Discussion:Dietrich von Choltitz

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identité de son vainqueur[modifier le code]

je supprime l'assertion non sourcée qu'un soldat républicain espagnol engagé dans la fameuse Nueve ait capturé par lui-même le général commandant le Grand Paris. Non seulement il n'y a aucune source confirmant cette assertion, mais un témoignage connu depuis longtemps établi qu'il s'agit du Lieutenant henri karcher. le fait est cité dans le fameux livre de Lapierre et Collins "Paris brûle-t-il ?" En outre, d'un point de vue logique, je vois mal un général ayant un tel commandement se rendre à un simple soldat, et pas à un officier. Le fait est d'ailleurs rappelé dans le corps de l'article. je pense que cette affirmation fantaisiste est le fait d'une certaine mode en ce moment, pour des raisons idéologiques, à surexposer les républicains espagnols engagés dans la Légion


Refus de faire sauter Paris (?)[modifier le code]

Je ne vois pas pourquoi on parle de "légende" quant au refus du général d'exécuter l'ordre de Hitler. Nombre de sources confirme cette information.

je n'ai pas d'info particulière sur ce point, mais pour ce qui est de l'article, le terme légende est employé pour désigner non pas le refus, mais les propos de Hitler. Pontauxchats 28 septembre 2006 à 22:25 (CEST)[répondre]
Pour les lecteurs de ce post, je ne ferais que rapporter les propos de mon père qui fut un des acteurs lors de ce jour célèbre de la Libération de Paris le 25 août 1944.
Mon père faisait partie de la 2ème DB, 1er RMT 3ÈME section. Il était sergent et avec sa section, il était sous les ordres du lieutenant KARCHER. Il était un ancien du TCHAD qui suivait LECLERC depuis 4 ans.
Ce 25 août 1944 après avoir combattu dans les jardins des Tuileries où les allemands avaient aménagé des tranchées, mon père et sa section traversèrent la rue de Rivoli sous les tirs allemands pour rejoindre les arcades de la rue de Rivoli où progressait le lieutenant Karcher avec les autres sections.
Arrivés devant la porte de l'Hotel Meurice alors Kommandatür du Groß Paris, Karcher demanda à mon père de le couvrir. Ce qu'il fit en balançant une grenade au phosphore. Puis Karcher pénétra dans l'Hotel, pistolet au poing et abattit un soldat allemand dans les escaliers. Mon père s'y engouffra jusqu'à une grande porte qu'il entrouva. Il aperçut de nombreux officiers allemands debout derrière une grande table où etait posé plusieurs téléphones.
Mon père leur intima de se rendre.
Un officier allemand parlant très correctement le français lui répondit "qu'ils rendraient leurs armes à un officier de l'armée régulière" ayant constaté les chevrons de sergent que portait mon père.
Mon père appela le lieutenant Karcher qui leur demanda s'ils voulaient se rendre. Devant leur affirmation, il récupéra leurs armes.
Ayant reconnu le grade du général von Choltitz, Karcher lui demanda de téléphoner aux troupes allemandes sous ses ordres afin qu'elles se rendent. En même temps, il tendit le bras vers un téléphone en bord de table afin de décrocher le combiné pour le tendre au général. Celui-ci mit la main sur le combiné du téléphone afin de l'empêcher de décrocher en lui disant : "Si vous décrochez ce combiné, tout Paris saute !".
Les allemands avaient prévus l'hypothèse de leur exécution en mettant un téléphone au bord de la table qui fonctionnait au décroché car au bout, il y avait un officier qui aurait donné l'ordre de faire sauter tous les grands monuments parisiens y compris les Invalides.
Ce témoignage n'a malheureusement pas été recueilli par les historiens.
Karcher a été conseillé de René Clément pour son film de "Paris. Brûle t'il ?". Mon père l'a rencontré après avoir vu le film et lui a raconté cette anecdote. Il a alors reconnu, en se la rappelant que c'était un évènement significatif dans la volonté de l'état major allemand de ne pas faire sauter Paris.
Je regrette que ni Karcher, ni mon père n'aient insisté pour que cette anecdote fasse partie de l'histoire de France en l'inscrivant au Journal de Marche de la Division. Il faut dire qu'à cette époque les témoignages étaient subjectivement en défaveur des occupants.
Mais, peut-être que certains désirent aujourd'huide survaloriser l'action des résistants.
Allez savoir ... 2A01:CB08:8526:F700:D4C:D335:4E89:C8D6 (discuter) 14 juillet 2023 à 19:31 (CEST)[répondre]
Après avoir vu à Paris la pièce "Diplomatie", qui traite du sujet, mais de manière fantaisiste, j'ai un peu regardé la littérature. J'ai mis mes réflexions dans un billet sur mon blog. En réalité, il n'avait plus le choix ! --CéCédille 13 mars 2011 à 19:13 (CET)

┌─────────────────────────────────────────────────┘
En fait, la fameuse affirmation du « refus », (répétée par le seul Choltitz et entretenue par le film Paris brûle-t-il ?, tourné en 1966 et qui se base sur ces mêmes déclarations) de faire sauter Paris est une vraie légende (de nos jours nous dirions un « fake »), entretenu par l'ancien général, lui-même.
En 2021, la majorité des historiens défendent la thése que ce général était un vrai fidèle d'Hitler et qu'il n'a jamais voulu contrevenir à ses ordres de destruction massive des monuments de la ville (archives françaises et allemandes, à l'appui). La seule chose qui l'en a empêché, c'est le manque de temps et surtout de moyens. En effet comment miner tous les monuments d'une ville de 3 millions d'habitants dont une grande partie des habitants sont entrés en insurrection alors que l'armée alliée est sur le point de libérer la ville et que la plupart des troupes allemandes sont en train de fuir ? La seule chose que l'on peut affirmer c'est que Choltitz fut visiblement assez heureux de ne pas l'avoir fait car cela lui aurait valu d'être jugé comme criminel de guerre... mais (et un « mais » de taille), il s'en est rendu compte au moment de son arrestation (comme en témoigne le général Leclerc) et rien indique qu'il y ait pensé auparavant (même s'il a pu affirmer le contraire)...
On ne réécrit pas l'histoire dans le sens qui vous arrange ! --JPC Des questions ? 16 avril 2021 à 11:25 (CEST)[répondre]

D'un autre côté, se plaindre que l'intendance ne suit pas est une excuse classique pour un officier qui ne veut pas exécuter un ordre, mais qui ne veut pas non plus être accusé de désobéissance. Et Choltitz a sans doute espéré jusqu'à la dernière minute pouvoir fuir Paris ; il aurait donc eu à justifier l'inexécution d'un Führerbefehl. Il valait mieux avoir une raison très solide à présenter. J'aurais tendance à penser qu'il a agi logiquement : il a miné en priorité les ponts pour bloquer les blindés américains. Le reste, c'est de la spéculation historique.--Ramsès Deux (discuter) 19 avril 2021 à 17:02 (CEST)[répondre]

Participation à la Shoah[modifier le code]

Une citation extraite de l'ouvrage mentionné en note serait la bienvenue.

Raymond GIMILIO (d) 4 octobre 2012 à 14:59 (CEST)[répondre]

c'est fait--Reger2 (d) 18 octobre 2012 à 19:55 (CEST)[répondre]

Légion d'honneur[modifier le code]

Cette affirmation semble un rien issue d'une légende, et le propre site familial l'ignore

www.choltitz.de

Une recherche sur le net ne donne rien de sérieux. J'ai été voir Léonore, je sais pas si elle référence les légionnaires étrangers, mais en tous cas toujours est-il qu'il n'est pas sur cette base : http://www.culture.gouv.fr/documentation/leonore/NOMS/nom_00.htm

Chevalier libre (d) 16 avril 2013 à 18:05 (CEST)[répondre]
L'article wp en allemand mentionne cette source : Dermot Bradley (Hrsg.): Die Generale des Heeres 1921-1945. Band 2: v. Blanckensee-v. Czettritz und Neuhauß. Biblio Verlag, Osnabrück 1993, (ISBN 3-7648-2424-7), S. 432. Lysosome (discuter) 16 novembre 2015 à 00:19 (CET)[répondre]

Commentaire IP sur la libération de prisonniers[modifier le code]

Voici l'interrogation laissée par une IP directement sur l'article (j'ai reverté) :

( comment peut-on libérer le 19 aout des gens arrêtés le 20?) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 92.148.242.96 (discuter)

Concernant ce passage :

Dans l'après-midi du 19 août, von Choltitz accepte le cessez-le-feu négocié par le consul de Suède Raoul Nordling avec les gaullistes. Il sursoit à leur exécution(réf : in Raoul Nordling, Sauver Paris : Mémoires du consul de Suède (1905-1944) et « Emile LAFFON (1927), Compagnon de la Libération ») et laisse libres trois résistants, Alexandre Parodi, Roland Pré et Emile Laffon, représentants directs du général de Gaulle arrêtés le 20 août par la Gestapo.

Je n'ai pas accès à la source (le site internet en lien n'apporte pas grande information), qui serait d'ailleurs peut-être bien de remplacer par une source secondaire dont on pourrait attendre un peu plus de fiabilité. En attendant je suis tenté de supprimer ce passage… Cordialement, Chevalier libre (discuter) 19 août 2014 à 20:36 (CEST)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

Une anecdote basée sur cet article a été proposée ici (une fois acceptée ou refusée elle est archivée là). N'hésitez pas à apporter votre avis sur sa pertinence, sa formulation ou l'ajout de sources dans l'article.
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