vérifier" et de "Rédaction", car le texte ne correspond pas aux style encyclopédique désiré par Wikipédia. Entre autres, il s'agirait de revoir le style du texte en le rendant plus impersonnel, clair et précis. (Voir le guide Wikipédia:Style encyclopédique [1]) De plus, il serait bon d'y revoir la ponctuation, les espaces, les guillemets et les italiques. (Voir le guide Wikipédia:Conventions typographiques [2])

J'ai brièvement corrigé la section Histoire [3]. (Sans vouloir blesser personne, elle me semblait sortie d'une rédaction écrite au sécondaire ou au Cégep) et ajouté un hyperlien vers la BNQ. L'article gagnerait à être revu par quelqu'un qui aurait plus de temps à y consacrer, d'autant plus qu'il s'agit de langue française, qui se doit d'être aussi exacte que possible.

Confusions[modifier le code]

Bonjour. Je me suis rendu compte que cet article confond plusieurs francophones ne vivant pas au Canada. Je l'ai modifié un peu, surtout pour l'introduction, mais il faut surement encore y travailler. J'ai plusieurs questions et commentaires. Premièrement, d'où viens le nombre de 9 millions de francophones? Je vois bien le lien vers le site de Statistique Canada mais même en additionnant différent chiffres, ça donne pas plus de 7 millions. Deuxièmement, d'où viens l'affirmation que le français québécois est utilisé au Nouveau-Brunswick? Il y a des mots semblables et l'accent du Témiscouata ressemble un peu à celui du Madawaska mais de là à dire que c'est la même langue, c'est un peu fort. Je pourrait aussi bien aller modifier plusieurs articles et dire qu'on parle le français acadien dans l'est de la province de Québec. J'ai essayé de modifier l'introduction pour représenter mieux la réalité, mais comme je dis l'article a besoin de travail. --Red Castle [Vous sonnâtes?] 7 mai 2008 à 20:36 (CEST)[répondre]

Par région limithrophe du Québec au Nouveau-Brunswick où on parle une variété du français québécois, on entend principalement le Madawaska. Eklir (d) 27 octobre 2008 à 23:38 (CET)[répondre]
C'est une exagération. De toute façon, les articles Brayons et Madawaska ont encore besoin de travail et d,une bonne dose de sourcage. --Red Castle [Vous sonnâtes?] 28 janvier 2009 à 02:23 (CET)[répondre]

Français Canadien[modifier le code]

Je suis un peu d'accord avec M. Lavoie que le Français Québecois est la langue la plus parlée au Canada, mais je suis aussi d'accord que dire que le Français Québecois est la même chose c'est incorrect. Le Français Québecois fait parti du Français Canadien, mais le Français Québecois n'est pas le Français Canadien. Un carré est un rectangle, mais dire qu'un rectangle est un carré n'est pas exact.--Série Red Wings / Canadiens? (d) 23 avril 2009 à 18:59 (CEST)[répondre]

Bonjour Mrboire (d · c · b), le « français du Canada » est un terme générique (umbrella term) qui réfère généralement au français québécois, compte tenu du fait que le français du Canada est régi par l'Office québécois de la langue française (OQLF), institution qui réglemente le français québécois. C'est comme le terme « français de France » que l'on utilise parfois pour désigner le français européen, bien que l'on sache qu'il y a un français belge et un français suisse, etc. Mais puisque le français d'Europe est régi par l'Académie française, on dit souvent que le français de France est le français d'Europe. Cordialement, Jimmy psst! le 23 avril 2009 à 17:51 (HAE)
L'OQLF ... justement Québecois, pas Canadien, Il ne régi pas le Français partout au Canada, mais seulement au Québec. Article en Anglais --Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 02:42 (CEST)[répondre]
L'OQLF régi le français québécois, règles s'appliquant au français global canadien. Les termes proposés par l'OQLF sont attestés partout au Canada : courriel, clavardage, pourriel, etc. Même chose pour les règles. Exemple : pas d'espace devant les !, ?, ; (contrairement à l'Europe qui met une espace devant la ponctuation haute). Ce n'est pas parce que vous voyez le mot « québécois » que ça se résume au Québec. Jimmy psst! le 23 avril 2009 à 20:59 (HAE)
L'OQLF régi seulement le Français au Québec. Les règles ne s'appliquent pas partout au Canada. Les lois Québecois ne s'appliquent seulement qu'au Québec. Cela ne veut pas dire que les gens a l'extérieur du Québec ne suivent pas ces réglements, mais ils ne sont pas oubligée. Souvent les Français hors le Québec adoptent les mots utilisées au Québec parcequ'ils les entendent, la majoritée des médias Francophone au Canada sont au Québec. Mais il faut vivre dans la réalitée et non a travers le lunettes dogmatiques Québecois. Un bon livre a lire: Le Français canadien parlé hors Québec By Raymond Mougeon, Édouard Beniak. --Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 03:09 (CEST)[répondre]
Hum? Quel est le rapport avec les lois québécoises hors-Québec? L'Office québécois de la langue française ne fait pas de lois sur le français, elle régit la langue comme l'Académie française le fait en Europe. Ça n'a rien de législatif. L'étendue du français québécois est partout au Canada, autant la langue que l'influence de l'OQLF. Les entreprises canadiennes offrant des versions francophones de leur site le font également selon les normes de l'OQLF. Jimmy psst! le 23 avril 2009 à 21:46 (HAE)

Justement, pourquoi rédiger un texte pour le Québec et un autre pour le reste du Canada, mais L'OQLF est une agence du gouvernement du Québec. Elle a été crée par le gouvernement Québecois, et elle a seulement autorité au Québec. Une agence de presse ailleurs qu'au Québec n'est pas obligée de suivre les récomendations de L'OQLF. Les lois du Québec s'appliquent seulement au Québec, comme les lois du Nouveau Brunswick s'appliquent seulement au Nouveau Brunswick. Il faut arrêter d'imposer les normes Québecois sur le reste du monde.--Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 04:16 (CEST)[répondre]

Non, mais vraiment, tu aurais intérêt à prendre des cours sur le Droit! Émoticône Bref, je souligne que ça vaut également pour le Québec. Ce n'est pas une LOI. L'Académie française a autorité sur le français de Suisse, de Belgique, etc., même si c'est une instance française. Bref, même une agence de presse québécoise n'est pas obligée de tenir compte des normes de l'OQLF (et elles n'iront pas en prison pour ça). Jimmy psst! le 23 avril 2009 à 22:58 (HAE)
Non, l'Académie française n'a pas autorité en Belgique, même si on considère qu'elle fait souvent autorité. Nuance... juridique justement ! Nous (les Belges) considérons que le français est notre langue aussi, qui nous appartient aussi, et que la France seule n'a pas à tout régenter en la matière. C'est ainsi, par exemple, que tout comme au Québec, il est juridiquement obligatoire dans l'administration, la législation etc... de féminiser les noms de fonction (si elles sont exercées par des femmes, évidemment, ' faut pas exagérer !)Roymail (d) 3 juin 2009 à 20:41 (CEST)[répondre]

C'est une agence gouvernementale, alors son autoritée s'étend seulement sur le territoire du gouvernement qui l'a crée. Si il n'était pas une agence du gouvernement il n'aurait pas d'autorité. voir : site de l'OQLF (site du gouvernement) Sinon qui suivrait ce qu'ils disent? --Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 05:10 (CEST)[répondre]

Je suis d'accord avec les arguments de Jimmy. Ce n'est pas une question d'autorité, mais de crédibilité et de référence. Tout comme le Hansard du Parlement fédéral est la référence de l'anglais canadien, l'OQLF est la référence du français partout au Canada, même si c'est un organisme du gouvernement du Québec étant donné sa crédibilité aux yeux des autres organisations tant publiques que privées. C'est la raison pourquoi les gens suivent ses recommendations. Les circonstances font que le gouvernement du Québec est le seul en Amérique du Nord à avoir l'expertise nécessaire pour conseiller en matière de langue française. Et la raison est justement là si on veut parler de « vivre dans la réalité » plutôt que d'avancer des opinions personnelles et de faire de la propagande haineuse sur des lunettes apparemment dogmatiques?????? C'est quoi ça ce commentaire déplacé? --Nicko (d) 24 avril 2009 à 05:28 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas une opionion personelle, c'est un fait. L'OQLF est une agence gouvernementale, et a l'autoritée d'imposer des amendes et de fermer des entreprises, MAIS, seulement au Québec. Son autoritée est seulement au Québec, et comme vous dites les gens suivent ses récomendations (mon argument depuis le début) mais elle n'a pas l'autoritée ailleurs qu'au Québec. Il faut arreter d'imposser une vue dogmatique envers les autres francophones. Vous dites que vous êtes d'accord avec les arguments de M. Lavoie mais vois citez ce que j'argumente?--Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 05:36 (CEST)[répondre]
Hahahaha. J'espère que c'est une farce que vous faites là. Laissez-moi rire. Vous changez carrément de sujet. Il n'y a aucune suite logique dans votre argumentaire en rapport avec le sujet de la discussion. Autre point : Est-ce que vous savez ce que veut dire « dogmatique » en français? Si oui, dans ce cas, vous sauriez que vous êtes en train d'insulter tout le Québec et pire, de faire de la propagande haineuse en affirmant que c'est un fait. --Nicko (d) 24 avril 2009 à 05:54 (CEST)[répondre]

Le Hansard? référence de l'Anglais Canadien? What? Quoi? Qué? Voir: Site du Hansard. Ce n'est pas du tout la référence de l'anglais canadien.--Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 05:43 (CEST)[répondre]

Oh! boy! Il faut tout expliquer... soupir. --Nicko (d) 24 avril 2009 à 05:54 (CEST)[répondre]

Caréement vous ne suivez pas la discussion depuis le début. C'est moi qui a comencée cette discussion, et la premiere réponse etait que L'OQFL régi la langue au Canada. Et ceci est incorrect. Le Français Canadien est le français Parlée au Canada, dont le Français Québecois en est la varitée la plus connue, et la plus nombreuse, mais le Français Québécois n'est pas le Français Canadien. Ensuite le discours a tournée (merci M. Lavoie) en ce qui est L'OQLF. Et vous même l'avez dites M. Nikko, une agence gouvernementale Québecois, qui n'a pas d'autoritée ailleurs qu'au Québec. Ce que je dit depuis le début. Et vous avez le droit d'aller voir pour vous même ce que veut dire dogmatique, Je suis Québecois, je suis Distinct, mais je ne suis pas Dogmatique.--Série Red Wings / Canadiens? (d) 24 avril 2009 à 06:09 (CEST)[répondre]

« Soupir » --Nicko (d) 24 avril 2009 à 06:14 (CEST)[répondre]

Mrboire (d · c · b) : Nous ne parlons pas ici de l'autorité légale (législative) de l'OQLF, nous parlons de son autorité linguistique. Il ne faut pas tout mélanger. L'autorité linguistique est respectée partout au Canada, alors que l'autorité légale n'est respectée qu'au Québec. Non, l'OQLF ne va pas fermer des entreprises canadiennes même si elles ne respectent pas la langue, mais du côté linguistique, c'est l'OQLF qui est la référence du français standard canadien. Je maintiens mon argument et cessez de laisser croire que je dérive volontairement la discussion. Jimmy psst! le 24 avril 2009 à 17:35 (HAE)

Jimmy Lavoie (d · c · b) dit : "le français du Canada est régi par l'Office québécois de la langue française (OQLF)"? Ce n'est pas vrai, elle ne régi pas a l'extérieur du Québec. Je suis (et a toujours été) d'accord que la majoritée des francophones au Canada acceptent les règlements de L'OFLF, mais il a des francophone au Canada qui ne les acceptent pas. Vous dites que L'OQLF n'est pas une agence gouvernementale, mais elle en est une. La seule raison qu'elle a une autoritée (soit linguistique ou légale) c'est du fait qu'elle est une agence gouvernementale. C'est le gouvernement Québecois qui l'a crée pour assurer de la qualitée de la langue. Le Français Québécois est une variété du Français Canadien, mais pas la seule. Le point original de la discussion.

OK. La discussion commence vraiment à être redondante. Vous semblez essayer de prendre en défaut avec vos « vous dites » et « il dit ». Vos interprétations sur ce qui a été dit vous ridiculise. Si vous ne comprenez pas le sens des arguments, dans ce cas, je vous conseille d'apprendre le français, car tout ce qui peut être dit sur le sujet a été dit. Le reste de la discussion n'est qu'un jeu de mots et la fait carrément tourner en rond. Par la volonté d'avoir absolument raison, en psychologie, cela s'appelle de la manipulation. Si je peux vous donner un conseil, Jimmy, vous devriez cesser d'argumenter, car vous perdez votre temps avec ce genre d'individu. Il ne semble pas vouloir décrocher. --Nicko (d) 25 avril 2009 à 02:00 (CEST)[répondre]

"Carrément" votre vue est dogmatique. (et non je n'ai pas besoin d'apprendre le français, je n'ai pas besoin de cours de droit, je n'interprète rien, je fait que préciser ce qui est réel).

Herméneutique[modifier le code]

J'ai pensé qu'il serait intéressant de parler de l'herméneutique du français québécois dont les caractéristiques furent déjà avancées par certains observateurs, provenant autant du Québec que de groupes culturels de la Francophonie mondiale. Le fait est que le français québécois serait beaucoup moins rigide ou « froid » et plus flexible dans son interprétation que le français d'autres pays. L'expression verbale de la pensée se ferait beaucoup plus entendre par la création d'images, de sous-entendus, et de figures de style de toute sorte et donc, les locuteurs s'accrocheraient moins strictement au sens littéral, à la définition exacte, des mots. Ce qui pourrait être une cause d'incompréhension chez certains locuteurs étrangers par rapport au message réel véhiculé. La présence d'un style littéraire pouvant s'apparenter à celui du philosophe romain Tacite ferait en sorte que le français québécois se démarquerait par son originalité dans la sémantique, la syntaxe et le pragmatisme de ses proses dans tous les registres de la langue.

J'ai déjà entendu certains parler d'une certaine forme d'intelligence peu commune, mais malheureusement en ce moment, je n'ai pas de sources spécifiques à indiquer, mais si quelqu'un en a, je crois que ça pourrait être un sujet intéressant à développer. --Nicko (d) 2 mars 2009 à 22:48 (CET)[répondre]

Je ne pense pas que le québécois soit moins « froid » ou plus flexible dans son interprétation. Une langue est une langue. Mais si vous trouvez des sources crédibles, revenez-nous.

L'Université Laval[modifier le code]

L'Université Laval, se nomme ainsi, elle ne fait pas partie du system des Universités de Québec, comme l'Uqam etc... Selon moi, il n'est pas nécessaire de spécifier que l'Universitée est au Québec, ni dans la ville de Québec. Il a un article au complet sur l'université si on a besoin de plus de renseignement.:>--Sean Desjardins (d) 12 mars 2009 à 02:50 (CET)[répondre]

Bonjour. J’indique, pour un lecteur étranger, la ville où est située l’Université Laval. Vous confondez, peut-être, de Québec et du Québec? On peut dire aussi « ... de l’Université Laval à Québec...». Cordialement.--Gilbertus [Placote] 12 mars 2009 à 16:27 (CET)[répondre]

Appellation[modifier le code]

J'ai effectué un changement dans la section des filles du roy, remplacé "Canada" par "Nouvelle-France" puisque c'est bien comme ça que la colonie s'appelait à l'époque. Devrait-on faire de même pour la phrase "le Québec était alors peuplé de moins de 70 000 habitants" ? Est-ce que la référence parle du nombre d'habitants sur le territoire actuel du Québec ou bien de la Nouvelle-France au complet (à l'époque plus grande que le seul territoire du Québec) ?

Vous avez oublié de signer votre question. Le Canada était l'une des colonies de la Nouvelle-France et correspondait à la vallée du St-Laurent, de Gaspé à Détroit. C'était la colonie la plus peuplée. Elle s'est appelée comme ça durant tout le régime français et durant le premier siècle du régime anglais jusqu'en 1867 (surtout de 1791 à 1867). Matju2 (d) 2 janvier 2013 à 07:59 (CET)[répondre]

Faits linguistiques[modifier le code]

Vouvoiment[modifier le code]

J'ai retiré la section sur le vouvoiment. Il est totalement faux que le tutoiment est entièrement accepté et concideré comme normal au québecois. Les gens travaillant dans le public qui tutoient les clients sont particulièrement mal vue en général. Mais qui a donc écrit cete article, on dirait quelqun qui n'est jamais venue au Québec. 206.167.154.7 (d)

Je vis au Québec et je suis même un Québécois pure laine. Je peux t’assurer que c’est très fréquent de tutoyer les clients, peu importe leur âge. Laisse simplement le modèle «référence nécessaire». Cordialement, Jimmy psst! le 2 octobre 2008 à 20:21 (HAE)

Je maintiens le retrait. Il s'agit d'un sujet trop peu certain pour faire partit d'un encyclopedie. Il doit s'agir de l'assemblage du savoir et non de simple faits vécus par une seule personne. Personellement Je suis aussi du québec et dans mon coin de pays le serveur qui tutoira le client sera très mal vue. J'imagine que ce que tu as vécu est plus valide que ce qu'un autre a vecu ?.... 96.20.219.8 (d)

Idem pour ton expérience. Cela peut être différent dans chaque région. Développe le paragraphe avec des sources, ou ajoute même des sources, mais ne retire pas de l’information utile et pouvant être sourcée. Jimmy psst! le 3 octobre 2008 à 18:28 (HAE)
Le recul du vouvoiement dans le français québécois est bien documenté. Il ne s'agit pas de peser ici le pour et contre de cet usage mais de sourcer l'information. J'ajouterai les références à la fin du paragraphe concerné. Eklir (d) 6 octobre 2008 à 07:56 (CEST)[répondre]
Peut-être que l'article exagérait le phénomène du tutoiement. Ce n'est pas une raison valable pour retirer la section au complet. Évitons les réactions émotives irréfléchies. Si c'est mal documenté, on documente. Si c'est mal écrit, on réécrit. -- Mathieugp (d) 6 octobre 2008 à 14:56 (CEST)[répondre]

Je pense que ça dépends aussi de quel genre de commerce ou service qui est offert, (en regards des commentaires plus haut de clients), dans un resto "familiale" c'est certainement acceptée de tutoyer, mais si on vas dans un restaurant plus "haute-classe" c'est pas acceptable. Au garage (ou chez le méchanicien) c'est le tutoyement, mais les professions plus "distngués" (cols blancs) comme dans le domaine de la médcine, les assurances, service financiers (non, pas le caissier a la banque, mais les comptables etc.), les avocats, il a un ton plus professionel et c'est moins acceptable de tutoyer, cela ne veut pas dire que un client bien établis/connu ne sera pas tutoyé, mais la tendance vers une plus grande "politesse" existe. Je me souviens d'avoir vue une recherche qui a démontré que c'est le statut social qui dicte d'une façon si on tutoie ou pas. Ils on aussi ajouté que avant les +ou- 30 dernières années il avait plus de "cols bleus" que "cols blanc" au Québec et c'est plus commun chez les cols bleus de tutoyer. Depuis les 30/40 années le taux d'éducation supérieur est plus élevée et on retrouve des gens qui passent de milieus cols bleus a des milieus cols blancs, mais qui continuent d'utiliser les normes de communications apprises dans les milieus cols bleus. --Vivre et laisser vivre! (d) 24 mai 2009 à 18:59 (CEST)[répondre]

Je suis venu ici pour demander une question et J'ai oublié de la poser après ce long commentaire! Je sais que dans mon coin dans l'école publique on a vait l'habitute d'appeler les profs par leurs prénoms, ce qui n'est pas la norme ailleurs, et que l'usage de prénoms envers les adultes en géneral était plus courrant (pas 100% mais élevée) avec les parents des amis, d'autres adultes, et même entre les adultes. Est-ce qu'on retrouve ça pas mal partout au Québec? Et si oui, je crois que ça fait parti du même phénomène "tutoiement", comment l'ajouter ou l'expliquer? Merci pour l'aide--Vivre et laisser vivre! (d) 24 mai 2009 à 19:12 (CEST)[répondre]
C'était généralisé, mais dans ma région, on « oblige » maintenant les élèves à vouvoyer leurs enseignants et leurs enseignantes en guise de respect, du moins au secondaire. Toutefois, certains continuent de les tutoyer (selon l'âge de l'enseignant(e)), mais la règle veut qu'on les vouvoie, qu'il ou elle ait 20 ans ou 45 ans. Ceci dit, je ne sais pas si cette règle vient du ministère de l'Éducation ou de la commission scolaire locale. Cordialement, Jimmy psst! le 24 mai 2009 à 14:00 (HAE)
C'est justement, je ne sais pas ce qui se passe au présent dans les écoles du coin que j'ai grandit, mais je peut en faire la demande. Mais aux années 80 (Oui j'ai graduée du secondaire en 90) la norme était celle dont j'ai mentionée, même au primaire qui m'a surpris ayant fréquenté une école privée pour les deux premières années. C'est avant la réforme éducative quand les commissions scolaires étaient catholiques ou protestante. --Vivre et laisser vivre! (d) 24 mai 2009 à 20:28 (CEST)[répondre]

"Cela provient directement de l'anglais où le « you », à la fois singulier et pluriel ainsi que familier et formel, a supplanté l'ancien « thou »."

En fait, il est totalement faux de prétendre que l'utilisation fréquente du "tu" provient d'une certaine promiscuité entre les Québécois et les Canadiens-anglais. Le "tu" n'est abondamment utilisé que depuis la génération issue de la Révolution Tranquille. Les Québécois du début du XXe siècle utilisaient fréquemment le "vous" avec des étrangers. Par contre, les changements survenus lors de la Révolution Tranquille ont eut pour effet, entre autre, de briser certains liens "hiérarchiques" qui firent en sorte que maintenant la plupart des jeunes québécois utilisent toujours (ou presque) le "tu". S'il est vrai que plusieurs originalités du français parlé au Québec provient de l'anglais, il ne faudrait pas tout relier à la présence anglophone sinon comment expliquer l'utilisation du "tu" sur la Côte-Nord où les gens qui y vivent ne sont pas, en vaste majorité, bilingue et qu'ils n'ont peut-être jamais rencontré un anglophone en personne de leur vie?

-Martin

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C'est le "tu" de la complicité et de la sociabilité des immigrants du nouveau monde, à un moment ou à un autre de leur histoire, dans une familiarité facile et rapide, loin de la hiérarchie sociale rigide d'où ils s'enfuyaient. Voir cette familiarité et cette sociabilité en sociologie des Amériques. C'est presque "Les copains d'abord" de tonton Georges, de l'Alaska à la "Tierra de Fuego". En Amérique hispanique, le "Amigo" familier se rencontre plus souvent que le "Caballero" pompeux.

Takima 12 avril 2006 à 21:45 (CEST)[répondre]

Comme dit l'utilisateur Takima, il ne faut pas croire tout qu'on entend. En Anglais la 2e personne du singulier n'est pas you, mais thou/thine, You était la forme du pluriel et de politesse. La majorité des Anglophones n'utilisent pas la forme "personelle", mais il existe encore de nos jours certaines communautés qui continuent a parler "correctement".

Le thou, thee et thine ont une connotation plutôt littéraire, théâtrale et « pêteux de broue » dans l'usage de la grande majorité. Dans l'usage « correct », le You n'est pas automatiquement un signe de politesse. Celle-ci se joue beaucoup sur l'emploi et le temps des verbes ainsi que sur la syntaxe. Par exemple, à l'oral, on ne dira pas Do you wanna come along?, mais plutôt Do you want to come along?, ou lorsqu'un conseil est donné à quelqu'un dans la façon de faire quelque chose : You have to do this... a une connotation très contraignante contrairement à You might want to do this.... D'ailleurs, il existe une réponse assez claire de sens lorsque quelqu'un demande permission, par exemple, de faire quelque chose : Can I do this? a une connotation très familière dans ce contexte et alors, l'interlocuteur qui souhaite rétablir l'ordre répondrait : Sure you can, but you may not. --Nicko (d) 27 janvier 2010 à 06:50 (CET)[répondre]
Le thou etc.. sont de nos jours seulment utilsée par la majoritée des Anglophones dans le sens que "Nicko" nous parle, oui cela est vrai, mais ceci n'as pas toujours été le cas. Faites un peu plus de recherches avant de répondre car vous trouverez des multitudes de sources qui démontre l'usage. D'ailleurs il existe encore des cultures en Grande-Bretagne, aux Étas-Unis d'Amérique qui utilisent thou/thine, thee. Savoir parler une langue n'est pas la même chose que connaitre la langue et son histoire. Quelques réferences que vous pouvez lire: http://www.randomhouse.com/wotd/index.pperl?date=20000208 http://www.nytimes.com/2005/11/25/opinion/25iht-edwheat.html?_r=1 http://german.about.com/od/grammar/a/Siedu.htm http://www.englishclub.com/grammar/pronouns-personal.htm http://alt-usage-english.org/pronoun_paradigms.html et meme l'article sur wikipedia anglais le demontre: http://en.wikipedia.org/wiki/Thou
Je n'en doute pas. D'ailleurs, dans la première phrase de mon commentaire, j'ai écrit « dans l'usage de la plus grande majorité ». Le seul usage qui en est fait pour ce groupe est dans les textes légaux, littéraires, protocolaires et religieux, et ce, même avec une conjugaison du verbe shall (ex.: « Thou shalt not kill »). Voir aussi l'hymne canadien : (...) love in all thy sons command (...) we see thee rise (...) Et d'ailleurs, dans la référence du New York Times, le commentateur affirme lui-même que le parler britannique est snobinard, ce que je disais : pêteux de broue. Même le dictionnaire Webster, utilisé par l'agence de presse Associated Press, classifie cet usage d'archaïque. Et bien sûr, comme dans toute langue, l'anglais américain a sa multitude d'idiosyncrasies. --Nicko (d) 27 janvier 2010 à 22:53 (CET)[répondre]
Non, mais
  1. Tu n'as pas l'aire de comprendre que l'anglais, que soit en Amérique du nord, en Europe, en Australie, en la Grande Bretagne ou n'importe ou il est parlée n'est pas la même langue que il y a 20ans, 100ans, 200ans etc... La langue évolue et "Thou/Thine","Thee" et "Thy" sont les pronoms de deuxième personne singulier , qu'ils soient utilisées par la poplulation en generale ou non, et que "You", "Ye" et "Yours" sont les pronoms de deuxième personne pluriel .
  2. "Thou/Thine", "Thee" et "Thy" ne s'utilisent pas seulment avec le verbe shall comme vous présentez, mais seconjugent avec tous les verbes dans la langue anglaise. prennez l'expression qui est encore utilisée "Where art thou?", art est la conjugaison de be.
  3. Jamais qu'il a été dit que Thou/Thine, Thee, Thy sont des particuliaritées ou "idiosyncrasies" de l'anglais américain.
  4. Il existe des groupes de personnes encore aujourd'hui qui utilisent correctement Thou/Thine, Thee et Thy partout au monde, chez les Anglais, les Américains et ailleurs au monde. en "Thou/thee had disappeared from standard English by the 18th century but survives in certain British dialects, and in poetry and liturgy. Quakers still use these pronouns, considering all human beings equal before God, though they often use thee in subject position."
  5. Dans l'article de Times, le commentataeur n'as pas dit que le parleur britanique est snobard, mais que l'historien Marxist Christopher Hill impliquait que le parleur britanique est snobard.
  6. A la fin de ce même article le commentateur dit dans son dernier paragraphe que la perte du "thou" dans la langue (anglais) sera pour le meilleur.
  7. Les anglais au lieu d'être familier avec tout le monde, comme l'article de Random House explique, ont comencé a utiliser la forme polie de you dans tous les situations.
On ne peut pas dire que l'évolution de l'usage du pronom tu dans le Français Québécois calque l'Anglais quand le contraire est démontré. Est-ce que c'est encore un example de un petit groupe d'individus qui ont une connaissance limitée sur un sujet étranger et qui complètent les informations inconnues avec leur propres expériences? Ou encore est-ce un example de ceux qui ne veulent pas que la vérité soit présentée pour sauvegarder une position de supériorité en gardant les informations dans l'obscurité?
De la page: Wikipédia:Sources primaires et secondaires:
  1. Les articles de Wikipédia sont habituellement sourcés par des sources secondaires.
  2. Les documents ci-dessous sont des exemples de sources secondaires...: ...des livres, biographies, dictionnaires et encyclopédies spécialisées ..., est-ce que Jimmy va changer la page en question de wikipédia pour justifier son commentaire :Et les liens sont des dictionnaires...)) . J'ai essayé de donner assez de sources diverses pour démontrer l'usgae historique et l'évolution de Thou/Thine, Thee et Thy qui ont été remplacé en anglais par le You, Ye et Your, les pronoms de deuxième personne pluriel, utilisé comme le vous en français.

Trop, c'est comme pas assez. L'abus de référence prouve que tes références ne sont pas convaincantes de ce que tu dis. Comment peux-tu dire que cet usage est encore « correct », alors qu'il est qualifié d'archaïque? Et comment peux-tu dire que l'usage de « tu » est un faux calque, alors que tes références indiquent que l'usage de « you » s'est imposé dès le 16e siècle, période où l'anglais n'avait encore aucune influence dans le monde et où la Nouvelle-France naissait? Selon tes propres références, les colons français ont, dès la Conquête, toujours été influencé par l'usage de « you » en tant que deuxième personne du singulier. Et en quoi ce tu écris toi-même est meilleur que ce que les autres écrivent, alors que tes propres références disent : Do not believe most of what you read on the Internet. People write things as if they were experts and a lot more people believe them.? --Nicko (d) 29 janvier 2010 à 03:39 (CET)[répondre]

Oui trop c'est trop. Tu ne lis vraiment pas toi, Je n'ai jamais dit que cet usage est encore utilisé par la majorité, j'ai dit que l'évolution en anglais a utiliser un seul pronom au deuxième personne soit singulier ou pluriel n'est pas le même qu'en français québécois. Mais l'usage est quand même correct, car il a encore certains anglophones dans certaines régions du monde entier qui on continué a l'utiliser, même comme tu dit, entre autre les textes religieux l'utilisent encore de nos jours. Et c'est au 18ieme et 19ieme siècles que l'usage de "thou" a disparu de l'anglais "global". Ce n'est pas au 16ieme siècle que les descendants de "la nouvelle france" ont comencé a laisser tomber le "vous" de leur language, mais seulement vers le milieu et la fin du 20ième siècle. Oui l'anglais de la majorité utilise seulment un pronom pour la deuxieme personne singulier et pluriel, mais pas l'équvalent du "tu" en français, mais le "vous". Le fait que je peut trouver de miliers de sources indépendants et fiables qui appuient le fait que en anglais il existe, qu'il soit utilisé par la majorité de gens ou non, un pronom de deuxième personne singulier montre que ce n'est pas seulment des non-experts qui le disent. Ce ne sont pas des sources de blogues ou de site d'internets personnelles que j'ai utilisée comme réferences. Allez voir vous même dans un département d'études de l'anglais d'une université et vous trouverez la même chose: l'évolution de la langue parlée en Anglais a utiliser seulment un pronom, celui du pluriel, celui de la politesse, celui de respect, et non celui du familier, demontre que l'évolution du phénomène en Français, avec "tu" peut apparitre come calque, mais il n'est pas. De toute façon je ne suis pas le premier a essayer a montrer aux trois jeunes "pêteux de broue" du saguenay, qui monopolisent et censurent cet article sans avoir les connaissances requises, que la phrase "Les francophones du Québec utilisent le pronom de la deuxième personne « tu » de façon fréquente comme calque de l'usage anglais de « you » étant là le seul pronom adressé à la 2e personne." est fausse. L'évolution de l'usage des pronoms du deuxième personne dans ces deux langues ne sont pas semblables, ne sont pas des calques, mais complètement differents. Si cet affirmation de calque reste, cela sera une autre raison qu'on pourra donner pour abaisser la confiance déja peu élevée qu'on les gens a se fier a Wikipédia.

Particule tu[modifier le code]

Existe aussi dans des français populaires ou régionaux (picard [4]...). Mais s'écrit plutôt "(t-)y" ou "(t-)il".

C'est-y loin ?
ça va-t-y comme tu veux ?
j'avais-ti pas bon ?

Au québec aussi le Y interrogatif est utilisé dans quelques régions, comme la gaspésie

````Au Québec on n'utilise jamis la particule -tu quand on veut etre moins familier. On remplace le -tu par -vous: Y-allez-vous? C'est incorrect d'assumer que "vous-y allez-tu?" serait correct quand le -tu est de la deuxième personne singulier, et on ne mélange pas les deux personnes. En plus de 25 ans a vivre et parler le Français Québecois J'ai seulement rencontrée cette façon de parlez avec des gens qui ne sont pas Québecois.

La particule « -tu » n'a rien à voir avec les pronoms personnels. C'est au même titre que le « do » en anglais. Le « -tu » est simplement utilisé pour désigner une question et non pas le pronom en tant que tel. Je suis Québécois et je n'ai jamais entendu à l'oral « Y allez-vous »? Oui, peut-être lorsque cette personne parle avec un étranger ou dans un niveau professionnel, mais dans l'article, on parle du fait que le « -tu » est propre au français québécois. Lorsqu'on parle à plusieurs personnes, j'ai toujours entendu : « Vous y allez-tu ou pas? » ou lorsqu'un jeune parle à un professeur, par exemple : « Madame, vous pouvez-tu me donner ma feuille? ». La forme : « Y allez-vous » fait partie de la forme générale utilisée partout en francophonie, elle n'est pas seulement utilisée au Québec. Cordialement, Jimmy psst! le 21 février 2009 à 12:41 (HNE)

J'aimerais savoir quelle partie du Québec vous habitéz par ce que dans la region de Montréal et les Laurentides, que j'ai vécu pendand plus de 25ans de ma vie on ne parle pas de cette façon avec le vous et -tu. Peut-etre que parmis vos amis vous dittes des choses comme cela mais la pouplation en general ne parle pas comme ça. Vos examples, Jimmy, sont souvent dites par des anglophones qui essaient de parlez le Français Québecois et ne comprennent pas comment. On dit "Vous y allez-vous ou pas?", mais jamais avec la particule -tu. Et je ne connais pas votre comparaison avec le "do"en anglais. Pouvez vous me donnez des examples?

Au contraire, dans mon coin de pays, il n'y a pas d'anglophones (contrairement à Montréal); je doute donc que ce soit à cause des anglophones que l'on utilise « -tu » même avec le « vous » (d'ailleurs, Montréal n'est pas le Québec. On ne se limite pas au français montréalais, mais on parle bien du français québécois). Deuxièmement, la forme neutre est utilisée partout en francophonie (« Y allez-vous? »), mais dans l'article, on parle explicitement du français québécois. La comparaison avec le « do » anglophone est simplement pour dire que la particule « -tu » est une particule (et non pas un pronom personnel) interrogative comme le « do » est une particule indiquant que c'est une question. Jimmy psst! le 21 février 2009 à 18:11 (HNE)

Je ne comprends pas votre comparaison avec ce "do" en anglais. Je suis anglophone aussi et j'aimerais que tu me donne des examples. Et non on n'utilise jamais "vous y-allez-tu?" ça ne se dit pas au Québec, sauf par des anglophones qui ne comprennent pas. On dit parfois On y vas-tu? quand on parle en groupe de personnes avec qui on tutoie. Mrboire (d) 22 février 2009 à 02:45 (CET)[répondre]

Je suis Québécois depuis que je suis jeune. Vous n'avez peut-être jamais entendu ça à Montréal, à travers les autres anglophones, mais ça se dit au Québec. Tu veux des exemples avec la comparaison du « do »? En voilà :
  • Do you want some water? → Tu veux-tu de l'eau? (La particule -tu ne se conjugue pas, puisque c'est une particule et non un pronom!)

La comparaison que je fais depuis le début, c'est que « do » est utilisé pour indiquer une question, au même titre que le « -tu » en français québécois. Jimmy psst! le 21 février 2009 à 22:56 (HNE)

Et si on pousse un peu, on pourrait même dire : « Voulez-tu ben arrêter? » parce que ça se dit également dans des régions au Québec. Jimmy psst! le 21 février 2009 à 22:58 (HNE)

Quelles regions du Québec est-ce que l'on utilise un -tu a la fin d'une question posée a la deuxième personne plurielle? C'est totallement incorrect. Demandes a n'importe quelle personne semi-eduquée. Ça ne se dit jamais de cette façon.

Dans ton example le mot Do en anglais est un verbe, on appele ça en anglais "Helping verb" (Do want). On l'utilise pas seulement dans les questions mais aussi dans des phrases declaratives comme "I do know how to do this." ou bien "She does get around.". Ne mélange pas des pommes avec des oranges (Oui ça c'est une expression Anglophone). Ton example en Français Québecois serais: Veut-tu de l'eau? Voulez-vous de l'eau? et non de repeter le tu en avant, et jamais de metre -tu avec un question posée avec Vous comme sujet.

La particule -tu en effet c'est seulement la contraction parlée de t-il en ecrit. Example: Y en a-t-il d’autres? deviens Y en a-tu d'autres?

Avant de contribuer a wikipedia Anglais j'aimerais que vous vous renseignez un peu plus de la langue et de l'utiliser en converstation.

Le Français parlée dans la région de Montreal fait partie de la langue Québecoise. SVP ne pas défaire avant d'avoir des sources verifiables pour contredire. --Mrboire (d) 22 février 2009 à 06:44 (CET)[répondre]

La version déjà présente explique très bien que Montréal utiliserait un autre système. De plus, dans mon exemple, c'est pour démontrer que le « Do » n'est pas seulement utilisé comme particule interrogative, mais que dans ce contexte, il confirme que c'est une question (comme le « -tu » du français québécois). Le français international, lui, n'a pas ce genre de particule (c'est ça que je veux te faire comprendre). Je répète que cet article est dédié au français québécois, ainsi qu'à ses expressions. Ce n'est pas plus correct de dire « Tu veux-tu de l'eau? » que « Vous voulez-tu de l'eau? », alors ne donne pas comme argument que c'est « totalement incorrect » de dire « Vous voulez-tu... » Comme tu l'as dit, tu es anglophone. Ça me surprendrais que tu connaisses déjà toutes les règles du français québécois (qui n'est pas une langue en soit, mais qui a des règles déterminées par l'usage). Si tu veux contribuer dans le sens de « Veux-tu de l'eau? », « Voulez-vous venir? », alors rendez-vous dans l'article français qui traite du français international et qui utilise officiellement cette règle. Sur français québécois, on parle des spécificités du dialecte québécois. Merci de ne plus modifier dans ce sens. P.S. Oui, Montréal fait partie du français québécois, mais il n'a pas le monopole. Il est très bien expliqué qu'à Montréal, ce serait différent des autres régions. Jimmy psst! le 22 février 2009 à 01:44 (HNE)

Jimmy je vois que vous répetez des choses plusiers fois, mais sans écoutez à l'autre côté. Les contributions que j'ai fait ne sont pas des vandalismes. Le Français Québecois n'est pas le joual, et votre expression "Vous voulez-tu"ressemble plus au joual que au Français Québecois. J'ai fait toutes mes études élémentaires et secondaires au Québec, dans une école francophone. Je suis Bilingue (même trilingue si on ajoute que l'Anglais canadien est different de l'Anglais americain, ou que le "franglais" est utilisée). Quel sont vos sources? Si on se fit a votre argument que le français Montréalais ne devrais pas être dans cet article, alors votre français regional ne devrait pas non plus. Vous êtes la seule personne a part de moi même date qui contribue a cette discussion, avant de defaire des précisions que vous pensez incorrecte, SVP vérifier et citez vos sources. Mais surtout n'accuser pas une personne de vandaliser quand ce n'est pas le cas. Vous vous presentez comme un Québecois de souche, alors pourquoi vous n'avez pas de tolerence pour les opinions des autres? --Mrboire (d) 22 février 2009 à 11:37 (CET)[répondre]

C'est drôle, parce que vous dites que je ne veux pas que le français montréalais figure dans cet article. Si vous regardez bien ce que j'ai écris : je ne veux pas que le français montréalais efface toutes les autres variétés régionales, car le français de Montréal n'est pas à lui seul le français québécois. Dans la version déjà présente, on y présente la forme utilisée ailleurs au Québec, en plus de la forme utilisée à Montréal. Si vous retirez des informations pertinentes comme celles-là avec entêtement, oui c'est du vandalisme. Prenez la version actuelle et ajoutez des informations dans la section qui parle de Montréal. (Je suis tolérant, mais j'aime bien quand tout le Québec est représenté et non pas juste une région particulière. Je ne veux pas qu'on en vienne à faire comme la France et de dire que Paris (Montréal) est la France (Québec) et que le reste demeure en provinces (régions). Il ne faut pas tout centraliser sur une ville qui ne représente pas totalement le Québec, puisqu'il y a justement une forte concentration anglophone.) Merci, Jimmy psst! le 22 février 2009 à 11:59 (HNE)
Mrboire, franchement... ne commencez pas à traiter M. Jimmy d'un "Québécois de souche" et intolérant. Les attaques personnelles ne vous aideront pas du tout à soutenir vos arguments. Veuillez bien vous rappeler que ce n'est pas un forum à propos de votre vie et vos expériences. On ne s'inquiète que des contributions à cet article. Rien d'autre. À moins que vous fournissiez des sources pour soutenir vos arguments, veuillez ne pas modifier ni renverser constamment les contenus de l'article sans faire une consultation nécessaire avec les contributeurs du Wikipédia. Merci. Pieuve (d) 23 février 2009 à 06:59 (CET)[répondre]

Je ne traite pas M. Jimmy d'un "Québecois de souche", c'est lui même qui s'appele comme ça. Accuser de vandalisme quand on est pas d'accord avec une contibution est de l'intolerance. Je veux tout simplement corriger l'article pour qu'il soit précis. Si on parle du Français Québecois, alors on doit inclure ce qui est Québecois. L'article presque au complet est écrit sans fournir sources, et sont seulement des opinions, ou bien expériences personneles des auteurs/autrices. Beaucoup de sources fournis dans cet article sont trop vieux pour être considérée vue que la langue a changée depuis. L'argument que le Français Montréalais ne devrait pas éffacer toutes les autres variétés régionales devrait aussi s'appliquer aux autres variétés de Français qui se trouvent au Québec. Ce qui se parle dans le coin de M. Lavoie n'est pas necessairement representatif du Québec entier non plus. On ne peut pas faire un comparaison avec une autre langue sans avoir une connaissance des deux langues. Il y a une difference entre le joual et le Français Québecois aussi, et cet article n'est pas la place pour le joual. Ni la place pour les anglicismes. Je ne connais pas les qualifications de langues de M. Lavoie, est-il un expert en Français Québecois? As-t-il un Bac en Français Québecois? Ou bien est-ce que c'est seulement de ses experiences avec la langue? Mon experience avec la langue Française au Québec n'est pas limitée a Montréal, j'ai grandi dans les Laurentides, dans un village Francophone, comme un Québecois. Ce que j'essaie de dire depuis le début c'est que en forme Professionelle ou Plurielle ou moins familier (choissisez le quel), autrement dit en vouvoiement, on n'utilise pas aussi souvent la particile -tu. Le tutoiement est plus courrant au Québec qu'il devrait, mais le vouvoiement n'est pas disparu. Il a des examples dans cet article qui démontrent le -tu, quand ils devraient utiliser le -vous. Pas une fois que j'ai pu trouver une réfence linguistique Québecoise utilisant le prénom vous comme sujet avec -tu en forme de question. voire : http://www.tlfq.ulaval.ca/fichier/resultats.asp?mode=citations&page=1&init=true&affiche_entree=True&no_entree=120478&tri=entree&liste=true les quelques utilisations avec vous ne sont pas le sujet. Je vous attend-tu? (J'attends tu pour vous?) C'est pas le vous qui est sujet dans cette phrase. --Mrboire (d) 23 février 2009 à 18:26 (CET)[répondre]

Oui, mais de toutes façons, même si à Montréal vous n'utilisez pas le « Vous... -tu », l'article est correct comme il est. Il présente les deux utilisations et est donc beaucoup plus neutre que votre version qui veut seulement montrer la variété de Montréal. Vous pouvez ajouter des informations où on parle de Montréal, sans enlever les informations déjà présentes, afin d'améliorer l'article. Merci. Cordialement, Jimmy psst! le 23 février 2009 à 16:41 (HNE)

Comme ça les preuves c'est pas assez pour vous. Il n'a aucune vérification autre que votre mot? Le Vous -tu ne s'utilise pas au Québec. "Oui, mais te toutes façons.... ", ce n'est pas un verification des faits. Cet article n'est pas un article concernant le joual, Ni un article concernant la façon de parler français des anglophones, c'est concernant le Français Québecois. En français Québecois quand on parle en termes de voucoiment, on ne utilise pas le -tu en forme de question. Vous allez me dire que près de 50% de la population (La Région du Grand Montréal) ne parlent pas Français Québecois. Mais votre idée du Français Québecois est meilleure? Je suis d'accord avec l'into de l'article que le -tu est une "contraction" du t-il, mais il n'est pas utilisée quand on parle en 2ieme personne pluriel.--Mrboire (d) 24 février 2009 à 01:19 (CET)[répondre]

Non, mais je peux savoir où vous allez chercher tous ces pourparlers?
  1. « Le Vous -tu ne s'utilise pas au Québec ». Alors, dans ce cas, je demeure où? En France, en Italie?
  2. « Cet article n'est pas un article concernant le joual ». Le français québécois parlé est à 90% du « joual ». Si vous ne voulez pas qu'on parle du « joual » dans cet article (qui est utilisé par la majorité des Québécois et qui a donc lieu d'être présent dans l'article), on devra également retiré toutes les phrases du « Tu -tu ».
  3. « Ni un article concernant la façon de parler français des anglophones ». J'ai vraiment l'air d'un anglophone? Il n'y a pas un seul anglophone par chez-nous, donc merci de respecter les autres régions. Montréal est tellement rendu anglicisée qu'elle croit que ce sont les autres régions qui parlent anglais. Eh ben!
  4. « Vous allez me dire que près de 50% de la population (La Région du Grand Montréal) ne parlent pas Français Québecois ». Vous avez des dons de voyance? Je n'ai jamais dit ça et je ne dirai jamais ça. Tous les Québécois parlent le français québécois. Et c'est un peu exagéré de dire que 50 % du Québec est Montréal.
Non, je n'ai pas de maîtrise universitaire en français québécois, mais je l'étudie de très près et je m'y connais. Le français québécois inclut plusieurs variétés régionales qui sont tout aussi québécoises que la variété montréalaise. Cessez de croire que tout ce qui est en dehors de Montréal est anglophone, car vous saurez que Montréal est beaucoup plus mal vu de ce côté là. Respectez les variétés du français québécois et cessez de vous croire savant de la langue (une langue qui n'existe pas officiellement, soit dit en passant, et qui n'a donc pas de règles écrites). Vous n'avez jamais utilisé « Vous -tu » à Montréal? Eh ben... On va vous laisser le bénéfice du doute, mais ne venez pas nous dire ce que les autres régions ne disent pas quand vous ne les avez même pas visitées. Jimmy psst! le 23 février 2009 à 20:22 (HNE)

Mr Lavoie, vous ne savez pas quelles régions que j'ai visité ou pas, alors vous ne pouvez pas faire une géneralisation comme ça. Le Grand Montréal est près de 4 millions d'habitants, le Québec contient moins de 8 millions de personnes, alors c'est a peu près de la moitiée de la population. Je ne sais pas ou est chez-vous, alors je ne peut pas comparer. Le joual n'est pas le Français Québecois, Le joual est la forme la plus basse de parler. Pour utiliser votre compatraison correcte avec l'Anglais c'est comme "L'Ebonics", c'est un sociolecte de la region urbaine de Montréal (selon Wikipedia). Alors vous arguez que le Français Québecois c'est le joual, mais pas le Français Montréalais? Je vous a montré que le "vous -tu?" n'apparait pas en usage Français Québecois, mais vous continuez a insister que c'est utilisée dans votre coin de la province. Vous me dites de ne pas géneraliser le Français parlé par presque la moitiée de la population, mais vous géneralizer le Québec avec vos experiences dans votre coin. Mais ou est donc ce coin? Je n'ai jamais dit que ce qui est a l'exterieur de Montréal est Anglophone. Si dans votre coin de la Province vous uitlizes le "vous -tu?" c'est quand même pas acceptable dans la langue Québecoise. Mais ce n'est pas utilisée en Français Québecois, en joual oui. En termes linguistiques Le joual est la variété du français la plus éloignée de sa variété de prestige. Allez vous re-écrire toute la litérature pour convaincre que le joual est une norme acceptable? C'est de valeur pour Wikipedia et les gens qui utilisent Wikipedia.

Attention :

Cessez de défaire des modifications correctes. Les modifications que vous aviez remises étaient PdV (non neutres) et ceci est considéré comme du vandalisme lorsqu'on ajoute des informations non neutres avec consentement. Que ce soit correct ou pas, « vous -tu » est utilisé en français québécois, autant que le « tu -tu » et son utilisation doit être précisée sur l'article. Le « joual » fait partie du français québécois. Si on enlevait tout ce qui concerne le joual de cet article, le « tu -tu » serait également retiré puisque ça en est également. Si vous persistez à enlever des informations qui font partie de cet article, vous ne respectez pas les réglements de Wikipédia. À la prochaine intervention non justifiée, je devrai en avertir les Wikipompiers. Vous pouvez continuez à débattre ici de la pertinence de ces informations, mais ne retirez plus d'information jusqu'à ce qu'un consensus ait été établi afin d'éviter les guerres d'édition. Jimmy psst! le 23 février 2009 à 22:51 (HNE)

J'ai déja contacté les Wikipompiers. Cet article est le Français Québecois, et pas le joual. Je vous ai donnée des verifications que le "vous -tu" ne s'utilise pas en Français Québecois. Il a un article different qui s'addresse au Joual.

C'est ce que j'ai constaté, tant mieux. Le joual est utilisé (que ce soit dans la syntaxe. dans le vocabulaire ou dans les deux) par la majorité des Québécois et fait donc état d'être dans l'article. La particule « -tu » fait partie du joual, et vous ne vous indignez pas contre tout simplement parce que vous l'utilisez et que tout d'un coup, ça devient correct si vous le dites. Cessez d'ajouter des affirmations non-neutres et des travaux inédits à l'article, ce qui nuit à la qualité de l'article. Merci de bien lire les réglements de Wikipédia. Jimmy psst! le 24 février 2009 à 17:38 (HNE)
Bonjour, pour revenir a la discussion, j'ai fournit la page actuel du "Trésor de la langue Française", un site maintenue par L'Universite de Laval. C'est un site qui a une grande banque de données sur l'usage actuel de la Langue Française au Québec, autrement dit le Français Québecois. Il a plus de 250 examples d'usage du -tu en forme de question et je ne peut trouver que un example ou l'usage avec le vous, et dans cet example il est très apparent que le parleur utilise le joual. Cette page est pour démonter le Français Québecois, et non le Joual. Je ne passe pas mon temps a changer des pages wikipedia juste pour changer des choses, Je contribue pour assuer la précision des données. Il existe des variations locales de la langue au Québec, et cette page n'est pas un place pour avancer une version locale, mais ce qui est utilisée au Québec en entier. je n'ai pas trouvée de citations ou preuves qui démontrent l'usage démontrée par l'utilisateur qui défait continuellement ce que j'ai apportée a la page. J'ai consultée l'Office de la langue Française et je ne peut y trouver non plus. Les archives du Français Québec est la seule place a date que je trouve qui démontre l'usage d'une façon ou d'autre.

Le Joual n'est pas le Français Québécois, mais un sociolecte français, surtout présent dans la classe ouvrière québécoise. Le joual contient beaucoup de mots anglais qui ont été francisée. --Mrboire (d) 2 mars 2009 à 04:31 (CET)[répondre]

Premièrement, le joual fait partie du français québécois et il est utilisé dans toute la province depuis belles lurettes. Deuxièmement, si vous souhaitez concentrer l'article sur le français québécois standard, l'article serait donc tout à refaire : les sections « Particule -tu », « pis », etc. concernent le joual. L'article français québécois doit présenter toutes les variétés et les utilisations référencées au Québec. La source que vous avez fournie ne confirme pas l'utilisation du « -tu » avec le vous, mais ne l'infirme pas. Vous tentez d'effacer des informations pertinentes pour mettre en valeur une seule « variété » (qui n'utilise pas le « -vous »), ce qui est donc non-neutre. La version que vous ne cessez pas de défaire contient les deux informations : l'utilisation générale (« Y allez-vous? ») et l'utilisation du « -vous » dans certaines régions. Tout ce qui manque, ce sont des sources pour appuyer le tout, mais ces informations avaient comme qualité d'être neutres. Il est très difficile de dire ce qui correct et ce qui ne l'est pas d'une langue qui n'existe pas sur papier et qui n'a pas de règles écrites. Il faut donc s'en tenir à l'usage pan-québécois (et non pas l'usage régional). Cordialement, Jimmy psst! le 1 mars 2009 à 23:23 (HNE)

J'aimerais juste faire une rectification là-dessus. Le joual est un sociolecte et basilecte, oui, mais dans la région de Montréal seulement. Plusieurs écrits l'ont démontré, tel le meneu-meneu joual de Georges Dor. Ailleurs au Québec, il y a des sociolectes qui peuvent s'y apparenter en quelques points, mais ce ne sont pas à proprement parler du joual étant donné plusieurs différences, notamment fondées sur la base de la prononciation, des expressions, de l'accent, etc. Parlons juste du chaouin qui s'y apparente, oui, mais qui n'en est pas, ou encore du magoua et des sociolectes beauceron, abitibien, gaspésien et saguenéen, etc. qui diffèrent tous l'un de l'autre. Je suis entièrement d'accord pour dire que le joual n'est pas LE français québécois, mais ce n'est pas non plus un basilecte généralisé à tout le Québec. Le fait de croire que c'est le cas relève plutôt d'une tendance impérialiste montréalaise de faire croire à qui veut bien que Montréal est LE Québec et donc, que tout ce qui s'y trouve se retrouve automatiquement à l'extérieur de l'île. Il s'agit juste de voyager un peu et de socialiser moindrement avec le monde pour s'en apercevoir. Ce n'est pas non plus une question de chiffre ou de majorité... Le Québec, ce n'est pas que 6 millions de francophones dont la moitié (ou peu importe) vit dans le Grand Montréal, c'est aussi 17 régions administratives, c'est des régions naturelles d'appartenance, etc. qui ont chacune leur particularité et leur sous-culture régionale. Donc, de dire que le français québécois, c'est ce qui se trouve dans Grand Montréal, c'est à mon avis une perspective ethnocentrique et à la limite, assimilatrice des régions moins peuplées.

Deuxième chose, je crois qu'il faut aussi faire attention à ce que les organismes de recherche sur la langue avancent. Sans leur prêter d'intentions, il est très facile pour des gens qui ont un poste de forte influence, même dans un travail supposément objectif, de faire passer certaines de leur idéologies en matière de langue. La particule « -tu » peut bien être considérée par le TLFQ et cie comme du mauvais français, mais son utilisation demeurent quand même grandement utilisée même dans des groupes sociaux plus « éduqués ». La langue au Québec est une question de fait et les instances gouvernementales telles l'OQLF et le Conseil de la langue française s'y soumettent. Il s'agit juste de lire les conseils et suggestions dans le grand dictionnaire terminologique pour comprendre pourquoi certaines expressions ne sont pas retenues et c'est souvent une question de l'usage qui s'est développé autant dans les basilectes régionaux que dans l'acrolecte national. --Nicko (d) 2 mars 2009 à 08:50 (CET)[répondre]

Bonjour, Je suis d'accord avec "Nicko" que le Joual est regional, et j'essaie de démontrer que l'article est de Français Québecois, pas le Français régional, pas le Français Montréalais (Je ne suis pas de Montréal, mais j'utilisais comme example), mais un Français du Québec en entie.

En entier on y retrouve le "-tu" comme contraction du "t-il", et est devenu une forme de question en elle meme mais seulement en situations de "tutoiement" et non en situations de "vouvoyement" (et oui le vouvoyment existe encore au Québec, mais ici n'est pas la place pour y discuter). On ne retrouve quaisiment pas l'utilisation du vous avec un -tu? (examples: vous allez-tu?, vous venez-tu? et ensuite parce-que dans la majorité de ces cas n'est pas la contraction de "t-il", ("vous allez-t-il?", "vous venez-t-il?" serait la forme au complet). Il est peut-etre correcte dans la région que M. Lavoie habite, je ne sais pas ou est cette région, mais dans la majorité du Québec il n'est pas utilisé. Je ne dispute pas l'utilisation du -tu en particulier, mais la précision que le "vous -tu?" n'est pas utilisée en general. "Trésor de la langue Française" n'est pas une agence qui avance son point de vue, mais un répertoire de la langue utilisée au Québec. --Mrboire (d) 2 mars 2009 à 14:10 (CET)[répondre]

Petite note au passage, la particule interrogative «tu» s'emploie dans les questions comportant n'importe quel pronom pour peu qu'il soit employé à l'oral, soit tous, sauf le «nous». Autre chose, le français québécois n'est pas «anglicisé égal». Chez nous, près de Québec, le français est peu anglicisé et diffère fortement de la norme écrite standardisée. Ej vas faire dequoi pour vousautes : si ça vous tente d'avoir des exempes, m'a vous en donner un char pis une barge. Oui, on parle de-même par chez-nous. C'est d'valeur pour toé, mais assis-toé d'sus pis tourne si ça fait pas ton affaire. (Comment qu'on conjugue s'assir, don? : Ej m'assis, tu t'assis, y s'assis, a(elle) s'assis on s'assis, vous vous assisez, y s'assisent.) Débarquer icitte avec yenk eul français 'a bouche en cul d'poule, c'est des plans pour s'ramasser à terre, en chialant qu'on comprend rien pantoute. T'es pas grèyé pour jaser a'ec eul monde d'la place, tsé-veux-dire? L'image du «joual» comme français québécois anglicisé, ça évoque Montréal. Dans l'ensemble, l'article est bon, même si très simpliste, sauf le passage non-neutre sur l'usage de la particule interrogative avec le vouvoiement. 67.68.125.131 (d) 10 décembre 2009 à 15:21 (CET)[répondre]
Vous tentez encore d'étouffer le français des « régions » comme les Montréalais disent. Non, ce n'est peut-être pas la majorité des Québécois qui utilisent le « vous -tu », mais il est quand même utilisé dans le nord. C'est une usage généralisée je dirais même. J'ai même de la difficulté à croire qu'à Montréal, personne n'utilise ça. Bref, vous vous obstinez pour rien, puisque dans la version qui était présente avant que vous la défassiez, c'était inscrit : « Cependant, dans certaines régions, le « -tu » est aussi utilisé avec le vous : ». Toute utilisation a sa place sur l'article concernant le français du Québec. Ce n'est pas écrit « l'utilisation du « -tu » est utilisée partout au Québec » (puisque je ne suis pas certain de ça), mais c'est certain qu'il est utilisé dans les régions plus au nord. C'est pourquoi il est écrit « certaines régions ». Pour répondre à votre question, je viens du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Et non, ce n'est peut-être pas ce qu'on utilise quand on veut « bien » parler, mais c'est utilisé dans la langue parlée de tous les jours et cet usage doit être rapporté sur l'article. Les modifications que vous avez mises sont tout simplement PoV (votre point de vue — à votre point de vue, ce n'est pas du français québécois, mais s'en est) et du travail inédit (vous apportez des conclusions selon vos croyances à vous). Jimmy psst! le 2 mars 2009 à 12:21 (HNE):: Chicoutimi, ça fait partie du Sagueney Lac St Jean? J'ai passée deux étés a Chicoutimi. C'est une belle place (mais ça pas rapport a notre discussion).:)

Pour la discussion, on ne peut non plus généraliser que ce qui est propre a la région du Saguenay Lac St-Jean est au Français Québécois, Et oui j'ai rencontrée cette utilisation, pas a Montréal, mais parmi des gens qui n'avaient pas une maitrise du Français. Je ne suis pas de Montréal, J'y ai habité que pendant 4 ans pour le Cégep et le début de ma vie comme travailleur, mes experiences personnelles ne sont pas inclus ici, mais les faits que la recherche pointe dans la direction de l'usage, ou le manque de l'usage. Il existe plusieurs "langues internes" dans les régions du Québec, mais il existe aussi une langue universelle, differente du Français Européen (ou Métrapolitain ou International), Il existe aussi de langues peut-on dire peut-être de métiers ou de classes ouvrières? Mais elles ne sont pas le Français Québecois comme telle, et un les utilise que parmis nos collegues. Alors trouvez moi des preuves que le "vous -tu?" s'utilise dans le cours de parler en Français Québécois, et non un Français régional, ou de certaines classes ouvrière, et essayez de me convaincre par des examples, qui peuvent être vérifée. Mais j'ai apportée déja des preuves d'usage qu'il n'existe pas. Vous soumettez les mêmes points envers moi, que il ne faut pas étouffer le Français Québecois avec les français régionaux, Cette page est pour Le Français Québecois, et non aux langues régionaux.

En effet, Chicoutimi fait partie du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Émoticône Vous savez quoi? Je crois que le malentendu a assez duré et que c'est une dépense d'énergie inutile. Je suis donc prêt à me retirer. Il faudrait cependant dire que : le « -tu » n'est généralement pas utilisé avec le « vous ». Mais on ne devrait pas donner d'exemples (que ce soit le « Y allez-vous? » ou « Vous y allez-tu? »), puisqu'on n'a aucune source et que de supposer qu'il y a une convention écrite sur l'utilisation du « vous -tu » tombe dans le travail inédit. Qu'en dites-vous? Jimmy psst! le 2 mars 2009 à 14:25 (HNE)
Je suis d'accord que il n'est pas généralement utilisée, car il a certains cas ou il est quand on remplace le "t-y" ou "t-il". Il est difficile de dire qu'il n'as pas de souces quand j'en ai apportée, et le site internet était déja utilisée ailleurs sur ce projet. J'aimerais quand même montrer des examples a ne pas utiliser pour démontrer. il est commique que vous affirmer que le joual est utilisée partout, mais que d'autres disent que c'est seulement a Montréal? :> Je me demande si c'est des Québécois qui disent ça? Juste pour savoir, Est-ce que vous avez fait un sondage parmis votre entourage de l'usage? ou c'est quoi le changement? On peut toujours continuer cette discussion ailleurs et la recherche ensemble? Mais a ce que je peut constater de ce qu'il existe c'est pas utilisée souvent.--Sean Desjardins (d) 2 mars 2009 à 22:10 (CET)[répondre]
D'accord pour les exemples. Pour les exemples du fautif « vous -tu », on pourrait cependant formuler :
« La particule -tu peut parfois être utilisée avec le « vous », mais son utilisation est contestée. Par exemple : [...] »
Qu'en dites-vous? En effet, quand nous aurons terminé avec ce sujet, nous pourrons concentrer nos efforts sur un autre sujet de cette précieuse langue et ce serait un plaisir de travailler avec vous afin de dénicher des sources potentiellement intéressantes sur divers aspects du français québécois. Cordialement, Jimmy psst! le 2 mars 2009 à 20:48 (HNE)
D'accord pour cela. Je voudrais continuer et peut-être finir la discussion si ça te vous dérange pas. Je crois que on a tout les deux raison, et aussi tout les deux pas. Je me rends compte que ni l'un ni l'autre parle exactement de la même chose, je crois en tout cas. Laissez moi expliquer (et souvenez vous que mon "Bled" est très loin, et je ne me souviens pas des termes exactes, Ici J'utilise les termes Sujet Objet Verbe pour simplifier, sans aller plus loin avec pronoms noms adverbes etc....). Moi je parle de l'utilisation de la particule -tu dans les phrases dont "vous" est le sujet, example "Vous êtes un citoyen du Saguenay, Lac Saint-Jean." --> "Êtes-vous un citoyen du SLSJ?" (correctement posée) et non "Vous êtes-tu un citoyen du SLSJ?" (non utilisée au Québec avec le -tu?). Par contre , je crois, que vous parlez de l'utilisation du vous, non comme sujet, mais comme objet, example "Ce pantalon vous plait." indicatif --> "Ce pantalon vous plait-tu?" (et serait utilisée d'apres ce que je constate de vos remarques), parce que le -tu est en réalité -t-il et le sujet de cette phrase est pantalon "(Ce pantalon) il plait ", On peut même dire "Ce pantalon te plait-tu?" pour comparer, ou bien "Ce pantalon plait-il à vous?". En tout cas j'èspere que vous comprenez ce que j'éssai de dire ici et que je comprends ce que vous essayer de me faire comprendre.....--Sean Desjardins (d) 3 mars 2009 à 13:07 (CET)[répondre]
Rebonjour. En fait, même « Vous venez-tu du Saguenay-Lac-St-Jean? » se dirait, mais il est vrai que c'est techniquement incorrect. Son usage est présent, mais peut-être pas généralisé. Je comprends donc votre point de vue. Donc, en résumé, qu'est-ce qu'on fait? :-P Cordialement, Jimmy psst! le 3 mars 2009 à 10:58 (HNE)
Bonsoir, Peut-être: "L'usage du -tu dans dans un phrase ou le vous est le pronom qui conjugue le verbe n'est pas géneralemet utilisée au Québec, parcontre il existe toujours au moins une exception a chaque règle. ... donner des examples ... ensuite "Mais l'usage du -tu dans des phrases ou le vous n'est pas pronom qui conjuge le verbe est utilisée par un grand nombre de parleurs et n'est pas vue comme incorecte"... ensuite des examples. Ou bien quelque chose de ce genre. (Et sans vetre agassent, mais est c'est peut être une expression "bleuet" de dire "Vous venez-tu?" ... je n'ai jamais vue ou entendu :>)--Sean Desjardins (d) 3 mars 2009 à 23:28 (CET)[répondre]
✔️ Consensus établis. Tu t'occupes de consulter Moyg (d · c · b) pour la déprotection de la page? Cordialement, Jimmy psst! le 3 mars 2009 à 21:32 (HNE)
M. Lavoie, J'ai fait les modifications tel que discutée, SVP Vérifier et ajouter d'examples si nécessaire.--Sean Desjardins (d) 5 mars 2009 à 03:16 (CET)[répondre]
✔️ Faites-moi signe si vous n'êtes pas d'accord avec une de mes reformulations. Cordialement, Jimmy psst! le 4 mars 2009 à 22:17 (HNE)
✔️ Parfait! En passant pouvez vous m'envoyer d'la sauce a poutine? En poudre serait assez bien, on peut trouver le Fromage ici, mais pas la sauce! :>--Sean Desjardins (d) 5 mars 2009 à 04:48 (CET)[répondre]
Haha! Si la poutine vous manque, ça veut dire que vous êtes dû pour un petit retour au Québec! Émoticône Cordialement, Jimmy psst! le 4 mars 2009 à 23:27 (HNE)
C'est seulement depuis le mois de Novembre 2008? C'est peut-être pour ça, c'est encore dans la mémoire!--Sean Desjardins (d) 5 mars 2009 à 06:32 (CET)[répondre]
Je sais qu cette discussion est close depuis longtemps déjà, mais je voudrais seulement ajouter que l'utilisation du « vous...-tu » est aussi très commune au Bas-St-Laurent, là où je vis, et oui, aussi dans sa forme « vous y allez-tu? ». Pas correcte pour autant, mais utilisée. Je ne le ferait probablement pas dans le cadre de mes fonctions (préposé aux renseignements du centre infotouriste de Dégelis), mais je parle couramment de cette façon avec ma famille. --142.213.254.2 (d) 20 juin 2010 à 19:57 (CEST)[répondre]

Français québécois vs. français oral[modifier le code]

Kleenex : idem en Français européen ou mouchoir en papier. Jamais entendu "papier mouchoir". Ça : idem en Français Chialer : c'est vraiment différent du sens habituel (pleurer) ? Gâter : ok, la différence c'est que la personne gâtée est vraiment gâtée au sens propre

Ceci dit selon le même modèle, il y a des mots d'argot qui sont utilisés dans certaines régions de France (le midi, le nord...) ou certaines communautés, sans que pour autant ça définisse vraiment une langue. Je ne pense pas que les exemples cités soient les plus convainquants. Sidoine

J'abonde pour 'kleenex', 'ça' et 'chialer'. Pareil d'ailleurs pour Frigidaire, ça se dit couramment en français métropolitain. Et « à cette heure », dans ce sens, est encore fréquemment employé par les paysans de ma Picardie natale. C'est seulement vieilli. Jastrow 1 avr 2004 à 23:48 (CEST)

Asteûr, contraction de "à cette heure", existe en wallon, où il est la simple traduction de "maintenant". Torché Waremme

Kleenex, ça, Frigidaire : c'est la même chose des deux côtés de l'Atlantique. Ceci dit, des mots comme « chialer » ont vraiment un usage différent, par la fréquence, le sens, etc... (Chialer en France reste assez limité au sens de pleurer à chaudes larmes... au Québec, c'est souvent utilisé dans le sens de « se plaindre »)... « Vinyl» prend le même sens en France qu'au Québec (ce qu'on appelait un 33 tours ou un 45 tours, mais aujourd'hui c'est plutôt « vinyl » versus « CD »). Aussi, pour « scotttowel », je traduirais plus par « sopalin » que « essuie-tout »... c'est au moins le même niveau de langage et d'utilisation... En général, je dirais que les différences de vocabulaire dans la discussion courante restent tout de même plus importantes entre le québécois et le français, qu'entre le français « de Paris » et le français « des terroirs » (je simplifie, hein ;) ). Ça reste toujours du français, même si tous les mots sont différents ;) Joal ban Kluane 2 avr 2004 à 00:47 (CEST)
Une précision qui peut être utile : Kleenex et Frigidaire sont des marques (respectivement de mouchoir et de réfrigirateur, vous l'aurez compris). Mais même si c'est un abus de langage, ça n'en fait pas une spécialité de la langue Quebécoise, car je doute que là-bas ces marques soient devenus des mots académiques :) PM 29 jun 2004 à 01:58 (CEST)
  • Ça -> pareil en français de France.
  • Pet -> pareil en français de France.
Je ne voudrais pas jouer sur les mots, mais d'autres mots présentés comme spécifique au français québecois sont largement utilisés avec le même sens de ce côté-ci de l'Atlantique !
Je pense à anorak, brailler, cave, côte, innocent=naif (le wallon a aidé à le maintenir en vie en Belgique??), jardin ou encore parquer. Et le mot wallon asteûr (=maintenant) empêche de le ranger dans la catégorie "québécois".
Si l'usage de tous ces mots est vraiment différent au Québec, faudrait p-t le préciser un peu plus, car à première lecture, si je peux concevoir turluter comme spécifique au français de Québec, il y en a certain où j'ai vraiment du mal. Mais c'est une impression personnelle, bien sûr :-)
Druss, Liège.
L'intérêt de donner des mots spécifiques au français québécois, ne tient que si on le compare au français dit « standard », ç-à-d. celui utilisé par une grosse majorité des médias français, ou francophones un peu partout dans le monde. Maintenant si un mot fait partie, à la fois du lexique belge et du lexique québécois, et ce avec le même sens, il reste une particularité québécoise tout autant qu'un particularité belge tant qu'il n'est pas reconnu comme français « standard ». Ou sinon « asteur » est quoi ? Belge, québécois, autre choses ? ---moyogo (discuter) 22 janvier 2006 à 15:30 (CET)[répondre]
Ce qui est gênant avec cette article c'est qu'il présente l'accent parisien comme étant la norme du français de France... Ce qui est loin d'être le cas! Svartkell 5 mars 2006 à 14:51 (CET)[répondre]
Oui, mais il y a tout de même une "famille d'accents" commune à toute une grande moitié nord de la france, y compris chez les Ch'tis (oui, oui, oui !), que nous appelons en Belgique l'"accent français" (Je sais que cette appellation fait beaucoup rire chez nos amis du sud), par opposition à une prononciation normale, la nôtre (sourire). J'imagine que les Québecois ont une impression du même genre, car les différences entre les sous-catégories d'"accents français" sont moins fortes qu'entre "accents belges" et "accents français" ou entre "accents québecois" et "accents français". Roymail (d) 3 juin 2009 à 20:28 (CEST)[répondre]
Bonjour Roymail. Ce dernier commentaire de Svartkell (d · c · b) date de mars 2006, il faisait donc référence à la version de l'époque. Les chances que la situation ait changée depuis sont, je dirais, très bonne :) . En fait, nous somme dans une section entamé en 2004 au temps de cette version. Ce n'est pas pour être mesquin, au contraire, mais ce serait une bonne idée, si vraiment ton commentaire avait un impact probable sur l'article actuel, de reprendre dans une nouvelle section au bas de cette page. En précisant bien le contexte d'aujourd'hui. Iluvalar (d) 3 juin 2009 à 21:33 (CEST)[répondre]


Accents régionaux[modifier le code]

Sous la section accents régionaux, voici ce que nous pouvons lire...

(Ndel'A : si quelqu'un peut corriger en ajoutant les symboles de phonétique internationaux?)

Je ne crois pas que ceci approprié dans une page actuel de la wikipédia... ceci conviendrait mieux à la page de discussion.

--Inso 28 octobre 2005 à 06:31 (CEST)[répondre]

Origines[modifier le code]

Certains mots sont indiqué comme ayant une origine anglaise; hors cela est parfois une erreur, par exemple patente est du français de l'ancien régime : tlfi. ---moyogo (discuter) 18 janvier 2006 à 11:44 (CET)[répondre]

Signe[modifier le code]

pour désigner un évier, vient de sink, en anglais.


Nombres[modifier le code]

Est-ce qu'on utilise les mots septante, huitante (ou octante) et nonante pour 70, 80, et 90 dans le français québécois? Funnyhat 23 juillet 2007 à 05:49 (CEST)[répondre]

(Anonyme (Québécois)) Réponse : Non.

Soixante-dix, Quatre-vingt et quatre-vingt-dix sont utilisés --Shawa666 (d) 4 juin 2010 à 04:39 (CEST)[répondre]
Les termes « septante », « huitante » (« octante ») et « nonante » sont inconnus au Québec. Cordialement,  Jimmy   psst!  4 juin 2010 à 05:14 (CEST)[répondre]

Divers[modifier le code]

bizoune -> penis n'est pas du vandalisme... Pour la petite histoire, c'est pour ca que les bisounours s'appellent les calinours au Quebec :p Gonioul 20 janvier 2006 à 02:11 (CET)[répondre]


Article bin faitt en mozeuss pour secouer le cocotier du parisianisme (Oaris-provinces) et le francocentrisme, assett-heure, en franco-belge et franco-suisse

C'est la même chose entre l'anglais etl'anglo-américain, jusqu'au point où George Gershwin a fait une chanson, "Let's call all the thing off". D'autre part, il est courant qu'un nom propre (comme celui du Préfet de Paris Poubelle) devienne un nom commun et un nom singulier devenir générique. Takima 12 avril 2006 à 21:31 (CEST)[répondre]


Sacres[modifier le code]

Ce n'est pas une question d'être vérifiable ou pertinent. C'est une question de qualité du texte et de respect envers ceux dont ça outrage la religion. Si on veut parler de pertinence, tant qu'à ça, pourquoi ne pas écrire une liste exhaustive de tous les québécismes, expressions et autres? Il y a des situations, des fois, où il faut se garder une petite gêne... Comme je disais, avec l'explication, on peut très bien se les imaginer. --Nicko (d) 11 mai 2009 à 16:04 (CEST)[répondre]

Bonjour Nicko, de mon avis citer ses mots ici est tout à fait pertinent. Ça me semble par ailleurs vérifiable, même si je ne me suis pas trop creuser la tête sur le caractère exhaustif de cette liste. Par ailleurs, j'ai toujours considéré que c'était l'intention derrière ces mots qui leur conférais leur caractère blasphématoire. Ici ce n'est pas du tout le cas, on les liste d'une manière encyclopédique. Pour ce que j'en sais, ils font parti intégrante du vocable québécois et tout le monde ici les reconnaitrons sans mal. On a pas besoin de source tant c'est trivial. Il est clair que cet article n'apprendra rien à un québécois(Canada), l'article est là pour les autres. Je ne vois pas comment un algérien pourrais "s'imaginer" ces mots
Je ne suis pas catholique, mais j'ai bien compris l'essence d'un blasphème, on peux blasphémer avec tout plein d'autres mots. Ceux là par contre sont particulier au Québec et mérites mention. J'ai toujours eu horreur des gens, pourtant catholique, qui lançait un « Mon Dieu ! » pour des banalité tel que faire tomber un verre d'eau. Comme si Dieu, entendant sa prière capitale, allait passer par là pour "dérenverser" le verre d'eau. Ça c'est obscène. Ça pour moi est un blasphème offensant. Lister ces mots dans un but encyclopédique ici ne me fait pas le même effet. Si ça gêne des gens tant pis, l'encyclopédie traite de tout les sujets avec le même recul et le même soucis d'exactitude. Iluvalar (d) 11 mai 2009 à 16:54 (CEST)[répondre]
Ça n'a rien d'encyclopédique. Toute personne consciencieuse qui se respecte, catholique ou non, sait pertinemment que l'utilisation de ces mots blesse les convenances. Les gens peuvent bien dire ce qu'ils veulent, là n'est pas la question. Mais il y a aussi plusieurs personnes qui s'excusent ou qui se retiennent lorsqu'elles utilisent une expression qui peut moindrement outrager, que ce soit sous le coup de l'émotion ou dans une explication factuelle. Et ça aussi, ça peut facilement être démontrer. L'intelligence humaine permet justement d'expliquer les choses sans être obliger de les rendre explicite. Pourquoi est-ce qu'on devrait apprendre à quiconque comment blasphémer? Quel est le but? Faire rire un Français...??? Il n'y a pas grand fierté là-dedans. --Nicko (d) 11 mai 2009 à 19:10 (CEST)[répondre]
Je suis désolé, mais une encyclopédie se doit d'être la plus complète et exacte possible. C'est donc à mon avis encyclopédique. Je vient de faire le lien avec Sacre québécois que je découvre. Le passage est donc sans intérêt ici. Iluvalar (d) 11 mai 2009 à 20:01 (CEST)[répondre]
Je maintiens mon argument que, personnellement, je ne vois pas l'intérêt d'apprendre au monde à comment sacrer. L'exhaustivité d'une encyclopédie est aussi un élément discutable, et ce, pour la raison que j'ai indiquée dans mon commentaire précédent. Mais, l'ajout d'un lien dans cet article-ci semble être un compromis acceptable. --Nicko (d) 11 mai 2009 à 23:32 (CEST)[répondre]
Vous êtes influencés dans votre jugement par le côté grossier à vos yeux (ou plutôt à vos oreilles) des sacres dont vous parlez, et c'est bien normal. Mais ne craignez pas de donner le mauvais exemple aux Européens. Pour nous, baptême ou tabernacle sont aussi anodins que zut ou chemise. Nous ne percevons pas la moindre grossièreté ou dimension blasphématoire dans vos sacres les plus horribles. Je trouve en effet qu'il est intéressant d'apprendre aux "autres" cet élément très caractéristique du parler québecois.Roymail (d) 3 juin 2009 à 20:50 (CEST)[répondre]
C'est certain que cela est anodin pour certaines personnes. Mais, la crainte exprimée ici est autre. Parce que ces mots sont parfois utilisés de façon inconsidérée par des gens qui en ignorent la signification, le risque est tel que leur usage peut marquer le rejet de ces gens, par des personnes pour qui ces mots signifient un manque de respect ou de civilité. Et quelle est la probabilité de trouver une telle personne au Québec?... Évidemment, leur apprentissage explicite et rationnalisé dans l'excès pourrait alors signifier apprendre aux gens à manquer de respect envers ces personnes... et donc, augmenter le risque d'ostracisme sur ceux qui les utilisent inconsidérément, puisque souvent plus perçu comme une marque de dérision par nombre de personnes. À vous d'en juger, mais j'ai déjà entendu un commentaire indiquant que nul ne peut utiliser un sacre de façon « considérée » si cette personne n'est pas québécoise... puisqu'il faut ressentir le sacre sincèrement et que son sens est spécifique à un contexte particulier, possédant ainsi une infinité de significations. --Nicko (d) 4 juin 2009 à 00:37 (CEST)[répondre]

Ce ne sont que des mots. Il ne faut pas avoir peur des mots. --Vivre et laisser vivre! (d) 3 juin 2009 à 21:29 (CEST) Apprendre que veut dire un mot est une bonne façon d'apprendre comment et quand l'utiliser ou non.--Vivre et laisser vivre! (d) 4 juin 2009 à 04:31 (CEST) La meilleure façon de s'assurer que les gens utilisent les mots correctement c'est de informer les gens. La connaissance non partagée est une connaissance perdue. Savoir que veut dire un mot n'est pas la même chose que condoner son usage et il est très possible de parler et agir sans respect en utilisant des mots de politesse.--Vivre et laisser vivre! (d) 4 juin 2009 à 20:36 (CEST)[répondre]

Stationner vs Garer[modifier le code]

Oui je sais que techniquement c'est correct de dire Garer la voiture, mais c'est pas ce qui est dit au parlant plus commun. On utilise un stationnement, alors les gens disent stationner. La perception est que dire Garer est plutôt europeen, et l'usage de stationner est documentée.--Distinct, pas Dogmatique! (d) 25 mai 2009 à 21:40 (CEST)[répondre]

Désolé, mais il y a une répétition agaçante dans la phrase « stationner dans le stationnement ». Cortomaltais (d · c · b) avait raison de faire ce changement, pour des raisons de style. — Bouchecl bla? 26 mai 2009 à 04:27 (CEST)[répondre]
Je ne suis pas en désaccord avec le fait que c'est correct, mais le paragraph explique le parler Québecois et non ce qui doit être dit. Prennez une journée ou deux et écoutez, ou discuter avec les gens autour de vous et vous verrez que ce que les gens disent c'est stationner dans le stationnement(Que ça soit correct ou pas). --Distinct, pas Dogmatique! (d) 26 mai 2009 à 05:57 (CEST)[répondre]
En fait, si on parle du langage parlé, par chez-nous il n'y a personne qui dit garer, ni stationner d'ailleurs. On dit "parker". Je sais, c'est du joual et c'est incorrect, mais c'est ça qu'on dit. --142.213.254.2 (d) 20 juin 2010 à 20:15 (CEST)[répondre]

Ajout de Peau de lièvre[modifier le code]

« peaux de lièvre » a été ajouté par un IP. Ne connaissant pas cette expression moi-même je pose a la communauté si elle existe? (Et oui il faudra corriger la grammaire et la typographie.) Merci --Distinct, pas Dogmatique! (d) 8 juin 2009 à 07:08 (CEST)[répondre]

Arrête de t'énerver l'poil des jambes là, de t'pogner l'moine pis de sauter su' l'crink. Parce que là tu pètes de la broue pis tu mets le diable aux vaches fak ce s'ra pas long qu'tu vas manger tes bas. Mets ta frock p'pas être habillé mince comme d'la peau d'pet, va faire un tour e' t'calmer l'pompon pis va t'bourrer 'a fraise la gueule fendue jusqu'aux oreilles. C'est toujours mieux quand 'y neige des peaux d'lièvre, mais c'est rare comme d'la marde de pape. Mais branle toué pas trop dans l'manche parce qu'y va mouiller comme vache qui pisse. L'affaire est ketchup? C'est tiguidou! --Nicko (d) 8 juin 2009 à 09:42 (CEST)[répondre]
Émoticône Je confirme son existence, mais en même temps son inutilisation dans ma région. Je ne peux pas évaluer son étendue. Il y aura toujours des expressions trop peu connue dans le lot. Je place un refsou, il n'y a pas d'urgence. En espérant que quelqu'un trouve une source suffisante pour déterminer la pertinence de l'expression ici. Iluvalar (d) 8 juin 2009 à 14:07 (CEST)[répondre]
Bon, une expression qui n'a pas l'air d'être vraiment utilisée si je comprends bien. Mais est-ce vraiment pertinent a l'article? --Distinct, pas Dogmatique! (d) 12 juin 2009 à 03:44 (CEST)[répondre]
C'est le nom d'une chanson du groupe Tricot Machine, mais j'ai jamais entendu l'expression ailleurs. Matju2 (d) 2 janvier 2013 à 07:13 (CET)[répondre]

Origine historique[modifier le code]

L'introduction selon moi est erronée ou mal expliquée, car ça ne concorde pas avec le reste de l'histoire. Le français populaire de Paris, au XVII siècle, n'est que du Françoys additionné de plusieurs dialectes ou patois. Il n'existe pas en tant que tel! J'ai lu de bonne source que la langue de cette époque n'était pas du tout homogénisée, plus de 50% des gens ne parlent pas français en France au XVII! Alors qu'est-ce que ce français populaire de paris? De quoi est-il composé?

On ne peut pas dire que la langue québécoise est issue d'un français populaire seulement : d'abord il y avait différents niveaux à paris de l'époque dont un soutenu. Ensuite les québécois ne sont pas issus de paris pour la plupart, mais des régions au nord ouest (normandie, etc). Et ensuite la nouvelle-france est en forte croissance à l'époque, et donc accueille aussi des notaires, médecins, beaucoup de curés (missionaires), de représentants du roi, militaires, etc. Pas que la basse classe populaire. Malgré la guerre et les problèmes, impossible que ces gens n'influenceront pas la langue québécoise.

Ma version de la BASE linguistique du québec serait : Francoys + (picard + normand + poitevin)

Moé itou j'ai pour mon dire que ça d'l'air de t'ça. («Méchant geurlot», 'l gars, qu'y en a qui s'disent sûrement...) J'avais fait une petite liste (travail inédit, hihi) de traits communs au normand d'oïl et au français du Québec, pis y en a toute une traulée : après (dans le sens du temps de verbe «être après» ex : «être après manger»), abrier, accreire, creire, champelure, croche, gricher, graiyer, achaler (achâliner en normand), écale (dans le sens de coquille), barrer, embarer, itou, comprenabe, etc. Le «r» peut changer de place dans le mot : barouette, ergarder, etc. 67.68.125.131 (d) 10 décembre 2009 à 16:31 (CET)[répondre]
Ce n'est pas du normand, car en normand on ne dit pas mwé, mais mei, comme dans tous les dialectes de l'ouest de la France. Quant au normand, c'est en fait une ancienne langue sans véritable homogénéité. En cauchois par exemple, on dirait un truc comme : « mei itou, j'ons por men di qu'cha m'a l'ai eud cha. » (cela dit je ne comprend pas bien le sens de cette phrase et je traduis mot-à-mot ).C. Cottereau (d) 2 janvier 2013 à 08:26 (CET)[répondre]
L'immigration venant de Paris a été considérable, mais surtout, l'influence du français parisien a sûrement été beaucoup plus grande que son simple poids démographique (étant donné qu'il était pris comme étant une norme).Matju2 (d) 2 janvier 2013 à 07:25 (CET)[répondre]
En fait, sur Wikipédia il y a ça : Choc des patois. Il y a une belle image avec des nombres représentant les populations des toutes premières années de la Nouvelle-France (sans distinction Québec/Acadie/etc). Matju2 (d) 2 janvier 2013 à 07:35 (CET)[répondre]
Tout à fait d'accord avec le contributeur précédent.C. Cottereau (d) 2 janvier 2013 à 08:26 (CET)[répondre]

C'est-tu ou c'est-ti (en sarthouais) le franco-français hexagonal? De quelle métopole s'agit-il?

Au journal télévisé de Fr2 sur TV5, j'ai vu un magasin nommé "Usines Center" en franco'français hexagonal pour désigner un "Factory oulet" par des illéttrés en anglophonie.

Un "Factory outlet" est un point de vente direct, du producteur au consommateur, sans passer par la chaîne du distributeur au grossiste et ensuite aux détaillants.

Takima 11 septembre 2006 à 01:52 (CEST)[répondre]

français métropolitain est assez ambigü mais veut sans doute dire français de France, voir même juste Paris. Après tout, d'un point de vue linguistique, Paris est sans doute la métropole de la francophonie. N'est-ce pas de là que viennent la majorité des livres, journaux et autres médias publiés en français ?
« Usines Center » est une marque déposée, non ? [5] --moyogo ☻☺ 11 septembre 2006 à 07:31 (CEST)[répondre]
Celà reste du francocentrisme. Du point de vue linguistique, la majorité des locuteurs n'est après tout pas en France, non :-) ? Soig 11 septembre 2006 à 18:48 (CEST)[répondre]
Métropole veut dire ce que ça veut dire : « le centre d'influence principal d'un domaine particulier ». Il ne semble pas que ce soit du francocentrisme de dire que Paris est la métropole de la francophonie. C'est une réalité, c'est tout. Qu'il y ait plus de locuteurs de français hors Paris ou hors France n'y change rien. Si Paris n'est pas la métropole de la francophonie et de la langue française, quelle ville l'est ? ---moyogo ☻☺ 11 septembre 2006 à 19:11 (CEST)[répondre]
Le terme métropolitain désigne un territoire différent selon le pays du lecteur. C'est donc un terme impropre dans une encylopédie internationale francophone (par opposition à une encyclopédie française).
Je me permet de citer Wikipédia:Guide d'internationalisation (ex-Guide de défrancocentrage) : « Wikipédia se veut une encyclopédie respectant une neutralité de point de vue. En particulier, il ne faut pas adopter de point de vue national. Il ne faut donc pas écrire les articles comme si le pays que l'on habite était particulier par rapport aux autres pays. Le biais le plus courant, mais pas le seul, est de considérer le cas de son pays (la France, le Canada, la Belgique, la Suisse…) comme le cas général, ou de considérer les autres pays comme « l'étranger » ».
Soig 11 septembre 2006 à 21:35 (CEST)[répondre]
Le problème est que tu ne prends métropole que dans 1 seul et unique sens. Bien sûr que « français de la métropole » te pose un problème. Mais si tu admets que « métropole » veut dire plus que juste ce que tu entends, voir métropole, alors « français métropolitain » est tout à fait acceptable et non francocentré. Comme je l'ai dit auparavant, c'est une réalité que la France ou plutôt Paris est la métropole de la francophonie. Encore une fois je te pose la question : Quelle est la métropole de la francophonie, selon toi ?--moyogo ☻☺ 12 septembre 2006 à 11:26 (CEST)[répondre]

Deux explications sont acceptables pour le terme « métropolitain » :

Historiquement, parce que la France a été la métropole d'une majeure partie de la francophonie pendant tout une époque, l'adjectif métropolitain est donc utilisable dans ce sens. Culturellement, parce que Paris ou la France est le centre d'influence principal de la francophonie. Pour l'info, je ne suis pas Français et moi aussi j'ai le francocentrisme en horreur, mais il faut savoir quand ce n'est pas du francocentrisme non plus. --moyogo ☻☺ 12 septembre 2006 à 11:32 (CEST)[répondre]

je ne connais po bien le language québéquoi, que faire?

rien, probablement. VIGNERON * discut. 11 octobre 2006 à 10:12 (CEST)[répondre]

Ajout de ref nécss dans tutoiement?[modifier le code]

Je trouve ça drôle que l'expression "les québécois utilisent tu comme calque de l'anglais you" fait parti de ce texte depuis très longtemps, mais un ref néc viens tout juste d'être ajouté quand les références qui suivent démontrent justement que c'est faux, comme le texte est écrit maintenant.!?

Bonjour il n'y a aps de date limite pour demander des références il me semble. Si vous avez des références qui indiquent que l'usage du tu québécois (deuxième personne du singulier) est calqué sur le you anglais (deuxième personne du pluriel), je suis preneur. SI on est d'accord pour dire que c'est a priori faux, on peut juste enlever cette phrase. Nakor (d) 12 mars 2010 à 22:51 (CET)[répondre]
Désolé vous avez mal compris, ce n'est pas ma phrase, ni mon ajout, La phrase originale était "les québécois utilisent tu de façon fréquente comme calque de l'anglais you", qui a été amha démontré a être faux par les références qui suivent. J'ai seulment été surpris de voir l'ajout après avoir été accpeté pendant si longtemps. Cependant, je crois moi même que la phrase comme tel est nécessaire, le "myth" existe encore parmi ceux qui n'ont pas les connaissance en ce domaine. Peut-être vous avez une idée comment modifier pour autrement dire que beaucoup de gens pensent que c'est un calque,mais que c; est en effet faux.
Le mieux serait de trouver des sources qui démontrent l'un ou l'autre. Nakor (d) 13 mars 2010 à 23:56 (CET)[répondre]
En regardant les sources (Trop d'après moi), ils démontrent justement que la perte de deux pronoms de deuxième personne en anglais n'est pas le même phénomène qu'en français québécois. Je ne me souviens pas où j'ai vu, mais il me semble qu'on enseignait dans mon temps (ouin, ouin chu vieux!), que utiliser tu chez nous était un calque de l'anglais. Ce phénomène de "blamer" certains changements est souvent exagerée. J'avoue que notre langue est grandement influencée par la présence abondante des candiens anglophones et les americains, mais il a beaucoup de ces d'hypothèses sur des changements linguistiques qui n'ont pas leurs débuts dans cet influence. Nous avons une responsabilité envers notre langue et notre culture, mais nous devons aussi prendre responsabilité de notre langue et notre culture.--il est interdit d’interdire (d) 14 mars 2010 à 17:26 (CET)[répondre]
Justement, Marty Laforest, dans son livre États d'âme, états de langue nous dit et explique clairement que le tu du tutoiement n'est pas un calque de l'anglais you, parce que you veut en fait dire vous. Pour dire tu, ils n'utilisent que très rarement (pour la reine il me semble et pour Dieu) le mot thou sujet thee object. Le tutoiement n'est ainsi pas un calque de l'anglais, mais une particularité québécoise. (Marty Laforest : États d’âme, états de langue. Essai sur le français parlé au Québec, Québec, Nuit blanche éditeur, 1997, 135 p.) J'espère que c'est une source assez fiable pour vous... --Bad-Twin (d) 20 avril 2013 à 00:00 (CEST)[répondre]

« Cet article adopte un point de vue régional ou culturel particulier et doit être internationalisé » ?[modifier le code]

La présence de ce bandeau me parait tout à fait injustifié, appliqué à un article par définition spécifique à une région.

D'ailleurs, le modèle {{Internationaliser}} précise bien :

« On ne pourrait poser ce bandeau sur l'unique motif que l'objet même de l'article serait explicitement restreint à un pays ou à une juridiction.
En effet, dans certains domaines (Droit, Économie), il a pu être jugé préférable de distinguer les notions en fonction de la région. »

Dans la mesure où l'objet même de l'article est explicitement restreint au Québec, le bandeau ne me semble pas avoir de légitimité. Je le retire donc, en l'absence apparente d'arguments pertinents sur cette PDD.

Bien entendu, s'il restait une expression du genre « français métropolitain » qui m'aurait échappé, il faudrait la décoder. Mais une correction à faire ne nécessite pas un bandeau : il est beaucoup plus efficace de se prendre par la main et de modifier soi-même le point problématique. — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 7 août 2010 à 12:03 (CEST)[répondre]

Retirer ou changer la section Perception[modifier le code]

Je trouve que le contenu de cette section manque complétement de neutralité (et est pratiquement insultant) et en plus n'est pas sourcée. Personnellement, j'aurais tendance à la retirer entièrement de l'article. Si non, si quelqu'un est capable de la retravailler de façon à la rendre neutre, je crois que ces modifications seront les bienvenues. Quand pensez-vous?

Je le regarde depuis quelques jours et je ne vois pas comment corriger le problème. --Myric (d) 9 août 2010 à 05:26 (CEST)[répondre]

Cette section est en effet non-sourcée et non-neutre. Je suggère de l'éliminer complètement, car elle est trompeuse et presque xénophobe. GiuseppeMassimo (d) 7 octobre 2010 à 16:45 (CEST)[répondre]
✔️ — Cordialement, Bolte911 [Parlons-en!] 7 octobre 2010 à 17:52 (CEST)[répondre]
Merci Bolte911. Mais pourquoi avoir retirer le texte « Lorsque les locuteurs utilisent un registre soutenu, la compréhension est facile et immédiate entre tous les locuteurs de langue française. » de l'intro? C'est sourcé et c'est exact. Aussi, pourquoi avoir ajouté un espace dans le nom "Madeleine"? S'agit-t'il d'erreurs? GiuseppeMassimo (d) 8 octobre 2010 à 04:21 (CEST)[répondre]
Comme il n'y a pas de réponses, je vais remettre cette phrase sourcée, puisqu'elle a été retirée sans discussion (probablement par erreur, comme l'espace ajouté dans le mot "Madeleine"). Cette phrase est importante car sans elle, l'article semble dire que le français québécois n'est pas mutuellement intelligible avec le français standard, ce qui est faux. Si quelqu'un désire faire des modifs à ce sujet, merci d'en discuter ici avant, pour atteindre un concensus. GiuseppeMassimo (d) 12 octobre 2010 à 05:22 (CEST)[répondre]
Je n'avais pas lu les messages Émoticône. Les journalistes parlent le français international, et non le français québécois. — Cordialement, Bolte911 [Parlons-en!] 12 octobre 2010 à 19:43 (CEST)[répondre]
Pourquoi faites-vous des modifications sur un article 3R sans rechercher le consensus? Le but de cette phrase est justement de souligner que le français Québecois soutenu est quasi-identique au français international. GiuseppeMassimo (d) 12 octobre 2010 à 21:13 (CEST)[répondre]
J'ai précisié « Je n'avais pas lu les messages Émoticône. », m'enfin, il faut toujours répéter ce que l'on dit plusieurs fois... Je suis contre cette phrase car elle n'apporte rien à l'article, on parle de français québécois, point. Et justement, tant qu'il n'y a pas de consensus, je ne vois pas pourquoi vous auriez le droit de faire réapparaître ceci. — Cordialement, Bolte911 [Parlons-en!] 12 octobre 2010 à 21:20 (CEST)[répondre]
Le texte supprimé était déjà là avant le bandeau. Voilà d'où venait ma surprise (car il faut discuter avant de supprimer, non?). Pour en revenir à l'article : Le journalisme québécois utilise des termes québécois comme "étatsunien" au lieu de "américain", "magasinage" (au lieu de shopping), "stationnement" au lieu de parking, etc. Ces termes se retrouvent dans le site de Radio-Canada et émaillent le français québécois soutenu. Cependant, ce français reste tout-à-fait intelligible à travers la francophonie, comme vous l'avez vous même constater en l'étiquetant de français international au premier coup-d'œil. Ma question donc: Comment rédiger cela dans l'article? GiuseppeMassimo (d) 12 octobre 2010 à 21:36 (CEST)[répondre]
C'est justement cette question de rédaction et de wikification qui me pousse à retirer la phrase. — Cordialement, Bolte911 [Parlons-en!] 12 octobre 2010 à 21:40 (CEST)[répondre]
Pouvez-vous être plus clair? GiuseppeMassimo (d) 12 octobre 2010 à 21:45 (CEST)[répondre]
La question « Comment rédiger cela dans l'article? » que vous avez posé amène à un soucis dans la rédaction de ce passage en question. C'est cela qui au départ m'a poussé à l'enlever. — Cordialement, Bolte911 [Parlons-en!] 12 octobre 2010 à 21:49 (CEST)[répondre]
Alors, que proposes-tu pour améliorer la formulation? Recherchons le consensus (parce que pour l'instant, j'ai l'impression que ta suppression est unilatérale, sans référence, et elle a été fait sans recherche de consensus, malgré la présence du bandeau des 3R). GiuseppeMassimo (d) 13 octobre 2010 à 02:05 (CEST)[répondre]
Le bandeau R3R n'avait pas été placé pour cette raison, mais ça ne change rien. Un conseus peut prendre des jours, des semaines, voire des mois a être trouvé. Je n'ai pour l'instant, comme je l'ai dit plusieurs fois, pas trouvé de résultat pour la rédaction de cette phrase. — Cordialement, Bolte911 [Parlons-en!] 13 octobre 2010 à 11:30 (CEST)[répondre]

Lieux parlées[modifier le code]

La majorité des francophones en Floride, et dans le nord-est des États-Unis (Vermont/New-York) parlent un français Québécois (Aussi appelée Français Canadien), ce sont des Québécois déplacées.

Si on veut parler de l'enseignement qui se fait dans les écoles élémentaires, secondaires et collégiaux, c'est presque tout fait en Français "Métropolitain", avec manque de respect pour le français canadien/québécois. Je me suis fait corrigée plusieurs fois par l'enseignant qui donnait des cours de français que mes enfants fréquentais. Oui mon français écrit n'est pas aussi bien que dans le passée, mais me faire dire des choses comme: "fin de semaine" était peut-être acceptable au Québec mais le reste du monde francophone utilisait "Week-end", m'a donnée goût de faire un peu de recherce sur ce sujet. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 99.112.104.207 (discuter), le 22 octobre 2010 à 02:57

Disons, dans cette exemple spécifique « fin de semaine » est très ambigu en français, ça peut-être le vendredi seulement ou encore moins fréquemment le dimanche uniquement. Week-end désigne précisément les deux jours samedi et dimanche, si on veut parler d'un nombre de jours supérieurs (pont, etc.), on dira « long week-end » ou « week-end prolongé ». Sinon, je ne tiens pas le fait de reprendre quelqu'un sur des points de détail en affichant une « supériorité linguistique » ou l'attitude « de celui qui détient le savoir » comme une preuve de grande compétence linguistique, bien au contraire, ce genre d'enseignant a souvent des capacités limitées et est seulement détenteur d'un langage qui est davantage une norme sociale qu'un vrai outil du savoir, et on ne compte pas les dommages qu'ils ont pu occasionner dans la têtes des enfants de France qui parlaient des langues régionales, des dialectes ou des patois en leur disant que c'était du mauvais français, alors que ce n'était justement pas du français. Tout ça au lieu d'essayer de comprendre (ces enseignants venaient souvent d'autres régions) et de leur enseigner le français conjointement comme une langue étrangère. Le résultat on le connaît : les Français n'ont jamais été aussi mauvais en langue étrangère que de nos jours, jamais été aussi monolingue et le pire c'est que le niveau de français n'est pas meilleur pour autant.C. Cottereau (d) 8 juillet 2012 à 21:27 (CEST)[répondre]

Nombre de locuteurs[modifier le code]

Bonjour,
Je viens de trouver que le nombre de locuteurs affichés dans l'infoboîte est un ajout sans source datant d'avril 2008. Il a été fait par Samuels (d · c · b). Je l'ai contacté pour savoir d'où venait ce chiffre. En attendant, j'ai remis le nombre de locuteurs ayant comme langue maternelle le français selon Statistique Canada. Je ne sais pas si c'est le meilleur chiffre pour savoir le nombre de locuteurs du « Français québécois », mais attendant, ça sera déjà mieux. Quelqu'un à une autre idée pour avoir une meilleur idée du nombre de locuteurs? — Riba (discuter) 5 mai 2011 à 17:22 (CEST)[répondre]

Diphtongues[modifier le code]

Pourquoi les québécois prononcent fight au lieu de fête ? Phung Wilson

« Fight » est un mot anglais? « Fête » est un mot français? je ne comprends pas la question? --il est interdit d’interdire (d) 7 juillet 2012 à 02:14 (CEST)[répondre]
Ce sont les français qui prononce « fight » comme « fête » et « fête » comme « faite ». C'est vrai que certain québécois ont parfois un accent un peu fatigué, mais je crois que la plupart pourrait te lire : « C'tait fat à la fête faith and feather. Y à eu un fight. Plus qu'ébouriffés, on était faites. ». Et ils devraient être capables de prononcer chacune des diphtongues distinctement. Ce qui n'est pas le cas de tout les français que j'ai entendu. (voir aussi). Iluvalar (d) 7 juillet 2012 à 05:41 (CEST)[répondre]

Les diphtongues québécoises ne sont pas standards ? Phung Wilson

Le français québécois conserve plus de phonème que le français métropolitain. Voir : Prononciation du français québécois si ça peut aider. Iluvalar (d) 8 juillet 2012 à 03:26 (CEST)[répondre]

Pourquoi les Québécois prononcent /taɛ̯t/ au lieu de /tɛːt/ pour le mot tête ? Phung Wilson

Oh, dans ce cas, il s'agit d'un accent régional. Je n'ai pas l'impression que ce soit la norme. Mais oui, certain Québécois prononcerons plutôt /taɛ̯t/ . Iluvalar (d) 8 juillet 2012 à 17:20 (CEST)[répondre]
No dit cha en caôchais itou : eune teyte è eune teyte (enfin c'est presque pareil)C. Cottereau (d) 8 juillet 2012 à 21:03 (CEST)[répondre]

Pourquoi les Québécois prononcent /kɔŋfu/ au lieu de /kuŋfu/ pour le mot kung-fu ? Phung Wilson

C'est comme ça que ça se dit il me semble...--Bad-Twin (d) 21 mars 2013 à 14:30 (CET)[répondre]

Nouveau-Brunswick vs Acadien[modifier le code]

Il semble y avoir une grosse confusion. Ça dit que le français acadien est linguistiquement distinct et a des origines différentes, mais que le français du Nouveau-Brunswick a les mêmes origines mais s'est différencié plus tard. Mais le français acadien est celui parlé partout au Nouveau-Brunswick, non ?

Quant aux origines distinctes, c'est discutable : toutes les variétés de français traditionnelles du Canada viennent de Paris et des côtes nord et ouest de la France, du Pas-de-Calais au Pays Basque, plus ou moins, et ensuite, ils ont tous été soumis à des forces similaires : essentiellement, le mélange des accents qui viennent de différentes régions de France (Koinè), la domination politique par les Anglais, l'absence d'effets linguistiques de la Révolution Française.

Mais quand on décide de distinguer le français acadien de celui de la vallée du St-Laurent, il faut savoir que le Nouveau-Brunswick parle la variante acadienne, alors qu'au Québec, il y a les deux, mais surtout le français du St-Laurent (celui appelé français canadien dans le temps que le Canada désignait la vallée du St-Laurent).

Matju2 (d) 2 janvier 2013 à 07:04 (CET)[répondre]

Justement, le français acadien ne vient pas de la koinè de Paris comme les autres langues de la famille des français d'Amérique, mais est issu d'un autre rameau des langues d'oïl avec des caractéristiques morpho-syntaxiques plus complexes que celles d'une koinè. Eklir (d) 19 avril 2013 à 23:38 (CEST)[répondre]

"Sauf en Gaspésie et en Côte-Nord"[modifier le code]

C'est l'ajout qu'un utilisateur a cru nécessaire au chapitre de l'affrication des occlusives alvéolaires (/t/ et /d/) devant les voyelles antérieures fermées (/i/ et /y/) et que j'ai reverti. Je réfère cet utilisateur à l'article sur le français acadien où il est bien noté que dans certaines régions limitrophes du Québec (Baie des Chaleurs, Basse-Côte-Nord, Îles de la Madeleine) c'est le français acadien plutôt que le français québécois qui y est le parler ancestral bien que la génération des jeunes se recycle de plus en plus sur le parler du reste du Québec. À noter aussi que les spécifications géographiques "Baie des Chaleurs" et "Basse-Côte-Nord" ne couvrent pas toute la Gaspésie ou toute la Côte-Nord. Eklir (d) 13 janvier 2013 à 21:42 (CET)[répondre]

Classification par famille[modifier le code]

Classé le Français québécois sous le Français est une erreur, sauf s'il est spécifié que Français=Français du 18e siècle (là où le Français de France et le Français canadiens-français s'est séparé). Voilà --TwinQc (d) 20 mars 2013 à 20:59 (CET)[répondre]

On entend par français dans l'arbre généalogique du québécois, un ensemble de variétés linguistiques issues du français populaire de Paris historique, une koinè qui, elle, est un rameau des langues d'oïl, mais je comprend ton désaroi devant le fait que l'article sur ce français populaire de Paris historique n'existe pas encore. Eklir (d) 19 avril 2013 à 23:30 (CEST)[répondre]

Filles du Roy[modifier le code]

Avec l'arrivée des filles du Roy, orphelines parisiennes destinées à épouser les colons canadiens et à peupler la Nouvelle-France, le français populaire de Paris s'impose alors comme la koinè du pays, c'est inexact les filles du roy parisienne étaient minoritaires puisqu'à égale proportion avec celles issues des orphelinats de Rouen, Dieppe ou la Rochelle. A Dieppe à l'époque le parler populaire était le cauchois, à Rouen le parler populaire était le purin rouennais, autre variété de normand et à la Rochelle, le charentais je suppose. Donc cet argument ne tient pas. A revoir.C. Cottereau (d) 19 avril 2013 à 10:11 (CEST)[répondre]

Selon les recherches démographiques à date (Hubert Charbonneau, « Le caractère français des pionniers de la vallée laurentienne », Cahiers québécois de démographie, vol. 19, no 1, pp. 49-62; Hubert Charbonneau & André Guillemette, « Provinces et habitats d’origine des pionniers de la vallée laurentienne », dans Claude Poirier et al., Langue, espace, société: les variétés du français en Amérique du Nord, Sainte-Foy: Presses de l’Université Laval, 1994, pp. 157–183.), trois femmes sur cinq des femmes pionnières sont d'origine urbaine et près de la moitié proviennent de la région parisienne. Ces statistiques sont relativement plus élevées pour les filles du Roy. Merci. Eklir (d) 19 avril 2013 à 22:36 (CEST)[répondre]
Oui c'est possible, pourtant la source Histoire de l'Amérique française me semble-t-il donne d'autres chiffres. Cependant, vos sources semble corroborer une citation du même bouquin, selon laquelle on y parlait presque aussi bien français qu'à Paris, ce qui peut s'expliquer par une origine urbaine et parisienne des femmes, alors qu'en général on ne parlait que des dialectes et des langues régionales en France, notamment à la campagne.Cdlt. C. Cottereau (discuter) 2 juillet 2015 à 22:42 (CEST)[répondre]

Verbe haïr[modifier le code]

Merci Eklir d'avoir donné votre source, c'est juste que vous ordonnez presque vos adversaires de débats (entre autre, moi et Bad-Twin) de donner une source pour un changement, mais vous ne le faites pas et j'ai dû vous le demander deux fois... Alors faites ce que vous demandez aux autres et il y aura moins de chicanes. --TwinQc (d) 19 avril 2013 à 18:14 (CEST)[répondre]

Tu remarqueras que chaque section des « caractéristiques » est coiffée d'une note renvoyant à une bibliographie générale. Si l'information ajoutée est déjà contenue dans une de ces sources, il n'y a pas lieu de sourcer par une note additionnelle. Si je l'ai fait quand même, c'est essentiellement parce qu'une note additionnelle superflue ne peut pas faire tort dans la présente situation alors que j'aurais pu tomber dans le ridicule du dernier Bescherelle qui recense astheure ouatcher,farmer,botcher et haguir. Pour le reste, puisque tu admets astheure que, relativement à chui, tu n'as « jamais dit que c'était une particularité québécoise », il s'ensuit, pour clore le débat, que chui n'a pas affaire dans une entrée encyclopédique qui justement traite des particularités linguistiques du français québécois. Comme je me tue à te faire comprendre depuis que t'es arrivé ici, t'es pas ici pour avoir des opinions et d'en donner, mais pour apporter à cette encyclopédie des informations sourcées et vérifiables, d'une manière aussi neutre que possible. Peut-être verras-tu un jour que ta neutralité ne sera en rien diminuée quand tu insisteras, comme je le fais avec toi, que les modifications apportées par autrui soient sourcées convenablement. En attendant, ça sera toujours un plaisir pour moi de sourcer tes ajouts quand cela est dans le domaine du possible. Merci. Eklir (d) 19 avril 2013 à 22:17 (CEST)[répondre]

Verbe être[modifier le code]

L'article sur le Lexique du français québécois contenait une section traitant des particularités morpholgiques et syntaxiques du verbe être. La conjugaison du verbe être n'étant pas une particularité lexicale, la section a été transférée ici pour être ajoutée à la section sur les caractéristiques morphologiques et syntaxiques de la langue. Eklir (d) 19 avril 2013 à 23:21 (CEST)[répondre]

Sujet des verbes et clitiques d'accord[modifier le code]

Dans la section Sujet des verbes et clitiques d'accord, je trouve que c'est un peu étrange quand ça parle du vous... On voit jamais la forme Vous-autres était après parler, sinon, extrêmement rarement. D'habitude, c'est Vous-autres, vous étiez après parler il me semble. On devrait aussi sourcer avec quelque chose de plus récent que le XIXe siècle et quelque chose qui parle plus du Québec que du Michigan, si cette formulation existe encore. Sinon, on devrait juste supprimer cette partie. Aussi, quand ça dit (qui s'utilise également comme adresse de respect) en parlant du vous, c'est vraiment absurde. Aucune source dans tout le monde prouve que le tu au Québec est utiliser pour faire un manque de respect... De nos jours, la plupart des gens utilisent le tu et, des fois, le vous est utilisé quand on parle à un supérieur, comme un patron ou un politicien... Ces deux élément méritent une révision. --Bad-Twin (discuter) 17 octobre 2014 à 16:26 (CEST)[répondre]

J'ai déplacé la question du tutoiement et du vouvoiement dans une section consacrée à ce sujet. J'ai déplacé d'autres éléments pertinents de cette section dans la section sur les pronoms. J'ai supprimé le reste pour deux raisons. 1) Le texte était extrêmement difficile à comprendre, même pour le langagier de trente ans d'expérience que je suis. Il était sans doute incompréhensible pour le commun des mortels. L'auteur semblait faire exprès pour faire étalage de mots savants, sans trop se soucier de la clarté. 2) Le texte disait essentiellement que les « pronoms clitiques » (autrement dit, les pronoms...) étaient disparus du français québécois. Sauf qu'il n'y avait que deux exemples, et de fait, ce sont les deux seuls cas où le pronom disparaît en français québécois : « faut pas s'en faire » (ce qui existe aussi en français standard) et « est belle (la fille) », qui est le seul autre cas qu'on puisse citer (troisième personne du singulier au féminin), ce qui ne fait pas une règle, d'autant plus que dans « est belle la fille », le pronom « a » n'est pas disparu, il se fond plutôt avec le verbe pour donner un « est » allongé (fusion de « a est »), ce dont il est rendu compte dans la section sur les pronoms. La tendance à redoubler les pronoms sujets avec un « pronom disjoint » (« moi, je m'en vas ») est aussi traitée dans la section sur les pronoms. Nepas ledire (discuter) 7 septembre 2015 à 21:52 (CEST)[répondre]

Teneur et erreur[modifier le code]

La langue est un sujet délicat, émotionnel. Je vous dois donc de préciser que je suis de belge francophone naissance habitant le Québec depuis plus de 40 ans et qu'une partie de ma famille vit en France (partie langues d'Oil). À la lecture de cet article, j'ai sursauté à plusieurs reprise. Le texte nous entraine dans un schème de pensée qui ne correspond pas au français parlé et écrit au Québec. Premièrement il n'y a pas de français canadien mais divers français parlés au Canada et qui peuvent même être difficilement inter-intelligible dans certains cas. Ensuite, l'article ne fait pas la distinction entre le joual et le français même familier. Il ne fait pas non plus la différence, pourtant très marquée, entre la langue écrite et la langue parlée. Enfin cet article, semble prendre plus en compte le français/joual de la région de Montréal (sans le mentionner) bien plus que tout autre régionalisme. Le tout est sur un ton presque condescendant, ce que je n'ai pas particulièrement apprécié. Voici pour la teneur. En ce qui concerne le deuxième volet, erreur; qu'il sufffise de dire que de nombreux pointy sont en erreur, je ne les fournirai pas tous, mon intention n'étant opas de refaire cet article. Je donnerai comme exemple que "babiche" ne désigne pas une raquette mais la matière dont sont faite les lanières servant à la confection de raquette (ainsi que de d'autres objets); babiche désignant des lanière faite de cuir sans poil ou de nerfs des anaimaux de grande taille. Je ne peux que souhaiter que cet article soit revu en profondeur.--69.70.196.38 (discuter) 2 juillet 2015 à 21:14 (CEST)[répondre]

Proposition d'ajout d'une vidéo pour illustrer[modifier le code]

Serait-il utile d'ajouter la vidéo intitulée Leçon de Québecois pour illustrer / sourcer (avec pour avantage d'avoir la prononciation par rapport à l'écrit) certains termes et expressions ?

149.154.209.109 (discuter) 25 août 2015 à 06:49 (CEST)[répondre]

5.2.4 Particule interrogative « -tu » : note 43, référence à « esk » ?[modifier le code]

On dit dans la note 43 que la particule postverbale -ti "a été évincée au profit de la particule esk en position de complémenteur : « On a gagné » (indicatif) → « Esk on a gagné? » (interrogatif), Wittmann, Henri, « Grammaire comparée des variétés coloniales du français populaire de Paris du XVIIe siècle et origines du français québécois. » [...]".

L'emploi de « esk » dans la note suscite des questions (https://french.stackexchange.com/q/29470). La note 43 apparaît après « Ce « -tu » est dérivé du « -ti », particule interrogative du langage populaire en France [...] » : à première vue l'article de Wittmann ne traite pas directement de l'interrogation, ne contient pas les exemples avec "gagner" et son texte ne contient pas de mention à la particule « est-ce que » ; le terme complémenteur est employé une fois à la p. 305 mais sans aucun lien avec l'interrogation. Je n'ai pas l'expertise pour faire les liens le cas échéant. Peut-on svp. clarifier/corriger « esk », et le lien entre l'interrogation et le texte de Wittmann, puis le lien entre la note et le texte de l'article ?

Le texte mentionne « auteure » comme exemple de forme féminine du mot auteur mais ne mentionne pas l’usage de plus en plus courant de « autrice ».


L’OQLF met cette variante sur un pied d’égalité : https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/25469/le-vocabulaire/tours-dhorizon-et-autres-explications/usages/feminin-dauteur-autrice-ou-auteure


Il semblerait aussi que Radio-Canada l’aie adopter comme norme (il faudrait trouver une source, je me fie sur ce que j’entends à la télé et la radio). Alexk7 (discuter) 29 mars 2023 à 16:07 (CEST)[répondre]

Régionalismes[modifier le code]

Il n'y a pas vraiment de français québécois uniforme. Mis à part les dialectes plus prononcés, tels qu'au Lac-Saint-Jean, en Gaspésie, ou aux Îles-de-la-Madeleine, même d'un centre urbain à l'autre, ça fluctue. On parle pas pareil à Montréal, Québec, ou Gatineau. L'expression "smatte", par exemple, je n'avais jamais entendu ni en Outaouais ni dans la capitale nationale, mais très répandu à Québec. Le genre de certains mots, surtout des anglicismes, n'est aussi pas pareil. "Un snowboard", à Québec, contre "une snowboard", à Gatineau. Tant qu'à parler de "français canadien vs. québécois", tel que discuté plus haut, les différences sont quand même très flagrantes pour un natif. Il peut n'y avoir qu'une rivière qui sépare Gatineau d'Ottawa, impossible de confondre un franco-ontarien d'Ottawa avec un québécois de Gatineau.


Par contre, il n'y a pas de régions purs. Mis à part l'immigration internationale importante dans certaines villes, il y a quand même beaucoup de migration régionale, que ce soit pour les études ou l'emploi. Beaucoup de Gatinois partent pour Montréal pour faire carrière au privé et à l'inverse, beaucoup de québécois et ontariens s'installent à Gatineau pour travailler pour la fonction publique fédérale. Les médias québécois, concentrés à Montréal, influencent aussi la langue. L'État envoie également des signaux mixtes, tend à condamner plusieurs expressions populaires, à exiger un registre soutenu à l'école, y promeut un certain élitisme. En même temps, rendu au Cégep, on introduit Michel Tremblay, le joual, et on les promeut comme icônes de la culture québécoise. Pourtant, si tu parles comme eux en présentations orales, tu risques d'y perdre plusieurs points. Parmi les gens plus éduqués, ça peut souvent être mal vu, avoir un registre trop populaire. 137.175.250.6 (discuter) 14 avril 2023 à 02:29 (CEST)[répondre]