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Discussion:Classe Sirius (dragueur de mines)

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C'est moins complet que le version précédente.[modifier le code]

Même si la présentation est meilleure, c'est dommage de ne pas avoir reproduit la conclusion de ma dernière "mouture".
Elle enrichssait l'article et lui donnait plus de consistance. Notamment en faisant le distinguo entre les dragueurs "diesel" et les dragueurs "Pescara". Quand j'avais réalisé cette article, j'avais évoqué la fragilité des turbines à gaz, d'où la carrière plus courte des "Pescara" qui ont fini comme garde-côte au CEL, alors que les diesels ont achevé leurs carrières dans la guerre des mines ou comme patrouilleurs outre-mer.
Ancien des dragueurs "D" à bord desquels j'ai navigué 5 ans, j'ai d'abord embarqué en 1966 sur le Dénébola (M751) à la Pallice, un "Pescara" qui sécurisait la zone d'essai du CEL, puis en 1967-1968 sur un "diesel", l'Arcturus (M746), stationnaire aux Antilles, enfin en 1971-1972 à bord de la Lyre (M759), un autre "diesel" qui faisait du draguage de mines au sein de la 1ère Esdra de Cherbourg. J'ai corrigé et complété l'encart "caractéristiques", car Pescara ou diesels, leurs puissances étaient identiques : 1000cv x 2 (et non 800cv x2). Cordialement. Maurice47 (discuter) 18 décembre 2013 à 21:48 (CET)[répondre]

C'est fait, j'ai ajouté la conclusion et rectifié quelques petits points de détail.
Cordialement et félicitations pour votre excellent travail sur les bâtiments de la guerre des mines. Maurice47 (discuter) 19 décembre 2013 à 21:23 (CET)[répondre]

La fin du Sirius[modifier le code]

La photographie du Sirius illustre logiquement cet article car il est la tête de série des dragueurs D.
En terminant mon BAT manœuvrier (brevet d'aptitude technique) j'ai été affecté à Cherbourg sur le Sirius (Cdt : LV Guivarch), début septembre 1971.
J'ai participé à son désarmement car il avait talonné un haut-fond le 15 août 1971 au large du cap Lévy lors d'une sortie à la mer avec à son bord des jeunes gens de la Ligue maritime d'Outre-mer.
Pendant 2 mois nous avons réarmé provisoirement le Denébola qui servait à l'entraînement des réservistes, avant de le remplacer définitivement par la Lyre (Cdt  : LV Defoucault), sous cocon à Brest, après une remise en condition opérationnelle délicate (plusieurs avaries de barre et de machine, problèmes d'immunisation magnétique...etc...). Maurice47 (discuter) 1 janvier 2014 à 19:26 (CET)[répondre]